Avis : Diana - Page 7

Comme le titre ne l'indique pas, ce film ne concerne pas la vie de la princesse Diana, mais uniquement la dernière histoire d'amour de Diana. Histoire à l'eau de rose plutôt classique, pas vraiment de spécificité liée au fait que cette histoire d'amour concerne justement Diana.

"Diana" a été une très agréable surprise. Je ne parle pas de la "vraie" Diana que j'admire profondément, mais bien de ce film qui relate une histoire d'amour entre une femme (qui était accessoirement une princesse un peu célèbre) et un homme (qui était accessoirement un médecin émérite). Alors bien entendu il ne s'agit pas d'un chef d'oeuvre, mais il ne s'agit pas d'un film polémique ni même uniquement d'un film à performance pour la parfaite Naomi Watts. J'ai vraiment trouvé dans ce film beaucoup de simplicité et d'amour, tout l'inverse de ce que je craignais et, je pense, tout l'inverse de ce qu'attendait bon nombre de critiques toujours friands de sang, de sueur et de larmes. Agréable surprise donc.

une tranche de vie, celle d'une femme toujours seule...même entourée d'une foule immense. Il faut oublier que l'on parle de Diana car, justement, tout le monde en a trop parlé...au final, ce film souffre de vouloir trop coller à la personne physique...Le point de vue du réalisateur est singulier mais loin d'être dénué d’intérêt et je conseille vivement ce film pour plonger dans ce sentiment de solitude constant.

Dommage que Hasnat KHAN ait décrié cette version des faits avec tant de rage.

Oliver Hirschbiegel ne réalise pas un biopic de la Princesse Lady Di. Il s’agit en réalité de deux ans de sa vie, au travers de son histoire d’amour avec le chirurgien pakistanais Hasnat Khan. Si Naomi Watts et le trop rare Naveen Andrews forment un duo convenable, leur amour passionnel est lisse et montré avec beaucoup trop de pudeur. Diana ne tient donc pas ses promesses. Le drame biographique n’est finalement qu’un soap américain aux intrigues peu touchantes. Si la Princesse de Galles était l’une des personnalités les plus marquantes de toute l’Histoire, le long-métrage n’y arrive pas à la hauteur et s’engouffre dans un scénario sans vie et complètement futile.
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Un biopic certes simple mais qui démontre que sous la célébrité et la lumière des projecteurs se cachent les flashs envahissants des photographes et une femme simple qui cherche à vivre normalement, tout simplement.

Un des choses les plus importantes dans un biopic, c’est l’acteur ! En effet, l’acteur doit à la fois incarner le personnage mythique, Diana dans le cas présent, sans toutefois en faire trop ou pas assez. Et c’est ce qui arrive dans ce biopic de Lady Di qui nous montre la dernière année de sa vie. Naomi Watts est donc vraiment en dessous de ce que le rôle demandait. Elle n’est pas la princesse Diana, elle n’est juste qu’une femme qui a une vie de princesse.
Mais il y a autre chose. Le réalisateur, Oliver Hirschbiegel, n’a pas choisi la partie la plus intérresante de sa vie. Il nous montre, en effet, la dernière année de sa vie celle où elle rencontre 2 hommes: un médecin et un fils de milliardaire. Ce biopic se transforme donc en romance bien loin de se qu’on aurait pu imaginer.

Bref, un biopic qui nous montre qu’une infime partie de ce qu’à pu être la vie de Diana et qui nous décoit beaucoup !

On le sait, le biopic est délicat à traiter. A commencer par le personnage historique : trouver l’acteur ou l’actrice qui doit lui ressembler. S’il a des faux airs, tant mieux autrement on le grime ou on fait appel à quelques effets spéciaux. Ensuite, il y a le traitement de l’histoire-même du personnage. Que raconter ? Sa vie de A à Z ? Ou une tranche de sa vie, un pan de son histoire ?
Les deux se défendent. Le biopic a le mérite soit de nous rafraîchir la mémoire, soit ne rien nous apprendre que l’on sache déjà, soit nous inviter à fouiller davantage après le film, il est une amorce pour nous attiser la curiosité, pour nous permettre d’approfondir nos connaissances. Là encore, tout dépend du point de vue du réalisateur. Justement, ce dernier point est périlleux : le traitement du biopic pour terminer. Soit le réalisateur opte pour une narration classique, soit il romance son classique, soit il y ajoute de la poésie comme Joanne Sfar avec « Gainsbourg (Vie héroïque) » Tout est dans le traitement et l’interprétation. Selon moi, c’est réussi si j’ai l’émotion et peu importe le personnage relaté. Je suis resté à distance avec «Mesrine », avec « La dame de fer », mais j’ai adhéré avec « Gandhi », avec Lennon dans « Nowhere boy » ou encore « John Rabe » dont j’ignorais totalement l’existence ! Ce « Diana » n’est pas déplaisant. Je me moque de la ressemblance de la princesse avec Naomi Watts du moment où je me suis laissé transporter. Ce qui m’a aidé sans doute, c’est de ne jamais avoir lu aucun tabloïd, aucune revue People (même dans une salle d’attente !), et j’ai toujours écouté d’une oreille très distraite les péripéties de nos « mondanités ». Ainsi, j’ai pu suivre ce film comme n’importe quel film à l’eau de rose ou romantique. Toutefois, je reconnais que cette tranche de vie narrée n’a rien d’exceptionnelle. « Diana » est un film passe-partout, mais je l’ai suivi sans une certaine émotion. Est-ce vrai ? Peu importe, l’histoire de cette princesse et de son amant chirurgien a quelque chose de rassurant dans ce monde protégé « loin du peuple ». Amoureuse, « Diana » se révèle être une femme comme tout le monde, avec ses prétextes pour séduire, pour attirer l’attention, élaborant des rêves, un avenir radieux. Là où je suis surpris, c’est la dernière partie du film où elle paraît manipulatrice avec les paparazzi. Pourquoi pas ? J’apprécie aussi le fait de se passer de la reconstitution de l’accident. A quoi bon ? Evidemment, le réalisateur ne pouvait pas échapper de nous donner quelques repères historiques à travers ses actions humanitaires. C’était ponctuel, inévitable et instructif en ce qui me concerne. Enfin, Naomi Watts s’en sort bien et « m’offre » une prestation respectable. En tout cas, je n’irai pas piocher dans les archives des magazines People pour fouiller davantage la vie de la princesse Diana… Le film me suffit.

Bilan : Presque seize ans jour pour jour après l’accident tragique qui lui ôta la vie, la célèbre princesse de Galles ressuscite sur grand écran pour mieux mourir, cette fois-ci assassinée par Oliver Hirschbiegel. Seule l’excellente partition de Naomi Watts et quelques morceaux sur les travers de la célébrité s’avèrent convaincants.

Tout faux
D'après Hasnat Khan lui-même, ce film "se base sur des ragots et sur les récits d'amis de Diana au sujet d'une relation dont ils ne savent quasiment rien, ainsi que sur ceux de certains membres de ma famille "

Je trouve par ailleurs que ce film donne à Dodi Al-Fayed le rôle de dindon de la farce, ce qui est également faux.

...Quoi de plus intemporel que l'Amour,les sentiments...Une fable Moderne,retraçant finalement le Destin de deux êtres aux frontières de leur existence. La phrase Culte du film résume bien l'ensemble du contexte. L'amour est un jardin et je t' y attendrai...Alors regardons avec bienveillance cette Princesse de Galles qui n'avait que faire de l'apparat...et son amoureux transit, pétrifié par le protocole et laissons divaguer sur deux heures cette belle histoire d'un amour impossible,rehaussée par l'interprétation de deux acteurs ancrés dans cette réalité de l'instant...du moment où tout bascule comme un rêve,mais c'est la tragédie de l'amour naissant...C'est très touchant.

Au travers d'une des personnalités les plus connues du monde, ce film est simplement une histoire d'amour universelle. Diana est une femme, certes pas comme les autres, mais une femme avant tout. Et Hasnat est un homme. Un homme et une femme : avant la projection, le producteur a rendu hommage au film de Claude Lelouche. On peut discuter de la réalisation (que j'ai personnellement adoré) mais pas de la sincérité des intentions...
Personnellement, la vie de Diana en tant que princesse ne m'a que peu concerné mais, dans ce film la femme qu'elle est m'a ému au larmes.
Courez-y, sans vous demander si c'est la pure histoire vraie ou non, et laissez vous porter par l'émotion du film.

Jouissant d’une incroyable popularité, il était inévitable de voir un jour la vie de la Princesse Diana déballée sur le grand écran. Le film d’Oliver Hirschbiegel n’est pas ce qu’on pourrait considérer comme un véritable biopic puisqu’il s’intéresse essentiellement à la vie amoureuse de la femme et plus particulièrement à sa rencontre avec Hasnat Khan. Un aspect de la vie de Diana qu’on ne cherchait pas forcément à découvrir là où on attendait plutôt l’incroyable destin qui l’a conduit à devenir la reine des cœurs des anglais. On a donc rien de plus qu’une vulgaire tragédie romantique qui se repose sur l’aura de la Princesse de Galles.

Excellent biopic pour perdre son temps , enfin je savais que l'histoire allait se focaliser sur Diana et son amant mais je pensais pas aussi que tout allait être sur ça, je trouve qu'on apprend rien de nouveau , rien d'intéressants même si le film se laisse regarder , selon moi le biopic est inutile.

Grosse déception car au final, ce film ne retrace pas du tout l’entièreté de la vie de Lady Diana mais seulement ses deux dernières années et notamment son histoire d'amour à l'eau de rose avec ce cardiologue... Franchement, on était en droit de s'attendre à autre chose car il y avait bien mieux à faire sur ce personnage atypique et hors du commun. Heureusement, Naomi Watts est excellente, comme à son habitude.

Malgré les talents de comédienne de Naomi Watts, je me suis "royalement" ennuyée... Une réalisation qui est un biopic à l'eau de rose, style lecture Harlequin, et en plus controversable si on en croit, depuis, les déclarations du principal intéressé (le Docteur Hasnat Khan) qui a tenu à mettre quelques pendules à l'heure. Bref, un téléfilm sirupeux pour midinettes, et encore.....