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    Balada Triste
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    3,3
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    212 critiques spectateurs

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    Frédéric M.
    Frédéric M.

    154 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juin 2023
    Un très beau film, très nerveux, sans temps mort. Les acteurs ne sont pas toujours bon, mais l'histoire est prenante et dure. Comme à l'habitude avec ce réal, on vire par quelques scènes assez gore et parfois drole. Une petite pépite touchante dans sa filmo
    hubertselby
    hubertselby

    57 abonnés 436 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2013
    Farce macabre complètement baroque qui se passe sous le régime de Franco, ce film est un ovni déjanté qui fricote avec le gore ici ou là mais il reste assez poussif à regarder...
    ocelot
    ocelot

    19 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juillet 2011
    Film GÉNIAL !!! A voir par tous fans de film de genre. Dommage pour la fin, prévisible.
    dahbou
    dahbou

    181 abonnés 2 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2012
    de la Iglesia marqua son retour en Espagne avec ce Balada Triste. Le cinéaste continue d'explorer les méandres de la folie et du burlesque dans un film parfois inégale mais souvent brillant. Il ne recule devant rien pour livrer un conte cruel revisitant la mémoire collective espagnol et le Franquisme à sa façon. Il n'en reste pas moins une vision rare, engagé et complément iconoclaste.
    Sergio-Leone
    Sergio-Leone

    163 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 juillet 2012
    C'est dommage, je pensais le plus grand bien de ce réalisateur depuis l'hilarant "crime farpait", mais ses 2 dernières productions m'ont complètement déçu. "Balade triste" est un film totalement déjanté mais sans réelle maîtrise, tout part un peu n'importe où et le rendu final et proche du n'importe quoi simplement grotesque. Ne vous attendez pas non plus à rire aux éclats.
    pitch22
    pitch22

    148 abonnés 680 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2011
    Farce tragi-comique insoluble, pépite du genre grostesque tendance romantique. Alex de la Iglesia poursuit sa quête d'humour macabre et tranchant en nous offrant une plongée folle dans l'expérience subconsciente de la psychose d'un refoulé national. Car cette sombre fable d'une troupe de cirque borderline raconte aussi l'auto-destruction d'un pays, l'Espagne, dont la beauté solaire s'est engouffrée dans le tourbillon de l'horreur franquiste. Un scénario implacable, néanmoins attendu sur la fin, d'entrée grotesque (scène des clowns), nous plonge dans les aléas effrayants d'une tragédie sans issue. Les quelques séquences de douce insouciance, toutes issues du rêve, font rapidement place à la désillusion d'un réel terrifiant. En effet, dans un pays en proie à une guerre intestine écrasée par le fascisme, toute échappatoire semble impossible pour les partisans d'une liberté insoumise. Dans ce film aux virages très surréalistes, tout symbole prend corps à la lettre. Deux personnalités écorchées vives, clowns par défaut, incarnent en miroir un désir conflictuel, une passion de nature opposée, entraînés dans une quête de possession du même objet désiré: la femme, l'Espagne. La radicalisation des (res)sentiments respectifs ne peut souffrir aucun partage: l'un a beau dominer d'un machisme éhonté, l'autre a beau défendre le chemin d'une utopie, il suffit d'un pas de trop pour que l'équilibre de la terreur bascule et se brise. Ainsi s'enclenche une rivalité sans merci sur fond de vengeance à dimension historique. Cependant, la tournure démente du récit, d'un grand-guignol excessif clairement assumé, nous verse à la fois dans l'effroi consterné et, par le côté loufoque, dans un sentiment nerveux de drôlerie. Carlos Aceres ne manque pas d'impressionner: une révélation de poids! On n'est pas prêt d'oublier ce personnage de clown-évêque délirant, trash en diable, aux échos de DIVINE watersienne. La figure d'Antonio de la Torre incarne aussi un sale profil, repoussant, qui rappelle aux prémices du fameux VOLVER (Almodovar). Si pas mal de critiques presse ont fait la fine bouche devant un tel plat, aux accents certes peu râgoutant mais jubilatoires, est-ce parce qu'il ne parle pas vraiment aux goûts français? Pourtant, force est de constater l'éclat d'un tel grotesque dans les célèbrissimes BOSSU DE NOTRE-DAME ou dans ALICE AUX PAYS DES MERVEILLES! De même, la BALADA possède sont petit lot de créatures monstrueuses (mais on ne rejoue pas LA MONSTRUEUSE PARADE) et d'événements impromptus aux limites de l'absurde! Qui plus est, l'extravagante séquence de la petite grotte nous renvoie illico au "grotesque", aussi bien étymologiquement que factuellement parlant; nous virevoltons là dans l'incongru, la laideur, le dégoûtant, le bizarre, l'étrange, le fantastique. La métamorphose du clown triste (shocking!) mais aussi l'homme-chien, n'incarne-t-il pas l'altérité même, le risque d'une hybridité à la fertilité condamnée? C'est aussi F. Goya période malade. Puisque l'histoire se déroule dans les années 1970 après deux piqûres de rappel (dont 1937), quoi de plus cohérent que le choix d'un art fantastique farci au genre grotesque des années 1930?! Ces années se caractérisèrent entre autres par une véritable chappe de plomb sur les libertés d'expression, avec un télévision diffusant nombre d'émissions de clowns bien gentillettes pendant qu'on torturait: situation surréaliste. Nulle vulgarité, nulle outrance gratuites dans cette balade à fleur de peau qui vire en course à l'échalotte, un vrai bordel de course-poursuite... Si l'horreur peut flirter avec le gore, on évite la complaisance. Les Espagnols ne peuvent oublier l'entre-déchirement qui les a rongé mais Alex de la Iglesia met en garde contre tout glissement vers une réactivation du cauchemar: il ridiculise l'esprit de vengeance tout comme il dénonce les acharnés du pouvoir. La lutte intestine pour l'exclusivité n'offre aucune sortie. Un petit délire qui fait date.
    BMWC
    BMWC

    74 abonnés 789 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juin 2011
    Aussi déchaîné que déchirant, Balada Triste est une déclaration d'amour au freaks et un triangle amoureux très émouvant. En plus d'être une métaphore de l'histoire d' une Espagne toujours pas tranquille.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 novembre 2011
    Balada Triste est un très bon film montrant un homme sombrer petit à petit dans la folie.
    Henrick H.
    Henrick H.

    3 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 juin 2014
    Une surenchère de tout et n'importe quoi : de la vulgarité, du gore... aucune profondeur, des dialogues affligeants et un scénario famélique le tout arrosé de musique d'ascenseur. On se demande ce qu'avait bien pu fumer Tarantino pour attribuer un Lion d'argent à cette bouse.
    bibialien
    bibialien

    25 abonnés 794 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 août 2015
    Rivalité entre le clown auguste et le clown triste tous deux amoureux d’une belle acrobate sur un fond de guerre et de réalité corrosive et dérangeante où la folie est omniprésente
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 530 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 novembre 2021
    Après avoir admiré et apprécié un grand nombre des films du réalisateur espagnol Álex de la Iglesia j'ai trouvé ce dernier film de lui très décevant. Il commence par un bref prologue pendant la guerre civile espagnole puis se déroule en 1973. Mais il s'agit essentiellement de l'histoire d'un clown nouveau venu dans un cirque pathétique qui suscite la jalousie du clown principal qui est dangereusement fou qui pense qu'il pourrait être le principal après sa femme pas très brillante. Les combats entre eux vont devenir de plus en plus violents et de plus en grotesques. Comme je ne me souviens pas de leurs noms pour le moment j'appelle les trois personnages principaux du film le Clown triste, le Clown psychopathe et la Fille muette. Le Clown Psycho bat constamment la fille ce qui me fait me demander pourquoi le réalisateur pense que la violence domestique est drôle. Les trois protagonistes sont extrêmement antipathiques presque repoussants de sorte que nous ne pouvons pas nous soucier de ce qui leur arrive. On est vraiment très loin de films comme Le Jour de la bête, Mes chers voisins ou le génial Les Sorcières de Zugarramurdi..
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 272 abonnés 7 255 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juillet 2011
    Álex de la Iglesia surprend mais nous laisse sur notre faim avec cette comédie dramatico/trash narrant l'histoire de deux clowns qui se disputent une même femme. Un joyeux bordel d'à peine 110 minutes et qui pourtant, paraît durer bien plus longtemps. Une comédie amère où le grand-guignolesque est à son apogée, une surenchère qui mélange les genres et ne nous facilite pas la tâche pour adhérer à l'oeuvre. Car Balada Triste (2011) ne se limite pas à une simple querelle amoureuse, le film flirt entre l'historico/politique et le burlesque (notamment lorsque l'intrigue nous ramène durant la guerre civile espagnole avant de se prolonger jusqu'au règne de Franco). Une comédie noire très excessive (le mot est faible), qui rapidement donne des maux de tête avant de finir par lasser, et ce malgré quelques sourires esquissés, c'est bien trop peu pour pleinement satisfaire sur toute la durée du film.
    Quant aux nombreuses nominations & récompenses, que ce soit aux Goya où lors de la 67ème édition de la Mostra de Venise (où le film fut récompensé du Lion d'Argent du Meilleur Réalisateur et de la Meilleure mise en scène), avec Quentin Tarantino en guise de président du jury, on est pas surpris d'un tel palmarès.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 171 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 juin 2011
    Les dix premières minutes m'ont étonné je dois bien l'avouer, et j'attendais le reste avec une certaines curiosité, ressentant clairement que ce "Balada Triste" n'était pas un film ordinaire. « Pas ordinaire », sur ce point je pense que tout le monde sera d'accord, et le film ne déroge jamais à ce qualificatif de la première jusqu'à la dernière minute. Mais par contre, quel foutraque ! On passe d'un clown à machette au temps de Franco à une histoire d'amour bizarre en plein années 70 qui vire en une espèce de survival horror totalement timbré. D'habitude, j'aime bien les films qui sont le produit d'imaginations débridées, mais là j'ai pas du tout compris où l'ami De la Iglesia voulait aller. J'ai suivi tout le film dubitatif, sans vraiment savoir de quoi il parlait, restant comme deux ronds de flanc à chaque bouleversement de l'intrigue. Tout le long, le film se complait dans une sorte d'absurde un peu glauque mais qui jamais vraiment ne parvient à trouver sa voie. Au final, les images s'enchaînent sans jamais faire corps. Ponctuellement il m'arrivait de me poser face à ce que je voyais en me disant qu'il y avait un truc spécial dans ce film pas totalement écoeurant, mais dans l'ensemble il était tellement pénible d'être laissé sur la touche par cette histoire chaotique et – avouons-le – assez vide, que malheureusement, la seule sensation qui l’emporte c’est l’ennui. C'est horrible d'avoir à dire ça d'un film qui ose, mais malheureusement je me dois d'être honnête avec vous : contrairement aux critiques professionnelles, je n'arriverai jamais à encenser un film durant lequel je me suis profondément ennuyé. Bref, tel un couperet, je vous donne ce conseil vindicatif : évitez autant que vous le pouvez cette triste, très triste, balade...
    Julien D
    Julien D

    1 119 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2013
    Fable sinistre au cœur d’un pays en tourment, Balada triste permet à Alex de la Iglesia d’affirmer son talent de réalisateur original. Son film mêle en effet dénonciation politique, horreur grand-guignolesque et passion amoureuse tout en gardant, de bout en bout, un humour noir d’une rare violence. L’imagerie baroque qui résulte de cette surenchère plutôt réussie de coups de folie cinématographiques, s’inspirant tant de Tex Avery que de Robert Rodriguez ou encore John Waters, est d’une magnifique qualité photographique qui restera gravée dans la mémoires des amateurs de cinéma gothique.
    Plume231
    Plume231

    3 527 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 décembre 2013
    Le dernier des derniers reproches que l'on pourrait faire à Alex de la Iglesia c'est d'avoir peur de l'excès. Au contraire, absolument rien ne l'arrête. La scène d'intro donne très bien le ton de ce qui va suivre mais on est surpris tout de même puisque plus on va avancer dans le film, plus on va aller loin, il n'y aura pas la moindre limite...
    Baroque, complètement déjanté, très violent, gore disons-le carrément, cynique, noire, cruel, trash, hystérique, avec des personnages fous furieux en puissance, on ne sait jamais lequel des deux clowns va remporter la palme dans ce domaine et aussi la trapéziste ultra-sexy à qui la situation n'a pas l'air de totalement déplaire.
    L'argument du franquisme alors à son crépuscule ne donne l'impression que d'être un prétexte à cette balade ou ballade plus furieuse que triste et diablement efficace.
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