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    Les Amours Imaginaires
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    363 critiques spectateurs

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    willyzacc
    willyzacc

    76 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 juillet 2014
    Réalisation impeccable, scénario pas dénué d’intérêt et acteurs tous excellents. Un gros film d'étudiant, avec de nombreuses séquences esthétisantes : ralentis, filtres de couleurs... Le film fourmille d'idées et l'on ne s'ennuie pas, la touche de Dolan apporte un plus à ce film que seul lui pouvait réaliser. La vraie force de ce film est bien-sur la B.O (pop, chanson française, classique..), parfaite de bout en bout qui apporte beaucoup aux images. Malgré ces nombreux points positifs je n'ai pas été transporté par cet univers qui me touche que très peu (contrairement au film précédent bien mieux scénarisé je trouve). Hâte de voir la suite de la carrière de ce jeune "prodige" Québécois.
    T-Tiff
    T-Tiff

    76 abonnés 1 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 octobre 2020
    "Les amours imaginaires" est le deuxième film de Xavier Dolan, pour qui nous n'avons pas la fascination démesurée de certains critiques, nous avons toutefois été séduits par ce long-métrage. Le film installe peut-être trop rapidement la relation entre les trois personnages principaux, deux amis qui tombent amoureux de la même personne. Néanmoins, les prestations du trio d'acteurs, et notamment Monia Chokri, sont excellentes et rendent ces amours imaginaires particulièrement crédibles. Le montage ainsi que le choix de la bande originale, allant de Bach à Indochine, sont réalisés à la perfection, confirmant le talent du jeune cinéaste dans ces domaines. Les séquences montrant des personnes évoquant leurs propres amours ne semblaient cependant pas nécessaires. "Les amours imaginaires" est un film sur l'adolescence dont les imperfections s'évanouissent presque grâce à la fabuleuse orchestration de Xavier Dolan.
    nikolazh
    nikolazh

    55 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 octobre 2010
    Assez drôle et original dans son écriture et de part ses personnages, le film se laisse regarder mais manque de consistance (la faute à une absence de réel scénario)... reste un film léger mais de qualité, ponctué de bonnes trouvailles mais aussi de pas mal de répétitions.
    Jahro
    Jahro

    48 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 août 2019
    C’est le deuxième long-métrage de Xavier Dolan, qui n’a alors que vingt-et-un ans, et déjà une maîtrise technique prodigieuse. L’intrigue manque encore de maturité, et sa surcharge d’effets de style symboliques ne masque en rien le pitch très basique : un triangle ado, où s’opposent deux amis d’enfance pour un ange solitaire. Les amours imaginaires, ce sont ces idylles fantasmées, qu’aucun lien ne pourra freiner. L’Apollon de l’histoire, celui qui chavire les cœurs d’un simple regard, est le même que sa propre statue, factice, asexué mais surtout fascinant. Avec ses grandes boucles blondes et son sourire lointain, Niels Schneider prolonge son rôle de J’ai tué ma mère en s’approchant du Tadzio de Mort à Venise. La référence pourrait être voulue, tant le jeune cinéaste empile ici les clins d’œil à sa profession. Mais il a indubitablement sa propre patte. Caméra au poing, il serre ses cadrages, voile sa lumière, filtre ses couleurs, insiste sur les ralentis. Il s’amuse aussi à jouer de la musique, soignée, originale et souvent bien trouvée, comme dans ce vieux hit yéyé qui surligne les espoirs d’attirance et les séductions vaines. Rempli de trouvailles graphiques, de choix audacieux, l’essai ne vole pas son César et son prix Regard jeune à la grand-messe cannoise. C’est vrai, on pourra regretter les maladresses, nombreuses, et la relative vacuité du propos central. Il n’en reste pas moins que c’est un film frais, qui invite à plus qu’entrevoir ce que cette carrière à l’aube a de promesses en elle. Les multiples hommages qui teinteront les années à suivre semblent le confirmer. Ce petit homme a tout pour devenir grand.
    iamameloche
    iamameloche

    23 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 septembre 2016
    L'histoire a énormément de potentiel émotionnel : deux meilleurs amis (fille et garçon) tombant amoureux du même éphèbe... Mais comme souvent dans les films de Xavier Dolan (que j'adore par ailleurs), le rythme est extrêmement lent... Alors qu'on aspire à vivre quelque chose d'émotionnellement très fort, violent même (comme dans Mommy par exemple), on se retrouve dans une suite de scène édulcorées, aseptisées... Bref sans saveur...
    Juste un point bonus pour la BO, encore une fois remplie de petites pépites.
    Sosof l
    Sosof l

    19 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2020
    Enfin je vois un Dolan! Le thème est fouillé, le style sophistiqué, la photo impeccable... un film sur "se faire des films". J ai pris mon pied...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 octobre 2010
    Sur une trame bien rebattue, Xavier Dolan (bon sang ce mec n'a que 21 ans !) en fuyant la technologie tant qu'il peut et en insérant des commentaires hilarants (la fille à lunettes noires est tout bonnement épatante) par des jeunes adultes sur les relations humaines. Tout tourne autour du sexe, inévitablement. Mais Dolan, fan de Wong Kar Wai et de Woody Allen, sait imposer un style tout en nuances et en érotisme (les relations éphémères qu'entretiennent Marie et Francis, tous deux rêveurs du beau Nicolas), des ralentis émouvants sur des chansons qui reflètent parfaitement leurs sentiments, et des scènes d'une cruauté sentimentale inattendue (la mise à jour des sentiments pour Nicolas, qui s'en moque éperdument). Le trio d'acteurs est parfait : Dolan lui-même, beau petit gars émule de James Dean ; la délicieuse Monia Chokri, sa beauté classique et radieuse bien mise en valeur dans ses robes vintage, et le filou Nils Schneider, dont la ressemble avec Louis Garrel est étonnante. Ajoutons à cela la toujours parfaite Anne Dorval, qui incarnait la mère dans le précédent film de Dolan (et inoubliable Criquette dans la fameuse parodie des soaps US Le Coeur a ses Raisons), et nous voilà devant un un petit bijou impertinent, cruel mais pas trop, qui rafraîchit nos esprits et nous donne du baume au coeur. Rien de réellement neuf certes, mais que du bon !
    Joe75
    Joe75

    28 abonnés 312 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 décembre 2012
    Ce qu’il y a quand même de bluffant dans ce film, c’est que le réalisateur, Xavier Dolan, qui joue aussi le rôle de Francis, sorte de petit James Dean brun à la mèche savamment crantée, véritable pub vivante pour stu-stu-studio line, et bien il n’a que 21 ans ! Il est tombé dans la marmite du ciné quand il était petit, Papa artiste, pub télé à 6 ans, courts métrages, premier film en 1997, etc., etc. et l’an dernier réalisateur de « J’ai tué ma mère » à 20 ans.

    Xavier donc, qu’on déteste ou qu’on admire pour son génie précoce; il arrive à sortir un film qui est à la fois d’une maturité et d’un modernisme étonnants sur l’éternel thème si souvent visité depuis Jules et Jim : Le trio amoureux, ses affres et dommages collatéraux, si ce n’est qu’ici l’objet de tous les tourments ce n’est plus Jeanne Moreau mais un jeune éphèbe blond à la beauté troublante d’un véritable Apollon grec.

    Je précise toutefois qu’il s’agit d’une production MK2, vue au Mk2, avec un public très … MK2, qui ne fait pas de K2 ou de Kdo, certains sont mêmes sortis de la salle après la première ½ heure : Donc ça ne va pas plaire à tout le monde ! Et comme j’aime bien laisser traîner mes oreilles au milieu de la cohue de sortie de salle, là encore les avis étaient très partagés…Donc voici le mien, qui vaut ce qui vaut, je vous aurai prévenus.

    Donc oui j’ai beaucoup aimé et sans pouvoir l’expliquer, et pour les mêmes raisons que certains détesteront, en voici quelques-unes.

    1° Déjà le film est canadien, et il a la bonne idée d’être persillé par de brèves interviews de jeunes qui racontent leurs déboires amoureux avec un accent du Québec, tellement prononcé que le sous-titrage s’impose. C’est super drôle, en particulier la demoiselle à lunettes qui nous fait un véritable one-woman show comique.

    2° Il est avant tout esthétique, et si on lit le générique de fin, on s’aperçoit que Xavier Dolan il a mis sa patte un peu partout : Les costumes, la musique, le scénario… Artiste complet qui veut tout maîtriser : De la couleur tangerine d’un pull que tout autre penserait orange aux ralentis colorés qui subliment la chute de reins ou le port de nuque perlé de Monia Chokri, qui affiche dans ce film un goût prononcé pour le style vestimentaire des années 50-60 vintage.

    3° Ces nombreux ralentis permettent de mettre en exergue la magnifique bande son, et perso, réécouter Dalida chanter Bang bang en italien avec une voix cristalline, et bien ça me fait capoter, je trippe, je trouve ça full hot (comme ils disent là-bas !).

    4° Non…j’ai assez fait mon pépère, allez-le reluquer, et dites-moi s’il vous a planté en plein face, donné le mal de bloc, si vous l’avez trouvé cossin, si vous avez sacré votre camp avant la fin, si vous avez eu le piton collé…Okidou ?
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    32 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2021
    On aime X.Dolan pour sa manière brute à exprimer des sentiments, on peut détester X.Dolan pour ses effets excessifs, et on peut aussi aimer détester X.Dolan en rejetant ses films par sa formalité tout en y ayant néanmoins ressenti quelque chose en le voyant. "Les Amours Imaginaires", deuxième film du jeune réalisateur est à la fois tout ça. Les sentiments y sont toujours exacerbés, d'une scène à l'autre agacent puis touchent en plein coeur. Si les maladresses du réalisateur sont fréquentes, elles n'en rendent pas moins le film intriguant et touchant, et forment un tout mal ficelé mais plein de sensibilité, mêlé d'une vraie envie de cinéma et de références. La marque d'un réalisateur controversé mais constant dans la pureté complexe de l'expression des sentiments.
    Fbienne D
    Fbienne D

    14 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 octobre 2010
    Drôle de film. Une esthétique plutôt glacée, même dans les moments érotiques, genre pub de luxe avec de faux airs de JP Gaultier. Des nuques insistantes à la Gus Van Sant, des allusions à Jules et Jim, à Théorème et à Chistophe Honoré. Le meilleur : de petits témoignages sur les déboires amoureux, en aparté, avec un langage canadien qui chante comme une poésie.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 877 abonnés 3 961 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2010
    je l'attendais beaucoup et la première heure j'ai juste adoré, pourtant c'est ce que je peux détester : ralentis, filtres, musique niaise, mais le tout mis en ensemble donne quelque chose d'absolument hallucinant, c'est vraiment génial, ces corps qui se meuvent au ralenti à la quête de l'amour (imaginaire), c'est drôle, pas émouvant je dirai, mais c'est un film qui a un effet envoûtant, vraiment captivant, on regarde ces corps en contemplation pure et c'est là que le film est le meilleur, même s'il y a un côté un peu pédant j'ai l'impression avec ces zooms durant les interviews (mais quelles interviews !). Bref c'est vraiment pas mal, même si la seconde partie est plus conventionnelle et diablement moins intéressante.
    ffred
    ffred

    1 554 abonnés 3 984 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2010
    J'avais raté J'ai tué ma mère il y a un an du même Xavier Dolan. Celui-ci n'était donc pas à rater non plus, la bonne rumeur depuis Cannes faisait aussi très envie. La bande-annonce, magnifique, annonçait un film très stylisé à la A single man ou Amore. De ce côté là on est gâté. Le film est une merveille pour les yeux et pour les oreilles. Certes beaucoup de ralentis, des images et des couleurs magnifiques, et, avec la bande-son très sympa, on croirait presque à un remake québécois de In the mood for love. Mais le film a son identité propre. Xavier Dolan à toutes les commandes (acteur, réalisateur, producteur, scénariste, monteur, costumier) fait preuve d'une vraie originalité et impose sa marque. Cela donne encore plus envie de voir son premier film et d'attendre le suivant. Sur le fond, on est touché par l'histoire. Soit que l'on a vraiment vécu ce qui arrive aux protagonistes, soit que l'on s'identifie aux intervenants qui ponctuent le récit avec leurs récits de désillusions amoureuses. Pour ma part, les deux m'ont touché pour avoir vécu les deux. Le film porte vraiment bien son nom. Ses amours imaginaires sont certes, peut être plus le fait d'un certain âge, mais ils nous replongent (avec nostalgie ?) dans une époque pas si lointaine. Dolan filme ses acteurs avec une grande sensualité, tous ces beaux garçons sont superbement mis en valeur (tous très beaux) lui y compris. Sa prestation est très belle. Niels Schneider est très juste, personnage ambigu dont on ne sait jamais vraiment s'il est naïf, manipulateur ou sincère. Monia Chokri est aussi parfaite, elle porte à merveille les tenues des années 50 et aurait pu être une bonne copine de la Charley de A single man ou de la Laura Brown de The hours (tiens deux rôles de Julianne Moore...). Petite apparition de Louis Garrel, sosie brun du jeune ange blond, qui fait penser que l'histoire risque de se répéter encore et encore...Le triangle amoureux, mille fois vu au cinéma, prend ici un coup de jeune, même si le tout reste assez léger, il peut nous parler et remuer quelques sentiments passés ou présents. Si la forme l'emporte sur le fond, on sort tout de même charmé, voir envouté par ce très beau film. Un metteur en scène et des acteurs à suivre. Un joli et excellent moment.
    7eme critique
    7eme critique

    485 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2017
    Le cinéma de Xavier Dolan a tendance à être catalogué de "so gay", et à juste titre, sans pour autant être réducteur, car ses films ne cessent de mettre en avant l'amour, et plus précisément l'homosexualité (en tout cas jusqu'à aujourd'hui). Ce thème qui lui tient à cœur en deviendra donc agaçant sur la longue, du moins pour quiconque souhaitant s'attaquer à sa filmographie complète. Cette surdose sentimentale et homosexuelle n'en serait pas loin de devenir écœurante sous ce manque de subtilités, et plus particulièrement lorsque le cinéaste (tête à claque) revêt la casquette du premier rôle, comme ici. "Les amours imaginaires" n'aura rien de surprenant dans son scénario de compétition amoureuse entre hétérosexualité et homosexualité, et se fera avant tout remarquer par sa réalisation. Et en effet, on ne pourra pas reprocher au cinéaste une absence de style dans ses mises en scène, contrairement à la redondance de ses sujets, tournant toujours autour du même pot, de près ou de loin, comme s'il était obnubilé par sa sexualité et qu'il cherchait à la justifier en permanence, avec ce besoin récurent de la mettre en avant dans ses films, dérivant presque sur un aspect thérapeutique. "Les amours imaginaires", qui est le deuxième film de Xavier Dolan, reflète donc déjà bien son style, que ce soit sur le fond ou sur la forme (ce jeu élégant avec la lumière, les ralentis ou encore les zooms), mais sera encore loin de trouver le charme et la puissance de certains de ses futurs long-métrages (comme "Mommy" ou "Juste la fin du monde" par exemple).
    Hastur64
    Hastur64

    203 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2013
    Avec « Les amours imaginaires » Xavier Dolan en été à sa deuxième sélection au festival de Cannes et était précédé d’une flatteuse réputation, c’est donc avec un certain enthousiasme que je me suis mis devant ce film. Pour son deuxième film le réalisateur-scénariste-comédien nous place dans le paradigme millénaire du deux garçons/une fille, mais – XXIème siècle oblige- les deux garçons ne courent pas après la fille, mais c’est un des deux mâles qui se retrouve face au désir amoureux des deux autres. On assiste alors à la lutte feutrée de nos deux prétendants devant les yeux d’un bellâtre un brin manipulateur. L’action est interrompue par des monologues d’étranger sur l’amour et les relations conflictuelles qu’il génère tant dans sa naissance que dans sa conclusion. L’histoire si elle reste plutôt commune, bénéficie d’une inventivité dans l’esthétique de la mise en scène très colorée et pourvue d’une bande son qui ajoute à cette atmosphère esthétisante. Si je n’ai pas été transcendé par le film j’avoue avoir pris beaucoup de plaisir à regarder cette lutte vaine entre deux amis sur fond de musique et de photo très colorée. Un petit film plein d’un maniérisme délicat et joyeux qui se laisse voir avec beaucoup de tendresse. À voir pour découvrir un cinéma frais et élégant.
    Cinephille
    Cinephille

    139 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2010
    Ayant été littéralement scotchée l'an dernier par J'ai tué ma mère, c'est avec une certaine appréhension que j'attendais le 2e film de Xavier Dolan, d'autant plus que la bande-annonce me paraissait bien chichiteuse. Et malheureusement mes craintes étaient fondées. Si ce deuxième film n'est pas indigne et aurait pu constituer un très honorable premier film, il n'arrive pas aux chevilles de J'ai tué ma mère. Dolan s'est éclaté comme un petit fou avec les costumes et les couleurs. Il manie le ralenti et les changements de focale pendant une heure et demie, par moments de façon amusante ou esthétique, trop souvent de façon vaine et agaçante. Les personnages de Marie et Francis sont attachants comme le sont des grands ados à l'étroit dans leur peau. Mais tout ça reste assez superficiel et trop chochotte. En résumé J'ai tué ma mère entaillait la chair jusqu'à l'os, alors que les Amours imaginaires habillent la chair de jolis oripeaux, ne montrant jamais l'os.
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