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Slang
14 abonnés
537 critiques
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4,0
Publiée le 22 août 2011
Le roi des ronces , un mélange de film de survie et de film fantastique . Premièrement l'histoire est original et détaillé , les animations sont belles , il y a de l'action et du suspense . Mais on est perdu par moment dans l’histoire qui prend une tournure que je n'ai pas vraiment apprécié.
Dans cette histoire, l'environnement réel et imaginaire des personnages se mélange. Cependant l'histoire est tordue, difficile à comprendre et mal racontée. Un éclaircissement rationnel aurait parfois était préférable à une description confuse et poétique de la relation entre les 2 sœurs. Finalement, le croisement des raisons scientifiques de la maladie, du conte et des relations affectives est parfois maladroit. La magie opère quand on y est indifférent. La fin laisse dubitatif, on a l'impression que la maladie était une vaste blague, qu'on vit dans un rêve et qu'après cette mauvaise aventure il faut tout simplement retourner à la maison.
Un anime dont le scénario est un mélange de "Resident Evil" et de "Pitch Black" (par exemple Marco fortement inspiré du personnage de Riddick). Même si le film est fortement inspiré des survival horror à l'américaine (un groupe d'une dizaine de personnes qui se fait décimer membre après membre, bref du déjà vu et on peut même deviner dès le départ dans quel ordre les membres vont se faire tuer et qui va survivre tellement ce genre est codifié). Néanmoins les dernières 30-40 minutes du film se révèlent surprenante et le twist final particulièrement réussi.
L'univers est fantastique et ravira ceux qui aime la SF (au ceux qui ont aimé Akira), l'intrigue nous tient en haleine et les personnages ont un réel charisme. J'ai beaucoup apprécié.
Une anime magnifique, profonde, sur le sens des rêves et de la réalité. UN joli moment de science-fiction où une enfant blessée refait vivre sa soeur jumelle perdue à travers un rêve pour ne pas la perdre. Quant à ceux qui n'ont rien compris, greffe de neurones à envisager
"Incompréhensible" Voilà ce que je me suis répété tout le long du film. Franchement à éviter, sauf pour ceux qui aiment se prendre la tête pour quedal.
survival horor métaphysique comme je les aimes ! l' animation est soignée, les personnages sont assez profonds et travaillés pour être aussi passionnant qu'un film live! il y a de la tenson et de l'action comme dans un Pandorum ou un alien.Toute une partie onirique surprenante et assez géniale, une fin du monde annoncé, la poésie en plus! une belle réussite!
Graphiquement beau et avec des personnages intéressants quoique stéréotypés. Mais scénario vraiment pas évident à suivre passé les 2/3 de cet animation. Dommage :-(
Tiré du manga éponyme de Yuji Iwahara, Le roi des ronces est une surprise de taille qui nous arrive du Japon un an après sa sortie originelle (chose finalement rare). Composé d'une équipe technique haut de gamme, le long-métrage est visuellement irréprochable, la réalisation de Kazuyoshi Katayama (Appleseed) étant fluide, étincelante, mélangeant comme il se doit animation 2D traditionnelle et magnifique 3D, donnant des travelings de toute beauté. Ce qui fait donc la force du long-métrage, c'est son uniformité et sa parfaite cohésion des styles, soignant aussi bien l'aspect visuel que le scénario complexe et passionnant. Commençant comme un simple film d'anticipation (une centaine de personnes sont cryogénisées pour échapper à un virus mortel), s'enchainant comme un survival-horror digne des meilleurs jeux vidéos du genre, alliant scènes d'action à de l'horreur pure où fusillades, explosions et monstres divers se joignent à un petit clan de survivants désorienté. Ceci dit, nous constaterons une légère baisse de rythme arrivé à la moitié du métrage et surtout une complexification inutile (mais typique de ce genre de productions) dans le scénario, celui-ci passant du survival sanglant et énigmatique, qui n'est pas rappeler la série "Lost", à la conspiration métaphysique alambiquée. Si nous pouvons être déçus des révélations finales, les nombreux rebondissements auxquels nous faisons face et le rythme effréné opté par Katayama font du Roi des ronces un nouveau petit joyau de l'animation nippone.