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    A moi seule
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    3,0
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    48 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 février 2013
    Le sujet était en or, mais il n'a pas été exploité. Ce film fait très amateur. L'interprétation sonne faux. La musique est suffisamment mauvaise pour le préciser. Le scénario est maladroit et ennuyeux, tout comme cette fin sans intérêt.
    defleppard
    defleppard

    316 abonnés 3 249 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 février 2013
    Une jeune fille est retenue malgré elle pendant plusieurs années par un homme dans une cave. Ton ennuyeux et neutre de ce film le rend assez transparent. 1 étoile.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 2 février 2013
    un film lent qui se borne a transposer à l'ecran une histoire d'enlevement.
    aucun lieu
    aucun personnage
    aucune date

    on reste sur sa faim malgré le jeu magnifique de agathe bonitzer qui tient a elle seule le film sur ses épaules

    dommage car l'idée de depart etait bonne, mais a ne pas vouloir prendre parti, le spectateur se laisse emporter par le courant
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 février 2013
    Quand l'auteur dit qu'il n'a été en aucun cas influencé par un autre fait divers je dis qu'il ment, car, tout le monde se souvient la jeune fille qui a été enfermée dans la cave par son père pendant de très nombreuses années ( et dont il lui a fait 6 enfants), il est tout a fait normal que le subconscient en soit influencer sans que l'auteur ne s'en rende compte... Pour moi le film est beaucoup trop lent et manque d'une réelle profondeur, en plus j'ai vraiment pas aimé cette actrice qui avait plus l'air d'une ado révoltée par une vie de con, que par une jeune fille séquestrée 8 ans. Film lourd quoi qu'il en soit, juste pour les cinéphiles. Je note 1 étoiles sur 5.
    Cluny
    Cluny

    66 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2012
    Frédéric Videau raconte ainsi la genèse de son film : "Ce qui m'intéressait, c'était de partir du choc que j'ai éprouvé devant l'interview de cette fille (Natascha Kampusch) à la télévision. Au bout de quelques secondes, je n'écoutais plus ce qu'elle disait, je la regardais et les questions se bousculaient dans ma tête : comment pouvait-elle être aussi forte, souriante et pleine de vie après ce qui lui était arrivé ?" Précision importante, car elle dissipe une interrogation qui plane sur un tel sujet : peut-on faire un film d'une situation aussi sordide, et comment montrer la relation entre le bourreau et sa victime sans tomber dans le voyeurisme malsain ? Même si l'histoire autrichienne reste forcémenr présente dans la tête des spectateurs comme elle a dû l'être dans celles des membres de l'équipe du film, il s'agit d'une autre histoire, une fiction comme le rappelle le panneau qui apparait au début du film.
    Deuxième précision nécessaire : le sujet du film n'est pas uniquement le rapport entre Vincent et Gaëlle, et encore moins son issue, puisqu'on nous montre la libération de la jeune fille dès la deuxième scène, avec d'emblée toute l'ambiguïté qu'elle recèle : Vincent a-t-il laissé la porte ouverte intentionnellement ? Que signifie cet arrêt de Gaëlle quand elle se trouve au bout de l'allée et qu'elle regarde Vincent, ou plutôt le spectateur qui est à sa place ? Il existe au moins trois films qui racontent l'histoire d'une jeune fille ou d'une jeune femme séquestrée par un homme : "Contre toi", de Lola Doillon, "La Piel que habito", de Pedro Almodovar, et "La Drôlesse", de Jacques Doillon. Dans les deux premiers, la motivation du kidnappeur est la même : la vengeance. La motivation de François dans "La Drôlesse" peut sembler se rapprocher de celle de Vincent, a savoir un besoin d'échapper à sa solitude. Je dis "peut sembler", car, et c'est une des forces du film, on ne sait finalement pas grand chose des motivations du bourreau.
    Vincent, interprété tout en finesse par Reda Kateb (" Un Prophète", "Mafiosa"), annonce dès le premier jour les règles qu'il a fixées : il ne touchera pas Gaëlle et il lui fournira tout ce dont elle aura besoin, mais il la punira d'isolement dans sa cave à chaque tentative de se soustraire à son autorité. Il lui procure livres, DVD, ordinateur, lui fait la morale quand elle refuse de manger ou qu'elle déchire un livre, et il lui fait même faire des dictées, en les prolongeant jusqu'à ce qu'elle écrive un paragraphe sans faute. Comme Natascha Kampusch emmenée de force au ski par son ravisseur, elle apprend même à conduire la nuit. Ponctuée des éclats de la violence de Vincent, cette relation butte sur la résolution de Gaëlle de refuser d'en accepter le principe. Et si s'installe à la longue une relation de vieux couple, lui racontant les discussions à la scierie sur l'annualisation du temps de travail, elle parlant de sa dernière lecture ("La Rivière de sang", de Jim Tenuto), Gaëlle réaffirme à chaque fois que la normalité de ce quotidien étrange semble s'être installée qu'elle partira à la première occasion.
    Tout cela, nous le découvrons progressivement à la lumière des souvenirs qui reviennent en flashbacks, pas forcément dans l'ordre chronologique, reconstitué grâce à l'évolution des teintures de la chevelure de Gaëlle. Et ces souvenirs émergent en regard de l'après qu'est en train de vivre la jeune fille, marqué par sa difficulté à reprendre une place après huit ans ("Ca fait combien, en francs ?"), et par la difficulté de ses proches à sortir de leur tristese et de leur culpabilité. Le père, remarquablement joué par Jacques Bonaffé, et la mère, tout aussi bien incarnée par Noémie Lvovski, n'arrivent pas à voir dans cette frêle jeune femme de 18 ans la petite fille de 10 ans qu'ils croyaient à tout jamais perdue, et tous parlent de son ravisseur comme d'un monstre alors qu'elle même éprouve de la culpablilité à pouvoir s'en souvenir autrement. Cette difficulté à vivre sa libération évoque un autte film, "Rapt" de Lucas Belvaux sur l'enlèvement du Baron Empain.
    Le film repose sur Agathe Bonitzer, à qui Frédéric Videau a pensé dès l'écriture du rôle. Elle impose son personnage avec une intensité bouleversante, renvoyant à tous ceux qui s'apitoient sur elle une forme dérivée de la violence de Vincent, et suggère par un regard ou un silence toute la palette des émotions qui habitent son personnage d'écorchée vive. La très belle photographie hivernale renforce une message implicite, en opposant la froidure des scènes du monde extérieur à la chaleur relative de la maison de Vincent, et ayant soin de jouer la complémentarité des teintes dominantes avec les différentes teintes de la chevelure de Gaëlle. Film à la fois dérangeant et passionnant, "A moi seule" révèle une étonnante maîtrise pour un deuxième film, et offre indéniablement une des bonnes surprises de ce début d'année.
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 10 mai 2012
    Une relation très intéressante entre les protagonistes, malheureusement le spectateur ne ressent rien des personnages, il fait face à
    deux inconnus du début à la fin. Dommage.
    traversay1
    traversay1

    3 147 abonnés 4 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 avril 2012
    Contrairement au film autrichien Michael, très éprouvant, A moi seule ne traite pas que de la séquestration d'une jeune fille pendant longues huit années. Il commence par sa libération et ce n'est pas fortuit, le thème de sa reconstruction ayant au moins autant d'importance sinon plus pour le réalisateur, Frédéric Videau, qui conclut par une très belle scène en train, synonyme de prise en main de son destin par l'adolescente. Entre temps, le film se déplace entre deux prisons, celle du dehors n'étant pas moins oppressante que celle du dedans. D'où son ambigüité, qui est à son paroxysme dans les scènes qui opposent le ravisseur à sa victime. Une relation étrange, quotidienne, faite de rares accès de brutalité, mais surtout de partage et de rapports de force qui ont parfois tendance à s'inverser. Des rapports fascinants dans lesquels la sexualité semble absente au point que l'identité du bourreau devient opaque et que le syndrome de Stockholm semble rôder. Mais rien n'est moins sûr. Quelques incohérences, des flashbacks en trop grande quantité, brouillent encore davantage le message du film, qui contient en lui une égale dose de douceur et de violence. Il fallait de très bons interprètes pour retranscrire les incertitudes d'une histoire qui aurait pu être désincarnée. Agathe Bonitzer et Reda Kateb sont tout bonnement parfaits dans des rôles excessivement équivoques.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 avril 2012
    Pas de jugements (ou si peu), pas non plus de réponses aux questions que se pose le spectateur tout au long du film. Mais de simples constats. Et un regard et une distance justes pour nous laisser percevoir le lien qui existe entre Gaëlle et son ravisseur et ce que ces années de captivité ont pu provoquer chez l'un comme chez l'autre.
    Un film fin.
    mamouthmatt
    mamouthmatt

    11 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 avril 2012
    Une très belle réalisation qui nous fait penser à l'histoire de Natacha kampusch enlevée par un homme dans son enfance et qui en était tombée amoureuse. C'est un film poignant et touchant, les deux personnages reflètent parfaitement les sentiments paradoxaux que l'on peut ressentir ainsi que ceux de la famille complément démunie face à ce drame. Un film à voir
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 avril 2012
    Il n'a pas fallu attendre longtemps pour que sorte le premier film inspiré par la sordide affaire Kampusch. Et on annonce déjà le tournage d'un second... Frédéric Videau nous livre sa version du syndrôme de Stockholm dans un film bien construit, facile à suivre malgré une série de retours en arrière. Par contre, l'invraisemblance de plusieurs situations saute aux yeux : l'escapade nocturne avec la psychiatre, la scène dans le train, entre autres. Le ravisseur est un pédagogue, il explique à sa prisonnière la durée annuelle du temps de travail, lui fait faire des dictées pour améliorer son orthographe. On finit par le trouver sympathique, ce kidnapper, on le plaindrait presque d'avoir pour captive cette petite garce de Gaëlle. Videau semble avoir eu quelque peine à conclure son film, il s'en tire par une pirouette pas très réussie.
    pierrepp
    pierrepp

    13 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 avril 2012
    la relation entre les 2 protagoniste est passionnante , grâce en particulier à l'échange vibrant des 2 acteurs. J'aime ce cinéma français intelligent. Un réalisateur talentueux à suivre...
    ml-menke
    ml-menke

    35 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2012
    A moi seule est avant tout un film d'interprétation de Reda Kateb époustouflant et Agathe Bonitzer toute en retenue. L'adaptation de fait réel au service du cinéma n'est pas aisé à produire. L'émotion passe bien et le doute quand à la déontologie est semé. spoiler: L'ouverture de la fin illustre l'inconnu du futur c'est un bon choix.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 avril 2012
    Alors que se prépare malheureusement une adaptation du livre de Natascha Kampusch, Frédéric Videau ne fait que s'en inspirer lointainement pour signer "A moi seule". Et le résultat est une très bonne surprise. Tout d'abord, Videau a trouvé le bon ton pour parler d'un fait divers comme celui-ci : pas de pathos, pas de surplus d'émotion racoleuse, mais pas non plus de froideur excessive ou de cynisme. Bien qu'assez exigeant, "A moi seule" est de fait un film plutôt agréable à regarder, chose qui peut a posteriori paraître gênant étant donné le sujet. C'est également un bon exemple de scénario qui parvient à jongler entre présent et passé sans lourdeurs. Après l'évasion, l'histoire de Gaëlle est faite de rencontres divers et variées (ses parents, un ancien ami, une femme dans le train), qu'on ne revoit plus par la suite, mais qui laisse chacune un souvenir tenace dans l'esprit du spectateur. Si la réalisation est conventionnelle, c'est également parce que "A moi seule" est un film d'acteurs : Agathe Bonitzer, avec ses faux airs de Charlotte Gainsbourg, est impressionnante, tout comme Reda Kateb, ou bien encore Noémie Lvovsky, dans un rôle certes court mais qui est probablement son meilleur. Maîtrisé de A et Z (y compris dans sa musique), "A moi seule" est une des meilleurs surprises françaises des derniers mois.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    108 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2012
    A moi seule est drame sur une jeune femme qui retrouve la liberté après huit années de séquestration. Un fiction courageuse mais... qui reste nébuleuse..
    Julien D
    Julien D

    1 118 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 avril 2012
    Ce film permet davantage de mettre face à face deux superbes espoirs du cinéma français, Agathe Bonitzer et Reda Kateb, que de mettre en image le drame inhérent à ce fait divers abject. La relation entre la victime et son ravisseur est parfaitement dépeinte grâce à un travail sur leurs psychologies tourmentées qui prend le pas sur une banale dénonciation manichéenne, la narration faisant totalement l’impasse sur les motivations de ce kidnappeur aussi violent que paternaliste envers la jeune Gaëlle. Ce ton neutre est dérangeant mais intéressant à suivre bien que le scénario ne semble, sur la longueur, suffisamment abouti pour lui donner une réelle finalité.
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