Avis : Hunger Games - L'embrasement - Page 9

C'est du VOL!!!!!

Une des plus grosses daube de tous les temps. 2H30 d'ennui mortel, je voulais partir au bout de 20 minutes (beaucoup de gens ont quitté la salle, les autres dormaient) le meilleur somnifère de l'année. Toutes les scènes de la dernière heure se passent dans la nuit, on ne voit rien. Il n'y a pas d'action, Des dialogues hilarants de connerie:
-"J'ai vu des dindes dans la foret..."
-"elles se croient chez elles"

Arrêtez de prendre les gens pour des abrutis et donnez ces millions de dollars à des organisations caritatives, ce sera mieux dépensé!

Dégoûtée d'avoir vu ça même le lendemain au réveil, ça me donne envie de ne plus jamais retourner au cinéma...

Serieusement le premier était mieux donc je ne vous le conseil pas.

Le film appartient à une génération de lecteurs de l'épopée , ceux qui n'ont pas lu ces livres à succès n'y verront qu'un simple film d'action.
PLV: pour les lecteurs, le film est une évidence même si comme dans toute adaptation des modifications sont faites, pour les autres il s'agit juste de se connecter à notre époque

j'ai aimé le 1 autant que j'ai détesté le 2. On nous laisse croire au risque d'une révolution dans les districts, durant une bonne grosse heure trente interminable (sur les 2h40) , partie sur laquelle est construite l'histoire pour donner du contenant et justifier ce second volet. On nous laisse croire à la mise en place d'une chasse à l'homme qui nous promet le meilleur, mais voilà que le président snow nous pond d'un claquement de doigts, une nouvelle édition des jeux pour faire la peau à nos 2 choux-choux un peu trop arrogants, en les balançant de nouveau dans l'arène, parce qu'il n'a trouvé que ce moyen pour se débarrasser d'eux. Et là bis-répetita on se retrouve dans une nouvelle épreuve entre binômes, sauf que contrairement au premier volet, c'est orchestrée à l'arrache, avec des idées tordues et peu crédibles dans une forêt tropicale hostile, qui peinte en bleu fluo nous aurait rappelé la planête pandora... et sauf qu'un pseudo complot fait que ça tourne en péplum grotesque nouvelle génération avec une chute en queue de poisson. Cet opus décevant au montage bâclé trompe le spectateur... et agace au plus haut point !

Le premier Hunger Games, même s'il était pas mal, nous laissait sur une fin qui n'attendait pas spécialement de suite. C'est tout l'inverse de ce deuxième long-métrage qui s'inscrit véritablement dans la continuité des tomes ; et honnêtement je l'ai trouvé beaucoup mieux que le premier.

D'abord, il fait moins kikoolol, comprenez par là qu'on ne s'attend plus à une grande victoire de Catnip avec une fin rose bonbon. Non, là on s'attend à du sang, de la violence, de la jalousie et des trahisons. On s'attend à une révolution, à un embrasement. A une fin noir bonbon (des têtes brûlées ?

Ensuite, le directeur de la photographie était particulièrement bon sur celui-là. Mis à part une scène finale pendant laquelle elle est emportée par l'avion (les bras façon Jésus Christ lors de la montée, mi oiseau/mi messie que j'ai trouvé moyen), l'image est belle. Et plus que l'image, l'animation est elle aussi extraordinaire.

Enfin, le scénario nous surprend. Bon, d'accord, j'avais pas lu le livre parce que j'ai cru qu'il s'agissait d'un livre destiné à un public féminin (j'y crois toujours). Mais je pensais que Hunger Games allait être destiné à un public d'adolescents si ce n'est d'enfants. Mais certaines scènes particulièrement violentes marquent l'esprit. Et le discours philosophique et politique émanant du long-métrage est profond et réfléchi.

Même si on s'attend à quelques scènes spoiler: les menaces du président ou Cinna qui se fait frapper
on reste sur notre faim à la fin. Et on en veut plus. Beaucoup plus. Vivement le prochain. 4/5

une bonne suite plein d'aventure, je dirais mieux que le premier. La suite est obligatoire vu la fin du film.
Quelques longueurs par instant mais cela n'enlève rien.

C'est chouette, les trilogies : on est en effet à chaque fois content de retrouver des personnages familiers qui nous ont plu et de replonger dans un univers qui nous a fait rêver. C'est donc une grande joie de retrouver la vaillante Jennifer Lawrence (oscarisée entre-temps pour "Happiness therapy", excusez du peu) et ses amis auxquels se joignent ici le placide Philip Seymour Hoffman et la douce Jena Malone. Pas vraiment de différence avec l'opus initial, puisque l'on retrouve dans ce second volet les mêmes défauts et qualités que lors de la première aventure. A savoir d'un côté un scénario quand même pas très crédible et un léger manque de souffle. De l'autre, un univers original et un mélange de rêve, de suspense et d'action. Et alors que l'on se dirige vers une issue tranquille, un coup de théâtre final qui nous bouscule et qui nous amène à nous rendre compte que l'on s'est plus pris au(x) jeu(x) qu'on ne le pensait. Faisant monter d'un coup l'excitation dans l'attente de la suite qui s'annonce grandiose. Allez, joyeux "Hunger games" à tous et puisse le sort nous être favorable !

Une longue attente pour une grande déception!!!

Étant une grande fan de la saga Hunger Games, j'attendais avec impatience cette suite! j'ai été assez surprise quand j'ai vu que le film avait déjà une note supérieure à 4 alors qu'il n'était pas encore sortit. Malgré tout, rien n'aurait pu m'empêcher d'aller le voir!
J'ai plus eu l'impression de voir un remake du premier opus qu'une suite! le triangle amoureux pour moi entre Katniss et ses deux prétendants est beaucoup moins intéressant que dans le premier volet. On se lasse très vite du "il mérite d'être sauvé" "non c'est elle qui doit être sauvée", au bout de 2h30 c'est juste lassant!! décidez-vous et puis merde quoi!!!!

Plusieurs scènes inutiles, spoiler: comme celle où l'héroïne disparait seule dans la forêt après l'annonce des nouveaux jeux, celle où elle va ramasser la neige, celle où elle aide la femme blessée à l’œil ou encore les discussions sur la plage
. J'ai toujours pas compris l'intérêt de la scène spoiler: où l'une des participantes se déshabille dans l'ascenseur
!!!
J'ai eu un amer goût de "déjà vu", spoiler: comme l'entrée dans l'arène avec les tenues qui s'enflamment ou encore la robe qui prend feu! qu'on m'explique comment cette robe en brûlant fait pour créer des bretelles qui n'existaient pas!


Quatre seules belles surprises dans le scénario de ce nouvel opus: spoiler: l'annonce de la fausse grossesse, la scène où cinna se fait frapper, le brouillard empoisonné et celle avec les singes!
Pour le reste, je me suis vraiment ennuyée! Pour les acteurs, j'en ai trouvé beaucoup très peu convaincants!

Merci au réalisateur pour la fin du film, c'que j'en ai compris c'est "cassez vous"!!

L'ennui naquit un jour de l'uniformité.....HG 2 = HG1 mais en plus long.
J'ai lutté pour ne pas m'endormir.
Pourquoi 2h26 là où il y aurait pu y avoir 1h25 ? Sans doute, les réalisateurs américains pensent que plus c'est long, plus c'est bon.
En tous les cas, le HG3, ce sera sans moi.

Plaira sûrement plus au jeunes adultes, cela reste cependant un bon divertissement, de l'action et toujours cette réflexion sur la société et le divertissement. On peut s'attendre à un bon 3ème volet.

Juste génial, à voir! Images magnifiques en Imax. Mieux que le 1! Beaucoup d'informations et d'images en 2h20, on ne voit pas le temps passer, je vais le revoir!

"Hunger Games - L'embrasement" est le second opus de cette nouvelle saga remplaçant "Twlight" dans le cœur des adolescents et est incontestablement plus intéressante que celle-ci. De plus, ce deuxième épisode semble plus réussi et plus abouti en tous point en comparaison au précédent. On peut déplorer un manque d'intensité dans la première partie du film qui sert surtout à présenter une intrigue politique déjà partiellement aperçue dans l'opus précédent, on comprend mieux les enjeux politiques. Une fois que les compétiteurs entrent une nouvelle fois dans l'arène, le spectateur trouvera les scènes d'action tant attendues, et il ne sera pas déçu puisqu'elles sont mieux tournées que dans "Hunger Games". Le film hésite encore une fois à montrer des scènes trop violente pour éviter un potentiel avertissement, cela aurait néanmoins permis un gain d'intensité. Jennifer Lawrence est toujours impeccable pour incarner le personnage principal de cette saga. Elle est bien accompagnée par Josh Hutcherson, Woody Harrelson, Philip Seymour Hoffman et surtout Donald Sutherland interprétant le tyran Snow. Il manque un grand thème musical à cette saga, malgré une bonne musique pour le générique signé par Coldplay. "Hunger Games - L'embrasement" mène cette saga dans la bonne voie, certainement grâce à Francis Lawrence qui reprend le flambeau de Gary Ross qui signe un film à l'intrigue politique intéressante, un blockbuster efficace, mais qui trébuche à cause de quelques détails vraiment gênants.

Un cliché adolescent qui plaira au plus grand nombre d'entre eux. Il n'empêche que le potentiel du film se trouve sûrement dans l'originalité qui saturera certainement rapidement.

Autant le dire de suite, ce second volet est une vraie réussite. Mené tambour battant. Sans temps morts. Lorsque le générique de fin apparaît a l'écran, on se surprend à penser : déjà ?
Après un 1er volet de sinistre mémoire, les producteurs ont su remettre la franchise sur rail. Très prometteur pour les 2 épisodes restants.
Voici donc un nouvel opus fringant.
Et hop changement de réalisateur. Exit Gary Ross et welcome Francis Lawrence. Une approche des personnages plus fouillée, plus d'épaisseur et plus d'intensité. Un vrai sentiment d'empathie se crée.
De l'émotion, du frisson, de l'action. Tout ce qui manquait dans le 1er épisode.
Et surtout une histoire et un scénario bétonnés. Une vision viscérale d'un monde en perdition qui n'attend qu'une étincelle d'allumette pour s'embraser.
Le tout couplé à une approche politique approfondie des plus intéressantes. Les pièces se mettent en place pour former une immense partie d'échec létale.
Le nombre 2 est le bon numéro !
4/5

La saga « Hunger Games » change de réalisateur ! Si Gary Ross a vu son travail décrié à cause de l’instabilité de sa caméra, Francis Lawrence convainc la majorité grâce à une mise en scène plus classique. L’immersion totale était l’une des forces de la réalisation de Ross. Sur « Hunger Games : l’embrasement », le spectateur est moins balloté et abasourdi en même temps que Katniss, ce qui lui laisse le temps de s’attarder sur les détails, d’apprécier l’action comme les émotions de manière plus posée. Ainsi, ce second volet égale voire surpasse son aîné grâce au savoir-faire de Lawrence, déjà responsable du très beau « De l’eau pour les éléphants ». Pour ce qui est du reste, « L’embrasement » prolonge idéalement les bases posées en 2012. On retrouve Katniss au District 12, changée à jamais par les jeux. La tournée des vainqueurs est sur le point de débuter. C’est au cours de cette campagne que jaillit la dimension politique. Ce qui à la base était un geste innocent et désespéré s’est transformé en un acte de rébellion pour les citoyens de Panem. Voilà Katniss devenue celle sur qui le président compte pour calmer la population. Pas évident pour une fille dont la sociabilité n’est pas le fort, d’autant plus que la revoilà expédiée dans l’arène pour la seconde fois. Francis Lawrence procède à un découpage similaire à celui effectué par Gary Ross. Une grosse moitié sous les paillettes du Capitole suivie d’un final violent bourré d’action. Puisque je suis rendue à comparer, je reconnais que cette deuxième partie du deuxième film surpasse largement la deuxième partie du premier film. Pourquoi ? Parce que Katniss n’a plus à se battre aveuglément, elle fait maintenant tout pour protéger Peeta, même une alliance avec un groupe de tributs. La stratégie devient plus vitale que les massacres aveugles, et ça fait tout de même du bien. Cette arène est également bien plus digne d’intérêt que la simple forêt du premier opus. Les particularités de cette arène ronde composée d’une plage entourée d’une forêt m’impressionneront toujours tant la création de Suzanne Collins force le respect. Hormis l’histoire qui respecte encore une fois parfaitement les romans, « Hunger Games » est réussi grâce aux thèmes composés par James Newton Howars et aux acteurs s’investissant corps et âmes dans leurs rôles. Jennifer Lawrence est toujours aussi talentueuse, Josh Hutcherson se révèle bien plus à l’aise dans le rôle de Peeta, Jena Malone et Sam Claflin sont des Joana et Finnick idéaux.