Avis : Independence Day : Resurgence - Page 6

vu cet après midi et c'est une suite digne de ce nom, spectaculaire visuellement, action omniprésente, j'en redemande! merci roland emmerich toujours au top!

Je ne peux pas dire que je suis déçue de ce film étant donné que je n'en attendais rien, mais j'aurais quand même aimé qu'on me prouve le contraire.
J'ai l'impression d'avoir assisté à une parodie du cliché américain entre les répliques de gnangnantise absolue et le patriotisme américain poussé à l’extrême.
Le point positif restera la 3D et les effets qui sont vraiment très jolis à voir et qui m'ont quand même permis d'assister à quelques jolies scènes de science fiction.

bon film sans plus, pas déçu d'avoir payer la place de cinéma, mais j'aurai attendu sa disponibilité sur le net si j'aurai sur réellement ce qu'il valais, la fin est clairement un coup de génie de Roland emmerich, donner envie de voir le 3 sans avoir de frustration....

[...] Loin d'être mauvais, Emmerich n’usurpe personne en se basant sur ses points forts: catastrophe, effets spéciaux impressionnants, et personnages clefs. Le choix de reprendre les acteurs du premier succès apporte à cette suite une logique cinématographique parfois légère mais qu'importe on ne boudera pas le plaisir de revoir Judd Hirsch, Jeff Goldblum ou encore Bill Pullman [...]

Mon Avis: 12/20

Décevant vraiment , tellement prévisible et scenarise , les effets spéciaux sont plutôt pas mal mais il y en n'a trop pour ce que c'est ! Ça écroule totalement le très bon premier film de 96

indépendance day 2 est le semi-navet américain de cet été.
certes la réalisation et les effets spéciaux sont plaisant.
mais quel scénario sans aucun intérêt.
l'ennuie nous envahit tout au long des 2h de se film.

Ce film est une véritable horreur...
J'ai voulu lui donner une seconde chance, en le revoyant déjà presque 3 ans (!) après sa sortie au cinéma.
Mais ça a été en fait pire que dans mes souvenirs.
C'est tout simplement insupportable, épileptique, dénué de toute crédibilité (bien sûr ça reste de la SF), avec des notes d'humour mal venues et ridicules, des acteurs (pour les plus jeunes) têtes à claques bourrés de clichés. Tandis que les plus anciens (ceux qui avaient déjà joué dans le premier) n'ont absolument pas l'impression de croire eux même à l'histoire.
Tout est bien trop propre et scintillant. La maitrise et l'utilisation de la technologie laissée par les aliens lors de la première attaque est carrément excessive, quand on sait que les humains ne sont toujours pas parvenu à entrer dans l'immense vaisseau abandonné depuis lors, par exemple.
De ce fait, ce film n'a absolument aucun aspect terrifiant et à aucun moment on pourrait imaginer une victoire des aliens, là où le premier avait ce côté bien plus noir et inquiétant, avec une race d'alien dominant largement et presque victorieuse, le tout dans un contexte et un monde réaliste que l'on connait.
Évidement, ils pouvaient difficilement faire quelque chose de similaire au premier. Mais pour moi, cette direction prise ne fonctionne pas du tout, en se détachant bien trop de l'aspect du premier film.
Et puis la fin est ridicule. spoiler: Il devait leur rester genre 3 millimètres à percer pour mettre fin à l'Humanité entière, mais "Oh Boy, la Reine est morte. On remballe tout et on se casse ! On réessayera la prochaine fois."
. Désolant...
Je ne le regarderai plus jamais. Alors que le premier, ça fait plaisir de le revoir de temps en temps !

Je m'attendais à un navet cosmique j'ai presque été déçu dans ce sens. Cette suite d'Independance Day malgré un niveau de bêtise hallucinant n'arrive pas à atteindre le sommet du premier épisode qui était franchement risible. La j'ai eu trop peu l'occasion de m'amuser, c'est juste nul du début à la fin, et d'une laideur sans nom avec des effets numériques omniprésents qui dégoulinent de partout comme la destruction de Londres (car Roland Emmerich frappe fort dans son côté destruction massive et dans le concours qu'il semble s'être lancé avec Michael Bay dans le genre); une scène comme je le disais qui pique les yeux et ce n'est pas la seule. Rien à en retirer tellement c'est un "spectacle" décérébré, beaucoup trop long en plus et qui n'a peut être qu'une qualité celle de mettre Roland Emmerich devant son mensonge lui qui a dit pendant des années que le premier avait été fait pour être pris au second degré ce que je ne croyais pas, cette suite à finie de me convaincre.

Une suite pas a la hauteur. Acteurs moyen , histoire gentillette et classique , 3d sans interet. Presque un episode de star war , plutôt pour adolescents.

Cette suite de Independence Day propose un très bon scénario bien rythmé, rempli d'action et d'humour, et avec des effets spéciaux impressionnants. On retrouve les personnages du 1er à part Will Smith qui a refusé de jouer dans cette suite parce que le salaire proposé ne le satisfaisait pas :D
Apparemment, on aura droit à un 3ème film. Je suis toujours partant pour aller casser de l'alien :D

J'ai eu l'opportunité de voir ce film en avant première et je dois dire qu'il n'est pas mal du tout. On se trouve sur notre planète en version futuriste qui donne un rendu visuellement magnifique. Le scénario n'est pas extraordinaire on sait de suite comment se termine l'histoire. Mais bon y'a de l'action de l'humour (beaucoup même). Une superproduction américaine qui se laisse regarder tranquillement et qui annonce déjà une suite.

Le film sombre dans le ridicule d'entrée de jeu sans oublier de s'offrir un côté extrêmement ringard ! C'est cliché, ça cherche le style à tout prix dans chaque scène sans jamais arriver à l'obtenir. Cette suite a tout d'un film pour ados écervelés. L'écriture et la mise en scène sont tellement minables que le film n'intéressera pas plus de 5 minutes, et ce n'est ni les dialogues infectes munis de "pseudo-punchlines" à la con qui changeront la donne, ou encore ce casting purement raté (pauvre Charlotte, qui a voulu, tout comme Juliette Binoche dans Godzilla, tenter l'aventure du blockbuster). Le premier épisode n'était déjà pas bien brillant (mais pas honteux pour autant), celui-ci ne sera qu'un ramassis de conneries, ni mémorable, ni attractif, ni même respectueux sur le moindre aspect. Tu m'étonnes que Will Smith soit parti en courant à l'annonce de cette suite... A se dégouter du cinéma ! Les blockbusters niais et même carrément cuculs du genre vont vraiment finir par flinguer les neurones de la nouvelle génération. Notre curiosité quant à ce volume 2 arrivé 20 ans après, n'aura finalement servi qu'à nous entraîner dans les abîmes du cinéma. En même temps, lorsque l'on sait que le film est signé Roland Emmerich, le résultat en deviendra donc parfaitement compréhensible. Décidément, les producteurs n'ont plus d'amour pour le cinéma pour se permettre de financer encore et toujours le lamentable travail de ce cinéaste (qui n'a malheureusement toujours pas décidé de changer de métier). Infecte !

Le problème de faire une imitation d'un film des années 90 au premier degré, c'est que le résultat en est forcément un bon vieux nanard. Si cette suite « 20 ans plus tard » d'Independance Day est assez efficace, elle fait surtout rire malgré elle. Mais quelle surprise d'y découvrir Charlotte Gainsbourg !

Bien que décrié par une partie du public (en raison, notamment, de son ton très "American Patriot"), "Independence Day" avait su marquer son époque, grâce à ses impressionnantes scènes de destruction massive (loin d’être communes sur grand écran en 1996) et à la qualité de son casting. Ils ont été nombreux, par la suite, à réutiliser les recettes de Roland Emmerich (qui signait là son meilleur film) et à s’y casser les dents. Le retour aux affaires du réalisateur allemand avec la mise en chantier d’une suite, 20 ans après, avait, dès lors, de quoi titiller notre curiosité… même si ses derniers films catastrophes ne plaidaient pas forcément en faveur d’un renouvellement du genre (voir "Le Jour d’Après" et "2012", spectaculaire mais boursouflés et sans âme). Malheureusement, "Independence Day : Resurgence" s’avère rapidement être un rendez-vous manqué et pêche à, à peu près, tous les niveaux possibles ! Le scénario, tout d’abord, est un pâle copié-collé de l’intrigue du premier opus, qui se veut plus ambitieuse (comprendre "plus énorme") mais qui, à trop vouloir faire dans le gigantisme, a oublié de soigner ses enjeux dramatiques et, accessoirement, ses personnages, y compris les illustres anciens. Ainsi, à part Jeff Goldblum qui tire son épingle du jeu avec son élégance et son ironie naturelle, on ne peut que déplorer l’évolution du rôle de Bill Pullman (devenu une sorte de médium hirsute qui joue les Cassandre), de Judd Hirsch (qui enfonce beaucoup trop le clou du père juif) ou encore de Brent Spiner (transformée en savant tendance queer), spoiler: sans parler des caméos inutiles de Vivica A. Fox et d’un Robert Loggia momifié
. Quant aux nouveaux, ils viennent encombrer une histoire qui comptait déjà trop de personnages et, faute de temps (ou d’écriture ?), sont cantonnés à de grossières caricatures, avec l’habituel tête brûlée (Liam Hemsworth plaisant à défaut d’être intéressant), le "fils de" écrasé par le poids de son défunt père (transparent Jessie Usher), la fille du Président tellement courageuse (Maika Munroe, mignonne mais sans intérêt), ou encore la scientifique française forcément synonyme de love story (Charlotte Gainsbourg, toute étonnée d’être là). Les personnages sont, donc, aussi fades et attendus que l’histoire… ce qui suscite un grand désintérêt du public pour leur sort. Il faut, d’ailleurs, croire que Emmerich lui-même s’est désintéressé de ses personnages au profit de ses seules séquences de destruction. spoiler: En témoigne l’invraisemblable scène de sacrifice de l’ancien Président Whitmore, personnage emblématique du premier opus (ah, le discours du 4 juillet !) qui est honteusement expédiée !
Emmerich n’a pas davantage su doser l’équilibre entre spectacle pyrotechnique et humour, les vannes qu’il tente de balancer tout au long du film étant, la plupart du temps, d’une affligeante lourdeur spoiler: (à commencer par les scènes sur le couple de scientifiques gays !)
et ses séquences plus musclées peinant à se démarquer de ce qui se fait au cinéma depuis quelques années (on pense à "Avengers", à "Transformers"…). Le dosage est d’autant plus raté que les dialogues sont d’une incroyable pauvreté et assénées, la plupart du temps, avec un premier degré à faire pâlir. Aucun supplément d’âme ne ressort de cette suite (pas de BO marquante, pas de photo travaillée, pas même de plans iconiques…) qui noie le spectateur sous un torrent d’effets numériques et de réalisation tapageuse. "Independence Day : Resurgence" est, du reste, trop long, ce qui est dû tant à la faiblesse redondante du scénario que de son dernier tiers, qui parait ne jamais finir avec ce baroud d’honneur assez risible de la Reine des envahisseurs (à mi-chemin entre "Aliens" et "Godzilla"). Et, enfin, qu’est ce que c’est que cette histoire spoiler: d’entité extraterrestre prétendument supérieurement intelligente et censée sauver les Terriens… mais qui n’est pas capable de faire comprendre ses attentions au point de se faire dégommer par ceux qu’elle est venue aider
! Outre son caractère aberrant d’un point de vue scénaristique, cette intervention vient aggraver l’un des principaux problèmes du film, à savoir son artificialité. En présentant un monde équipé de la technologie alien spoiler: (armement high-tech, véhicules volants, colonisation de la Lune…)
, "Independence Day : Resurgence" se donne des airs de film futuriste… ce qui ne correspond absolument pas à la résistance old school du premier opus (qui participait beaucoup à son charme). Trop de personnages, trop peu d’écriture, trop d’artifice… il y a, donc, peu de choses à sauver dans cette suite, qui se regarde, tout de même, comme un bon gros blockbuster décérébré mais qui aurait dû être bien meilleur. On comprend mieux pourquoi Will Smith ne s’y est finalement pas risqué (et c’est peu dire qu’il manque cruellement dans le tableau). Reste Jeff Goldblum et l’imposante arrivée du vaisseau sur Terre… c’est peu !

Un film catastrophe classique dans son traitement mais visuellement spectaculaire. Un plaisir régressif.
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