Derniers Avis : Le Bon, la brute et le truand - Page 7

Je ne suis pas un grand fan de western mais je dois avouer que ce film est bien réussi. Clint Eastwood est juste grandiose et classe. Quelques bonnes scènes d'action sympathiques pour l'époque, un peu trop long à mon goût.

Un des meilleurs westerns de tous les temps. À voir et revoir si l'on aime le genre ou pas pour bien vérifier son aversion !

De grands espaces sauvages, des sales gueules, des visages crasseux, le regard dur et fixe, des répliques incisive, de longs plans silencieux, une musique entraînante, des villages poussiéreux, « le Bon, la Brute le Truand » est un de plus célèbre film de western de tout le temps

Sergio Leone s'impose comme maître et signe un des meilleurs western de tous les temps, sans doute le plus mythique. La musique d'Ennio Morricone donne la chair de poule, les répliques sont cultes, la scène finale est juste magnifique, Clint Eastwood est plus charismatique que jamais... La meilleure façon de terminer cette trilogie.

Cette conclusion de cette série du dollar est parfaite, ce film est le chef d'œuvre des western ! La sauce prend directement, la musique est légendaire, le final est mythique. Les 3h de film se déguste, agrémentées de mises en scène intelligentes donnant une vivacité et un réel rythme à l'œuvre qui n'avais jusqu'alors jamais été égalé. Il est pour moi le meilleur du genre, Sergio Leone en est le maître incontesté.

Qui ne connait pas ce film ? Si oui cela est un crime ! Tous le monde connait cette célèbre musique du duel proposé par Ennio Morricone. Rien que ça et pour moi ce film veut tout dire !
Je conseille très fortement ce film.

Le troisième film de la trilogie du dollar... Le meilleur à mon sens avec un Clint Eastwood toujours aussi iconique que dans "Pour une poignée de dollars" et "Et pour quelques dollars de plus ", un Lee Van Cleef jouant extrêmement bien et Eli Wallach superbe dans son rôle du truand. Dans son film, Leone veut dénoncer l'inutilité des guerres avec notamment la représentation de la bataille du pont de Langston qui donnera lieu à une des répliques cultes du film "je n'avais jamais vu crever autant de monde". Ce film qui est le prequel de la trilogie du dollar sait jongler entre le sérieux et l'humour. D'un côté, la quête des héros pour les 200 mille dollars et de l'autre le truand qui amène une certaine touche comique au film. Le bon, la brute et le truand sont des personnages inspirés de la Comedia Dell'arte amènent à nous remettre en question car : le bon n'est pas si bon car il est poussé par un désir de richesse, la brute capable d'être bon sachant que tout deux sont au final des truands. Ce chef d'œuvre se finit par un duel à trois sur la magnifique musique d'Ennio Morricone qui est sans doute l'une des meilleures scènes du film.

Sergio Leone n’a mis en scène individuellement que 7 films (« les Derniers Jours de Pompéi » est une co-réalisation) dont 3 sont de purs chefs-d’œuvre. Ils sont peu sur la planète à afficher un tel prorata. Orchestré par le Maestro Morricone, le dernier volet de la trilogie dite des "dollars" est le premier de la liste « Il était une fois dans l’Ouest », « Il était une fois en Amérique » suivront. Est-il encore nécessaire de préciser que « Le Bon, La Brute et Le Truand » est culte ? On frémit devant le regard perçant de Lee Van Cleef, on se marre des fourberies d’Eli Wallach et on reprend calme et sérénité avec Clint Eastwood.

Le dernier volet de la trilogie du « Dollar » (après « Pour une poignée de dollars » et « …Et pour quelques dollars de plus ») constitue le véritable chef-d’œuvre de Sergio Leone. Sorti en 1966, ce western spaghetti s’appuie sur un scénario extrêmement solide. Outre l’intrigue haletante, l’histoire porte également un regard critique sur la guerre de Sécession. Avec son style de mise en scène caractéristique, le réalisateur italien nous fait suivre le destin croisé de trois anti-héros. Les acteurs principaux (Clint Eastwood, Eli Wallach et Lee Van Cleef) sont juste excellents, capables de porter le cynisme à son paroxysme tout en y associant des touches d’humour. Enfin, la musique composée par Ennio Morricone reste inégalée tant elle magnifie l’ambiance du film. Bref, culte !

Le préquel de la trilogie du dollar, la quintessence du western spaghetti servi par les modèles du genre : Clint Eastwood en acteur, Sergio Leone à la réalisation et forcément Ennio Morricone à la musique, c’est au-delà du culte, c’est un exemple intemporel.
Ce qui me dérange c’est les notes : 4.1 pour la presse et 4.5 pour les spectateurs. Visiblement on garde une estime énorme pour ces films et le genre. Pourtant on rappelle que les westerns spaghetti étaient décriés et moqués à l’époque. En cause le fait que ce soit très différent des westerns classiques (à la John Wayne), moins rythmé, une lenteur caractéristique, les longueurs régulières associées aux scènes qui s’allongent déraisonnablement, des anti-héros, les zoom sur les persos alternant avec les plans large de paysage, la place de la musique dans l’ensemble etc. Ce n’était pas vu comme des gages de qualité alors que désormais cela fait sa force. Le public voulant du changement, en cassant les codes Sergio Leone lui apporta ce qu’il recherchait. Je dis ça car la nostalgie semble jouer à fond, comme si avec le temps on reconnaissait la valeur de l’œuvre, alors que c’est juste parce que ce sont les seuls westerns connus et diffusés en gros, donc on se forge un avis à partir de ça.
Après ça demeure un monument, peut-être le meilleur de la trilogie d’ailleurs, Clint y est admirable, tellement que « l’homme au poncho » (qu’il revêt à la fin, d’où le côté préquel) lui est aussi indissociable que l’inspecteur Harry, et pourtant le rôle était prévu pour Charles Bronson… D’ailleurs le trio est bien trouvé, avec des gueules comme on dit, plus la gouaille de Tuco et le flegme du Blond on est servis niveau spécimen de persos, sans doute pour ça que ce long métrage apparait plus culte que d’autres. Si on ajoute des décors et des costumes réalistes, notamment pour la reconstitution de l’aberrante guerre de Sécession, un manichéisme inexistant, un montage clair, une photographie au top, une VF pas mal qui ne loupe pas les punchlines efficaces (« quand on tire on raconte pas sa vie »), allié à pas mal d’humour on peut comprendre ce statut si élevé. Au final oui c’est une référence.
C’est limite culturel tant ça reflète ce genre de production, et ça traite un peu de l’Histoire des USA avec un aspect réaliste. Bon si on gratte un peu le vernis s’écaille mais ça ne gêne pas tant que ça. En attendant c’est un modèle du genre, dans un style qu’on apprécie ou pas mais qui reste remarquable, à découvrir au moins une fois.

C'est pour moi l'un des meilleurs films de l'histoire. Il y a tout.
Il buono, il brutto, il cattivo est un film fou, où Sergio Leone se permet de faire ce qu'il veut comme il le veut. Si C'era una volta il West est probablement son grand chef-d'œuvre, je préfère celui-ci car il respire la liberté de son auteur. C'est un conte, un voyage à travers le désert, à travers la Guerre de Sécession et les pluies d'obus, à travers le Far West.
Leone ne représente pas l'Ouest américain comme un idéal et Clint Eastwood n'est en rien un justicier à la John Wayne. C'est un voyou (j’avais utilisé un autre mot, mais j’ai été censuré) comme les deux autres (peut-être même le pire des trois), qui trahit la confiance de ses alliés et est prêt à les abandonner dans le désert les mains liées s'il n'a plus assez de pognon à en tirer.
C'est incroyable comme on peut s'attacher à ces personnages sans rien connaître d'eux (pas même le nom dans le cas de celui qui se fait appeler Blondin) et avec si peu de dialogues, uniquement en les voyant se trahir tour à tour, en baver pendant ces trois longues heures de film, ou avoir un geste humain entre deux balles tirées (dialogue avec le père Ramirez, scène du soldat mourant, etc.).
Certes, la scène de spoiler: l'impasse mexicaine
est une véritable leçon de cinéma, mais celle qui m'a fait considérer ce film comme un chef-d'œuvre parmi les chefs-d'œuvre intervient juste avant :
spoiler: C'est celle où Tuco arrive au cimetière et cherche la tombe d'Arch Stanton, soit l'accomplissement de l'enjeu majeur du film. Il court jusqu'au centre du cimetière, accompagné par l'une des plus belles musiques d'Ennio Morricone, puis commence à chercher ladite tombe, alors que la musique semble s'appaiser. Un réalisateur lambda aurait probablement fait une ellipse (et aurait éventuellement montré une scène avec Blondin ou Sentenza pour la rendre moins artificielle) ou aurait rendu le film moins crédible en s'arrangeant pour que Tuco trouve tout de suite la bonne tombe. Mais au lieu de cela, Leone fait durer la scène. La musique reprend avec plus de force et Tuco court à travers les tombes pendant encore près de deux minutes (ce qui en temps d'écran est pas mal pour un type en train de courir). La caméra se met à suivre sa course. Puis elle prend la place du personnage, et se met à tourner encore plus vite, jusqu'à ce que cette envolée lyrique, ce tourbillon vertigineux, soit interrompu par un zoom sur la tombe que l'on attend de voir depuis une heure et demie. Quand on est devant le film pour la première fois, ces trois minutes sont d'une puissance rarement égalée au septième art.
Il y a encore beaucoup à dire sur ce très grand film, notamment sur le rythme et le travail de la lenteur, le jeu d'acteur, le regard porté sur la guerre, l'authenticité des scènes (ils ont fait exploser un pont pour de vrai (et ne sont pas passés loin de griller leurs acteurs en même temps) et Eli Wallach a failli être décapité par un train !!), etc. et faute de pouvoir tout aborder ici, je résume mon avis sur ce film en deux mots : REGARDEZ-LE.

Il devrait avoir six étoiles .. comme les six coups du revolver de Clint Eastwood !..Ce film c est un super chef- d' œuvre de cinéma et pas seulement des westerns. Des critiques américains mêmes ont été ravis par le réalisme pur et dur qui émane de ce film. Il sont allés jusqu'à critiquer les westerns classiques américains en les qualifiant de " fantasy" , fantaisistes !...du fait que dans ces films régnait une atmosphère de...contes pour enfants. Bref , n'exagérons pas car il y a comme mémé quelques bons films ,comme Rio Bravo .Sergio Leone a fait du western un extraordinaire amalgame de Néo-realisme et d'opéra tragique, grâce et surtout a la merveilleuse bande sonore du maestro Ennio Morricone.
J' ai vu ce film des dizaines de fois et je ne suis pas du tout prêt à m' en lasser !...
Car dans un bon film on me s'ennuie pas !..Et dans un comme celui-ci , alors- là !.,On ne voit même pas le temps passer!
Bien sûr , chacun a sa propre opinion sur ce film. Je suppose que les opinions negatives sont celles surtout des jeunes, nes beaucoup plus tard que les années soixante.. Ils vivent maintenant dans une époque, malheureusement , bien différente que celle de autrefois. En plus depuis Unforgiven de C.Eastwood il n ya plus aucun bon film western.

Un des meilleures western de tous les temps avec une réalisation parfaites et de superbes acteurs. À voir et à revoir.

Le bon la brute et le truand est un chef d oeuvre ! ce film fait partie des classiques du cinéma . réal ouf , musique cultes et acteur incroyable !

Le plus grand film de tout les temps.

La musique, la réalisation, les acteurs, tout est grandiose.