Avis : Transformers : l'âge de l'extinction - Page 7

Je sors de l'avant et première et que dire..... Le pire de tout les transformers,une ENORME déception !
Entre les discours nian nian, le gros placement de produit, la musique à fond les ballons sur des énormes gros plans de calandre de voiture tout au long du film et une histoire Père / Fille /Gendre ridicule, je me suis profondément ennuyé. Adepte de ce genre de film, je n.'arrive encore pas à m'en remettre... Mais qu es ce qu'il m'a pris de rester assis 2h40 devant ça....
La seule chose qui fait remonter ma note, c'est les effets spéciaux, mais en rien le sénario plat et qui n'a ni queue ni tête. Au non, j aime plus les humains , et bien si en faite, les humains sont décevant, et finalement laisser la terre en paix car c est moi qui viens.

On se moque de qui ????

"L'âge de l'extinction"... Titre prémonitoire on l'espère pour cette saga qui touche carrément le fond avec cet opus.

Film d'action par excellence, ce transformers est dans la lignée des précédents : Action, Combats dantesque entre transformers, une belle fille, Un héros humain. L'histoire au début est un peu fouilli, difficile à suivre mais une fois l'intrigue débloquée, les scènes d'action s'enchainent avec une cadence infernale pour finir dans un hong kong de toute beauté. Le film aurait gagné à être plus court pour ne pas lasser.
A voir pour passer un bon moment

Déchaîné et sans limite, Transformers – L’Âge de l’Extinction est une déferlante d’action explosive et de combats incessants. Michael Bay propose un quatrième volet survolté et bordélique, où le scénario passe rapidement à la trappe pour laisser place à un spectacle démesuré. Si Transformers – L’Âge de l’Extinction laisse entrevoir une très nette amélioration dans la réalisation de Michael Bay, le film dure bien trop longtemps et la dernière heure du film est une véritable prise d’otage. Le problème majeur de Transformers – L’Âge de l’Extinction est sa durée : le film n’est pas lent mais beaucoup trop long. Résultat, le scénario ne suit pas, donc l’intérêt diminue et le film de Michael Bay devient rapidement un festival d’explosions et de combats incessants sans-queue-ni-tête. Néanmoins, Transformers – L’Âge de l’Extinction est le blockbuster idéal pour s’en prendre plein les yeux… évitez toutefois de vous installer au premier rang !

Peut-on décemment reprocher à Michael Bay de faire du Michael Bay ? (...)

Scène spatiale :O DINOSAURES !!! PIF PAF BOUM !!! :O
Plan patriotique, drapeau américain à l'horizontale flottant au vent ... :O AMERICA !!!
Clichés à foison ... ronfffl ronfffl (15 minutes sans explosions)...

BOUM BOUM BOUM *se réveille* PIF PAF BOUM MARK WALBERG BOUM BOUM Plan au ralenti sur crépuscule Texan PIF BAM BOUM Fille sexy à longue jambes sur ralenti, fille de Mark Walberg BOUM BOUM OPTIMUS PRIME !!! PIF PAF MÉCHANTS VILAINS !!! TRES MECHANTS !!! VEULENT TUER FILLE MARK WALBERG !!! BOUM BOUM BOUM PIF PAF PAN PAN CUL CUL OPTIMUS !!!

Blabla blabla au milieu, pan pan vrouuuum vrouuuum , hi han hi han hi han ! O_o

BOUM BOUM 2h50, BOUM BOUM MA TETE, PIF PAF MES YEUX. AIE AIE MON CERVEAU ù$^*ù Crise épilepsie eeeeeeeuuuuuuuuurg...

Mwa aimé Mikael Baie !

N.B : 1.5 étoile pour TUCCI ! Le reste j'en veux même pas pour me torcher les yeux.

un film, un blockbuster...quelques longueurs dans la première heure, où j'ai senti que le scénario faisait durer le plaisir....j'ai préféré la seconde partie.....
pour le reste la présence de Mark Walhberg est beau moins heureuse que celle de Shia Leboeut dans l'opus précédent.....Sa fille sensée avoir 15 ou 16 ans termine le film avec l'apparence d'une femme de trente ans, et la relation est assez équivoque entre le père, la fille et le petit copain.....
Passée la première heure donc, on a le droit a de bons effets spéciaux, un peu humour (heureusement, le sérieux commençait à plomber) et un scénario qui enfin prend des décisions en terme de script et d'audace .....
Bon, cela dure quand même, trois heures, et cela peut fatiguer ou assommer, mais on pourra ici ou là, voir des références à d'autres films (j'en ai vu trois) et c'est quand même efficace dans le fond et la forme......
Même si le film n'atteint pas les effets et la force de l'opus 3, il reste un bon film d'action , un film pop corn pour tous les âges....

Je le rappelle à chaque fois, mais cela ne fait jamais de mal de le redire : la saga Transformers a toujours été un plaisir coupable personnel. Même si chaque opus a été assassiné par la critique (comme la plupart des films de Michael Bay d’ailleurs, sauf le récent Pain & Gain), la série est pourtant un véritable défouloir sans prise de tête et incroyablement spectaculaire, qui délivre tout un lot d’effets pyrotechniques à couper le souffle (le 2 possède à son actif la plus impressionnante explosion jamais réalisée pour un film). Du Michael Bay, quoi ! Mais maintenant, il faut voir si ce Transformers : l’Âge de l’Extinction mérite sa place dans cette saga prolifique de la Paramount.

Cinq ans après les événements de Chicago, tous les Transformers, qu’ils soient Autobots ou bien Decepticons, sont devenus des parias, chassés par les humains qui en ont marre de devoir vivre leurs batailles dévastatrices. Et alors qu’une unité d’élite traque les derniers fugitifs sur Terre, un simple inventeur, Cade Yeager (Mark Wahlberg), déniche un vieux camion qui se trouve être Optimus Prime (Peter Cullen / Jacques Frantz). En le réveillant, Cade va attirer les foudres de la CIA et mettre sa fille Tessa (Nicola Peltz) en danger. Pour s’en sortir, il va devoir accompagner Optimus dans sa quête et affronter une nouvelle menace qui pèse sur la planète.

Avant toute chose, il faut savoir que Michael Bay voulait s’arrêter au troisième opus. Qu’il n’était alors pas question pour lui d’en faire un quatrième. Alors pourquoi ce retour ? Tout simplement pour le financement de son Pain & Gain (No Pain No Gain… le ridicule des titres VF…) via la Paramount. En effet, la production a établi le contrat suivant : donner son feu vert pour ce film indépendant, en échange de la réalisation de ce nouvel opus Transformers. En somme, bien que Bay n’ait jamais caché son côté « gamin mégalo » pour cette saga, on lui a tout de même forcé la main pour qu’il s’occupe de ce Transformers-là. Et en voyant le film, ça se voit un peu, malheureusement.

Michael Bay est surtout connu pour ces séquences d’action et de dévastation à l’ampleur démesurée et à l’énergie folle, alliant ralentis et montage hystérique, transformant ses films en clips pour ados. Et nous offrant de l’adrénaline à tout-va ! Surtout que pour chaque opus, le réalisateur n’a fait qu’améliorer sa façon de filmer les combats titanesques entre Autobots et Decepticons, devenant plus fluides, lisibles et agréables à regarder. Jusqu’au 3, qui nous offrait un final ahurissant qui a pour seul rival le dénouement d’Avengers, c’est pour dire ! Ici, Bay met les bouchées doubles (si si !!) pour livrer les séquences les plus spectaculaires de la saga (une simple explosion fait dresser l’échine, les effets spéciaux sont toujours aussi grandioses). Malheureusement gâchées par un manque de panache dû à l’envie de Bay de faire autre chose que du Transformers. La faute à un montage un peu trop posé et une bande originale décevante (pas de musiques mémorables, le combat final parasité par le groupe Imagine Dragons). Bay à assurer qu’il s’agit-là de son dernier Transformers, et on veut bien le croire car on sent comme un début de désintéressement envers la série!

Pourtant, même s’il ne semble pas aussi emballé par ce quatrième film que par les précédents, cela ne l’empêche pas de démarrer cette nouvelle trilogie comme il se doit. À commencer par le changement de personnages, qui apporte tellement à cette suite, qui possède alors bien plus des airs reboot qu’autre chose. Fini les mésaventures adolescentes et sentimentales de Shia LaBeouf, faites place à l’esprit paternel d’un Mark Wahlberg en très grande forme et qui s’éclate véritablement (il est même bien plus charismatiques que son prédécesseur) ! Un renouvellement bienvenu, d’autant plus que ces nouveaux protagonistes se trouvent être très attachants et arrivent à faire passer la pilule d’une très longue introduction. C’est sûr, beaucoup pesteront contre ce prélude qui dure et qui dure. Mais c’est excusable : nouveaux personnages qui demandent à être présentés, une nouvelle trame qui nécessite une mise en place plus pointilleuse tout en reprenant ce qui s’est passé dans les films précédents…

D’ailleurs, contrairement à la première trilogie où chaque film pouvait se montrer indépendant des autres (aucun d’eux n’avait une fin qui annonçait une suite), ce quatrième opus est construit comme la première partie d’une toute nouvelle aventure. Permettant ainsi l’introduction progressive de nouveaux robots (dont les fameux Dinobots) et de trames scénaristiques vraiment intéressantes pour le devenir de la saga (le fait que des humains fabriquent des Transformers, l’évocation des créateurs de ces derniers…).

Et là où ce nouveau film se démarque également de ses prédécesseurs, c’est par son ton. La mise en scène, la débilité assumée et les répliques clichés et patriotiques sont du Bay tout craché (toute façon, vous aller voir un de ses films, vous savez à quoi vous attendre, et certainement pas à du Shakespeare ; alors ne dites pas du mal à chacun de ses films qui se ressemblent si vous n’appréciez pas ce genre de divertissement). Mais le réalisateur freine un peu sur pas mal de point. Comme l’humour via des personnages secondaires bonnement tête-à-claques, bien présents ici (Stanley Tucci et T.J. Miller tout particulièrement) mais « plus calmes » que d’habitude. Une ambiance décontracté qui vire par moment dans la noirceur (la mort inattendue de certains personnages, les antagonistes humains aux ambitions et explications diablement humaines, la fille de Cade se faisant menacer par un flingue sur tempe…). Sans compter le fait que le film se focalise bien plus sur Optimus Prime qu’auparavant (qui mettaient Bumblebee sur un piédestal alors que le leader des Autobots était plutôt secondaire), qui préfère sauver les siens plutôt que l’humanité. Inhabituel pour ce genre de film ! Bref, le scénario est au premier abord toujours aussi vide (il faut le reconnaître). Mais pour un blockbuster qui doit, officiellement, s’en moquer, c’est une bien bonne surprise de voir autant de travail d’écriture (même si cela reste un grand mot).

Petite déception donc, en tant que fan, par ce manque de panache. Mais même avec ce constat, l’Âge de l’Extinction ne fait aucunement honte à la première trilogie, s’avérant être un opus de taille, divertissant au possible et pétaradant comme Michael Bay sait si bien les faire (et quoi qu’en disent ses rétracteurs). Car ce n’est pas un auteur mais un homme de spectacle. Il l’a toujours été (même si Pain & Gain dévoilait son côté caché contraire à son statut de divertisseur grand public). Et ce Transformers 4 n’échappe nullement à la règle ! Les Gardiens de la Galaxie auront bien du mal à se faire une place cet été, c’est certain ! Mais ne vendons pas la peau de l’ours ! En tout cas, j’attends Transformers 5 avec impatience mais à une condition : soit Michael Bay retrouve son panache, soit il s’arrête là, laissant la place à un autre réalisateur (ce qui est d’ailleurs prévu, d’après les dernières rumeurs) qui apporterait toute l’énergie nécessaire à la bonne marche de cette nouvelle trilogie.

Ils auraient du arrêter la saga après le deuxième. J'ai détesté celui là, la magie n'opère plus. Le film dure presque 3h et autant dire qu'on les sent passées ... Grosse déception, je vous le déconseille

Il y a une régularité dans cette saga. Chaque nouvel opus est plus spectaculaire et plus cliché que le précédent. Chez les humain on quitte le clichton de l'adolescent ayant des problèmes sentimentaux et avec ses parents pour allez vers le clichton du père qui à des problèmes avec son adolescente spoiler: ( qui a un copain, le père le savait pas , et tout ce qui va avec...)
. Pour les transformers, je sais qu'il faut leur donner un coté humain mais je trouve ridicule qu'un transformers qui vient de l'autre bout de la Galaxy ai la même apparence et la même façon de parler qu'un samouraï (ce qui fait encore plus cliché) ou encore qu'un autre ai une sorte de barbe et un cigare. Certes ça fait marrant mais d'un point de vu réaliste ça le fait pas. Bon il n'y a pas que du mal dans ce film. Par exemple le nouveau bad guy, lockdown, qui est beaucoup plus classe et moins cliché que mégatron, notamment dans ses motivations spoiler: (il n'est pas juste méchant pour conquérir le monde, c'est un mercenaire sous contrat)
. Quand aux dinobots ils sont classes mais inutiles spoiler: ( ils se font dresser par une claque d'optimus) et c'est bizarres qu'ils ne combattent quasiment pas sous leurs formes robotiques
. Bon au final j'ai vu ce a quoi je m'attendait mais c'est tellement dommage que Bay ne donne pas plus d'importance au fait qu'il faut surprendre le spectateur.

Pourtant habitué du genre et même en laissant mon cerveau en entrant au cinéma, ce film est d'une nullité affligeante ... Les effets spéciaux sont peut être le seul point fort et encore je doute que celui-ci vieillissent bien.

Les acteurs sont a chier et les dialogues n'en parlons même pas ... Peut être la faute a la vf ?

Le scénario est bidon et alors putain l'histoire père fille est a vomir ...

Optimus prime est ridicule et (spoiler) ...

... Megatron est la plus grosse blague ! Une cerise sur le gâteau.

Bref. Je n'ai vraiment pas apprécier ce film dans son ensemble. Rythme, scenario, acteurs, repliques, scene de combats ... Le pire c'est qu'il y aura une suite

Un opus de Transformers n'est autre qu'un immense feu d'artifice qui commence par le bouquet final et qui ne s'arrête jamais. L'âge de l'extinction apporte une tournure très différente à la saga. Les Autobots sont devenus la risée des humains, qui n'hésitent pas à s'unir avec l’ennemi pour les traquer sans relâche; B change de look et Sam Witwicky, incarné par Shia LaBeouf, laisse la place à un tout autre personnage. Mark Wahlberg endosse son rôle à merveille; un père de famille, inventeur en herbe, vivant seul avec sa fille de 17 ans qu'il surprotège. Changement de casting et de personnages donc, mais la suite logique des évènements suit son cours. Michael Bay signe son 4ème opus avec le même génie qu'auparavant. Si le scénario n'est pas forcément son fort, que peut on lui reprocher visuellement! D'un point de vue esthétique, ses films ne sont que jouissance visuelle, d'une qualité inégalable. Toujours ces images très chargées avec cet intarissable souci du détail, cette précision photographique sublime qui nous submerge de cet univers robotique et ces paysages hors du commun. De l'action encore et toujours qui nous secoue les tripes à chaque instant. Chef d’œuvre, pourquoi pas...Référence, sans aucun doute! 5/5

On pouvait s'attendre au pire, rien qu'au vu de la bande-annonce. Et pourtant, on voit avec un certain plaisir que Michael Bay sait révolutionner son genre et l'inscrire dans sa décennie. Avec des acteurs d'exception et un renouveau technologique largement supérieur à l'ancienne trilogie, Bay impose sa puissance de destruction massive et de pyrotechnie incomparables et illimitées. Par rapport à la première trilogie idiote et sans âme, avec un Shia Laboeuf caricaturé, ce nouvel opus est incroyable et subliment marquant, avec quelques onces d'humour pas très fins mais qui fait rire, lorsque l'on aime le genre. Bay au sommet!

Après une trilogie renversante où Michael Bay repoussait les limites de son savoir-faire, le réalisateur le plus bourrin de la planète avait décidé de décrocher et de passer à autre chose. Mais quand la Paramount a voulu continuer l'aventure ultra-lucrative des Transformers, il s'est ravisé et est revenu derrière la caméra pour mettre en scène une quatrième aventure avec de petits changements : nouveau casting (exit Shia LaBeouf et ses cris de gonzesses), nouveaux robots ou presque... Voilà. Nouveau casting donc avec en tête Mark Wahlberg en père de famille inventeur (ben voyons...), la jeune et jolie Nicola Peltz (vue dans Le Dernier Maitre de l'Air) campe sa fille ivre d'indépendance, le bellâtre de service Jack Reynor (What Richard Did) son petit ami pilote tandis que l'imparable Stanley Tucci s'appitoie dans un vulgaire copié-collé excentrique du personnage campé par John Turturro dans la précédente trilogie et Kelsey Grammer interprète le bad guy en costard. Le scénario est d'une débilité désarmante, allant encore plus loin dans le n'importe quoi qui se prend au sérieux, les séquences grosses comme des maisons et les répliques badass ultra-violentes. Mais on est pas venu pour ça. Après un début un brin longuet, l'aventure commence avec moins de robots (mais la présence de Drift, le robot samouraï qui en jette un max) mais tout autant d'action, Bay ressortant tous ses gimmicks les plus fracassants à savoir explosions partout, sorties de voitures en contre-plongée, placements de produits, gags crados, muscles, boobs. Allergiques à Michael Bay, fuyez ! Fans de la saga et/ou du réalisateur, vous allez vous régaler, forcément. Outre un scénario transitoire laissant présager le meilleur du best de l'extase pour le prochain volet et des longueurs classiques, ce quatrième opus nous en met une fois encore plein les mirettes avec des séquences à couper le souffle et surtout la présence des dinobots, ces dinosaures robotiques à la classe incommensurable qui détruisent ici Hong Kong en dérouillant des espèces de simili de Transformers créés par les humains ; oui c'est aussi une nouveauté. En définitive, Transformers 4 c'est un épisode de plus qui n'apporte rien de concret à la saga et s'avère même moins bon que les premiers volets (sauf le 2, cela va sans dire). Ainsi, ne vous attendez pas à trouver ici de l'intelligence ou de l'originalité, Bay fait du Bay avec les millions qu'on lui a filé et nous sert un blockbuster pétaradant idéal pour un été proche de la canicule. Et pour les râleurs qui n'aiment que les plats gastronomiques, on leur rappellera qu'ils mangent parfois à McDo eux aussi des fois.

Plus les films Transformers plus ils sont ridicules... Le niveau devient terriblement affligeant.
Les humains dans ce film ne sont plus ceux des films précédant. A présent le héros est Mark Walhberg, acteur bodybuildé mais peu inspiré niveau neurone.
Les humains cherchent bien des années après les évènements du 3ème film à supprimer tous les robots restants sur Terre. La traque mènera aussi à d'autres humains qui s'en le savoir vont permettre aux Decepticons de revenir sur le devant de la scène avec des améliorations.
Vraiment, ce film touche le fond : scénario ridicule, séquences pitoyablement irréaliste et même ridicule, dialogue à vomir...
Bref : je crois que la saga est sur le bord de l'extinction !

Soyons honnêtes avec nous-mêmes le premier opus de la saga Transformers est un grand film d’action, un excellent divertissement et peut-être même le meilleur film de Michael Bay. Si Pain & Gain fut surprenant et plutôt plaisant, Bay n’est jamais meilleur que lorsqu’il s’agit de faire exploser quelques véhicules, quelques immeubles en ponctuant le tout de ralentis héroïques. Les opus suivants, surtout le troisième furent hélas d’un autre niveau, certes bluffants par leurs effets visuels mais bâclés sur le plan scénaristique. Certains diront qu’il ne s’agit pas d’un genre de films où l’histoire importe, je leur répondrai que pour tenir le moyenne de 2h30 que durent les films de Michael Bay, les enchainements des explosions à répétition ne suffisent parfois pas à éviter l’ennui profond.

À la grande surprise, ce quatrième volet est plutôt une bonne surprise ! Un grand ménage a été opéré, et hormis certains robots, Optimus Prime (Peter Cullen) et Bumblebee, l’ensemble des personnages a été revu. Plus de Sam Witwicky (Shia LaBeouf), plus de Lennox (Josh Duhamel) ou de Simmons (John Turturro). C’est désormais Mark Wahlberg qui mène le film, dans le rôle d’un inventeur raté, et cela donne un nouveau départ bien vu à la franchise. Si l’étude des personnages ne vole jamais très haut, on est plus concerné par l’histoire de Cade Yeager après avoir suivi Sam (Shia LaBeouf) dans les trois précédents films.

Avec de nouveau robots et de nouveaux enjeux, Michael Bay réussi son pari en livrant un film très divertissant et jamais ennuyeux malgré ces 2h45. Le film met du temps à mettre en place ses différents personnages et enjeux avant de s’engager dans un tour du monde, du Texas jusqu’à Hong Kong, avant de se conclure avec un climax époustouflant où humains, transformers et dinobots s’affrontent dans un déluge d’effets pyrotechniques et d’images de synthèses transcendés par la projection 3D.

Sceptique au départ je me suis laissé prendre au jeu, et je dois reconnaitre que si Transformers: l’âge de l’extinction n’arrive pas au niveau du premier film, il remplit largement son contrat et se hisse bien au dessus des autres épisodes. Pas mal !