Avis : L'Expérience interdite - Flatliners - Page 3

0 % en imagination, cohérence.... 100 % en bourratif et répétitif. Voilà une critique vite faite - ce "Flatliners" au plus bas dans le cinématographique, mais au plus haut dans l'imbécile, ne mérite pas plus long !

Un film très banal mais qui mérite la note de 4 grâce au jeu des acteurs et surtout le scénario qui est très bien ficelé pour nous tenir en stress tout le long du film. Un film classique très bien réalisé.

Film archi nul, lourd, redondant, truffés d'incohérences, mal joué, bref c'est pourri d'ailleurs j'ai arrêté avant la fin.

J’ai vraiment adoré l’histoire les acteurs bien joué ! Un très bon film. Pas trop irréel. Bien scénarisé j’ai adoré ! Je recommande vivement on s’ennuie pas une seconde.

Pitié , arretez les remakes bidons, film sans âme, bourré d'images de synthèse faisant mal à la tête , personnages pas attachants, on est loin du remake de 1990, quant à la fin j'en parle même pas , je déconseille même un dimanche de pluie

Remake, bien décevant et inutile au vue de l'original sortie 90. Ce film se contente de reprendre l'idée de base du film de Schumacher, mais n'y apporte rien de neuf, les personnages sont guère attachant et certaine scènes oscille entre le ridicules et le totalement absurdes. Les acteurs sont correcte mais sont loin des prestations originale de Bacon, Roberts, et Sutherland qui revient dans un rôle mineurs dans celui-ci. Un remake parfaitement dispensable de plus

Mon Dieu que c’est mauvais !!! Au début des années 90, sortait un film éponyme qui narrait donc l’expérience d’étudiants en médecine visant à savoir ce qui se passe entre la vie et la mort, ce qu’on appelle communément les EMI (Expriences de Mort Imminente). A son casting, de jeunes débutants devenues des stars (Kevin Bacon, Julia Roberts, Kiefer Sutherland, …). Comme résultat, une honnête série B. Vu que les producteurs hollywoodiens semblent être en pénurie d’idées à l’heure actuelle, ils ont décidé de faire un remake (pourtant à priori dispensable) de ce film. Et bien, cette chose anodine, sans saveur et faite avec les pieds sans aucun sens artistique se range directement dans le bas du panier de la production horrifique (enfin si on peut appeler ça de l’horreur) et fantastique actuelle. Et surtout qu’est-ce-que le temps semble long comme le film dure près de deux interminables heures.

Les vingt premières minutes ont le mérite d’être relativement intrigantes avec ce décor d’hôpital et ces jeunes adultes en quête de réponse à l’au-delà. Mais une fois passé les débuts de l’expérience tout part en sucette. Les personnages se révèlent tous plus tête à claques et antipathiques les uns que les autres. Ils se limitent à un trait de caractère et un trauma grossier. Leurs réactions sont ridicules les dialogues très pauvres ne viennent certainement pas les aider. Dans ces conditions, difficile de s’intéresser à ce qui peut bien leur arriver. Puis viennent des problèmes de montage, certaines scènes semblant arriver dans le film en dépit du bon sens et de l’ordre chronologique et d’autres manquer à l’appel pour faire la liaison. Ensuite viennent les nombreuses incohérences dont la plus frappante vient de ce service d’entretien venu faire le ménage dans un hôpital abandonné.

Le dossier est donc déjà bien chargé concernant cette triste production. Mais ce n’est pas tout ! Dès lors qu’arrivent la partie censée faire peur c’est du n’importe quoi. On a droit à des frissons de bas étage vus et revus, fait d’apparitions impromptues sur une hausse du niveau sonore destinées à nous faire sursauter. En plus de cela, il n’y aucune logique dans ces apparitions horrifiques. Tout part en mauvais slasher pour tourmenter nos pauvres personnages, mais on a déjà décrocher depuis belle lurette tellement les idées de mise en scènes sont ratées et dignes d’un téléfilm de seconde zone. Quant aux scènes de se déroulant durant l’expérience entre la vie et la mort, elles sont le summum de la caricature de ce qu’il ne faut pas faire et font cheap au possible. Aucune innovation, aucune idée nouvelle. Il est clair que ce remake sans queue ni tête et qui part dans tous les sens - sauf le bon - fait peine à voir. La fin de la projection arrive donc comme une délivrance !

La première question qu’on se pose lorsque la lumière se rallume dans le cinéma, c’est « Pourquoi ? ». Pourquoi faire un remake du film de 1991 si c’est pour l’affadir, pour lui donner sur la forme l’air d’un film pour ado et sur le fond l’affubler un message judéo-chrétien tellement appuyé que cela en devient risible ? Le film initial avait l’attrait de la nouveauté et de l’originalité, il était porté par un réalisateur qui savait ne pas en faire trop et par des comédiens au charisme autrement plus puissant que le remake de 2017. Sur la forme, Niels Arden Oplev déçoit quelque peu, lui qui avait réussi à mettre en image le difficilement adaptable « Millenium » livre ici un film clef en main, avec des scènes qui font sursauter appuyé par une musique angoissante qui prépare le spectateur et semble lui dire « attention, là, tu vas sursauter ! ». Même s’il réussit à bien rendre à l’écran les expériences « positives » avec des couleurs, des travelings, une jolie photographie, lorsqu’il s’agit de rendre les expériences « négatives » et les hallucinations qui suivent, il opte pour le cliché, les lettres de sang, les endroits abandonnés, les apparitions au teint grisâtre et aux yeux exorbités ! Ce peut impressionner les ados (c’est peut-être à eux que le film s’adresse, après tout) même si je pense qu’ils en on vu d’autres ! Techniquement c’est propre mais d’un classicisme un peu désespérant. Le genre « fantastico-thriller » est genre qui mérite que l’on soigne la forme, puisque le fond est presque connu d’avance. Les acteurs font de leur mieux mais ils n’ont pas le charisme nécessaire pour incarner des rôles trop peu écrits et sans profondeur : Ellen Page (moyenne), James Norton (caricatural), Nina Dobrev (rôle pas assez écrit, manque de profondeur), Kiersey Clemons (pas convaincante et assez vite énervante). Seul Diego Luna surnage dans un rôle là encore trop superficiel mais il confirme la bonne impression qu’il avait laissé avec « Rogue One » l’année dernière. Oui, ils ne sont plus 3 comme dans le film initial mais 5, surement pour pouvoir mettre en scène des histoires différentes, entrecroiser les destins, ou tout simplement multiplier les occasions de se faire peur. Là où le film de 1991 proposait, si ma mémoire est bonne, des relations complexes entre les 3 étudiants (une sorte de triangle amoureux venant tout compliquer), ici, on se concentre sur les expériences et leurs conséquences, c’est plus cinématographique. Le film initial ne se concentrait que sur l’expérience raté de l’un d’entre eux. spoiler: Or, ici, les 4 qui tentent l’expérience ont tous des problèmes puisqu’ils sont tous coupables de quelque chose. Le seul qui ne tente pas l’expérience, le seul qui semble vaguement avoir conscience du problème éthique que pose ladite expérience est peut-être le seul qui n’aurait rien à se reprocher, c’est quand même dommage
! spoiler: Oui, ils ont tous fait quelque chose de mal, à des degrés divers, et ce mal vient des hanter après l’expérience comme les péchés viennent hanter les pêcheurs au moment du jugement dernier. Pour se débarrasser des visions horribles, il leur faut bien entendu expier, demander pardon, réparer. Plus judéo-chrétien comme message, tu meurs !
Ce n’est même pas fait avec grande subtilité, encore qu’on nous épargne la petite visite à l’Eglise que je craignais de voir arriver pour couronner le tout ! Franchement, on ne croit pas à tout et là, je ne parle pas de l’ « après » dont, comme tout le monde, je ne sais rien. Mais la facilité avec laquelle Courtney arrive à faire tomber les barrières morales de ses petits camarades, alors qu’elle a à faire à des futurs médecins (qui devraient donc être très ultra concernés par les questions éthiques), les réanimations dont aucune ne se déroulera comme prévu, l’attitude des réanimés après leur expériences (qui se saoulent et font la fête à peine quelques heures après avoir eu le cœur à l’arrêt), tout sonne too much, pour ne pas dire un peu ridicule. Là encore, c’est plus facile de faire ce genre de raccourcis que de poser les vraies questions que pose cette « Expérience Interdite » : l’éthique, les conséquences physiques (et pas seulement cérébrales), et surtout LA question essentiel : qu’est ce que cela apporte aux vivants de savoir ce qui se passe après la mort ? Est-ce une curiosité à laquelle on doit essayer de donner une réponse ? Sans exiger que le film remplace un devoir de philo sur la question, on aurait pu espérer un peu de hauteur de vue sur un sujet si prometteur. Au contraire, ici, on se retrouve devant un thriller fantastique lambda, formaté, sans profondeur ni imagination. Si j’ai gardé un souvenir net du film de 1991 qui n’était déjà pas un chef d’œuvre, que dire du souvenir que laissera cet improbable remake ? Je sens qu’il s’estompe déjà au bout de quelques heures. Finalement « L’Expérience Interdite Flatliners » porte bien son titre. C’est une expérience dont on peut assurément se passer.

Je n'attendais pas grand chose de ce film si ce n'est un divertissement sympa. Mais SANS plus L'Expérience interdite est un film sans grandes prétentions. J'ai trouvé les personnages attachants, la réalisation est correcte et l'histoire est plaisante à suivre mais la fin a l'air bâclée en faites. Dommage qu'il ne fasse pas plus frissonner!

Cinq étudiants en médecine vont tenter sur eux-mêmes des expériences de mort imminente. Conçu pour un public d'adolescents, ce film se laisse regarder même s'il n'y a pas beaucoup d'instants terrifiants. N'ayant pas vu le film sorti en 91, je ne peux pas émettre de comparaison, juste faire le constat que celui-ci est assez fade avec une morale finale assez simpliste spoiler: (il faut avouer ses fautes pour avoir la vie sauve)
. Un film assez basique dans l'ensemble malgré la bonne interprétation de ces aventuriers de l'au delà.

Une resucée du film des années 1990 tout à fait acceptable avec de très bons moments d’épouvante et beaucoup de glamour. Un bon moment horrifique dans la même veine que « destination finale. »

J'ai un petit faible pour « L'expérience interdite » d'origine, signée en 1990 par Joel Schumacher, avec Julia Roberts, Kevin Bacon et William Baldwin à l'affiche (quand même !). Je n'avais donc pas l'impression que ce film sympathique avait suffisamment vieilli pour « mériter » un remake... Ceci dit, je dois quand même reconnaître que je me suis bien amusé avec la nouvelle version, 27 ans plus jeune. Le scénario, copié sur l'ancien, ne m'a pas vraiment dépaysé mais la qualité des effets spéciaux et de la technique replacent sans doute cette bonne vieille intrigue au cœur du 21ème siècle... Les scènes médicales sont toujours aussi immersives et l'idée de tuer quelqu'un pour le ramener à la vie un peu plus tard reste quand même bien flippante. La seconde partie, beaucoup plus « perchée » et inquiétante, fait la part belle aux fantômes et apparitions qui peuplent notre inconscient et qui nous rappellent qu'on ne doit pas faire n'importe quoi dans la vie. Quelques scènes, bien anxiogènes, m'ont vraiment donné la chair de poule, ce qui prouve que le film fonctionne... Pour peu qu'on arrive à s'affranchir de sa morale un peu « lourdingue ». De leur côté, les jeunes acteurs sont plutôt charismatiques et ils parviennent presque à faire oublier les glorieux anciens qui les ont précédés dans leurs rôles... Ceci dit, cette version m'a surtout donné envie de redécouvrir la précédente. Sans doute pour pouvoir les comparer, et là...

Intéressant de voir la limite de la recherche scientifique par la mise en pratique. En effet ces jeunes souhaitent faire l'expérience de ce tuer pour observer ce qu'il se passe après la mort, et on vois tout les problèmes que cela peut engendrés, les bienfaits et les méfaits de cet expérience.
Intéressant, perturbent avec un peu de frayeur.

Rendez-moi la version originale!!! Sans pour autant être un mauvais film, le côté surnaturel prend trop le pas dans la seconde moitié du film en abandonnant totalement les aspects réflexions sur la mort, transgression, peur de l'expérience, aspect grisant du fait. Flatliners porte finalement bien sont nom, il est "flat" qui signifie "plat" ou "monotone" en anglais!

Moyen. L histoire est pas mal mais pas super bien réalisé au final. Un peu trop attendu rien de bien transcendant pour ce remake.