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Votre avis sur Le Bon, la brute et le truand ?
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Un classique (pour ne pas dire LE classique) du western spaghetti. La ressortie en salle en version delux permet de redécouvrir ce film multi diffusé à la télévision. La qualité de la mise en scène, la musique inoubliable, un trio d'acteurs à leur sommet, beaucoup d'humour et d'ironie, de multiples rebondissements, voilà le genre de films qui vous fait devenir cinéphile.
J'avais envie de voir un western et comme les seuls que j'aime sont ceux de Sergio Leone, et bien "Le Bon, La Brute et le Truand" (un de mes préférés). Je vois que sa note est élevée, mais comme il n'est pas interdit de la faire monter encore. Et bien voilà !
Véritable chef d'oeuvre de Leone. Il manque quoi à ce film ? Je vous le demande.
La mise en scène est parfaite. L'intrigue te porte du début jusqu'à la fin, aucune longueur.
Le Bon, la Brute et le Truand est incontestablement le premier chef d'oeuvre de ce génie du cinéma.
La mise en scène est parfaite. L'intrigue te porte du début jusqu'à la fin, aucune longueur.
Le Bon, la Brute et le Truand est incontestablement le premier chef d'oeuvre de ce génie du cinéma.
Il y a deux catégories de personnes, ceux qui n'aiment pas les western et ceux qui les aiment. Pour ceux la, ce film est mythique pour les autres, qu'ils le regardent quand même, parce que Clint Eastwood (acteur), parce que Morricone (musique),parce que c'est une leçon de cinéma pour un film des années 60.
3 hommes cherchent un trésor en pleine guerre de sécession. Une histoire d'une simplicité absolue qui donne le meilleur des westerns spaghettis, bien meilleur que Il Était Une Fois Dans l'ouest. Le film ne s'étend ni sur la psychologie des personnages (une crapule, un tueur et un...juste moins méchant que les 2 autres) ni sur l'histoire mais se concentre sur la forme qui a fait le succès du genre : longs plans-séquences, silences interminables, gros plans sur les mines patibulaires des personnages, nombreux travellings (magnifique scène du cimetière où les tombes sont disposées comme dans un théâtre) et la magnifique musique operatique d'Ennio Morricone. Un film baroque, violent, décalé par son humour omniprésent et 3 acteurs parfaits
« Le Bon, la Brute et le Truand » est un chef-d’œuvre du western, porté par des personnages inoubliables et la classe de Clint Eastwood. Les paysages grandioses et les plans de Sergio Leone sont sublimes, tandis que la musique d’Ennio Morricone reste inégalée. Seul petit bémol, sa durée peut paraître longue, mais l’expérience reste magistrale.
C’est une farce ? Ce n’est pas une farce, c’est un western spaghetti.
Si tu craches sur ce film, c’est que tu n’as rien compris à Señor Leone.
J’arrête de détourner les dialogues de ce long-métrage. Le bon, la brute et le truand est le seul film que j’ai vu trois fois sur grand écran en trois décennies avec toujours la même émotion. Version internationale, version italienne, version française : pour avoir vu les trois au cinéma, ma préférée, c’est la version française car les dialogues sont encore plus cyniques. Dans la version longue, les scènes retrouvées ont été redoublées sans les doubleurs originaux malheureusement décédés. Dans la version italienne, la brute est le truand et le truand devient la brute : ce qui renforce l’idée que les protagonistes étaient un peu des trois à la fois.
On peut ne pas aimer la lenteur du début. Mais est-ce un défaut ici ? Sergio Leone ira plus loin qu’Akira Kurosawa (Rashomon) dont il s’inspire : les gros plans sur les visages sont encore plus serré ; il n’y a qu’à voir la scène d’ouverture ou celle du « triel ». On sent la sueur sur les visages, la poussière est partout et les regards sont intenses.
La temporalité du film est de plusieurs mois, or Sergio Leone monte le film comme si le temps ne s’était pas écoulé entre deux scènes : le film en devient dynamique et sa longueur n’apparaît pas. C’est un film des années 1960 qui ne souffre pas de la comparaison avec des nouveaux films, c’est même l’inverse. Un chef d’oeuvre. Même l’ajout de scènes supplémentaires ne modifie pas cette perception.
Les scènes ajoutées, permettent de données plus de relief aux protagonistes, de les complexifier pour bien montrer que chacun d’eux sont tout à la fois le bon, la brute et le truand. Il y a une très grande ambivalence dans ces personnages.
C’est un western spaghetti : les italiens ont cassé le code du western en mettant en avant le côté sombre du Far West, celui qui n’était pas montré dans le cinéma américain. C’est un film violent avec plusieurs scènes de tortures. Et la violence n’est pas uniquement que dans un camp. Et nombreux sont les images où on voit des morts et des blessés. La guerre, c’est dégueulasse, c’est même expliqué en musique.
La musique restera gravé dans nos mémoires. Ennio Morricone s’amuse avec le cri du coyote et le détourne pour chacun des personnages. Je sifflote même pendant la projection il ecstasi dell’oro.
Cette soif de l’or est le moteur des trois personnages qui évoluent dans un contexte historique. Ce sont juste des individus et c’est ce que sait faire de mieux Sergio Leone : filmer l’individu dans un contexte historique. Il continuera ainsi dans ses réalisations suivantes. Et à tout jamais, nous n’oublierons pas Clint Eastwood, Lee Van Cleef et Toshiro Mifune, euh non Eli Wallach
Une scène préférée : … Tuco Benedicto Pacífico Juan María Ramírez ...
Si tu craches sur ce film, c’est que tu n’as rien compris à Señor Leone.
J’arrête de détourner les dialogues de ce long-métrage. Le bon, la brute et le truand est le seul film que j’ai vu trois fois sur grand écran en trois décennies avec toujours la même émotion. Version internationale, version italienne, version française : pour avoir vu les trois au cinéma, ma préférée, c’est la version française car les dialogues sont encore plus cyniques. Dans la version longue, les scènes retrouvées ont été redoublées sans les doubleurs originaux malheureusement décédés. Dans la version italienne, la brute est le truand et le truand devient la brute : ce qui renforce l’idée que les protagonistes étaient un peu des trois à la fois.
On peut ne pas aimer la lenteur du début. Mais est-ce un défaut ici ? Sergio Leone ira plus loin qu’Akira Kurosawa (Rashomon) dont il s’inspire : les gros plans sur les visages sont encore plus serré ; il n’y a qu’à voir la scène d’ouverture ou celle du « triel ». On sent la sueur sur les visages, la poussière est partout et les regards sont intenses.
La temporalité du film est de plusieurs mois, or Sergio Leone monte le film comme si le temps ne s’était pas écoulé entre deux scènes : le film en devient dynamique et sa longueur n’apparaît pas. C’est un film des années 1960 qui ne souffre pas de la comparaison avec des nouveaux films, c’est même l’inverse. Un chef d’oeuvre. Même l’ajout de scènes supplémentaires ne modifie pas cette perception.
Les scènes ajoutées, permettent de données plus de relief aux protagonistes, de les complexifier pour bien montrer que chacun d’eux sont tout à la fois le bon, la brute et le truand. Il y a une très grande ambivalence dans ces personnages.
C’est un western spaghetti : les italiens ont cassé le code du western en mettant en avant le côté sombre du Far West, celui qui n’était pas montré dans le cinéma américain. C’est un film violent avec plusieurs scènes de tortures. Et la violence n’est pas uniquement que dans un camp. Et nombreux sont les images où on voit des morts et des blessés. La guerre, c’est dégueulasse, c’est même expliqué en musique.
La musique restera gravé dans nos mémoires. Ennio Morricone s’amuse avec le cri du coyote et le détourne pour chacun des personnages. Je sifflote même pendant la projection il ecstasi dell’oro.
Cette soif de l’or est le moteur des trois personnages qui évoluent dans un contexte historique. Ce sont juste des individus et c’est ce que sait faire de mieux Sergio Leone : filmer l’individu dans un contexte historique. Il continuera ainsi dans ses réalisations suivantes. Et à tout jamais, nous n’oublierons pas Clint Eastwood, Lee Van Cleef et Toshiro Mifune, euh non Eli Wallach
Une scène préférée : … Tuco Benedicto Pacífico Juan María Ramírez ...
Avec pour toile de fond la guerre de Sécession, Sergio Leone concluait sa trilogie du Dollar avec ce monument du western, encore mieux réalisé que les deux précèdents, encore plus passionnant, plus maîtrisé. Le trio est absolument phénoménal (Clint Eastwood, Lee Van Cleef, Eli Wallack) tout comme la sensationnelle BO d'Ennio Morricone. La mise en scène très stylisé de Leone et les multiples péripéties du scénario dont un duel final inoubliable, point culminant d'un véritable chef d'oeuvre du cinéma, finissent par emporter l'adhésion de tout bon cinéphile qui se respecte. 3 heures de grand cinéma à voir et à revoir.
Un film culte, porté par un trio d’acteurs inoubliables il est considéré comme l’un des meilleurs films western ,Un film qui n’a pas du tout vieillit
ce film raconte l’histoire de trois personnages 3 hommes charismatique, spoiler: Lee van cleef est le parfait méchant sadique et calculateur, Clint Eastwood est le silencieux malin et bon tireur. Mais celui qui brille le plus dans ce film et qui j'ai beaucoup aimé et adorés c'est l' incontestablement Tuco, dont le rôle colle à la peau d’Eli Wallach tant celui-ci aux yeux malicieux est parfait pour incarne le personnage
Ces 3 personnages qui se lancent à la recherche spoiler: d’un trésor caché pendant la guerre de Sécession dans le cimetière de Sad Hill. Le chasseur de primes Blondin - le Bon -, le bandit Tuco - le Truand - et le tueur implacable Sentenza - la Brute - forment une alliance précaire pour trouver le trésor,
un scénario riche et complexe très bien mené et une petite touche d’humour pour arroser le tout
la mise en scène a couper le souffle avec de magnifiques jeux de lumière elle alterne les plans larges et les gros plans, les silences et les explosions, les moments de tension et de détente , des décors splendide avec les magnifiques plans anamorphiques sublim juste waw Malgré une durée phénoménale (3 heures), on ne s’ennuie jamais sans oublié les musiques magistrale toutes cultes et magnifiques du maître Ennio Morricone qui accompagne parfaitement les images et les émotions du film
ce film raconte l’histoire de trois personnages 3 hommes charismatique, spoiler: Lee van cleef est le parfait méchant sadique et calculateur, Clint Eastwood est le silencieux malin et bon tireur. Mais celui qui brille le plus dans ce film et qui j'ai beaucoup aimé et adorés c'est l' incontestablement Tuco, dont le rôle colle à la peau d’Eli Wallach tant celui-ci aux yeux malicieux est parfait pour incarne le personnage
Ces 3 personnages qui se lancent à la recherche spoiler: d’un trésor caché pendant la guerre de Sécession dans le cimetière de Sad Hill. Le chasseur de primes Blondin - le Bon -, le bandit Tuco - le Truand - et le tueur implacable Sentenza - la Brute - forment une alliance précaire pour trouver le trésor,
un scénario riche et complexe très bien mené et une petite touche d’humour pour arroser le tout
la mise en scène a couper le souffle avec de magnifiques jeux de lumière elle alterne les plans larges et les gros plans, les silences et les explosions, les moments de tension et de détente , des décors splendide avec les magnifiques plans anamorphiques sublim juste waw Malgré une durée phénoménale (3 heures), on ne s’ennuie jamais sans oublié les musiques magistrale toutes cultes et magnifiques du maître Ennio Morricone qui accompagne parfaitement les images et les émotions du film
"C'est ceux qui parlent le moins qui tirent le plus."
L'impression d'être dans une rame de banlieue bien cliché : c'est moi que tu regardes comme ça?
Ou une cour de récré : le premier qui baisse les yeux a perdu !
Mais derrière cette apparence se profile une critique des valeurs virilistes : la guerre (de sécession ici) est une aberration, dont les personnages principaux ne se soucient guère... seulement obsédés par l'argent.
Pour quoi faire? On se demande, vu le monde qui les entoure.
Eli Wallach (dans le rôle du "truand") crève l'écran par son jeu comique et très expressif.
L'impression d'être dans une rame de banlieue bien cliché : c'est moi que tu regardes comme ça?
Ou une cour de récré : le premier qui baisse les yeux a perdu !
Mais derrière cette apparence se profile une critique des valeurs virilistes : la guerre (de sécession ici) est une aberration, dont les personnages principaux ne se soucient guère... seulement obsédés par l'argent.
Pour quoi faire? On se demande, vu le monde qui les entoure.
Eli Wallach (dans le rôle du "truand") crève l'écran par son jeu comique et très expressif.
Voilà ce qui s'appelle une leçon de cinéma. J'ai essayé de lui trouver un défaut, mais je n'en sors que quelques broutilles. Car "Le bon, la brute et le truand" est incontestablement un film culte, un chef-d'oeuvre, une maîtrise parfaite. Car oui, tout est parfait. La BO si culte que tout le monde la connait et l'a déjà chantonné, les répliques tout aussi culte, des scènes magistrales, des acteurs brillants, une mise en scène sublime et un rythme effréné qui fait passer les 3 heures de film pour à peine 2. C'est pour ce genre de films que j'aime le cinéma, pour des émotions, pour de la mise en scène, pour du spectacle, pour de la surprise et pour me prendre parfois des claques devant des films qui me dépassent. Mais est-ce vraiment la peine aujourd'hui de dire à quel point cet incontournable est un bon film ?
Troisième opus de la trilogie du dollar (un poil en dessous d'"Et pour quelques dollars de plus" avec toujours Clint Eastwood dans le rôle vedette de Blondin ou le bon. Cette fois-ci, pas de Gian Maria Volonté mais place à Eli Wallach dans le rôle de Tuco, un truand qui est aussi dangereux que grotesque et naïf et nous retrouvons également Lee Van Cleef dans le rôle un peu plus en retrait de Sentenza ou la brute. Nous avons droit à l'un des meilleurs westerns avec la musique marquante d'Ennio Morricone et quelques répliques devenues cultes. Seulement quelques longueurs (dont la scène de bataille de la Guerre de Sécession) viennent quelque peu ternir le tableau.
La dernière version restaurée du chef d'oeuvre de Sergio Leone semble comporter au moins trois scènes supplémentaires par rapport à la version originale, telle qu'on l'a toujours vue jusqu'ici..
Trois crapules se disputent un trésor, sur un amoncellement de cadavres : Sentenza, un tueur froid et sadique, que joue l'excellent Lee van Cleef ; un pistolero laconique joué par Clint Eastwood, "blondin" ambivalent, et le formidable Eli Wallach, qui joue Tuco, une canaille rusée mais attachante.
Sommet du genre du western spaghetti ou picaresque, indissolublement lié à la musique d'Ennio Morricone.
Par rapport à "Et pour quelques dollars de plus", le film a plus d'ampleur, Sergio Leone s'est donné plus d'ambition, immergeant ses héros dans les champs de bataille de la guerre de sécession, tout en gardant la "patte" Leone : cadrages serrés sur les regards ; soucis du détail, répliques qui tuent ( au propre et au figuré); lenteur suivie d'une violence sèche ; la figure de style du duel mexicain que Tarantino reprendra dans ses films ; personnages de fripouilles, enfin, qui conservent néanmoins quelques parcelles d'humanité..
Du grand art et un must..
Trois crapules se disputent un trésor, sur un amoncellement de cadavres : Sentenza, un tueur froid et sadique, que joue l'excellent Lee van Cleef ; un pistolero laconique joué par Clint Eastwood, "blondin" ambivalent, et le formidable Eli Wallach, qui joue Tuco, une canaille rusée mais attachante.
Sommet du genre du western spaghetti ou picaresque, indissolublement lié à la musique d'Ennio Morricone.
Par rapport à "Et pour quelques dollars de plus", le film a plus d'ampleur, Sergio Leone s'est donné plus d'ambition, immergeant ses héros dans les champs de bataille de la guerre de sécession, tout en gardant la "patte" Leone : cadrages serrés sur les regards ; soucis du détail, répliques qui tuent ( au propre et au figuré); lenteur suivie d'une violence sèche ; la figure de style du duel mexicain que Tarantino reprendra dans ses films ; personnages de fripouilles, enfin, qui conservent néanmoins quelques parcelles d'humanité..
Du grand art et un must..
Un des plus grand western. 3h00 de bonheur. Très bonne mise en scène, très bons acteurs.
Bon western spaghetti. Classique de Sergio Leone. Le scénario et les acteurs sont impeccable mais personnellement le rythme est trop lent pour moi et suscite quelques moments d’ennui. Pourtant je suis aficionado des rythmes lents
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