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    Sport de filles
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    mem94mem
    mem94mem

    96 abonnés 565 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2012
    Sujet rare, L equitation. Excellente interprétation, bon casting. Mais les acteurs n'ont tien à prouver.
    Mais qu'elle monte bien Marina ! Ces changements de pied au temps (galop) sont superbes. Le vrai sujet du film ce sont les oppositions de caractères et une vie entièrement dédiée à une passion.
    traversay1
    traversay1

    3 173 abonnés 4 653 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2012
    Patricia Mazuy tourne peu, mais bien, en général (Peaux de vaches, Saint-Cyr,...). Sport de filles est le genre de film qui préfère les angles aigus à la rondeur et qui ne tend pas la joue pour qu'on l'embrasse. Prenez son héroïne, Gracieuse, qui est tout l'opposé de son prénom : elle est farouche, instinctive, revêche, monomaniaque. Elle aime bien plus les chevaux que les humains. Grâce à elle, nous pénétrons dans le petit monde du dressage, microcosme impitoyable dans lequel les rapports de séduction, de soumission, d'humiliation rendent l'atmosphère délétère. Non, le film de Mazuy n'est pas la femme qui murmurait à l'oreille des chevaux, loin s'en faut. Son aspect fruste, naturaliste, théâtral souvent, et son scénario qui semble aller nulle part font douter longtemps de sa capacité à capter notre intérêt (à moins d'être un amoureux des équidés, évidemment). Et pourtant, peu à peu, entre les vieux chevaux de retour (Balasko, étonnante ; Ganz, magnifique) et la tête de mule (Hands, impeccable), la relation se fait animale et les enjeux apparaissent dans toute leur intensité. Alors que la deuxième partie laisse à penser que le film va tomber dans le syndrome Billy Elliot, c'est un affrontement radical et rugueux entre la (presque) élève et le maître que la réalisatrice met en scène dans un très beau final où la violence et la tendresse se rejoignent. Commencé au trot, Sport de filles se termine au galop. Hop là !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 mai 2013
    Soit vous êtes peu familiarisé avec les sports équestres, et le dressage étant au cheval ce que le curling est au hockey sur glace, vous abdiquerez au bout de 10 mn ; c'est pas grave, vous avez acheté le DVD pas cher. Soit vous aimez l'équitation ET le cinéma, et là ça devient compliqué! Le scénario tient la gageure d'être à la fois invraisemblable et inexistant. La psychologie des personnages doit beaucoup à Rocky IV. Côté décors, ne pas rater le taudis dans lequel survit le père de l’héroïne, si typique de nos campagnes françaises. Marina Hands réussit à nous faire oublier qu'elle est vraiment une cavalière (et avec les deux yeux bandés ?), Bruno Ganz devait avoir des impôts à payer quand il a accepté le rôle. Cependant Josyane Balasko joue Josyane Balasko avec conviction. C'est filmé platement et même les chevaux ont l'air de s'ennuyer. Ce n'est même pas l'ébauche d'un bon documentaire sur l'élevage équin haut de gamme, c'est pas grave, vous avez acheté le DVD pas cher…
    20centP
    20centP

    13 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2012
    Hippique, hippique, hourra... Belle surprise que ce "sport de filles" qui nous présente le monde de l'équitation sous un jour inédit : au coeur du manège, on assiste au déchaînement des tensions des protagonistes. Marina Hans, Bruno Ganz composent des personnages passionnés mais qui ne versent pas dans la caricature. Le scénario est très bien construit et la réalisation tendue. À noter une bande son aux accents rock qui vient souligner la violence des rapports humains mais contraste avec l'ambiance compassée des concours d'equitation.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 1 mars 2012
    Contrairement à certains propos, et je parle en mon expérience en tant que groom à haut niveau international, le monde du cheval de concours ( professionnel) ressemble à peu près à ce qui ce passe dans le film. Tu commence par faire la merde car on ne confie pas des chevaux de cette qualité à n'importe qui(argent en jeux,pression des qualifications, confiance et ambitions des propriétaires...) ce monde n'est pas rempli forcément de gentillesse et d'humanité.de plus lors de mes déplacements à l'étranger je n'ais pas toujours eu à présenter les papiers de mes chevaux. Et enfin les gens de ce niveau la ne sont pas riches car les soins, les engagements, le camion , les logements et le personnel coûte très chers, à savoir que trois jours de concours à ce niveau la couté minimum 1500 euros et les retraites olympiques travaillent encore souvent à l'âge de la retraite en coaching et commerce. Alors oui ce film dérange certains car il montre veritablement l'aspect méconnu de ce milieu . Le scénario est lassant et la musique rock n'a à mon goût pas sa place sur certaines scènes. En revanche les gros plans sur les chevaux en mouvement sont magnifiques...
    Geneviève B.
    Geneviève B.

    1 abonné 14 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 mars 2012
    Bruno Ganz sauve la mise, Marina Hands est pénible dans son rôle d'emmerdeuse et d'ambitieuse., elle n'aime pas les chevaux elle aime sa carrière, c'est gênant. Du reste on a l'impression que dans ce fil il y a un grand absent l'amour de la bête, l'inverse de films actuels comme Le cheval de Guerre ou Bovines. C'est normal du reste, le dressage transforme l'animal intelligent et plein d 'émotion en robot mécanique. Si au moins il avait servi à dénoncer ce sport stupide (pas la monte, je dis bien le dressage en soi).
    PryskA
    PryskA

    10 abonnés 176 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 août 2013
    Une jeune palefrenière aux origines modestes prête à tout pour prouver à un entraîneur renommé qu'elle est une grande cavalière. Dès le début, on est surpris par le manque de fluidité du film, avec des illustrations sonores fort surprenantes, voire inadaptées, et des interprétations pour le moins inégales. Pas vraiment d'histoire, si ce n'est l'intrigue autour du très convoité Franz Mann (l'excellent Bruno Ganz) et le personnage de Joséphine de Silène (Josiane Balasko dans un jeu très subtil). Le film se laisse voir, si on est cavalier ou amateur de dressage éclairé.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 février 2012
    Heureusement, je n'ai payé que 6 euros.

    Le fond, la forme.

    Commençons par le fond.
    L'histoire en elle-même comporte des passages assez peu réalistes comme par exemple lorsque l'héroïne vole un cheval de 350000 euros (qui ne les vaut pas) et parcourt 900 kilomètres jusqu'en Allemagne sans se faire prendre ou encore lorsque cette dernière propose 10 ans de location d'un champ appartenant à son père ainsi que 10 ans de salaire en paiement d'un cheval. Invraisemblable. Ensuite, l'entraînement d'un cheval de haute compétition en pleine forêt durant 3 semaines. Oui, une carrière c'est pour faire joli.
    Ou bien encore une scène où l'héroïne essaye les bottes qu'elle vient de recevoir.
    Je ne parle même pas de la scène où Gracieuse se retrouve en couple avec le palefrenier qu'elle détestait et qu'elle ne peut toujours pas voir.

    Maintenant la forme.
    Cela commence assez rapidement avec une musique hors de propos (on se croirait dans Bernie d'Albert Dupontel) et un mixage plus que discutable où les guitares saturées empêchent même parfois d'entendre distinctement les propos des personnages.
    Les personnages sont particulièrement caricaturaux.
    Tout d'abord l'héroïne dont on peut se demander à l'occasion si elle ne souffre pas de problèmes mentaux (l'équithérapie a ses avantages, mais la présentation du film ne laissait pas suposer que c'en était le sujet) et qui a un vocabulaire d'insultes très limité fait de "vieille pute" et "planche pourrie". Bien.
    La fille de la propriétaire dont le caractère de "pétasse" est exageré.
    La propriétaire, femme riche qui abuse du pouvoir que lui confère son argent (et qui à l'occasion aurait pu se payer des cours de diction en anglais).
    Le personnage de la cliente anglaise totalement inutile dans cette histoire, étant essentiellement un prétexte à introduire une histoire de sexe entre elle et l'entraîneur, avec à l'appui, deux scènes dispensables dans le film.
    L'entraîneur, peut-être le personnage le moins irritant même si B. Gans devrait faire quelques efforts de prononciation.

    Les dialogues sont parfois irréalistes comme la scène où sur la route, Gracieuse (qui l'est assez peu doit-on avouer) récite une reprise de dressage pendant deux très longues minutes en regardant dans le vide et en balançant la tête d'avant en arrière... J'ai cru quitter la salle à ce moment là.

    La musique de John Cale n'est pas mal, mais ne correspond pas du tout au film.
    François Bégaudeau est cité comme conseiller pour le scénario. On se demande bien à quoi il a été payé.

    Les chevaux sont beaux, quelques critiques à faire, mais ils restent ce qui est le plus potable, ou le moins pénible devrais-je dire, dans ce film. Les cavaliers de dressage ne sont pas les plus antipathiques dans cette histoire, non, c'est au contraire l'insupportable héroïne ici.

    Bref, à éviter a fortiori depuis la fermeture de Megaupload.
    Je le classe dans les dix pires films que j'ai vu de ma vie.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    84 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2012
    Le film se déroule en France et en Allemagne, durant un concours hippique qui devient le théâtre loufoque et grand-guignolesque des rivalités et des ambitions à la limite du ridicule. Peut-être faut-il aimer beaucoup les chevaux (omniprésents dans le film) pour apprécier le film de la réalisatrice de Saint-Cyr. Car les scènes d’entrainement, de soins et de gala occupent en grande majorité l’espace de la narration, qui a aussi fâcheuse tendance à s’éparpiller et à s’étioler. Sport de filles joue beaucoup sur la pluralité des nationalités (française, allemande et anglaise) et provoque du coup la collision des langages : Gracieuse, sèche et peu aimable, ne fait aucun effort pour être sociable alors que l’entraineur, tiraillé entre sa compagne autoritaire (Josiane Balasko inattendue) et sa maitresse envahissante, se débat avec les subtilités de la langue de Molière. Petit à petit, le film bascule dans le burlesque (Gracieuse se retrouvant dans le coffre d’une voiture) et s’éloigne du coup de son intention initiale pour se concentrer sur la trajectoire atypique d’une jeune femme mal embouchée mais terriblement persuasive et résolue.
    Malgré le parti pris de l’action et le refus de psychologisation, ce sont malheureusement l’ennui et le désintérêt qui priment. Revêche et imprévisible, Gracieuse n’attise en rien la sympathie et son comportement nous parait puéril ou à peu près incompréhensible. Quant aux petites mesquineries qui se font jour pendant le concours allemand, il faut avouer que nous passons largement à côté. La lumière toujours remarquable de Caroline Champetier, la musique de John Cale et un casting bigarré (avec le suisse Bruno Ganz qu’on a vu chez Wenders) ne suffisent hélas pas à sauver le film dont on ne devine que par instants l’ambition et l’exigence.
    DarioFulci
    DarioFulci

    88 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 juin 2012
    Où Patricia Mazuy a t-elle bien pu avoir voulu nous emmener avec cette histoire d'effrontée au pays des chevaux ? Mystère. On ne comprend jamais les réactions outrées de tous les personnages, leurs intentions, leurs désirs, ce qui les anime. On est juste forcé de subir leurs soubresauts incessant en ne sachant pas par quel bout prendre l'histoire. Y a t-il une histoire d'ailleurs en dehors de notes d'intention pour chaque personnage ? on est en droit de se poser la question devant cet écran de fumée. Merci aux acteurs de défendre aussi bien leurs personnages. Malheureusement, ils n’empêchent pas notre intérêt de s'échapper à vitesse grand V.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 29 janvier 2012
    Que dire de ce film, sinon que je n'ai guère compris grand chose à l'histoire qu'il est sensé raconter... Peut-être un plaisir pour ceux qui aiment les chevaux et l'équitation. Ce n'est pas du tout mon cas, alors je me suis ennuyé fermé. J'ai même roupillé un peu. Les acteurs, même Bruno Ganz et Josiane Balasko (qu'on a vus plus inspirés) n'arrivent pas à remonter ce nanar, en particulier Marina Hands dont on se demande s'il lui arrive de sourire. Il faut dire que jouer dans un tel navet n'est guère réjouissant...
    Thierry M
    Thierry M

    137 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 janvier 2012
    J' avoue etre dubitatif sur ce film, il ya de belles images, mais on s'ennuit ferme.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    40 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2012
    Une jeune et belle palefrenière à l’esprit rebelle, qui ne vit que dans l’amour des chevaux, va convaincre une ancienne gloire des compétitions de dressage de lui donner sa chance, malgré la tyrannie de la propriétaire du haras. Cette belle histoire nous plonge dans un univers où s’affrontent les ambitions, les égoïsmes et les ressentiments, tout en nous initiant aux beautés d’un sport d’une rare exigence. Marina Hands, cavalière émérite dans la vie, était un choix évident pour la réalisatrice Patricia Mazuy, elle-même familière du milieu équestre. Il en résulte une crédibilité palpable dans toutes les scènes d’équitation et de la vie du haras. La mise en scène est enlevée et bénéficie d’une superbe lumière, mais ne peut cacher les faiblesses d’un scénario dont la fin est un peu bâclée, ni les outrances d’un Bruno Ganz qui surjoue en permanence.
    VOSTTL
    VOSTTL

    72 abonnés 1 812 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 décembre 2012
    Dans ce film, ils ont tous un sale caractère. Dans toutes choses, il faut avoir du caractère et certainement dans le monde de l’équitation et du dressage en particulier, cela demande un caractère bien trempé. Cela dit, ce film est pour les initiés, et aussi pour ceux qui veulent aller au bout de leur passion. Pour le reste, le film me semble manquer de caractère et me laisse à distance au point que l’histoire des protagonistes me laissent indifférent. Dommage. Marina Hands est crédible et l'on sent son véritable rapport au cheval.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 février 2012
    Il est aussi question de passion pour le cheval dans "Sport de filles" de Patricia Masuy, avec la très "classieuse" Marina Hands (César pour "L’amant de Lady Chatterley"). Elle y incarne Gracieuse, une fille revêche, simple palefrenière, qui rêve de monter un pur-sang… Elle essaie pour ce faire de convaincre par tous les moyens Franz (Bruno Ganz), ancienne "star" de l’art équestre, devenu dresseur mercenaire dans un manège tenu par une femme d’affaires (Josiane Balasko).

    Tout est à la fois prévisible et mal foutu dans "Sport de filles" : la progression dramatique, les ellipses pour raconter la quête de Gracieuse, la description des seconds rôles, la musique rageuse de John Cale… Seule Marina Hands, cavalière émérite, parvient à tirer son épingle du jeu. Mais ce n’est pas suffisant pour sauver le film du désastre.

    (source: http://www.rtbf.be/info/chroniques/chronique_take-shelter-la-force-du-cinema-americain-hugues-dayez?id=7497743
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