Derniers Avis : Minuit à Paris - Page 18

J'ai adoré ce film. Il est très poétique ! On retombe dans le Paris des années 20, un voyage à travers le temps qu'on est pas prêt d'oublier ! On rencontre des tas d'artiste dans le cadre idyllique de la cité aux 1000 lumières de nuit. Super film !

J'ai réactivé mon compte inactif depuis, pfiouuuuu, juste pour dire : ce film est GENIAL ! Pas fan de Woody Allen pour deux sous, faut avouer que là j'ai été bluffé. Film peut-être facile en ce qui concerne un pays plus que sublimé et idéalisé (voir fantasmé), mais l'ambiance créée, les personnages présentés sont juste parfaits. Bon, je retourne le revoir de suite !

Je n'ai pas vu beaucoup d’intérêts à ce film sauf de voir paris à l'écran, l'histoire est bidon et même si gad relève le niveau comique du film on reste déçu. Après on aime le style woody allen ou pas moi, j'en aime certain mais celui-la j'ai detesté.

« Midnight in Paris » est filmé par un américain bobo, un amoureux de Paris, mais bobo. Peu importe, Woody Allen filme Paris comme il le ressent. D’aucuns diront que c’est niais, carte postale, d’autres diront qu’il a su magnifier Paris. Certes, les réalisateurs de Luc Besson filmeront Paris d’une autre façon. On sait bien que ce n’est pas que ça, Paris, mais c’est ça aussi ! Peu importe, libre à chacun de filmer la capitale française à sa façon. Woody Allen a choisi un angle précis. Voilà bien longtemps que je n’avais pas apprécié un film de Woody Allen, en ce qui me concerne. Depuis son « Match Point ». Le reproche que l’on peut faire, c’est un catalogue de célébrités qui défilent sous les yeux de Owen Wilson. En effet, à chacune de ses rencontres, il faut décliner son identité. Et ça devient vite redondant. Mais à travers ce récit, c’est un hommage à Paris et aux artistes qui ont fréquenté Paris. Et des artistes qui comptent dans le patrimoine mondial culturel. Ce n’était pas un Paris nombriliste, mais un Paris international, multiculturel, un Paris qui a influencé, attiré les grandes têtes pensantes du monde des arts. On les suit sur les pas d’Owen Wilson. Il y a une part de nostalgie, mais une douce nostalgie, celle qui vous permet de ne pas vous ancrer coûte que coûte dans la mélancolie. Et du reste Owen Wilson le comprendra. Je rends hommage à ce dernier et me pose la question suivante jusqu’à quel point n’est-il pas l’alter ego de Woody Allen tant par moments, j’ai cru entendre Woody Allen. Imitation ? Direction d’acteur ? Owen Wlson me semble être le bon interprète de Woody Allen, pour traduire ses sentiments, ses angoisses, ses états d’âme. Il me semble qu’il est l’ambassadeur du réalisateur. « Midnight in Paris » est un film charmant, poétique et comment ne pouvait-il ne pas l’être avec ces rencontres d’artistes prestigieux ; qui a influencé qui ? Paris ou les artistes ? Je dirais les artistes. La preuve, Paris a influencé Woody Allen.

Du grand grand Woody Allen !!! Excellentissime !!
Une belle morale sur l'amour.
On se laisse emporter tout le long du film à travers Paris et ses ambiances mais aussi à travers les différentes époques traversées !!
Les acteurs sont superbes !!
Owen Wilson est juste Énorme dans ce film !!!

A voir, revoir & revoir !!!

Un film publicitaire pour notre belle ville qui ne prend jamais vraiment. Tout sonne faux malgré l'intention louable de rendre hommage, dommage. :o

C’est l’histoire d’amour d’un homme pour une ville sublimée par la mise en scène discrète de Woody Allen.

Réalisateur atypique et réaliste, Woody Allen nous offre avec son Midnight in Paris une douce chronique poétique d’un homme amoureux de la belle ville de Paris. Prenant un plaisir évident à filmer la capitale française, Allen lui donne tout son charme grâce à sa mise en scène simple et discrète, jouant sur les couleurs et l’ambiance il permet également à chaque détail de son décor d’être révélé. La pénombre se fait lumière et la pluie de la scène finale devient romantique, c’est avec cette justesse incroyablement fantastique que Woody Allen s’amuse à faire basculer son scénario dans le fantasme le plus total.

S’armant d’un casting de choix, Midnight in Paris est mené par un Owen Wilson loin de son rôle vulgaire et pas drôle de « Bon à tirer », il devient ici un homme attachant et rêveur. Marion Cotillard profite de sa carrière US et choisit visiblement très bien ses rôles, ici elle demeure fraîche et attachante. Rachel McAdams s’illustre parfaitement en futur épouse superficielle et matérialiste, insensible à la subtilité parfois irréaliste de son futur mari, Kathy Bates apporte également un semblant de classe grâce à un rôle à la fois drôle et tendre. Pour finir la jeune Léa Seydoux illumine l’écran par son naturel.

Midnight in Paris est une œuvre tendre et sincère, une ode à la capitale française et un rêve éveillé pour le spectateur qui sans nul doute prendra plaisir à arpenter les rues aux côtés d’Owen Wilson.

Magnifique ! C'est mon tout premier Woody Allen et je découvre agréablement ce réalisateur ! Le film est complètement surréaliste et le coté carte postale peut en énerver plus d'un mais absolument pas moi ! C'est tout simplement une déclaration d'amour à Paris et tout les charmes que cette ville peut accueillir avec son histoire. Beau, réfléchit et très bien réalisé ce film est un moment tout simplement merveilleux à passer !

Après Amélie Poulain, voilà un nouveau film qui invite à une promenade dans le Paris enchanteur. Deux fiancés américains sont en voyage dans la ville-Lumière, sous le charme de laquelle est tombé le jeune homme, qui a encore le choix entre la vie d’artiste à laquelle il aspire et une vie confortable de scénariste pour des productions commerciales à Hollywood. Ce doux rêveur aurait aimé vivre dans le Paris des années 1920, afin de connaître la vie intellectuelle foisonnante de cette époque. Or, Paris pourrait être apte à répondre à ses attentes…
La critique complète : http://brevesculturelles.wordpress.com/2011/06/12/midnight-in-paris-humour-poetique/

Woody Allen choisit Owen Wilson (un choix qui pourrait -très justement- surprendre) pour être l’interprète principal de son film de l’année intitulé "Minuit à Paris". Car oui, Woody Allen est de ces réalisateurs à la régularité terrifiante qui peuvent sortir un film par an. Et si ses précédentes mises en scène avaient énormément déçues, ce cru 2011 s’annonçait différent ou tout du moins plus inspiré. Gil est un jeune écrivain américain fasciné par la ville lumière et toutes ses idoles qui y ont vécu. Ce n’est pas le cas de sa femme terre-à-terre qui préfère sans cesse donner raison à ses parents envahissants plutôt qu’à son mari. Plongé dans cet univers très hostile et peu propice à la réflexion, Gil aime se promener sur les bords de la Seine et au fil de ses nuits parisienne l’impensable se produit, il tombe nez-à-nez avec Fitzgerald, Hemingway, Dali, … comme s’ils n’avaient jamais disparus. Cette fable poétique à tous rappelle que la nostalgie des glorieuses années passées occupera en tout temps les pensées des générations mais que le présent vaut seulement s’il est vécu à fond.

♡À Paris est très belle. ♡À Paris bravo!!♡J'adore à Paris. ♡viva la France ♡パリに行きたい。パリに住みたい。パリ大好き。

Eloge à la nostalgie: ne peut être enviable que ce qui est passé, on échappe à la démarche proustienne par un saut dans le fantastique on pouvait craindre le pire, on a Lachance de frôler la grâce de "la rose pourpre du Caire" .Conte esthétique et formel ou Paris est magnifié: mais on marche. les héros américains Parisiens adoptés sont certes justes des silhouettes mais" les Woodialeneries " sont plus supportables que dans d'autres films précédents le choix de l'acteur à la fois "ravi" de la crèche et sympathique y est pour beaucoup Très belles images ce qui n'est pas toujours le cas chez lui.

Je n'aimais pas le genre avant de visionner le film, je n'aime toujours pas.
On a le droit à une succession de clichés plus lourds les uns que les autres et puis la niaiserie sentimentale vue et revue ça perd vraiment de son intérêt (même si le personnage joué par Wilson est intéressant).
Toutefois cela reste du Allen et donc d'un point de vue technique c'est du bon (mise en scène, photo...).
De plus, j'ai trouvé Owen Wilson, sans qui je n'aurai probablement pas été au bout du film, assez convainquant.
Ce film plaira à ceux qui aiment les histoires à l'eau de rose ainsi qu'aux amoureux de Paris.

Quelle accumulation de clichés ! Si Monsieur Allen arrive quelque peu à faire ressortir le Paris des années 20, trop d'éléments viennent gâcher ce côté magique. Des personnages qui déboulent dans le film pour énoncer leurs noms, avec un rôle des plus réduits, une accumulation d'acteurs, surement pour faire mieux sur l'affiche... Et que dire du jeu d'acteur ? Je n'ai jamais pensé qu'Owen était un bon acteur. Mais j'en attendais plus de Rachel MacAdams, qui se retrouve dans un rôle de femme riche, superficielle et hystérique. J'ai été mal à l'aise plusieurs fois, ce qui est rare et me suis beaucoup ennuyé. Mais comme c'est un Woody Allen, apparemment tout devrait lui être pardonné...

Après Londres et Barcelone c’est à Paris que Woody Allen s’installe, mais loin de l’ambiance thriller de « Match Point » ou de folie sensuelle de « Vicky Christina Barcelona » le réalisateur nous offre une gentille comédie bien inoffensive où se rencontrent quasiment tous les clichés sur Paris que les Américains ont en tête. Pour s’en convaincre il n’y a qu’à voir les trois minutes de plans sur Paris qui ouvrent le film dont on dirait qu’ils sont une exigence de l’office du tourisme parisien. L’histoire en elle-même est rien sinon charmante : un écrivain dans le doute sur son travail et en vacances avec sa fiancée à Paris se retrouve tous les soirs dans le Paris des années vingt où il aurait rêvé de vivre et fait la rencontre de grands artistes comme Hemingway, Picasso, Bunuel, ainsi que d’une jeune femme qui, elle, aurait rêvé de vivre dans le Paris de la belle époque. L’intrigue en soi n’est pas très profonde et n’est d’ailleurs pas très rythmée, mais elle met en valeur le véritable protagoniste de film à savoir Paris. Un Paris fantasmé dans son présent et nostalgique de son passé tel que les Américains un peu férus de culture francophone se le représentent. On pourrait dire que Woody Allen fait un film sur Paris qui serait le pendant yankee du film de Genet « Amélie Poulain » tend on est loin de la réalité de la ville telle que la vivent la majorité de ses habitants. Malgré cet aspect très carte postale on se laisse finalement porter par ce film et les tribulations d’Owen Wilson dont on se plait à accompagner les découvertes dans ce Paris idéalisé. Loin d’être le plus mémorable des Woody Allen.