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    Elephant Man
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    675 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 décembre 2009
    Enorme ce film. javé bien aimé herased , mé la David L ns a fai un film magnifique, pr son histoir belle est triste a la foi. j'ai encor du mal a regardé la scene ou le gardien acompagné de ses amies va voir john M dans sa chambre, cet scene c pour moi la perfection du film car on se sen bléssé oci. j'ai oci bokou aimé la performance de A Hopkins (kom dab ^^ ) voila c tout je vou le recomande absolument
    Samuel S.
    Samuel S.

    11 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2013
    Un pur chef d’œuvre bouleversant, qui m'a marqué à jamais. Du grand cinéma. A voir impérativement !!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 septembre 2012
    Dans mon souvenir trés spécial mais ça marque plus à certains âges et à l époque je devais être ado et déjà l existence d Éléphant Man me déstabilisait et m émouvait .
    JustinINSTA
    JustinINSTA

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 février 2023
    le film est bien, et montre bien l'horreur que les gens peuvent donner aux personnes Particulieres. Même si le film montre l'atrocité dans le monde, je le trouve un peu trop long et un peu dure a comprendre au tout début.
    Sébastien
    Sébastien

    17 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 décembre 2021
    Comme un éloge de l’ambiguïté, ce mélo déchirant rappelle au spectateur qu’il est d’abord un voyeur.

    Atteint de graves difformités physiques, John Merrick est l’attraction d’un cirque anglais à la fin du XIXème siècle. Un chirurgien intéressé par ces malformations et touché par son sort l’achète à son geôlier. Le médecin comprend que ce monstre est un homme meurtri, intelligent, sensible.

    Quelle déviance nous amène à jouir du spectacle de la souffrance, celle des animaux comme celle des hommes quand ils sont différents ? Elephant Man montre la déshumanisation à l’œuvre. Celle qui autorise, pour le plaisir, à traiter un homme aussi cruellement qu’un animal, qu’un éléphant par exemple.

    Violée par des éléphants ?

    David Lynch joue avec les sentiments du spectateur, tout en ambiguïté. Qu’avons-nous à voir avec les voyeurs sadiques de ces temps anciens, dans ce film en noir et blanc ? Nous, spectateurs modernes, qui regardons cette fiction les larmes aux yeux ? Nous nous apitoyons sur la souffrance de John Merrick. Lynch prend plus d’une demi-heure pour nous le dévoiler à nous spectateur qu’une malsaine curiosité agite.

    Dès les premiers plans, Lynch nous entraîne dans ses hantises. La première scène du film est déroutante. Qu’arrive-t-il à la mère de Merrick ? Le montage est saccadé. Est-ce un rêve, est-elle bousculée, ou même violée par des éléphants ? S’agit-il du cauchemar de Merrick, d’une « explication » inconsciente de sa monstruosité formulée par l’imaginaire de Merrick ?

    Au bout de cette cruauté, nait la beauté, la morale du film. Des quelques moments de grâce où Merrick échappe à la bêtise de ses semblables, où l’humain, exceptionnellement, laisse parler son cœur.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 décembre 2011
    Un chef-d'oeuvre, un film qui me marquera pour la vie.
    bladgik
    bladgik

    82 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mars 2021
    Un film marquant poignant sur les différences et la cruauté humaine . Heureusement il y a le personnage de Anthony Hopkins pour sauver le pauvre Homme éléphant. Ce personnage est si attachant je ne peux que avoir de l'empathie. Certaines scènes sont bouleversantes et notamment le dénouement .
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 660 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2013
    J'ai vu un film... qui porte un message d'un espoir fou à travers une maîtrise parfaite de la caméra, du cadrage et de la lumière... Les comédiens sont somptueux et réussissent à faire passer des émotions fortes, qui font place à des valeurs humaines fortes comme la solidarité, l'amitié, l'engagement. Le film traite avec beaucoup de subtilité et de tact la vie de ce personnage difforme, à la vie déchirée. Il faut souligner la performance de John Hurt qui réussit, malgré un maquillage invasif, à faire passer des émotions à travers de ses mouvements et de ses postures. Il s'agit d'un chef-doeuvre absolu, car on sent les intentions créatives à chaque plan. Ce film laisse une trace forte car une fois celui-ci terminé on est pris par des bouffées d'émotions, et des réminiscences qui nous gagnent. On fait dans ce film, et le parallèle est intéressant, le lien avec "Freaks" de Tod Browning, où l'on retrouve cette population de phénomènes de foire, obligés de s'entraider pour échapper au monde de la "normalité". Anthony Hopkins livre une prestation impeccable et permet de réhabiliter le monde des gens "normaux". Un très beau film...
    elisa2102
    elisa2102

    127 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 avril 2012
    A Londres, un jeune chirurgien, le docteur Frederick Treves (Anthony Hopkins), trouve dans une fête foraine dont il est l'attraction, un jeune homme monstrueusement déformé. Il l'examine, l'emmène avec lui et découvre qu'il a en face de lui un être timide et craintif mais sensible, qui sait penser et parler, qui aime lire et discuter et crée des oeuvres d'art sur papier de sa main gauche restée intacte. Elephant man est basé sur l'histoire véridique de Joseph Carey Merrick, né en 1862 à Leicester et souffrant d'une forme aïgue de neurofibromatose, une maladie caractérisée par des tumeurs cutanées et des lésions osseuses. Frederick Treves le découvrit en 1884 dans une baraque foraine. En 1923, le médecin fit paraître ses mémoires "The elephant man and other Reminiscences" lesquelles, avec le livre "The Elephant Man : A study in human dignity" d'Ashley Montagu ont servi de modèle au film. C'est avec une profonde sensibilité que le réalisateur David Lynch nous montre cet être atrocement déformé. Durant les premières trentes minutes, nous ne voyons que les réactions de ceux qui sont en face de Merrick, ainsi, lorsque nous apercevons enfin son visage, nous connaissons déjà sa personnalité attachante et il ne nous effraie plus. Comme l'a dit David Lynch : "Il s'agissait de familiariser le public avec le monstre, afin que le monstre puisse disparaître et l'homme apparaître". Néanmoins, le martyre du pauvre homme ne touche pas à sa fin quand Treves l'emmène avec lui, puisqu'il est enfermé à l'hôpital où il devra satisfaire la curiosité des savants de la société de pathologie qui le considèrent comme un bel objet d'études, ainsi que la curiosité des membres de la haute société londonnienne qui trouvent chic d'aller de temps en temps prendre le thé avec le "monstre", sans oublier enfin la curiosité des prostituées et des ivrognes que le surveillant de l'hôpital laisse entrer afin qu'ils puissent le contempler aux aussi. Elephant man a un aspect particulièrement "historique" : les zones d'ombre et de lumière sont extrêmement prononcées, la lumière est douce, et souvent les arrières plans disparaissent dans un espace lumineux et diffus. Ceci est l'oeuvre du chef opérateur Freddie Francis (1917-2007). Les effets sonores renforcent l'étrangeté de l'ensemble. Elephant man est un pur chef d'oeuvre original et bouleversant, aussi émouvant sur le plan émotionnel qu'admirable sur le plan de la composition et de l'esthétique, il jette un regard sans concession sur l'angleterre victorienne, il valut à Lynch la reconnaissance internationale et ce fut paradoxalement la révélation, dans le rôle de John Merrick, du comédien John Hurt, méconnaissable sous le amquillage hallucinant créé par Christopher Tucker. Il livre une interprétation magnifique car il communique magistralement des émotions profondes alors qu'il est gêné par l'impossibilité d'utiliser son visage ou même beaucoup de sa voix. Si l'on excepte des séquences de visions au début et à la fin ainsi que les scènes de cauchemar au milieu, le film est raconté de manière naturaliste et fait revivre en images pleines d'ambiance le Londres des années 1880. Le chef opérateur et directeur de la photographie Freddie Francis, les costumiers et ensembliers (tous nominés pour un oscar) ont créé une oeuvre hors du commun. Dans ce film, nominé pour 8 oscars mais qui n'en obtint aucun, Lynch rend hommage à deux grandes oeuvres apparentées sur le plan thématique : Merrick habite dans un clocher comme Quasimodo (The hunback of Notre Dame, 1939) de William Dieterle; une scène où d'autres "monstres de foire" libèrent Merrick enfermé dans sa cage fait allusion à Freaks (La monstrueuse parade, 1932), le grand classique de Tod Browning. Ce film m'a énormément touché, il est incontestablement à découvrir. Le moment le plus marquant du film reste sans doute celui où John Merrick s'exprime devant la foule qui le poursuit en disant : "Je ne suis pas un animal ! Je suis un être humain ! Je suis un homme !"
    benoitparis
    benoitparis

    94 abonnés 1 277 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2012
    Le type même de films qu’on ne se lasse pas de revoir. C’est comme si l’on assistait à une œuvre à deux niveaux. Au premier degré à un drame terriblement poignant, et plus souterrainement à une réflexion prodigieusement profonde et complexe sur la nature de la monstruosité, et ses rapports avec la représentation, le spectacle, et aussi avec l’ambivalence fondamentale des choses (du bien et du mal en premier lieu). « Elephant Man » est un des films les plus traditionnels et référencié de son auteur. On y trouve une claire inspiration par « Freaks » de Tod Browning, le décors est celui assez habituel au cinéma fantastique de l’Angleterre victorienne de la Révolution industrielle, avec sa misère urbaine et la présence sourdement angoissante du machinisme. On est loin des labyrinthes mentaux, de la bizarrerie systématique de ses derniers films. Lynch parvient tout de même à subvertir la forme imposée et à distiller, par la seule beauté des images, le rythme des séquences, la bande son, un sentiment de décalage dans la banalité, une inquiétante étrangeté, qui se superpose à l’émotion mélodramatique. C’est décidément un grand maître.
    vinetodelveccio
    vinetodelveccio

    52 abonnés 802 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2012
    Lynch fait le pari de faire du cinéma des années 40 avec une histoire poignante inspirée de faits réels. Le propos est romancé et un brin naïf, et utilise parfois des ficelles dramatiques un peu grosses. Malgré tout, le réalisateur gagne son pari et fait de cette histoire un conte magnifique. La mise en scène est épuré et reste très pudique. Le film est un peu long cependant et aurait gagné à moins de pathos.
    cinono1
    cinono1

    253 abonnés 1 981 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2014
    " Avez-vous idée des souffrances qu'a pu subir cet homme ?- non, je ne pense pas..." Dans un magnifique écrin noir et blanc, la mise en scène étrangement classique de David Lynch nous raconte l'histoire vrai de John Merrick, un homme né avec d'atroces difformations. Cela se regarde comme un terrible réquisitoire de la cruauté que l'homme peut infliger à l'homme quand celui-ci s'éloigne de la norme (John Merrick y possède une grandeur d'âme) ainsi qu'une dénonciation du voyeurisme qui conduit au jugement condescendant.
    maxime ...
    maxime ...

    195 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juillet 2015
    Après Mulholland Drive, Blue Velvet et Lost Highway ( la première saison de Twin Peaks ) Elephant Man est ma quatrième excursion dans l'univers de son auteur, le très grand David Lynch. Au premier abord la morale peut semblé quelques peu facile mais en fin de compte le sujet est encore d'actualité, les choses n'ont pas tant que cela bougé et l'apparence physique prime bien plus que la bonté intérieure, ce que je dis peut paraître un peu naïf, certes, mais malheureusement c'est le constat que je fais ... Pour en revenir à ce long métrage, il y'a bien longtemps que je n'ai pas été ému aux larmes comme ce fut le cas ici ! Pourtant Lynch n'en fait pas des caisses, au contraire le fond est sobre, on ne tombe pas dans les simagrées le tout est plein de justesse et la sensibilité n'en est qu'accrut. Les comédiens sont hors pairs, en premier lieu Anthony Hopkins et John Hurt qui trouvent tout deux des rôles phares dans leurs carrières respective. Les seconds couteaux sont géniaux également que ce soit John Gielgud, Anne Bancroft, Wendy Hiller, Freddie Jones, Dexter Fletcher, Kenny Baker ... Chacun contribue à la réussite de ce long métrage, loin d’être dépourvu de rimes, à l'atmosphère si particulière et dont l’envoûtement ne m'a pas quitté durant les deux heures du film. Des séquences fortes en intensité, parfois insoutenable tant la cruauté qui est réservé à John Merrick est abominable, le summum étant lorsque Bytes l'enferme dans la cage avec les singes. Le final est poignant, spoiler: les derniers instants et joies de John avant que celui-ci ne décide de mettre un terme à sa vie en s'endormant comme le petit garçon sur la peinture accroché à sa chambre le tout avec la merveilleuse musique de Samuel Barber, Adagio pour Cordes, le même morceau utilisé dans Platoon lors de la mort d'Elias.
    Elephant Man est un film merveilleux, bouleversant et captivant de bout en bout, un véritable choc artistique, métaphysique ( les dernières images ), et au fond plein d'humanité ...

    " On ne saurait surestimer l'imbécillité générale. "
    Charles Bukowski.
    Carne
    Carne

    71 abonnés 1 116 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Elephant Man est le plus beau film de David Lynch.
    Rarement j'aurais ressenti de telles choses lors du visionnage d'un film.
    Comment contenir ses larmes lors de la scène finale ?
    TCovert
    TCovert

    63 abonnés 383 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 avril 2011
    David Lynch en est à son deuxième long métrage avec Eléphant Man et réalise une œuvre devenue classique en l’espace de quelques décennies. Le noir et blanc est choisit, un magnifique noir et blanc, souvent très contrasté qui colle au mieux à l’esprit du film qu’on a bien du mal à imaginer en couleur. Les comédiens sont excellents à commencer par Anthony Hopkins qui sait incarner toute la bonté et l’intelligence de son personnage. Ensuite il y a John Hurt qui a dû jouer quasiment uniquement avec son corps et sa voix, sa tête étant évidemment recouverte de maquillage. Pourtant une émotion immense émane du personnage qui fait toute la profondeur du film, un appel au respect de la différence, extrême mais efficace. La musique est superbe que ce soit la bande originale ou les morceaux préexistants, le tout forme une unité et amène un supplément d’émotion, décrivant autant l’innocence et la gentillesse du personnage-titre que sa profonde souffrance. Eléphant Man est un très beau film à ne pas manquer.
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