Avis : Fourmiz - Page 4

Un film sortie quasiment à la même période que le film de Pixar milles et une pattes quand on parle des film animation avec des insecte celui de Disney et le plus souvent citer mais celui la est sorti un mois avant celui de son concurrent. Le casting vocales usa et juste dingue mais c'est vraie que en terme animation 1001 pattes et largement mieux et révolutionnaire . Mais celui la lance malgré un scénario un peu faible un message politique sur la différence des classes sociales et mo'de que les lois faible aussi peuvent réaliser de grande chose et que l'on ne doit pas être cantonné à une tâche en particulière on veux réaliser ses rêves on doit essayer de les faire . il montre également que les plus faibles sont pareil que tout le monde. Après le scénario et parfois lent long un peu lourde surtout sont personnage principal qui est hyper obus de sa personne.

Le premier et le meilleur film de Dreamworks, malgré le fait qu'il soit sorti en même temps que 1001 pattes et qu'il ai vieilli par ses graphismes. La critique sociale calquée sur les fourmis est originale et la musique de Powell est saisissante ( Antz go at War ).

Qu'importe qui a plagié qui entre Disney et Dreamworks, le 1er film de Dreamworks, Fourmiz est une bonne réussite ! L'animation en image de synthèse est vraiment réussi ! Malgré son histoire correct et un sentiment de deja vu, on passe un bon moment !

Un film que j’ai trouvé fort sympa à l’époque, notamment pour la flopée d’acteurs qu’on y retrouvait et pour le propos un peu plus progressiste que le plus triste « 1001 pattes ». Et puis voilà, « Fourmiz » sait jouer des effets de gigantisme et de la reconstruction de l’univers du micro en mythologie épique. Franchement, c’est certes basique dans l’intrigue, mais je trouve ça quand même très efficace dans le résultat.

Fourmiz est un bon film d’animation de Eric Darnell, Tim Johnson et Lawrence Guterman. La mise en scène des réalisateurs est irréprochable, l’animation est excellente, les doublages français sont corrects, le scénario est travaillé et le spectateur accroche immédiatement à l’histoire. En clair, on passe un très bon moment au milieu des insectes et à l’intérieur de la colonie de Fourmis.

Foumiz est une belle allégorie de notre société endoctrinale, une critique de la masse, et un retour à la pensée personnelle. Pour autant le long métrage s'avère scenaristiquement très classique, utilisant les ressorts habituels du genre, agrémenté ça et la de quelques vannes bien senties.

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L'histoire de "Fourmiz" est plutôt agréable, mais bien trop classique dans sa structure ! Les codes habituels sont conservés au point de deviner le dénouement, ainsi que chaque scène à l'avance. Le spectateur assiste à cette rébellion sociale, sous couvert d'une histoire d'amour classique, sans pour autant se fendre la poire dans cet humour limité. "Fourmiz" donne son petit coup de pied dans la fourmilière en dénonçant quelques aspects de notre société tout en inculquant certaines valeurs primordiales aux plus petits. Ainsi, petit par la taille, grand par l'esprit, l'aventure "Fourmiz" réussira son devoir éducatif envers les plus jeunes, à défaut de faire rire et surprendre toute la famille.

Un film d'animation agréable et réussi, mais qui n'égale pas l'excellent 1001 pattes des studios Pixar, auquel il ressemble beaucoup. Plein d'aventure et d'humour, Fourmiz est pourtant un divertissement familial de bonne facture.

Précédant 1001 Pattes, Fourmiz fut la première pierre à l’édifice d’une rivalité toujours d’actualité dans le domaine lucratif de l’animation ; et que dire si ce n’est que l’ainé des films en images de synthèse de chez DreamWorks impressionnait de prime abord au regard de son casting vocal (, ne, , n…), pour un résultat final des plus particuliers. En ce sens, difficile d’apparenter Fourmiz aux autres long-métrages d’animations classiques, tant celui-ci nous propose un récit aussi adulte que mature, tout le contraire d’un enfantin 1001 Pattes en somme. Le caractère atypique du film repose donc sur son univers avant tout réaliste, notamment d’un point de vue visuel, mais surtout au travers de ses protagonistes, dont la figure principale qu’est Z-4195 est savamment introduite : l’excellente scène d’introduction est ainsi une superbe mise en bouche, fort d’un monologue sur divan névrosé et pessimiste, et d’une chute éloquente comme pas deux. On comprend donc rapidement ce qu’est la vie en fourmilière dépeinte par le scénario d’Alcott et des frères Weitz, soit un monde proche du communisme humain poussé à son extrême, et on accroche tant bien que mal au personnage de Z, sorte d’anti-héros pas forcément attachant mais nécessaire à l’intrigue. Celle-ci est d’ailleurs globalement réussie, la trame de Fourmiz offrant bon nombre de péripéties intéressantes, mais aussi surprenantes telle que l’affreuse bataille contre les termites (qui m’aura bien marqué dans mon enfance), rappelant la maturité palpable d’un récit définitivement en dehors des productions (Pixar comme DW) standards passées et à venir. Toutefois ceci a un prix, et l’humour insuffisant, ainsi que l’absence de personnages véritablement plaisants, soulèvent les faiblesses d’une intrigue pas toujours passionnante, faisant de Fourmiz une œuvre certes à part mais aussi imparfaite. Dans une même veine, la réalisation visuelle paye son réalisme très marqué (surtout au niveau de la représentation physique des fourmis), qui n’accroche pas vraiment la rétine au bout du compte (on lui préfèrera le chatoyant 1001 Pattes sur ce point). En résumé Fourmiz brille de nombreux éléments matures (propos satirique et autres double-sens), faisant de lui un long-métrage singulier dans le genre, mais aussi une réussite du studio DreamWorks Animation ; pour autant, il apparait comme étant bien loin du niveau d’un certain Toy Story, que ce soit en termes de divertissement ou de réalisation, et ce ne sont pas ses quelques errements qui nous feront penser le contraire.

Dans la guerre des fourmis que se sont livrés les studios Pixar ("1001 pattes") et Dreamworks ("Fourmiz") la victoire revient en ce qui me concerne aux seconds.
Ce Fourmiz se rapproche de l'idée générale des romans de Bernard Werber dont il s'inspire et est attractif, tant au niveau du scénario, intelligent, que des graphismes.
Bien que s'adressant à un même jeune public (cible prioritaire de "1001 pattes"), les adultes ne sont pas mis de côté, avec un humour dont ils peuvent également profiter et des réflexions sur l'individualisme ou le collectivisme (à la hauteur d'un dessin-animé bien sûr, ce n'est pas un film métaphysique).
Film d'animation toujours plaisant, même si daté du siècle dernier et que toutes les fourmis qui ont joué dedans ont dû aujourd'hui rejoindre le paradis des insectes.

J'ai eu beaucoup de mal avec ce film que je n'avais jamais vu malgré sa date de sortie.
Tout d'abord même pour l'époque j'ai trouvé les images de synthèse vraiment horrible avec des fourmis qui font plus peur qu autre chose. l'histoire est en soi même intéressante mais ne se prête pas forcément à un film d'animation.
Je mets la moyenne car ce film n'est pas un navet non plus loin de là mais ne mérite pas qu'on s'y attarde plus que cela

Jouissif ! A ne voir évidemment (et comme toujours d'ailleurs...) en version originale. Les acteurs s'éclatent à faire les voix de ces héros, film bourré de trouvailles à redécouvrir !

J'ai bien aimé le système d'antihéros de la fourmi pendant la scène de la guerre car il ne combat pas mais devient quand même un héros. Sinon le reste du film est pas trop mal mais traine un peu en longueur. Les personnages, par contre, sont bien faits et attachants.

un film d'animation très réussi, où les personnages sont inspirés directement des acteurs qui les doublent. le personnage principal (woody allen) est très convaincant. "fourmiz" peut oser se confronter aux "1001 pattes" de pixar.

Un chouette film, c’est un peu la version pauvre de “1001 pattes”, mais l’histoire est beaucoup mieux malgré l’animation douteuse ; mais le propos derrière est vraiment crédible et convaincant.