Avis : Contrebande - Page 6

Dans de nombreux cas , la volonté de réaliser un remake de certains films ont très peux d'intérêts, cependant que l'acteur du film original a envie de donner une seconde vie à un scénario très bien écrit.
Contrebande est certes pas une révolution dans les films d'entraide entre frères mais l'ensemble reste très intéressant et l'interprétation de Mark Whalberg est vraiment une réussite.
Malgré une fin connue d'avance, ce film est la preuve qu'il nécessaire pour certains films d'avoir une seconde vie, même si celle-ci fut un fiasco car peux de personnes non suivit les aventures de ces contrebandier.

Ce film est étonnant car ç est à la fois un banal film d actions et également un film divertissant ! Ç est sur que l on va très vite l oublier car il n a rien d exceptionnel mais on passe tout de même un bon moment en le regardant.
Mark Walberg joue plutôt pas mal et porte le film sur ses épaules, Kate Beckinsale n a par contre pas un rôle à la mesure de son talent.

Même avec quelques potes, des bières et des pizzas, le film vous laissera dans un état de perplexité inexorable si vous avez plus de 13/14 ans. Mais pourquoi faire encore des films aussi banals ? Une énième histoire de truand qui s'est rangé et qui promis s'y remet mais juste pour cette fois parce que c'est pour sauver le frère de sa copine alors quand même c'est une bonne raison non ? C'est... comment dire... un film américain, dans ce qu'il y a de plus péjoratif à utiliser ce terme. Et pourtant malgré un ennui certains on dénotera le savoir faire inhérent a ce genre de production (mais bon, ils ont un bon entrainement à la base aussi vu que des films comme ça ils en sortent tous les mois). Passez votre chemin.

C'est toujours difficile, quand on est un truand, de ne pas replonger après avoir repris le droit chemin. On se souvient par exemple des efforts incommensurables fournis par Mark Ruffalo dans "Boston streets" pour résister à cette tentation. Ici, c'est Mark Wahlberg qui a du mal à échapper à ce passé qui lui colle à la peau et qui l'entraîne dans des aventures fort rocambolesques mais ô combien paliptantes. En effet, si le scénario de "Contrebande" est d'une faiblesse insigne, sa caractéristique principale est cependant de nous offrir de nombreux rebondissements plus ébouriffants les uns que les autres. De fait, on ne s'ennuie pas une seconde dans ce film musclé à couper le souffle et finalement imaginatif. Dans ce qui est apparemment une adaptation d'une oeuvre nordique (qui devait donc elle aussi bien dépoter), on peut aussi s'amuser des personnages créés par Giovanni Ribisi, savoureux en petite frappe tatouée et barbue ou J.K. Simmons dans le rôle de ce capitaine pas si honnête que ça. A leurs côtés, la jolie Kate Beckinsale a elle malheureusement la place de la potiche. Mais bon, de la contrebande comme ça, moi j'en veux tous les jours !

Encore un film de braquage sans surprises et sans saveurs. Hollywood met un point d'honneur à produire de plus en plus de films prévisibles, codifiés à l'extrême, et dont le scénario suit un chemin bien tracé. A partir de là, plus rien ne nous étonne, il n'y a plus de surprises, et on passe notre temps à regarder un film basique, teinté de valeurs américaines de religions et de familles. Prises de vues aériennes, musiques angoissantes, scènes de nuit... c'est d'une banalité à mourir d’ennui.

un film de série B avec de l'action et un scénario prévisible, mais peu convaincant avec un jeu d'acteurs moyen et un doublage détesatble dans sa version VF. A regarder un jour de pluie pour se changer les idées.

Sur un canevas scénaristique ultra-revisité à la "60 secondes chrono" (un ex-taulard décide de replonger pour rembourser les dettes de son frangin à un gros bonnet de la drogue), l'artiste touche-à-tout islandais Baltasar Kormakur adapte "Reykjavik-Rotterdam", film pour lequel il avait joué le rôle principal.
Ici, c'est Mark Wahlberg qui s'en charge, non sans démériter. A ses côtés, le casting joue les utilités, et c'est d'autant plus dommage quand il s'agit de Kate Beckinsale la vampire, Ben Foster (otage de l'ami Bruce) et J.K. Simmons ("Spiderman, "Ladykillers" des frères Coen, "Les chèvres du Pentagone" avec Clooney, ...) notamment.
Ainsi dominé par le gros-bras Mark, "Contrebande" s'inscrit dans la lignée de la petite série B d'action soignée grâce au montage nerveux et au rythme mené tambour battant par le réalisateur. Ce film américain ne se démarque pas des autres films d'action à tendance litigieuse mais s'octroie le plaisir de nous accompagner sans aucun remord jusqu'au bout de ses deux heures. Quand un petit film prend la peine de nous divertir, pourquoi rechigner ?
Mark et Baltasar, revenez !

Un très bon film d'action. On ne s'ennuie pas une minute, les rebondissements sont multiples, les scènes d'action très bien filmées. Mark Whalberg est en pleine forme. On suit avec interet cette opération de contrebande qui se révèle pleine de dangers. A conseiller !!

Un bon petit film d'action, qui ne restera certes pas dans les annales, mais vous fera office d'un excellent divertissement un soir. Le rythme est bon, le scénario et les acteurs, corrects.

Le réalisateur baltasar Kormakur est un célèbre réalisateur islandais pourtant inconnu du public mais Hollywood a su l’appeler pour sa constance dans la mise en scène de haut niveau et il était ainsi le meilleur pour proposer quelque chose de sérieux avec Contrebande. Il va devenir le roi du remake après avoir été le personnage principal dans Reykjavik Rotterdam qui est ici une sorte de version original de Contrebande, polar façon old school très efficace que ce soit du côté de la réalisation avec un réalisateur très efficace que du côté des acteurs, en effet le casting comporte de belles gueules comme il n’en reste presque plus dans le cinéma. Certes le film ne laissera pas sa trace dans les films d’actions mais aura l’avantage d’être très efficace. La première scène du film très bien montée se rapproche de celle de Miami Vice mais en plus sombre, le film se construit tel un polar classique mais très efficace, on retrouve certes le schéma habituel de ce genre de film, le sujet ici se rapproche fortement de celui de Killer Elite, ainsi Contrebande pourrait décevoir sur ce point mais il reste d’une efficacité impressionnante porté d’autant plus par un casting très impressionnant avec un Mark Wahlberg en tête d’une bande qui montre ici de la contrebande dans son ensemble sans une quelconque surprise particulière mais se rapprochant de l’excellent Ocean’s Eleven, très bien maitrisé. Le passage au Panama reste les scènes les plus maitrisées du film et les plus impressionnantes, à savoir la scène de la fusillade suivie d’une course poursuite de haut vol mais comme le réalisateur a cherché l’efficacité, cela fonctionne sans souci et le public ne peut qu’être que conquis. Contrebande réussissant le pari de maitrisé aussi bien l’action que le thriller, ne révolutionne certes pas le genre mais peut au moins se poser en modèle, dommage que l’aspect dramatique soit négligé ainsi seul la dernière scène ne provoque un brin de d’émotion. Contrebande n’est ici que pour nous offrir du bon spectacle et de ne pas se focaliser sur les détails inutiles au bon déroulement de l’intrigue en béton. On peut aussi regretter que tous les acteurs ne soient pas mis en avant, comme Kate Beckinsale qui est mise en avant que sur l’affiche ce qui est bien dommage pour une actrice qui ne fait que traverser le film de bout en bout, mais ce n’est hélas pas la seule, en effet Caleb Landry Jones qui doit arriver bientôt sur nos écrans avec un nouveau film (Antiviral) a du mal à s’imposer, seul 2 acteurs portent tout le film : Mark Wahlberg bien entendu qui assure ici un rôle parfait de costaud et qui devient de plus en plus excellent dans ces films, Ben Foster qui fait des ravages avec sa gueule d’ange. Contrebande est donc un bon film comprenant aussi bien de bons moments que de mauvais le tout porté par des idées sympas du réalisateur qui propose une véritable identité graphique proche par la photographie de Green Zone, Démineurs. Dommage que le film comporte quelques défauts très handicapant au final, quelques longueurs et quelques plans assez horrible.

Plutôt moyen ça reste un film agréable à regarder avec un thème originale et peu utilisé, le rythme est plaisant mais manque cruellement de moment fort. Mark Wahlberg vraiment excellent encore.

Baltasar Kormàkur arrive aux États-Unis pour refaire à la sauce hollywoodienne le polar islandais dans lequel il s’est fait connaitre. Son histoire tristement basique digne d’une série B de faible qualité parvient à garder en haleine grâce au montage rythmé avec lequel le réalisateur néophyte nous le présente. A la vue du casting, on peut supposer que les studios ont misé beaucoup sur cette petite histoire de trafiquants, en effet Mark Wahlberg va inéluctablement ameuter les jeunes amateurs de polars musclés. Cependant le jeu excessif de Giovani Ribisi a de quoi rapidement énerver. Bref, ce film sans surprise peut laisser supposer, qu’avec un meilleur scénario, le jeune réalisateur islandais pourra nous émerveiller… ou pas.

Remake amerloque du petit thriller islandais Illegal Traffic (Reykjavik - Rotterdam) sorti tout juste récemment en DVD, Contrebande est le type de film simple mais efficace, au pitch cent fois abordé et dont le seul intérêt véritable réside dans son casting plus ou moins luxuriant. Car il faut admettre que sans Mark Wahlberg, Kate Beckinsale, Giovanni Ribisi et Ben Foster, le long-métrage n'aurait sûrement pas fait autant de bruit. Calquée sur 60 secondes chrono (avec Ribisi d'ailleurs !), l'intrigue suit le retour au banditisme pour un ex-contrebandier obligé de rembourser comme il peut la dette que son jeune beau-frère doit à un petit caïd nerveux. Pour se faire, il va monter une petite équipe et tenter de faire passer quelques millions de dollars en fausse-monnaie depuis Panama. Bien entendu, tout ne se passera pas comme prévu et coups fourrés, traitres et imprévus vont mettre des bâtons dans les roues de notre héros. Le scénario est d'un classique vu et revu mais le tout sonne plutôt juste, boosté par la mise en scène dynamique de Baltasar Kormákur, alors acteur dans le film original (chose plutôt rare), qui nous assène de quelques séquences d'action aux plans léchés histoire de rentrer dans le moule hollywoodien. Pour le reste, le film est un poil longuet, pas forcément prévisible mais peu intéressant et sans réel panache. Dommage, l'idée avait l'air intéressante.

Quand on ne s'attend à rien on ne peut pas être déçu, quoi que... En tous cas le coup du Jackson Pollock de ce film va me rester c'est sur, du grand n'importe quoi (une bâche ?), le reste c'est beaucoup moins sur. En fait c'est juste l'histoire de notre bon vieux Mark Wahlberg qui reprend les grandes lignes de son rôle dans The Yards du beaucoup plus prestigieux James Gray que ce Baltasar Kormákur (réalisateur j'entends bien). Cette fois-ci l'histoire est axée sur la contrebande maritime, c'est le point original du récit (avec tout le vocabulaire et aspects professionnels du milieu que cela exige). Le reste est du déjà vu, le gars forcé à se ressalir les mains. Si au début on peut se demander encore s'il s'agit d'un film méritant, la fin fait plonger tout ça dans la case téléfilm américain ultra dispensable. La femme et mère de famille est victime d'un véritable acharnement pour les besoins de l'intrigue, j'ai juste trouvé ça lourd et assez reculé comme image de jeune femme en détresse qui ne peut pas s'en sortir sans la protection de son mari, blasant. Ce film obtient une vingtaine de minutes assez prenante, le reste est soporifique et l'ensemble jamais bien qualicatif.

La seule originalité de « Contrebande » est qu’il est le remake du film « Reykjavik-Rotterdam » dont le rôle principal était tenu par Baltasar Kormàkur, devenu réalisateur pour ce remake américain ; pour le reste rien que du déjà vu. On suit les péripéties d’un ex-contrebandier rangé des voitures qui pour sauver sa famille va reprendre du collier, on le voit la base du scénario n’a rien de follement original. S’en suit une heure cinquante d’action, de suspens et de retournements de situations qui ne sont pas sans rappeler des films comme « Soixante minutes chrono », « Braquage à l’italienne » (avec Mark Wahlberg) ou la série des « Ocean’s ». On notera quand même le casting riche en têtes connues : outre Mark Wahlberg et Kate Beckinsale, tous deux habitués des films d’actions, on retrouve les seconds couteaux Ben Foster (« 3h10 pour Yuma »), Giovanni Ribisi (« Avatar »), Lukas Haas (« Le chaperon rouge »), Diego Luna (« Et… Ta mère aussi ! »), J.K. Simmons (de la série « Oz » entre autre) et David O’Hara (de la série « Les Tudors »). L’ensemble donne un film très divertissant qui tient le spectateur en haleine avec des péripéties évidemment tirées par les cheveux, des personnages pas trop caricaturaux et un happy-ending gentiment amoral. Un divertissement tout en action et suspens (modéré par le fait que l’on sait que tout est bien qui finit bien !) qui remplie bien son contrat sans en faire plus et qui comblera les fans du genre et ceux à la recherche d’un film pas trop compliqué. À voir pour se détendre, mais sans en attendre davantage