Avis : Freddy - Chapitre 1 : Les Griffes de la Nuit - Page 6

Le meilleur épisode de la saga. Et le plus marquant. Une révélation pour Johnny Depp. L'expertise de Wes Craven.
Freddy en personnage haut en couleur.

Ce premier film de la franchise "Les Griffes de la nuit", que je n'avais pas revu depuis bien longtemps, est très bon ! Je dois même avouer que, mis à part certaines petites choses, je n'avais plus vraiment de souvenir de ce film culte, réalisé par Wes Craven et sorti en 1984. Et oui, culte car il marqua toute une génération, au travers des nombreuses suites qu'il a engendré mais également de par son univers très original ! Effectivement, si, dans les années 80, le shasher se contente de faire encore et encore la même chose (c'est-à-dire un tueur qui tue des adolescents un par un), ici, Wes Craven détourne un peu le slasher (ce qu'il fera d'ailleurs une nouvelle fois en 1996 avec "Scream") pour rendre le genre plus original. Nous sommes alors devant un slasher fantastique dans lequel le boogeymen doit passer à travers les rêves de ses victimes pour parvenir à les tuer. Les adolescents ont alors deux choix : soit, se confronter au tueur ou alors ne plus dormir. La recette peut nous paraitre simple aujourd'hui car nous avons grandi avec le personnage mais il faut tout de même reconnaitre que c'est très original ! Le réalisateur prend ici le mythe du boogeymen (ou croque-mitaine en français) au pied de la lettre puisque la nuit devient alors véritablement dangereuse, les adolescents ayant peur d'aller se coucher comme de véritables enfants. Le tout étant de plus accompagné d'une comptine glauque et terrifiante. Mais le monde du rêve permet également de nombreuses possibilités qu'un slasher basique ne permet pas. Effectivement, nous sommes alors plongé dans un monde qui n'existe pas vraiment dont seul Freddy peut contrôler n'importe quel élément. Ce qui promet des effets cartoonesques (qui seront de plus en plus développés au fil des suites, la saga plongeant peu à peu dans un second degré assumé) mais également des effets horrifiques et gores très réussis ! Du côté des acteurs, nous retrouvons Robert Englund qui est parfait dans son personnage, Heather Langenkamp, Johnny Depp et John Saxon qui jouent très bien ! "Les Griffes de la nuit" est donc un slasher très intéressant et qui reste encore aujourd'hui indémodable mais surtout très original dans le genre !

Les premiers pas de l'inénarrable Freddy Krueger au cinéma sous la houlette de Wes Craven ! Absolument culte avec un Robert Englund en grande forme dans le rôle de sa vie ! Entre humour et frayeurs, on découvre le cauchemar de tout enfant, le psychopathe Freddy qui vient hanter vos nuits jusqu'à ce qu'il en ait assez et vous élimine dans un bain de sang ! C'est gore, plein de trouvailles et assez nerveux pour ne pas décrocher. Bien sûr les comédiens laissent parfois à désirer et certains effets ont pris une claque mais le matériau de base est excellent et c'est d'ailleurs dommage que l'on n'en apprenne pas plus sur les origines du monstre. Une bonne tranche de rigolade sanglante durant 1h30 pour un film d'épouvante archi culte qui aura marqué son époque.

Les Griffes de la Nuit, est une incontestable réussite. A sa tête, le non moins célèbre Wes Craven, (La dernière maison sur la gauche, La colline a des yeux) soigne à la perfection l’entrée en matière de sa coqueluche au visage brulé. Tout y est pour faire vivre un réel moment d’angoisse : une atmosphère nauséabonde, une intrigue bien construite, un travail hiérarchique respecté, mais aussi (pour le clin d’œil) un Johnny Depp jeune et novice excellent. Reste plus qu’à savourer avec, si possible, l’envie de ne pas dormir. Rien de plus simple, à priori...

« Les Griffes de la Nuit » fait partie des slashers qui ont perturbé mon adolescence. Le concept de taillader ces victimes à travers leurs cauchemars est vraiment bonne mais le film a pris un p’tit coup de vieux. Écrit et réalisé par Wes Craven, ce premier chapitre reste pourtant le meilleur de tous ceux qui ont fait suite et instantanément fait de Freddy Krueger une icône du cinéma d’horreur.

En son temps, ce premier opus des pérégrinations de Freddy Krueger était une révolution : un croquemitaine effrayant pouvant s’immiscer dans les cauchemars des gens et les y tuer ! Un bon méchant que n’aurait pas renié Alfred Hitchcock, un scénario bien ficelé avec moult rebondissements et une certaine imprévisibilité, des acteurs plus que convenables, une critique de l’époque entre des adolescents et des adultes ne se comprenant pas, n’en jetez plus, on tient-là un classique de l’épouvante de Wes Craven. Seulement voilà, les années ont passé et les effets spéciaux commencent tout de même à dater, tout comme le décorum et le look de certains protagonistes (cf. la mère maquillée à mort de Nancy !), ainsi que certains faux raccords et ce double twist final improbable ! Néanmoins, on retiendra tout de même certaines séquences restant dans les annales comme celle dans la baignoire ainsi que celles des meurtres très graphiques dans les lits !

Retour sur un personnage culte Freddy !!!!!
Je découvre le film seulement plus de 35 ans après sa sortie . Tout d'abord le scénario est très bon et captivant , la musique aussi ainsi que la mise en scène. Ah l'époque il devait en faire frissonner plus d'un.

Le premier opus d'une saga culte qui a le mérite d'offrir un incontournable croquemitaine. Si le film a mal vieilli, revoir Johnny Depp dans son 1er rôle, et qqs scènes (la baignoire notamment où la mort de Johnny Depp-désolé pour le spoil) valent le détour.

Un film d’horreur ayant pour but avoué de provoquer, chez son public, des nuits blanches, Wes Craven a eu un éclair de génie profitant de la mode pour les slashers lancée par Halloween et Vendredi 13 pour créer le premier tueur paranormal massacrant ses victimes directement dans leur sommeil. La peur que provoque le personnage mythique de Freddy Krueger vient autant de son look effrayant, avec son vieux pull, son visage brûlé et surtout ses gants bardés de lames de couteaux, que de sa nature chimérique qui le rend à priori invincible. La folie des personnages ne sachant plus distinguer le rêve de la réalité est rendu contagieuse grâce à des effets visuels littéralement cauchemardesques ainsi qu’aux jeux terrifiés des jeunes acteurs (parmi lesquels seul Johnny Depp a percé). Plus que de n’être que des victimes, les adolescents d’Elm Street apparaissent comme les symboles de la jeunesse de middle-class américaine, avec leurs envies d’émancipation et leur difficulté à être pris au sérieux par leurs parents. Il est à noter que, comme tous les autres slashers similaires, ce premier épisode est bien meilleur que les suites qui en découleront.

W. Craven est un réalisateur qui a de nombreux fans dans le monde, notamment grâce à ce film. Alors que reste-t-il de ce classique ? Ben déjà, il cumule tous les poncifs qui feront le bonheur de ce crétin de K. Williamson qui "parodiera" le genre en confiant le tout à celui qui a crée ses codes ridicules c'est à dire W. Craven et ce sera la saga "Scream". Des ados têtes à claques avec des problèmes ridicules, des jeunes filles qui se font trucider car elles ont couchés avec un mec, des morts bêtes qu'ont voit venir à des kilomètres et surtout, un monde adulte incapable de répondre aux besoins de leurs enfants. Si le film comporte quelques effets chocs qui marchent toujours, que le croque-mitaine Freddy demeure encore mythique et que quelques plans sont très réussis, on peut se poser des questions sur le réel talent artistique de Craven, spoiler: qui voulait un happy end ridicule et le studio le força à prendre une fin plus sombre (et ouverte) qui pouvait lancer une franchise
. Cancre de la mise en scène mais businessman averti (comme souvent), Craven accepta le deal. Il reste donc un film d'horreur sanglant, un peu crétin, un peu effrayant mais surtout trop daté. D'autres critiques sur

Entre les nombreuses séries de slasher à succés (Vendredi 13, Halloween, Hellraiser, Scream, Massacre à la tronçonneuse,...), "Freddy: les griffes de la nuit" se démarque par à la fois par son côté fantastique mais aussi par l'humour noir du célèbre tueur. Même si le déroulement de l'histoire n'a rien de surprenant et reste conforme au slasher de base, ce long métrage arrive à nous tenir en haleine du début à la fin. De plus, les effets sont vraiment bien foutus pour l'époque et, même si ils ont un peu vieillis aujourd'hui, conservent un certains charme. A voir aussi pour les premiers pas de Johnny Depp au cinéma.

Dans les années 80, le cinéma US est en pleine expansion. Nombreux sont les blockbusters et trilogies qui marquent les esprits grâce à de nouveaux procédés technologiques aussi inattendus qu’ovationnés. Steven Spielberg, George Lucas, Ridley Scott, chacun s’y accommode et prend goût à un travail accès autant sur la qualité du long-métrage que sur l’appréciation de son contenu. Si l’univers du fantastique en profite grandement, l’épouvante/horreur ne tarde pas non plus à s’équiper. Résultat, une horde de vilains tels que Michael Myers, Jason, Chucky... envahissent les écrans. De grandes septologies, voir plus, naissent sous le regard craintif et passionné des amateurs de grands frissons. Freddy est très clairement à mettre dans le panier, lui qui fait vivre paranoïa et nuits blanches à ses victimes. Le premier de ces films, Freddy - Chapitre 1 : Les Griffes de la Nuit, est une incontestable réussite. A sa tête, le non moins célèbre Wes Craven, (La dernière maison sur la gauche, La colline a des yeux) soigne à la perfection l’entrée en matière de sa coqueluche au visage brulé. Tout y est pour faire vivre un réel moment d’angoisse : une atmosphère nauséabonde, une intrigue bien construite, un travail hiérarchique respecté, mais aussi (pour le clin d’œil) un Johnny Depp jeune et novice excellent. Reste plus qu’à savourer avec, si possible, l’envie de ne pas dormir. Rien de plus simple, à priori...

Un classique du slasher, qui revendique son appartenance à la catégorie série B par l'outrance de son gore, le grand-guignolesque de son bad guy, l'absence de direction d'acteurs (l'actrice principale y est catastrophique si on cherche à voir son jeu au premier degré) et une image très série télé. Ce côté bazardé sert en fait sans doute à directement pénétrer l'univers imaginaire de l'américain moyen, bercé par des séries bas de gamme et une peur trouvée à peu de frais dans des histoires dignes d'une psyché adolescente. Si le rendu est sympathique, parce qu'il s'éloigne de toute prétention, certains y voient en fait au contraire une maquette de la société américaine de l'époque, paniquée au sein de l'univers aseptisé et factice qu'elle prenait pour le monde réel et qui ployait sous les assauts de son propre subconscient. Freddy, monstre souterrain sorti des rêves et de la nuit, en serait alors le Ça, la pulsion de vérité d'une Amérique qui se mentait à elle-même pour continuer à préserver ses mirages (notamment la chasteté de sa jeunesse, dont la perte, thème central au slasher, est souligné ici à plusieurs reprises - la fille qui succombe facilement à un partenaire libidineux et vulgaire, la griffe de Freddy sortie du bain à un endroit plutôt tendancieux...). Pourquoi pas. Si j'aurais sans lire d'autres avis eu beaucoup de mal à me poser ce genre de questions, tant le film préfère à tout moment la simplicité et le raccourci vers le divertissement, il n'en reste pas moins qu'on a bien tout du long cette impression de mensonge ou d'erreur, et pas seulement à cause du jeu entre rêve et éveil, principal atout de l'idée scénaristique de base. Même s'il est donc sympathique et pas sans personnalité, A Nightmare on Elm Street est aujourd'hui dispensable pour qui n'est pas amateur du genre ou fervent cinéphile, tant son horreur prête à sourire et son fond demeure d'une richesse limitée. On est loin du Halloween de Carpenter, le meilleur film du genre à mes yeux.

Un film bien sympathique. Un film d'horreur terrifiant car se focalisant sur une chose purement imaginaire : le rêve. C'est ce qui le rend d'autant plus puissant et efficace. L'histoire joue littéralement avec notre imagination, nos rêves. On se sent agressés dans notre esprit. Une fois cette idée passée, on se retrouve avec les grands classiques du film d'horreur. Mais ces classiques ne sont pas lassant, car ils sont employés de façon intelligente, de façon à instaurer une ambiance d'autant plus angoissante qu'on l'a tous rencontrée. Vraiment super. Le côté fantastique côtoie l'horreur avec habilité, mais aussi spectaculaire. Les acteurs sont plutôt bons, sans réel plus. Mais ils nous font vraiment croire à leur terreur, ce qui aide à instaurer cette ambiance. Ambiance instaurée également par cette musique inquiétante et glauque, cette mise en scène à la fois spectaculaire pour les mises à mort, efficace dans les moments plus calmes et surtout terrifiante lorsqu'on plonge dans le monde des rêves. Une mise en scène vraiment bien maîtrisée. Dernier point, le film est assez spectaculaire par moment, virant parfois au gore. Mais ça reste bien plus sobre que dans beaucoup de films qui ont suivit, ce qui permet de rendre ces scènes d'autant plus réalistes et spectaculaire. Bref, un film vraiment chouette à voir absolument !

Un classique du film d’horreur, dans la lignée du film Halloween, La Nuit des masques (1978) de John Carpenter. Ici c’est le premier film de la série signé Wes Craver (Scream) suivra ensuite de nombreuses suites, du désormais célèbre Freddy Krueger, qui à marquer mon enfance, avec son visage brûlé et ses cinq lames tranchantes à la place des doigts. Le scénario est plutôt bien trouver, de voir un tueur à la fois dans les cauchemars et la réalité et l’ambiance est bien flippante, avec une fin qui tue. Le casting est vraiment bon : La jeune Heather Langenkamp dans le rôle de Nancy, John Saxon, Ronee Blakley, Amanda Wyss, Jsu Garcia, Robert Englund qui est tout simplement excellent et complètement fou dans le rôle de Freddy ou encore à noter la présence de Johnny Deep, tout jeune et qui joue ici dans son premier film.