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0,5
Publiée le 30 juin 2020
Topher Grace poursuit sa tradition d'essayer d'être drôle dans son rôle de Matt une idiot avec qui pour une raison quelconque nous sommes censés nous identifier. Il se languit de Tori une fille chaude et aléatoire qui ressemble de façon alarmante à Amber Heard du Playboy Club. Il prétend qu'il travaille pour Bear Stearns mais vraiment qui s'en soucie. Il essaie de se frayer un chemin dans son cœur. Eh bien, devinez quoi cela fonctionne. Voilà moralité et leçon du film. Soyez un idiot et mentez aux femmes et elles tomberont amoureuses de vous !!! Mais vraiment à ce stade vous voulez juste qu'Une soirée d'enfer se termine. Mais ce n'est pas le cas. Il y a un complot stupide (sans rapport avec l'intrigue) avec une boule d'acier de style américain Gladiators qui roule sur une colline et tue presque un personnage. Si vous êtes comme moi vous souhaitez qu'il soit mort. La chose la plus élevée de ce film n'est autre qu'une bande-son de musique cliché des années 80. Et Dan Fogler qui j'imagine pourrait être drôle dans autre chose. Peu importe ce film craint fort...
Le film est assez laborieux a regardé avec des dialogues peu inspirés, des personnages mal écrits (mention spéciale aux personnages de Anna Faris et Chris Pratt) et un jeu d'acteur pas très bon. Si on cherche à savoir comment va finir le film, ou plutôt la relation entre les personnages de Topher Grace et Teresa Palmer même si on s'y attend un peu, le tout peine à vraiment intéresser et garder une envie de continuer jusqu'au bout. N'étant pas nostalgique de cette époque que je n'ai pas connu, le film ne m'a pas tiré la corde sentimentale comme il a pu le faire pour d'autres.
Une comédie romantique avec un duo de copains d'enfance, assemblage typique quasi antagoniste, styles opposés du beau gosse intelligent et timide et du balourd extraverti formé par le tandem Topher Grace et Dan Fogler pour les situations comiques complété par la soeurette Anna Faris, toujours excellente mais ici dans un rôle finalement peu conséquent et déterminant pour une soirée d'enfer qui va regrouper les anciens élèves et camarades de faculté du style la place des grands hommes de Bruel où on voit ce que chacun est devenu, a réussi ou raté. C'est le cas du personnage interprété par Topher Grace, ancien meilleur élève qui est vendeur dans un magasin de jeux vidéos, qui se cherche, n'ose pas entreprendre alors que ses pairs ont pour la plupart réussi en particulier dans le monde de la finance. Mais cette soirée est l'occasion de recroiser la bombe inaccessible de la faculté, le fantasme incarné que le héros n'a jamais vraiment osé abordé et c'est un peu l'histoire de cette soirée. C'est un film typique comédie américaine avec parfois des moments comiques un peu lourds mais toutefois réussis et drôles. Si l'acteur principal n'éclate pas, le film est magnifié par l'excellente, la sublime, et surtout solaire Teresa Palmer qui occupe tout l'écran de sa beauté, charisme, présence, talent et aussi ce su'elle renvoie de sympathique, empathie, sincérité, honnêteté et valeurs et sentiments feel good, le tout avec un charme fou sans une once de vulgarité. Elle est le soleil de ce film au final assez drôle, assez romantique et qui passe très vite car très rythmé et équilibré entre humour et romance. A noter la présence dans un rôle totalement décoratif de la très belle Nathalie Kelley, fast and furious 3,Tokyo drift. Une très bonne comédie romantique avec encore une fois une Teresa Palmer exceptionnelle.
Un bon film de soirée vraiment pas mal, avec un concept basique cependant : alors que l’été 1988 touche à sa fin, trois amis au seuil de l’âge adulte se rendent à une fête endiablée pour enterrer leurs folles années de jeunesse. Comédie romantique "eighties", truffée de tubes canon de l’époque, avec Duran Duran en fond sonore, posters de Madonna et Whitney Houston au magasin de disques local, de la neige plein le nez, "Une soirée d’enfer" se veut être un hommage aimable à l’esprit festif d’une décennie clinquante et notamment aux productions John Hugues qui pullulaient à cette époque. C’est joli tout plein, entre la bande-son d’un épisode de "Miami Vice", les éclairages au néon dignes de "Flashdance" et les hésitations romantiques où les vraies valeurs ne sont pas à chercher du côté de la toute puissante Golden Sachs où le héros, qui bosse dans un vidéo-club (plein de VHS, si, si), prétend à une belle plante qu’il travaille, lors d’une soirée de la dernière chance pour séduire celle qui enflamme son cœur depuis le lycée. Avec son scénario initiatique de production adolescente, on ne peut pas vraiment s’emballer pour l’intrigue qui manque franchement de folie, malgré quelques scènes plutôt drôles (et dénudées), mais on se demande ce que viennent encore faire Anna Faris, Dan Fogler et surtout Topher Grace dans ce type de production. N’ont-ils pas passé l’âge ? Nous oui...
Une pochade désastreuse sur un sujet mille fois vu.... on a l'impression désagréable de voir une remake de plusieurs films d’adolescents pré et post pubère. Aucune originalité dans ce film dont l'idée viendrait de Topher Grace lui même, film qui fit un bide suprême au point d'obérer sa carrière quelque temps.... rien à sauver sauf peut être la musique et Teresa Palmer.
Mélange entre potache et film mélancolique (de surcroît le cadre de l'action se situe dans les années 80), "Une soirée d'enfer" porte bien son titre. Le film suit la soirée d'une poignée d'ados fêtant la fin de l'année scolaire. Rien d'extrêmement original pour une histoire aux ressorts comiques un peu éculés, mais le film se regarde avec une certaine nostalgie. Surtout quand sont abordées les histoires de cœur des protagonistes. Le final explosif vaut le détour.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Barry qui sauve l'ambiance du film, un peu molle. Anna Faris est très loin d'être l'élément comique du film, c'est inattendu. Content de voir l'acteur Michael Biehn dans le père de Matt, cet acteur est trop rare à l'écran. Il y a de nombreuses références au cinéma des années 80 au fur et à mesure du film. On les retrouve d'ailleurs dans le clip du film "Do you want me" d'Atomic Tom avec les 4 acteurs principaux. Plutôt cool :) Le film met quand même un peu trop de temps à démarrer. Il a commencé à me plaire à partir de la soirée, mais j'ai passé un bon moment et ai aimé les délires des 2 personnages, Matt et Barry, tous deux excellents dans les défit !
Tombé sur le film par pur hasard! J'ai cru que j'étais revenu dans les années 80! Bien sûr, dans le style, la décoration ... mais aussi dans le côté bluette sympathique, sans vrai méchanceté, avec un humour gentil. On admire bien un film typé années 50 tourné en 2010, pourquoi ne pas reconnaître qu'il y a un style année 80! En tout cas, c'est rafraichissant... Et cela m'a fait très plaisir de revoir ce genre de film adolescent, et sans la violence qu'ont amenées les années 90 et 2000!