AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
2,4
13 titres de presse
-
Critikat.com
-
Les Inrockuptibles
-
Mad Movies
-
Chronic'art.com
-
L'Humanité
-
Les Fiches du Cinéma
-
TéléCinéObs
-
Ecran Large
-
Cahiers du Cinéma
-
L'Ecran Fantastique
-
Positif
-
Télérama
-
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Critikat.com
Dès ses prémisses, le récit s’engage dans une voie prévisible et ne s’en détourne pas. Shyamalan parvient pourtant à nous donner envie de suivre ce chemin une fois de plus.
Les Inrockuptibles
Shyamalan reste fidèle à lui-même : le rythme est lent, les dialogues susurrés, les gestes calmes, pour mieux faire déton(n)er les scènes d’action.
Mad Movies
Privilégiant dés qu'il le peut (c'est-à-dire 80% du temps) de superbes paysages naturels, assumant des choix drastiques mais logiques (...), le film adopte une mise en scène jamais tape-à-l'oeil, ne se préoccupant que de raconter son histoire de la façon la plus fluide possible.
Chronic'art.com
"After Earth" n'est ni un grand Shyamalan, ni un grand blockbuster. Il ne faut pas moins chérir, en attendant mieux, ces petites graines de croyance plantées dans le désert de plus en plus sec du cinéma hollywoodien casseur de baraque.
L'Humanité
Ce pur film de commande (...) n’est pas le ratage que la critique américaine (qui hait Shyamalan) décrit mais, malgré certaines belles idées visuelles, la leçon de morale style "tu seras un homme mon fils " paraît simplette.
Les Fiches du Cinéma
Smith père et fils excellent dans cet honnête divertissement familial.
TéléCinéObs
Science-fiction et écologie, bons sentiments et belles images… Rien de bouleversant, mais c’est sympathique.
Ecran Large
La chute de Shyamalan continue. "After Earth", c’est de la SF anti-spectaculaire, véhicule à la gloire des Smith. Pour de la série B, ça passerait mais là on parle d’un soit disant blockbuster.
Cahiers du Cinéma
Devant ce nanar de l’espace (…), demeurer inconsolable en constatant que se sont peut-être définitivement perdus le génie, la malice, l’inventivité et l’élégance de celui qui fut le plus grand cinéaste américain des années 2000, M. Night Shyamalan.
L'Ecran Fantastique
(...) N'y a-t-il (...) rien à sauver dans ce naufrage ? A part quelques beaux décors et un court moment d'émotion quand la maman aigle gémit devant ses petits déchirés par les fauves, rien.
Positif
Shyamalan reprend ici le message écolo à deux balles qu'il nous avait asséné dans "Phéomènes" (...) Will Smith semble avoir remisé au placard l'ironie et le second degré (...) et le fiston semble surtout jouer pour obtenir l'approbation du papa, à coup de moues boudeuses (...) Un naufrage.
Télérama
Tout ça finit par être aussi idiot qu'antipathique.
aVoir-aLire.com
(...) Une étrangeté qui ne répond à aucun canon commercial hollywoodien, préférant enfiler les clichés scientologues dans un enfer vert à l’arrière-goût mentholé.