Avis : The Mortal Instruments : La Cité des ténèbres - Page 6

Très déçue par ce film, les dialogues sont niais , le film est décousu , des longueurs à n'en plus finir aucun suspense, film à fuir!!! On devait être une dizaine de spectateurs dans la salle et on a pratiquement tous ri d'autant de niaiserie... c'est pour dire!

Totalement nul. Pourquoi est-ce que cette daube sort au cinéma ? C'est un film qui devrait allez direct en DVD à un prix de EUR 1,99 (en encore je suis généreux !).
Même l'équipe sait qu'ils ont fait un non-film.

On dirait une sorte de Twilight avec des sorcières et des démons. Je n'avais pas aimé la saga, je n'ai pas plus aimé ce film, principalement destiné aux ados, selon moi. C'est assez bien joué et il y a de bons décors mais je n'ai pu m'empêcher de trouver le tout ridicule. Pas génial, pour moi.

A la base, ce film ne me tentait pas plus que ça, génial encore un clone de Twilight pensais je...
Et bah non, rien à voir ! Le film est super bien ! Lily Collins est super jolie, mais pas niaise, ni inexpressive comme Kristen Stewart. Mais surtout, l'intrigue est bien plus intéressante. Y'a de l'action tout le long, c'est rythmé, y'a plein de magie, des créatures différentes, la BO est pas mal, bref rien à voir avec la saga pour fillettes de Stephenie Meyer. Par moment, il me faisait même plus penser à Underworld qu'à Twilight, avec un côté Harry Potter. Et les vampires sont très secondaires dans l'intrigue. Après le bouquin est sans doute mieux, mais ne l'ayant jamais vu et en partant avec un a priori négatif et en ne l'ayant pas lu, j'ai passé un très bon moment et j'espère qu'ils pourront adapter l'hexalogie ! Bref, un super film, qui contrairement à ce que laisse suggérer sa promo n'est pas que pour les ados, ni que pour les filles.

Jeu pérave, histoire vide, bon ça a un peu travaillé les décors fantaisy et les épées de cristal et puis voila voila..

Adaptation du premier tome de la saga littéraire The Mortal Instruments de Cassandra Clare, ce nouveau film Young Adult cumule les défauts. Censé être une sorte de Twilight punchy, le nouveau film d’Harald Zwart est consternant en tout point, plus ridicule encore que son aîné. 5 raisons DE NE PAS ALLER VOIR The Mortal Instruments : La Cité des ténèbres.

1. Un soir, Clary, 15 ans est témoin d’un meurtre perpétré par plusieurs personnes qu’elle est la seule à voir. Elle découvre qu’ils sont des chasseurs d’Ombres en guerre contre des forces démoniaques. Jace dont Clary se rapproche vite, lui fait découvrir son monde. Quand sa mère disparaît, elle apprend qu’elle est en fait l’une des leurs et s’engage à leurs côtés en compagnie de son meilleur ami Simon, pour la retrouver. Énième histoire d’amour impossible sur fond de guerre entre le bien et le mal (Twilight, sublimes créatures, Les Âmes vagabondes…), The Mortal Instruments est inutilement alambiquée. Dans un premier temps, on ne comprend rien aux enjeux de son histoire jusqu’à ce qu’on nous les explique pour la millième fois. Une fois l’intrigue du film éclairci, on peut se rendre compte à quel point celle-ci est longue, insipide et bien évidemment, prévisible.

2. De Lily Collins, hébétée durant tout le film à Jamie Campbell Bower, transfuge de Twilight, tout le casting ou presque est affligeant. Il faut dire que la vacuité des personnages ne les rend pas attachants. Celui de Kevin Zegers (Gossip Girl) est particulièrement superflu tandis que Jonathan Rhys Meyers (Tudors, Dracula) nous rejoue encore une fois (de trop) le rôle du bad guy ténébreux. Quant à l’excellent Jared Harris (Mad Men, Lincoln, Sherlock Holmes), on se demande comment il a pu se retrouver dans ce film proche de la parodie. Robert Sheehan (Misfits) et Jemina West (Borgia, Maison close) sont les seuls à sauver dans ce désastre ciné. Le premier apporte une touche...

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Chacun cherche son roman jeunesse à succès. Mais c’est comme avec les garçons, il faut en essayer beaucoup avant de tomber sur un prince charmant. Malheureusement pour Sony, la saga signée Cassadra Clare ne sera pas le nouveau Twilight ou Hunger Games. Pourtant, sur le papier, le projet semblait ambitieux. Au menu, un univers peuplé de créatures fantastiques, un casting so british menée par Lily Collins et une trame pleine de mystères et de rebondissements. Sans oublier que l’auteur du roman a travaillé en étroite collaboration avec la scénariste, afin de s’assurer que le film ne s’éloignerait pas trop du matériau original.

Seulement toutes les meilleures intentions ne suffisent pas à faire un bon film. Certes cette Cité des Ténèbres est plus sombre et moins lisse que la saga de Stephenie Meyer, mais son intrigue paresseuse manque sérieusement d’imagination. Le pire ? Son twist final qui flirte allègrement avec Star Wars et certaines répliques mièvres qui prêtent à sourire.

Vous n’échapperez pas non plus à l’éternel triangle amoureux, même si Cassandra Clare tente de le moderniser. Elle n’hésite pas non plus à parler d’homosexualité, ce qui n’est pas si courant dans ce type de courant littéraire.

Heureusement, si les scènes d’action rythmées et musclées sont plutôt réussies, on ne peut pas en dire autant des passages romantiques… L’interprétation efficace relève également un peu le niveau. Quel plaisir de retrouver dans un même film Robert Sheehan (à l’opposé de son personnage de Misfits), Aidan Turner (Being Human, Le Hobbit), Lena Headey (Game of Thrones) ou encore Jonathan Rhys Meyer (bientôt dans Dracula). Le couple principal (Lily Collins et Jamie Campbell Bower) a par contre un peu de mal à éviter la caricature.

Malgré tous ces écueils, on sent en arrière-fond tout le potentiel de cet univers gothique niché dans un paysage urbain. Avec un réalisateur possédant une vraie vision, les choses auraient peut-être été différentes. Nous ne le saurons sans doute jamais. De toute manière, au vu des faibles recettes réalisées au box office, le deuxième volet des aventures de Clary, Jace et Simon n’est pas prêt de voir le jour.

La presse a descendue en flèche ce film avec une note deux fois moins élevé que les spectateurs... et bien pour une fois je suis d'accord avec leur note plus qu'avec celle des spectateurs. Ce film n'est pas bon du tout, je l'ai même fini en accéléré, tellement j'en avait marre.
Les "acteurs" ont le charisme d'une huitre et sont tous plus mauvais les uns que les autres. Les effets spéciaux sont potables mais ça ne suffit pas à rattraper le reste... et l'histoire ben... j'ai pas accroché du tout ! Bref, ça fait vraiment trop teen movie bas de gamme tout ça !
1/5

The Mortal Instruments : City of Bones est la quintessence de ce qui peut se faire de pire dans l’adaptation de sagas romanesques à destination des adolescents : soit une transposition plate, bête et visuellement hideuse d’un univers dépourvu de la moindre personnalité qui passe son temps à piocher à droite à gauche, recouvrant ses emprunts d’une couche de noirceur aussi factice que ces cosmétiques bon marché que l’on trouve dans les grandes surfaces rehaussés d’une étiquette promotionnelle. Le film souffre d’une boiterie insupportable, peine à articuler sa romance sirupeuse entre une ingénue et un minet underground sans charme ni talent – car il faut bien le dire, il joue extrêmement mal – avec sa violence gratuite et complaisante que de piteux effets visuels tentent d’incarner à l’écran. Ça s’agite à tous les coins de rue, ça beugle, ça se bat, un chien a vu The Thing (John Carpenter, 1982) et se transforme dans la douleur, donnant lieu à la scène la plus réussie d’un divertissement qui jamais ne divertit et qu’aucune magie, noire ou blanche, ne vient relever, exception faite de la partition musicale signée Atli Örvarsson, assez réussie au demeurant. Ridiculus !

On peut se dire "encore un énième film adapté d'une série de livres Young Adult". C'est vrai. Ce serait mentir si l'on niait la parenté évidente de ce film avec les autres films (Hunger Games, Divergente, Twillight ...) visant à peu près le même public. Oui, la romance vise clairement les pré-adolescentes. C'est peut-être l'un des points faibles du film pour un jeune homme comme moi. Mais il est normal que je ne puisse pas y accrocher.

Mais là où dire "encore un énième film adapté d'une série de livres Young Adult" se révélerait assez réducteur c'est dans son intention de se démarquer un peu de la concurrence en introduisant des scènes d'action un peu plus spectaculaires que les autres, en soignant ses effets spéciaux (les démons de cendres sont vraiment bien faits et rendent bien à l'image) mais surtout, en n'hésitant pas à créer un univers assez sombre. Et ce dernier point est une chose un peu trop rare dans l'univers assez lisse de ces films : ici, les vampires sont de véritables vampires et les démons jouent leur rôle de démons.

Certes, ce film a des défauts dont une histoire un peu coconne et déjà vu ailleurs ainsi que des personnages pas forcément très intéressants mais il a aussi des acteurs plutôt bons et l'équipe a une réelle conviction dans ce qu'elle fait. Suffisamment pour passer les deux heures sans trop de mal. D'ailleurs, s'il y avait une suite, je ne dirais pas non.

Totalement incomparable à Twilight et à Harry Potter!
J'ai adoré ce film, il y a tout pour faire un bon film : amour (et pas la niaiserie de Twilight, pardon pour les fan, j'adore les livres mais les films, il faut l'avouer, sont plus drôles qu'autre chose ^^), suspense, action, fantastique, on ne s'attend pas à ce qu'il va se passer.
En plus le casting est très bien, ça ne peux qu'être super. Après chacun ses goûts bien sûr ^^.

Je n'ai qu'une envie c'est qu'ils fassent une suite!

Une romance neuneue pour midinettes teintée de surnaturel: ça faisait longtemps qu'on n'y avait pas eu droit. On l'aura compris donc, rien de nouveau sous le soleil: un triangle amoureux qui laisse peu de doute quant à l'issue finale, des créatures fantastiques à foison (vampires, loups-garou, démons...), des révélations qu'on n'avait pas vues venir spoiler: (Clary, je suis ton père!)
... Sauf qu'ici, fini les gros ploucs mormons arriérés de Twilight, on a des New-Yorkais branchouilles bobos hipsters qui vont à des séances de lecture de poésies; et plus d'idées rétrogrades sur le mariage mais des thèmes de société modernes et subversifs, comme l'homosexualité, abordés avec "finesse et subtilité" parce que c'est un film vachement mature et profond en fait (les lois homophobes en Russie, les mouvements anti-mariage pour tous, les films tout pourris pour adolescentes pré-pubères,... on ne leur épargne vraiment rien aux gays!). Enfin malgré un scénario "dé-cousu de fils blancs", le film se rattrape un peu grâce aux effets spéciaux et à pas mal d'action; par contre j'ai failli m'étouffer quand ils ont évoqué J.S Bach comme étant un Shadow Hunter (comme l'aurait dit son collègue Beethoven: mieux vaut être sourd que d'entendre ça!). The Mortal Instruments est un film sans grand intérêt, déjà vu 100 fois, dont le seul fait d'armes est d'être "moins pire" que Twilight.

Pas d ennuie du début à la fin.
Il est vrai qu'il est assez prévisible, mais les effets spéciaux sont resplendissants, les jeux d acteurs très bon. Et surtout une très grande envie de voir la suite, car la fin le présage.

Les critiques négatives m'avaient fait un peu peur, mais je ne regrette pas de l'avoir vu. Un film sympa avec une histoire bien construite et dont on a encore beaucoup à apprendre. Oui, il y a une histoire d'amour, mais ce n'est qu'un élément de l'histoire. Contrairement à ce que j'ai pu lire, j'ai trouvé les acteurs bons, et ce fut un plaisir de retrouver notamment Lena Hadley, l'excellente Cersei de GOT, ainsi que Robert Sheehan, ex-Nathan de Misfits.

un film génial, je ne me suis pas ennuyer! Vivement le deux ! je pense même retourner le voir au cinéma une seconde fois.