Le Bon, la brute et le truand
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296 critiques spectateurs

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Noise&sound
Noise&sound

157 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 20 avril 2025
« Le bon, la brute et le truand » est considéré, à juste titre, comme la quintessence du western spaghetti.
Pour ma part, je trouve ce terme condescendant (Hollywood aurait seule le droit et serait seule capable de faire des westerns dignes de ce nom). De plus, il fait référence à une production italienne de western de faible qualité.
« Le bon, la brute et le truand » est tout simplement un très grand western. Un film comme « Django » de Tarantino (autre grand western) en est l’héritier direct.
Sergio Leone est fasciné par l’Amérique mais il déconstruit le mythe américain raconté dans les westerns hollywoodiens. Comment imaginer John Wayne dans un film de Leone ?
Leone apporte au western une dimension mythique, là où la production américaine ne se contentait que d’une dimension héroïque très manichéenne, du moins jusqu’aux années 70.
La toile de fond historique du récit est essentielle à la profondeur du film. Ici, la guerre de sécession, là, la révolution mexicaine.
Mais les personnages de Leone sont généralement des formes d’anarchistes, anti-heros, en quelque sorte. Ils agissent pour leur compte, à côté de ces événements historiques, poursuivant leurs propres buts, contrairement aux héros américains qui façonnent l’Amérique.
Cette position indépendante leur permet de porter un regard critique sur ces grands événements historiques. À travers eux, c’est Leone qui peut s’exprimer.
Lorsque nordistes et confédérés s’affrontent pour la possession d’un pont, Blondin (Eastwood) lance laconiquement « Je n’ai jamais vu autant d’hommes mourir en si peu de temps »
Constante pacifiste chez Leone qui insiste sur le fait que l’histoire s’écrit toujours au dépend et avec le sang des plus humbles.
Au passage, les moyens investis pour filmer cette scène et la qualité qui en découle, démontre qu’il ne s’agit pas d’un western spaghetti mais d’un très grand western.
Cela aura coûté cher, puisqu’il faudra 2 prises de l’explosion du pont, un opérateur technique ayant cru entendre le signal de mise à feu, l’a fait exploser trop tôt. Imaginez la tête du reste de l’équipe de tournage… bref on reconstruit le pont dans la nuit et on le fera ressauter le lendemain.
Cette scène illustre bien aussi une autre constante du cinéma léonien, tant visuel que scénaristique : l’alternance de plans très larges et de plans resserrés.
Visuellement les plans larges construisent la dimension mythique, tandis que la survenance de plans très resserrés, sans transition, construisent le personnage. Ces 2 aspects sont rarement fusionnés. Leone nous offre l’un ou l’autre. Nous ne verrons pas Blondin partir à l’assaut du pont car Blondin ne participe pas à la construction du mythe… il en est de même pour le scénario.
Il serait trop long de citer les scènes remarquables tant elles sont nombreuses, plusieurs sont devenues des scènes d’anthologie (le pont, le cimetière, le camp de prisonniers…). De plus de nombreuses scènes cachent un sens du détail stylistique (les volutes du cigarillo s’évanouissant de derrière un mur…)
La musique d’Ennio Morricone est, une fois de plus, un apport indispensable au film. Je ne vois pas de symbiose aussi totale que celle de Sergio Leone et d’Ennio Morricone.
Enio Morricone a une approche très visuelle du choix de ses acteurs, comme un théâtre de comedia del arte. Le visage de l’acteur remplace le port du masque. Rares sont les films qui présentent une aussi large galerie de « gueules » de cinéma. Le regard est traité de la même manière, il est l’extension du masque. C’est la seule partie vivante du visage d’un acteur de la comedia del arte et cela explique peut-être l’obsession de Leone pour les regards, exprimée dans les plans serrés. Même conséquence, on trouvera peu de film nous présentant tant de regards intenses.
Côté acteurs, un trio incarne le titre du film.
Lee Van Cleef, visage aquilin, est la brute. L’aigle est un chasseur patient et calculateur, mauvais, ici, ou bon dans « Et pour quelques dollars de plus »
Clint Eastwood est le bon. Il est beau, impénétrable, pas trop expressif. Leone dira « Clint a deux expressions avec ou sans chapeau »… avec ou sans poncho - avec ou sans cigarillo… Clint est pourtant le personnage central autour de qui s’articule le film.
Eli Wallach, le truand, est vraiment le personnage le plus épais. Il est tout simplement diablement humain. On peut rêver d’être Blondin, on peut honnir Sentenza, mais nous sommes Tuco. La palette du personnage est large et émouvante. Et Wallach est remarquable dans son interprétation, faisant de ce personnage un élément clef du film comme il le fera pour « il était une fois la révolution »
Edwige Guedou
Edwige Guedou

5 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 13 avril 2025
Le Bon, la Brute et le Truand est un western mythique sorti en 1966, mais malgré les années, il reste pour moi un incontournable dont je ne me lasse jamais. À chaque fois que j’ai envie de rire un bon coup ou de passer un moment épique, je le relance sans hésiter. Les trois acteurs principaux — Clint Eastwood, Eli Wallach et Lee Van Cleef — ont été tout simplement exceptionnels. Leur jeu, leur charisme et les scènes cultes qu’ils nous ont offertes méritent encore aujourd’hui toute notre admiration.
En 2025, j’avais envie de leur rendre hommage pour ce chef-d'œuvre intemporel☝. Ce film mélange habilement humour, tension et ambiance unique, le tout sublimé par la musique inoubliable d'Ennio Morricone.
Franchement, si vous avez envie de passer un excellent moment, avec des scènes à mourir de rire (et pas que !)藍藍, je vous le recommande sans modération !
J31frites
J31frites

11 abonnés 256 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 5 avril 2025
“Le bon la brute et le truand” s’avère être un western bien plus complet que ses deux prédécesseurs de la trilogie du dollars, grâce à une plus grande diversité de gags et d’émotions, sachant être bien plus drôle tout en ne délaissant pas tout le côté violent de l’ouest sauvage (en témoignent beaucoup de scènes pas pour les petits et le passage dans lequel Tuco rend visite à son frère spoiler: et lui déclare que “Pour manger à sa fin dans ce monde il faut être soit moine soit bandit”
), on a même une bonne touche d’émotions avec toute la partie historique de la guerre de Sécessions.
On suit trois personnages développés à dosage égal : Un bandit agité et manipulateur (Eli Wallach) et deux chasseurs de prime, l’un (Lee Van Cleef) extrêmement cruel, du genre à jouer avec la nourriture, et l’autre (Clint Eastwood), très malin, qui s’amuse à libérer ses captures une fois la prime gagnée pour les revendre ailleurs.
Les trois personnages sont à la recherche d’un même trésor caché dans un cimetière et tour à tour ils vont se devancer, prendre le pouvoir les uns sur les autres, se faire des coups bas et des vengeances pour notre plus grand plaisir. Les dialogues sont absolument savoureux : on ne compte plus les scènes et les répliques mythiques (et souvent hilarantes !) :
spoiler: -“Tu vois, le monde se divise en deux catégories, ceux qui ont un pistolet chargé et ceux qui creusent. Toi, tu creuses.” -”Quand on tire on raconte pas sa vie” -“Je finis toujours le travail pour lequel on me paie.” -”ça c’est pas une farce c’est une corde” -”Si on travaille pour gagner sa vie, pourquoi se tuer au travail ?”

Le suspense est présent jusqu’à la fin, qui mettra la main sur le trésor ?
Clint Eastwood offre un final tellement classe et drôle !!
Sergio Leone se surpasse en termes de réalisation, la photo est superbe, ses plans mythiques, son jeu de gros plans lors du duel final est resté dans les mémoires, le plan dans lequel Tuco se relève et on voit sa tête dans la corde est tellement glauque et bien trouvé ! Les noms “The good, the bad and the ugly” apparaissant à côté des personnages inspireront beaucoup d’autres films dont Kill Bill. La scène de Tuco qui court entre les tombes est tout simplement une des meilleures scènes de film que j’ai jamais vu, seulement dans la manière de filmer on arrive à faire passer tout son “extase de l’or” et quelle musique !!
Ennio Morricone signe une des BO les plus célèbres du cinéma, tout le monde connaît le thème principal sans forcément savoir d’où il vient. Le morceau “Il triello” augmente fortement la tension lors de la scène finale grâce à sa double montée en puissance. On a également tous les thèmes militaires qui créent l’ambiance et le fabuleux “The ecstasy of gold”, magnifique et épique !!
J’ai beau chercher je ne trouve comme seul défaut à ce film un rythme un poil de cul trop lent pour savourer pleinement la durée de trois heures.
Un monument du cinéma qui ne fait décidément pas ses 60 ans.
Laura Lavergne
Laura Lavergne

1 abonné 13 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 14 mars 2025
Probablement l’un des meilleurs films de l’univers. Tout est parfait, la tension qui monte, la musique palpante, l’humour cartoonesque. Clint Eastwood n’a pas volé son rôle le plus iconique avec des phrases devenues cultes.
inspecteur morvandieu
inspecteur morvandieu

48 abonnés 3 168 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 6 mars 2025
Ils sont trois à vouloir mettre la main sur un butin enterré dans une certaine tombe d'un certain cimetière. Mais aucun des trois n'est prêt à partager, d'où une chasse au trésor plein de coups bas, parfois brutaux, d'autres fois cocasses.
Il y a donc le truand Eli Wallach, crasseux et grossier, la brute Lee Van Cleef, cruel et impassible, et le bon, sous les traits de Clint Eastwood, dont la moralité se trouve relativisée par l'abjection des deux autres.
Sur la route du butin, dans une Amérique conforme à la vision récurrente de Sergio Leone, peuplée de hors-la-loi meurtriers et cyniques, les chemins de Tuco, Setenza et Joe se croisent ou se longent au coeur d'une aventure digressive et étirée.
Sur fond d'une guerre de Sécession qu'il décrit féroce, Leone réalise une nouvelle parodie de western, ironique, latine, qu'on pourrait considérer comme une comédie caricaturale s'il n'était la violence qui l'émaille. Le style de Leone est parfois vulgaire ou complaisant, et son scénario, avec les quelques idées qu'il porte, n'est pas plus intéressants que ça, comparé aux meilleurs classiques du western américain. Mais ses personnages et ses comédiens, aussi typés soient-ils, témoignent de ce charisme et de cette causticité sans lesquels l'oeuvre de Leone émergerait à peine du western à l'italienne. Et puis la musique d'Ennio Morricone transfigure beaucoup de séquences du film.
Alan Smithee
Alan Smithee

5 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 20 janvier 2025
Je pense que ce filme est le meilleur western spaghettis jamais réaliser. Il y a tout: l'ambiance, le scénario, les dialogues, les décors, la musique et j'en passe. La musique de maestro Morricone correspond parfaitement à l'ambiance et Clint Eastwood incarne son personnage à la perfection.
A voir absolument!
LAvisDuNeophyte
LAvisDuNeophyte

3 abonnés 497 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 18 janvier 2025
on retrouve les qualités des films de Sergio Leone : musique, cadrages, décors. C’est très lent à regarder et globalement l’histoire est moins prenante qu’il était une fois dans l’ouest.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 13 décembre 2024
Le western est un genre où je confesse d'énormes lacunes, je vais donc écrire la critique du chef d'œuvre de Sergio LEONE selon le regard d'un cinéphile, mais sans me risquer à des analyses et comparaisons trop précises dans le genre.


Le Bon, la brute et le truand (1966) c'est d'abord un souvenir d'enfance, lié à l'iconique musique du thème principal, qui le lendemain d'une diffusion du film un soir à la télévision, résonnait dans la cour de récréation de l'école, avec plus ou moins de bonheur, chaque enfant l'ayant ajouté à ses bruitages de jeux de cow-boys. Mais au delà de cette anecdote, la bande originale de Ennio MORRICONE devenue un classique et parée de l'aura de musique culte, immédiatement identifiable et dont l'apparente simplicité recèle des trésors de complexités narratives, deux notes évoquant le cri d'un coyote, pour situer l'action dans ce far west sauvage qui dialogue avec une anachronique guitare électrique sur une pédale d'effet wah-wah pour illustrer le tournant qui conduira ce même far west vers le monde moderne qui déjà frappe à sa porte. Le thème sera interprété pour chaque personnage par un instrument différent, une flûte pour le bon, un ocarina pour la brute et une voix humaine pour le truand. S'articuleront autour de ce thèmes diverses variations qui accompagneront l'histoire, ses rebondissements ou sa narration.


Les trois personnages ensuite, chacun introduits dans une longue ouverture caractéristique du réalisateur, qui prend le temps d'installer son récit et ses héros et nous immerger dans son film, chez Leone on ne fait pas d'économies de pellicules et les plans s'étirent sans jamais nous lasser, tout est construit comme l'était les mythes de la tradition latine.


Le premier que l'on nous présente est "le truand", trois chasseurs de primes, trois gueules dont la rudesse de la vie nous est contée par les sublimes gros plans que fait Leone de leurs visages, paroles et discours vains, l'image suffit à leur donner un passé, une histoire. Maître incontesté et incontestable dans l'art d'alterner sur un montage plus ou moins rythmé selon les impératifs de narration entre les plans larges, qui posent les décors et les contextes dramaturgiques et les gros plans qui à la manières des arias dans l'art lyrique captent l'attention sur un élément, un personnage, un lieu. spoiler: Ces trois hommes qui sans un mot, se ruent dans un bâtiment d'un bourg isolé, déserté et la caméra qui d'un vif pano poursuit l'action sur une fenêtre brisée par un homme s'enfuyant sans manquer d'avoir conservé la cuisse de poulet qui lui servait de dîner, laissant les trois chasseurs de primes au sol.
En quelques plans et sans un mot, nous découvrons un personnages pouvant sembler gauche et sans envergure mais en réalité rusé, roublard et évoluant dans son élément naturel.


La scène d'après nous introduit dans la demeure d'un homme et de sa famille où se présente un homme qui se distingue par une allure quasiment aristocratique, la moustache est taillé, la barbe rasée, la tenue impeccable, ornée d'une étole de soie blanche et montant son destrier en utilisant l'allure dite du trot espagnol qui en plus de conférer une aura de magnificence à son déplacement est réputé pour être l'allure équestre offrant le meilleur rapport entre fatigue de la monture, vitesse de déplacement et distances possiblement réalisables. L'homme bien qu'évoluant dans ce même univers en est cependant extérieur, tout chez lui est froid, calculé, sans émotion, efficace et sans pitié.

L'occasion de souligner le travail du chef opérateur Tonino DELLI COLLI qui a effectué un travail sur la lumière digne de l'héritage pictural de la grande tradition classique italienne, dans ce film chaque plan est un tableau de maître.

"La brute", puisque c'est lui qui nous est introduit par cette séquence admirable dans son écriture et sa mise en scène se dévoile comme le méchant aux méthodes amorales.


Enfin, nous rencontrons "le bon", spoiler: qui est en fait un complice du truand avec qui il a monté une fructueuse arnaque à la prime
. Lui même s'il est un gredin comme les deux autres, s'astreint à une forme de code d'honneur, de moral dont il ne dévie pas.


Ces trois hommes, qui sur fond de guerre de sécession, partiront à la recherche d'un trésor dont chacun a eu vent mais dont aucun ne possède l'ensemble des informations permettant de le situer, useront de tous les stratagèmes, nouant des alliances fragiles, se trahissant selon les occasions, jouant avec le contexte pour y parvenir.


Mise en scène virtuose, acteurs formidables, montage et musique digne d'éloges, tension, suspens, humour, et voici comment quasiment trois heures passent sans le moindre temps mort.
Scofield
Scofield

25 abonnés 624 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 12 décembre 2024
Peut-on faire de l'ombre à Clint Eastwood? Eh bien oui, c'est la prouesse que réalise Eli Wallach dans ce film culte qui surpasse "Et pour quelques dollars de plus" de l'année précédente (1965). Le scénario est meilleur et Eli Wallach a joué le rôle le plus connu de sa carrière en incarnant Tuco le truand. Il crève l'écran. Une fois de plus le trio Leone, Eastwood, Morricone fait le job. C'est un des western les plus connus au Monde et les générations suivantes le regarderont probablement.
SkyBout
SkyBout

48 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 26 novembre 2024
Une musique iconique, une truel épatant, un western éblouissant, un scénario séduisant. Tout y est, ce film est le meilleur western jamais réalisé. Sergio Leone est au sommet de son art !
Marc Taton (Belgique)
Marc Taton (Belgique)

35 abonnés 732 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 23 novembre 2024
Dernier volet de la trilogie du dollar ( Pour une poignée de dollars (1964), Et pour quelques dollars de plus (1965) et Le Bon, la Brute et le Truand (1966). et probablement le meilleur des trois selon moi.Tout est réunis dans ce western spaghetti , de l'action, du rhytme et des répliques cultes spoiler: (il y a deux catégories de gens sur terre, ceux qui on un pistolet et ceux qui creusent, toi... tu creuses ! )
et question geules de l'emploi il était impossible de faire mieux : le grand Clint, Elin Wallach et Lee Van Cleef.
Ferdinand
Ferdinand

3 abonnés 165 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 22 novembre 2024
Excellent western je trouve, le travail de la musique est vraiment monumental dans ce film que j’adore.
DarkSchneider
DarkSchneider

94 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 18 novembre 2024
Le chef d'oeuvre ultime, un des meilleurs films de l'histoire du cinéma, le film qui a révélé le grand Clint Eastwood.
3 personnes que tout oppose, un voyou, un militaire sadique et un cowboy solitaire doivent s'unir pour un trésor en pièces d'or.

La musique est exceptionnelle et reconnaissable entre toutes, les dialogues font mouches ; spoiler: quand on tir on ne raconte pas sa vie, plus l'orcherstre joue fort et plus il cogne,
.

Un monument du 7ème art.
Eyoub Bouey
Eyoub Bouey

1 abonné 3 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 14 novembre 2024
le bon n'en est pas un, la brute n'en est pas une et le truand est juste un grand idiot mais le film est excellent
antoig43
antoig43

47 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 30 octobre 2024
Un film a voir au moins une fois dans sa vie, un classique indémodable du cinema western, une histoire intemporelle et imprévisible, bref à voir malgré je ne le considère pas non plus commenun chef d’oeuvre par ses longeurs
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