Derniers Avis : Cendrillon - Page 9

Ce film est magnifique et il y a une photographie. C'est très facile pour les enfants. Donc j'ai bien compris. Plus de jolies filles qui changent de robe. Quand elle a libéré son belle-mère, j'étais très contente. La dernière séquence est impressionnante pour moi.

Trop niais ! Couleurs criardes, jeu abominable… Tout le film n'est destiné qu'à un public enfantin. Je trouve la version des années 50 bien plus enchanteresse et amusante. Ici, les décors, couleurs et coiffures ressemblent fort à la version de Blanche-Neige avec Julia Roberts. Très mauvais, c'est surjoué et avec des dialogues si mauvais... Je déconseille !

C'est un walt Disney mais on ne s'ennuie pas, on est proche du conte de fée tout en ayant des scène réalistes.
Avec mon mari nous avons visionné ce film pour savoir si on le montrerait aux enfants et nous avons passé un excellent moment. Les images sont superbes et un bon jeu d'acteur.
Nous avons beaucoup aimé ce film et nous sommes vraiment rentrés dans l'histoire.

On prend le dessin animé et on colle des vrais acteurs dessus. C'est sans surprise alors on regarde les effets et les acteurs et comme c'est Kenneth Branagh c'est bien fait. Si on a envie de revivre l'histoire autrement quand animation c'est parfait. Et par rapport à toutes les adaptations foireuses des vieux classiques qu'il y a en ce moment c'est un bon point. A voir pour se divertir et rever comme le dessin animé mais la nostalgie en moins.

du bon Disney, qui arrive à refaire un film fait et refait de nombreuses fois - beaucoup de magie, de rêve, et même de suspens, dans une histoire archi-connue - belle photo, belle lumière - à montrer aux enfants pour qu'ils se constituent un univers de rêve

Alice au Pays des Merveilles, La Belle au Bois Dormant (avec le film Maléfique) et maintenant Cendrillon… Disney n’a pas fini d’adapter ses plus grands chefs-d’œuvre en films live ! En même temps, avec trois succès commerciaux consécutifs, il est normal que le studio décide de poursuivre sur cette voie, annonçant au fil des mois des projets aussi bien alléchants (Le Livre de la Jungle, La Belle et la Bête, Mulan…) que tordus (Dumbo, Fantasia, Prince Charmant…). Mais avant que tout cela ne débarque dans les salles obscures, intéressons-nous au dernier-né de ce concept marketing, qui reprend le dessin animé culte de 1950 (oui, ça ne rajeunit pas !). Le temps de quelques paragraphes pour dire que, même si le film aurait très bien pu se montrer sympathique, Disney (et excusez-moi du terme) pisse littéralement sur son héritage depuis quelques années.

S’il y avait une étiquette à accrocher à ce Cendrillon version 2015, c’est bien celle de film de princesse par excellence. Et pour cause, en à peine 1h55, vous aurez tout ce qui définit ce genre de divertissement susceptible de plaire aux fillettes en couettes : la jolie héroïne aux allures de cruche, le prince excessivement charmant, la magie, les grands décors, les costumes tape-à-l’œil, la niaiserie du scénario mais qui parvient à faire rêver, une bande son en faisant des caisses… le moindre détail qui puisse offrir au film un revêtement à la fois clinquant et féerique. Sur ce point, Cendrillon remplit aisément son cahier des charges, non sans certains accrocs. Rien qu’au niveau du visuel, le long-métrage nous propose du bon comme du mauvais : d’un côté nous avons des costumes et décors qui valent sincèrement le coup d’œil, de l’autre des effets numériques de bien piètre qualité (voire glauques pour ce qui concerne le faciès des animaux transformés pour diriger le fameux « carrosse citrouille ») utilisés en surdose au point de rendre l’ensemble artificiel et non féerique. Et la mise en scène plate au possible de Kenneth Branagh n’arrange rien (sauf peut-être pour la scène des douze coups de minuit, bien plus énergique que tout le reste).

Du côté du scénario, c’est exactement la même chose. Si beaucoup critiqueront l’aspect enfantin et cucul la praline de l’ensemble, à cela je leur répondrai que Cendrillon n’a pour seule ambition de n’être qu’un film de princesse, rien de plus ! Impliquant du coup des répliques téléphonées, des personnages un brin rêveur (pour ne pas dire à côté de leurs pompes), des situations rocambolesques et de la nunucherie à tout va. Alors oui ce n’est pas travaillé ni original, mais au moins, ce n’est nullement prise et de tête, cela fait sourire via une bonne humeur communicative et cela n’a jamais prétendu faire autre chose. D’autant plus que les comédiens s’en donnent à cœur joie dans leurs interprétations respectives, ce qui est encore plus agréable. Après, il est vrai que niveau écriture, le film passe par des blagues trop gentillettes tombant souvent à l’eau, des coups de théâtre inefficaces (comme Cendrillon ignorant qu’elle a rencontré le prince en forêt contrairement aux spectateurs, et jouer à fond la carte du « suspense » là-dessus) ou encore cette aberration de devoir expliquer l’origine de certains pans de l’histoire (tel le nom de Cendrillon, venant de « cendre » et de « souillon ») au point de fausser les repères du public (l’héroïne se nomme Ella et non Cendrillon).

Jusque-là, vous vous dites que la note donnée accompagnant cette critique est plutôt sévère. Surtout avec des arguments qui plaident en faveur d’un divertissement à la limite du mitigé. Mais ce qui pour moi pèse dans la balance, c’est le statut du film. Sa plus grosse erreur, anéantissant d’une traite ses atouts et donnant raison à ses défauts : ne pas être une relecture du conte de Perrault mais une adaptation du dessin animé. Dans le premier cas, la pilule aurait été plus simple à avaler. Là, cela en devient tout simplement indigeste, vomitif. Un peu comme Jurassic World (oui, j’en remets une couche sur celui-là et je promets de me calmer prochainement), à savoir être constamment relié à l’original mais ne parvenant qu’à le singer et l’aseptiser (et insulter les spectateurs par la même occasion qui se font avoir) faute de savoir-faire et de bonnes idées.

Adapter ne veut pas dire faire un copié-collé, j’en conviens. Mais cela n’excuse pas non plus de réaliser un grand n’importe quoi ! Un gloubi-boulga qui, par son humour à ras les pâquerettes et son côté gentillet, dénature ses personnages. Que ce soit la marâtre (diabolique) ou les belles sœurs (insupportables de méchanceté), transformées ici en bouffonnes de service. La palme revenant à Marraine la Bonne Fée, l’une des figures emblématiques du studio aux grandes oreilles : une sorte de diva hystérique qui va même jusqu’à roter (être déguisée en mendiante à ce moment-là n’excuse pas ce blasphème). Un foutoir qui reprend gratuitement ce qui a fait le succès du dessin animé (les souris, surtout Gus, et le chat Lucifer) pour les rendre aussi inutiles qu’un chanteur sans voix. Un bazar sans nom qui balance sans raison des références au dessin animé (la formule « Bidiboo » de la Bonne Fée, sortie de nulle part durant la scène de la citrouille) et les expédiant comme si de rien n’était (le passage où les souris confectionnent la robe de Cendrillon, évoquée en même pas deux secondes).

Non, pour apprécier ce Cendrillon-là, un seul conseil : ne pas avoir vu le dessin animé avant. Vous aurez droit à un divertissement sans prise de tête et bon enfant qui en met plein (trop) les yeux. Pour les autres, ce qui revient à dire quasiment tout le monde, le film de Kenneth Branagh se présente comme une insulte de taille à un public qui, à force de critiquer les produits hollywoodiens, devient de moins en moins difficile et laisse donc le champ libre aux grosses productions à les prendre pour des cons. Car ce que Disney fait actuellement, c’est saccager son œuvre de toute part. Si le futur Livre de la Jungle de Jon Favreau, via sa bande-annonce, me donne un soupçon d’espoir sur les réadaptions live du studio, les autres projets de ce dernier me désespère avant l’heure. Mot de la fin : vous qui lisez cette critique, faites découvrir à vos (futurs) enfants les grands classiques Disney, les vrais, pour qu’ils grandissent avec autre chose que des infamies dans la tête.

Version modernisée de l'animé culte, cette interprétation de Cendrillon n'en est pas vraiment une dans la mesure où elle ne fait que mettre en images la version illustrée sans le moindre débordement. Ainsi dénué de tout additif, ce film aurait gagné à proposer un regard neuf sur ce conte des plus classiques, surtout qu'il met à disposition de qui voudrait bien l'exploiter une facette fantastique de taille. A part ça, je continue de regretter le manque d'entrain et le côté nunuche de ce personnage central, qui supporte les coups qu'on lui donne en souriant, en attendant d'un homme qu'il daigne la sortir de cette calamiteuse situation. Je m'interroge quant au bien fondé du message véhiculé par cette histoire, n'osant pas admettre, peut être, qu'on continue en 2015 de perpétuer des considérations misogynes dont on pouvait encore comprendre le fondement il y a de ça plus de soixante ans sans se poser la moindre question. La société a changé, peut être serait-il temps alors d'en faire autant de ses références plutôt que de se complaire à se réchauffer au creux du passé sous prétexte qu'on le connaît par cœur.

Non mais sérieusement, comment peut-on être aussi bête à bouffer du foin? Franchement, cette Cendrillon mérite de grosses claques tellement elle est benêt avec sa vie.
Alors, c’est très bien de vouloir le plus grand bien pour tout le monde pour faire honneur à ses parents et parce qu’ils le lui ont demandé mais il ne faut pas être non plus le plus gros lapin de garenne qui existe sur cette fichue terre des contes de fées Disney !
Au moins, dans la version animée, Cendrillon, aussi gentille soit elle, ne débordait pas de mièvrerie et de simplicité comme celle-ci.
Après, la version "live" de ce classique de Disney ne relève pas vraiment du chef d'œuvre. Le Prince n'est pas terrible, Cendrillon est idiote, la Belle Mère est la seule qui est parfaite avec Marraine la Fée qui la talonne de près. Heureusement que pour recoller un peu au classique animé les animaux ont une part assez belle dans ce film. Les transformations en sont même rigolotes à voir. Un petit brin de nostalgie peut aussi apparaitre grâce à Marraine la Fée qui a toujours sa petite formule magique.
Allez, pour essayer de s’en remettre, on peut retenir la performance de Cate Blanchett et Helena Bonham Carter qui sortent du lot. Pour les autres acteurs, on est vraiment trop dans un Disney de bas étage et orienté beaucoup trop simpliste. Quand on voit comment a été traité Maléfique, on pouvait s’attendre à un Cendrillon plus intelligent.
N’empêche que la scène de bal restera encore l’apothéose du film et que sûrement toutes les petites et grandes filles auront les yeux qui brillent à ce moment. Pour vendre du rêve de princesse, Disney reste le maitre.
Alors OK, je ne suis pas forcément très sympa dans ma critique mais ce film ne m’a pas déplu au point que pourrait le laisser supposer ce texte, on repart avec de bons moments et de moins bons à mon goût (sensation de trop de sucre tellement certaine scènes sont bubblegum). Je finirai quand même par dire qu’il est bon de voir ce genre de cinéma, ça repose mais que ça n’est pas indispensable.

Les adaptations au cinéma des compte disney sont de plus en plus fréquent, tandis que certains comme Maléfique (que je conseille) réinvente l'histoire, d'autre comme Cendrillon reste dans le chemin présenté dans l’œuvre original...
Ce film bien que pour le moins pas original pour un sous reste très plaisant a regarder, l'histoire bien que très gentillet (comment peut t'on critique le film sur ce point ?) reste divertissante, et soit dit en passant un film rempli de bon sentiment ça fait du bien de temps en temps...
Un très bon casting dont Richard Madden surtout pour les fan de game of thrones. Les effet spéciaux sont de qualité, la durée du film est adéquate alors pourquoi bouder sont plaisir, le film est plaisant a regarder, on passe un bon moment et on en ressort avec le sourire, alors oui c'est niais mais en même temps c'est voulu...
Donc je ne peut que me conseiller si vous aimez les films Disney.

Keneth Branagh se contente d'une version live du dessin animé de Disney des années 50. Pas forcément utile si ce n'est pour faire découvrir ce conte aux jeunes enfants d'aujourd'hui.

Une adaptation originale et différente de la toute première version. Amour, humour, trahison, tous y est pour faire de Cendrillon un film fantastiques ou réelle et imaginaire s'entrecroisent. Après Thor, Kenneth Branagh réinvente le légendaire conte de Charles Perrault, qui offre un divertissement sublime et magique. Avec un scénario bien ficelé et dynamique. La bande-son est magnifique, la mise en scène est éblouissante. Lily James est très performante et ajoute au personnage d'Ella une originalité étincelante. Un plaisir a voir ! 5/5 *****

Très bonne interprétation de Cendrillon, très fidèle. Les acteurs sont brillamment choisis. Rien n'est surfait. Le rêve et la magie ont été parfaitement retranscrits. Bref, j'ai adoré. Bravo au réalisateur.

Ça se regarde bien. Très fidèle au dessin animé. La robe de bal est tout simplement magique (super effets lors de la danse)!

Décors, costumes, scénario parfaits mais les 2 acteurs principaux ne dégagent pas grand chose hélas... Hureusement Cate Blanchett et Helena Bonham Carter apportent un peu de plaisir ! La mise en scène et la réalisation manquent d'ambition, du coup on a l'impression d'être devant un téléfilm haut de gamme mais sans plus...

Ce film est magique grâce à l'excellent casting, surtout l'ingénue Lily James qui incarne merveilleusement le rôle, surpassant la Cendrillon le dessin animé.
De quoi marquer à jamais l'esprit des enfants, en particulier celui des petites filles, associant ce rêve au leitmotiv "soyez courageux et bienveillants" répété par Cendrillon tout au long du film.
Pour ma part j'interdirais ce film à mes enfants pour qu'ils ne soient pas convertis à ces règles de comportement.