Avis : Contrebande - Page 10

Tout est improbable dans ce film, l'action ne tient pas la longueur, les péripéties, je n'en parle même pas, les trahisons sont cousues de fil blanc, la femme qui revient de la mort dans son béton mieux vaut n'en pas parler.
Les acteurs sont inégaux mais ce n'est pas surprenant!!
Seule bonne nouvelle pour finir, il semblerait bien que le crime paie...

...Allez ne faisons pas la fine bouche...et de 3. Acteurs sympas,scénario facile à comprendre,action bien menée et calibrée,les méchants sont là aussi. Un petit bémol pour le rôle féminin SALE reste en arrière plan tout le long du film...dommage !!

Tout d'abord, le film Hollywoodien démarre avec très peu d'action, et un suspense quasi-inexistant. Le film décrit plus ou moins la vie des dealers, mais c'est le seul élément qui permet à ce film d'éviter le mot "navet" pour le qualifier. On aurait pu espéré un thriller qui brise les codes, et soit, un temps soit peu différents de centaines d'autres films semblables à celui-ci. Le film part sur de bonnes bases, car on n'y voit aucun cliché durant la 1ere heure du film. Et là, bada boum, dans les 20 dernières minutes, tout re-bascule dans le film qui "finit bien" et qui aura sans doute une suite ! spoiler: La femme qui c'est pris un lavabo, puis qui c'est à demis fait submerger par du béton, toujours en vie et en parfaite santé. Les méchants et les ripoux sont en prison...
Bref : déception total, malgré un certain espoir.

Que d’invraisemblances ! C’est-à-se demander si les scénaristes (ils s’y sont mis à 3 quand même) ont voulu, avec ce film, battre le record du scénario le moins crédible ! Le film est long pour un scénario à deux balles. D’ailleurs, vu le scénario déjà vu et revu, il est étonnant de voir que ce film est un remake d’un film islandais. Mais où sont passés les scénaristes d’Hollywood ? A part des remakes et des adaptations de livres, de comics, de faits réels, il n’y a pas grand-chose qui sorte des studios américains en 2012 avec un scénario vraiment original…
Il n’y a pas ici l’humour de « Big Hit » (1998) et « Braquage à l’italienne » (The Italian Job, 2003), deux films avec le même Mark Wahlberg dans le rôle principal sur le même thème du « gentil » truand qui n’a pas que des amis et qui fait un coup audacieux. Or, l’humour apportait une certaine fraîcheur aux films précités. Quand à Kate Beckinsale, elle joue dans ce film les utilités.
Pour donner une petite touche positive à ma critique, il est à noter la bonne retranscription de la vie quotidienne à l’intérieur d’un porte-conteneurs avec les rôles dévolus à chaque membre d’équipage. Je sais, ce n’est pas grand-chose comme touche positive mais je fais ce que je peux. Donc, pour résumer ma pensée, un film où l’on ne s’ennuie pas mais qui n’apporte vraiment pas grand-chose à ma vie de spectateur et encore moins au Cinéma.

Le milieu de la contrebande accorde sa légitimité à ce film puisque ce milieu est peu traité dans des films qui lui sont entièrement consacré donc cela éveille un intérêt chez le spectateur même si ici le mot d'ordre est réalisme et qu'il laisse peu de place à l'inventivité mais on peut être surpris par les tournures que peut prendre le scénario ! Pour ce qui est de la musique, elle est bonne et en ce qui concerne les acteurs, ils sont crédibles. Mais les personnages sont peu voire pas intéressants et la mise en scène légère au point qu'on a l'impression que le réalisateur déroule avec peu de conviction son histoire ce qui peut gâcher un peu le plaisir.

Doté d'un bon casting, "Contrebande" est une oeuvre assez intéressante. D'une part, les scènes d'actions sont bien présentes et réalistes grâce à une réalisation convainquante. D'autre part, le jeu de Mark Wahlberg est plaisant et passe bien avec le rythme du film. Par contre, le scénario est juste et le jeu des autres acteurs est parfois médiocre. Au final, on passe un bon moment devant un film d'action plutôt captivant mais pas inoubliable.

C'est un téléfilm de luxe, inférieur aux séries us d'anthologies comme breaking bad ou autres, que je n'aurais pas daigné regarder à la télé, mais que j'ai pu voir sans rechigner sur grand écran. Le minimum syndical de cohérence dans les péripéties est rempli. Les motivations des protagonistes relèvent même du film noir, loin des clichés testostéronés américains, code d'honneur des bandits, etc, on a une belle brochette de paumés qui s'adonnent à la violence par prédation sociale, dépourvus d'existences sensés, se conformant au culte de la brutalité banale. J'ai apprécié l'hommage à Il était une fois en Amérique, un des meilleurs film de l'histoire du cinéma, dont les fans reconnaîtront le clin d'oeil, plutôt salé... Pour le reste cette contrebande ne passera pas la douane du temps, et s'oubliera vite. Avez-vous 2H a tuer? Bang Bang. Et la lumière se rallume.

Excellent film du genre, les acteurs sont bien sympa, la réalisation est très efficace. Le scénario est bien construit pour captiver du début à la fin. L'intrigue est plutôt bien faite également. Les séquences sont de qualités. Un bon film qui assure un bon moment.

Contrebande serait beaucoup plus agréable pour le public s'il était un peu plus plausible et que son histoire avait un peu de sens. Mais ce n'est pas le seul problème avec ce film le problème est le manque de fluidité de l'histoire et la pire narration que j'ai jamais endurée. Il est mauvais à bien des égards et il obtient juste une étoile pour une confrontation entre Mark et Ribisi. Les acteurs semblent vraiment déplacés et Farraday ne semble jamais ressentir d'urgence tout au long de cette histoire bien que sa femme et ses enfants soient en danger et que Ribisi continue de le menacer. En l'état actuel des choses ce film est vraiment une blague et le réalisateur Baltasar Kormákur doit soit penser que nous sommes dépourvus de QI soit avoir sniffé beaucoup trop de coke en écrivant son scénario...

Un film que l'on peut scinder en deux parties : la première, relativement insipide et très longue voire ennuyeuse et la seconde, bien plus intéressante et qui nous sort de l'état de léthargie instaurée par la première. Cela reste un film d'action de bonne facture ponctué de péripéties parfois faciles dans lequel les acteurs sont bons mais voilà, c'est du déjà vu et le visionnage peut attendre la sortie DVD.

Contrebande est un très bon film malgrè un scénario assez basique car le jeu d'acteur est plutôt bon (Mark Wahlberg, Kate Beckinsale.....) et on ne s'ennuie pas une seconde durant le film, il y a peu de longueurs. Ne vous fiez pas aux différentes notes mitigées, foncez le voir, vous passerez un bon moment !

Bon je l'ai vu un peu avant, dans un avion sur un écran fauteuil. Par conséquent je me contenterai de critiquer uniquement le scénario et pas trop le rendu. Mais je pense que même sur grand écran ce film est nul. Le scenar est lourd et pas crédible, un film thriller/action qui n'en est pas un, des incohérences
partout. À l'époque j'avais vu Xmen dans un avion bah c'était tout de même bien, la c'est pas le cas.

Un très bon casting,le suspens est présent du début à la fin, on ne s'ennuit pas une seconde !!! Mark est vraiment bon dans son rôle, on se met vraiment dans la peau du personnage.

Exemple parfait du polar dont on n' attend pas grand chose, Contrebande est plutôt une bonne surprise. Pas de surenchère inutile ( juste un braquage de camion blindé pour faire son Michael Mann ), des acteurs qui font le boulot, un décor inhabituel ( Panama ) et une utilisation inusitée de l' art contemporain, le tout ne bouleverse pas le 7ème art mais comme la critique institutionnelle est à Cannes pour s'extasier sur le nouveau Carax, c'est à nouz'ot, cinéens de fond de cale de signaler que ce genre de film pas honteux existe aussi.

En ces temps cannois où nous partons à la pêche aux films uniques, frémissants d'impatience à l'idée de subir une énième claque cinématographique, il n'est pas si mal de retrouver son train-train quotidien. Installé convenablement (ou presque) dans une petite salle de province, on découvre sans illusions le nouveau film de Mark Walhberg. Ça tombe bien, il pleut dehors et on a pas très bien dormi, alors apprécions la simplicité du geste. Dans ces conditions là, on ne se croirait ni à Cannes, ni au mois de mai, et pourtant on ressort de la salle satisfait. Il faut savoir deux choses primordiales sur Contrebande : Premièrement, ça ne révolutionne pas le thriller, deuxièmement : On s'en fout, parce que c'est pas mal quand même. Comme un épisode des experts, on sait à quoi s'attendre, et c'est pour ça qu'on regarde, parce que ça fonctionne.

Dans cette histoire de père de famille à la droiture étonnante (sic), contraint de revêtir son habit de parfait bandit, on y entremêle dettes, trahisons et suspens, pour un ensemble qui, à défaut d'être surprenant, ne s'essouffle jamais et nous plonge dans une course contre la montre effrénée et jouissive. Certes on pourrait regretter le côté parfois trop contenu de Farraday (Wahlberg), même si il a ses petits punchs, qui en fait le héros-type à la fois trop lisse et trop parfait. L'ensemble quant à lui est plutôt explosif, et cette double-trajectoire qui relie Farraday et sa femme, séparés par quelques bouts d'océans, s'avère d'une efficacité sans partage tant la tension s'immisce au sein de l'intrigue pour conférer aux deux parties cette intensité caractéristique, à base de coups de fils perdus entre deux balles tirées. Il n'y a pas de passivité, tout le panel de personnages est exploité à bon escient, il n'y a ni faire valoir ni inutilités, et à aucun moment le scénario ne s'encombre de temps morts. S'il y a évidemment quelques simplicités et une difficulté à atteindre les sommets sur certaines séquences, l'évolution de l'histoire et la manière de la raconter ne faiblit à aucun moment.

En plus d'être une histoire de trafic avec tout ce que ça comporte (élaboration de plans, distribution de rôles et action constante) c'est aussi et surtout une histoire de famille. La confiance, la trahison, l'amour, ce cocktail de sentiments incertains contient les personnages dans une peur continue, celle de faire les mauvais choix, celle de franchir la ligne finale, la ligne qui pourrait tout changer. Et le jeu psychologique sur ces sentiments est retranscris avec beaucoup de nervosité, assombrissant le tableau au fil des minutes pour promettre un final en apothéose (qui ne vient pas vraiment mais on ne peut pas tout avoir). S'il est évident que, comme le dévoile la fin du film, on a du mal à franchir la limite cinématographique entre le convenable et le plus que convenable, nulle doute que dans son élaboration et son exploitation, Contrebande ne saurait pas mieux justifier son titre, son affiche, son casting, son pitch. Difficile d'être déçu devant ce thriller basique mais efficace, qui nous fait renouer avec une certaine simplicité. Et puis, tant que Walhberg est aussi doué et Beckinsale aussi sublime, on prend sans rechigner. En espérant que demain il fasse un peu plus beau malgré tout...

En fin de compte Contrebande c'est un peu comme un coup moyen après une longue relation, c'est du déjà vu mais on prend son pied quand même. Et il faudrait que j'arrête les métaphores vaseuses.