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Stargate
246 abonnés
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4,0
Publiée le 8 juillet 2020
Encore une réussite de Sergio Leone, à tel point qu'il s'agit d'un classique du genre. Très bonnes prestations de Charles Bronson (l'homme à l'harmonica), Jason Robards (le cheyenne) et de Henry Fonda (Frank), le tout porté par la musique du maître en la matière, Ennio Morricone.
Pour moi c'est le western le plus réussi et le plus mythique, quel chef d'œuvre !!! Tout le est maîtrisé à la perfection malgré un rythme assez lent surtout la première scène qui dure 9 minutes, mais Sergio Leone réussi à transmettre une tension communicative incroyable. Que dire des acteurs qui sont sublimes et charismatiques avec Claudia Cardinale en tête d'affiche qui est d'une beauté à couper le souffle. Concernant l'histoire elle est classique pour le genre avec la construction d'un chemin de fer, et un méchant qui veut voler les terres pour se faire de l'argent, mais le suspens et maintenu jusqu'à la fin pour connaître les motivations réelles de l'homme à l'harmonica de plus l'atmosphère est lourde et bien entretenue tout le long du film, seul reproche quelques scènes plutôt plates qui cassent un peu le rythme. La réalisation est parfaite bien orchestré par l'excellentissime Ennio Morricone qui pour ma part compose sa meilleure œuvre. Bref film à voir et à revoir, le film le plus abouti de Sergio Leone selon moi.
Un très bon Western qui nous apporte de l'émotion, du suspense et un peu d'action. Les acteurs sont tous excellents, le film vaut le coup d'être vu ! Un film assez réaliste qui adapte bien selon moi l'histoire du far west sur grand écran. En revanche, le film commence sérieusement à vieillir et ça se voit malheureusement . J'ai aussi trouvé le film beaucoup trop long, et j'ai décroché par moments. Sinon la réalisation de Sergio Leone est excellente !
IL était une fois dans l ouest est le plus beau western de l histoire ! Tout est parfait dans ce film de Sergio Leone ! UN casting 5 étoiles + une musique culte + une histoire magnifique... Le chef d oeuvre !
Ce film est splendide, une belle histoire qui retrace bien le Far Ouest ou tout est permis, le film est assez long, mais présente bien ses personnages, (la maison existe toujours d'ailleurs), bienvenue dans le monde de la brutalité, mais fondant à l'intérieur, ce film est une merveille cinématographique ! Les scènes sont tournées à un certain angle faisant plonger le spectateur dans l'univers des cow boys)
Je comprend pourquoi j'ai mis autant de temps avant de voir ce film en fait, j'avais déjà flairé la supercherie avant même de le voir. Qu'avons nous là de si transcendant mise à part voir des acteurs qui cabotinent et une intrigue indigente au possible ? Des gros plans ad nauseam sur des visages, des scènes qui s'étirent inutilement et une BO lancinante qui en fait des caisses pour faire style "j'installe une tension tu vois". Sauf que non, on n'y crois pas à ton film en fait. Tout respire l'invraisemblable. Si tu veux nous intéresser avec ton film met nous tes enjeux un peu mieux en relief, développe tes personnages d'une manière plus sobre et subtil. Là mise à part voir un réalisateur qui recycle et récite ses mêmes gammes stéréotypées il n'y a rien à retenir. 3 heures pour une histoire qui aurait pu être racontée en 1h30 et qui n'a rien à dire ni à montrer de nouveau c'est fort. Un pur somnifère assommant que ce film au final. Tout ce que je n'aime pas dans le western spaghetti est parfaitement représenté dans ce film : c'est caricatural, surjoué, pompeux et même à la limite du grotesque
Chef d'œuvre absolu!! que dire ! le réalisateur sait captiver le spectateur dès la première image avec seulement un type qui attend un train en chassant une mouche. Henry Fonda est l'un des meilleurs méchant de l'histoire du cinéma dans ce film !
Derrière ce film, une musique reconnaissable entre mille. Ennio morricone signe la bande originale de ce western splendide. Deux acteurs charismatiques charles bronson et Henry fonda. Une sublime cardinal au summum de sa beauté. Pas de grand dialogue et pourtant un film que l'on oublie pas.
le plus grand western de l,histoire du cinema et ironie il est italien! tout y est le suspence la geniale musique de sergio leone le magnifique cadrage de sergio!!
Un des plus grand et des plus importants films de tous les temps selon moi. Il est parfait à tout point de vue : histoire, personnages, image, décors, son (musique surtout), émotion.
Il était une fois dans l'Ouest... Ou "comment on arrivait à régler les problèmes de voisinage au far-west sans Julien Courbet"...
A voir absolument rien que pour la première scène du film qui nous montre qu'on peut, si on a le talent, étirer une séquence sans pour autant faire de longueur... Un pied de nez à tous ces films qui nous font perdre 2 heures en l'espace de 5 minutes...
Le pitch : A la toute fin du far-west (le train arrive et va supplanter les chevaux), plusieurs personnes convoitent une ferme à l'agonie au beau milieu de nulle part et se battent pour la récupérer... Les uns parce qu'ils sont chez eux (Claudia Cardinale qui est à tout jamais magnifique), les autres (Jason Robards en truand ignoble et intrépide) parce qu'un trésor y serait caché enfin les derniers (Henry Fonda... Premier acteur vedette utilisé à contre-emploi pour nous montrer que le mal peut avoir une belle gueule... tandis que Gabriele Ferzetti, jouant en fauteuil roulant, (film inclusif avant l'heure) montre que même les handicapés peuvent être crasseux ) agissant en promoteurs veulent juste un bout de terrain prometteur.... Et comme y-a-pas de julien Courbet à l'époque, c'est l'Homme à l'harmonica (Charles Bronson qui n'est jamais aussi bon que lorsqu'il se tait) qui doit s'y coller pour ramener la paix... ou presque...
Sans conteste un des plus grands films de cowboy de tous les temps... Tout y est... Image fabuleuse, traitement des couleurs magistrale (Delli Colli) sens du détail et de la construction de la scène inouï (Sergio Leone est aux manettes), musique iconique (si on peut risquer cette analogie bizarre pour du son) du maître Enio Morricone... On en arriverait presque à oublier qu'en fin de film un gars recommande à une Donzelle de se laisser tripoter le pare-chocs arrière par les clients car c'est bon pour les affaires.... On mettra ça sur le compte de son année de réalisation... 1969... comme chantait l'autre année quoi déjà ?...
LE western mythique ! Alors qu’il pensait en avoir fini avec le genre après Le Bon, la brute et le truand, Sergio Leone est amené à y retourner et décide d’en offrir une sorte de version ultime. Chaque séquence est poussée vers le grandiose et le prouve dès les quatre premières séquences de présentation qui sont chacune complètement mythiquespoiler: (l’affrontement entre les tueurs de Frank et Harmonica, l’assassinat de la famille McBain par Frank et ses hommes, l’arrivée de Jill et sa traversée de l’Ouest, l’introduction de Cheyenne qui se trouve confronté à Jill et Harmonica) . Ainsi, Leone utilise chaque élément dont il dispose pour offrir du pur cinéma : chaque cadre est extrêmement travaillé et réfléchi ; les costumes et les décors, du plus petit détail au plus gigantesque (Monument Valley en hommage au western classique et surtout à John Ford), également ; le travail sur le sons atteint des sommets notamment en jouant sur le silencespoiler: (la première séquence, servant de générique, reste mythique pour cela ; les grillons qui s’arrêtent annonçant la présence des hommes de Frank à la ferme des McBain…) … Pour ce qui est du son, il est impossible de ne pas évoquer la sublime musique d’Ennio Morricone. Le compositeur italien atteint le sommet de son art et l’aboutissement de son travail sur le western. Chaque "héros" possède son propre thème et tous sont monumentaux tout comme le reste de la bande originale. Leone considère Morricone comme un coauteur du film et applique une méthode rare (la musique est composée en amont et, le son étant postsynchronisé, est diffusée en direct sur le plateau pendant le tournage des séquences) permettant d’accorder parfaitement la musique et la mise en scène. Même si on pourrait regretter que la partie centrale semble être traitée trop rapidement pouvant donner l’impression de trous dans la narration (pourquoi Harmonica et Cheyenne ne tuent-ils pas Morton aussitôt ?), le tout atteint des sommets et est un aboutissement de la vision que possède Leone de l’Ouest. Ainsi, même si les méchants absolus sont clairement Morton et surtout Frank, aucun personnage n’est irréprochablespoiler: : Cheyenne est un criminel évadé, Jill était une prostituée et n’hésite pas à s’offrir à l’homme qui a tué son mari pour survivre, Harmonica trahit Cheyenne (rappelant en cela les rapports Blondin-Tuco du Bon, la brute et le truand) . L’Ouest est un monde qui s’est construit sur la violence et le machisme. Ce dernier aspect est pour une fois souligné par Leone en offrant un des principaux rôles (voire LE principal) à une femme (Jill)spoiler: qui, après avoir subi de multiples violences, sera finalement présentée comme un des éléments positifs du nouveau monde en construction (elle materne les hommes installant les rails de chemin de fer dans la séquence finale) . Les acteurs de leurs côtés ne seront jamais aussi sublimes que sous la caméra de Leone : Claudia Cardinale, Henry Fonda, Charles Bronson, Jason Robards… Tous sont à leurs paroxysmes bien qu’ils possèdent tous une sacrée carrière. Que dire donc d’autre d’Il était une fois dans l’Ouest que tout y est mythique et que Leone y atteint des sommets (même si certains pourront lui préférer la trilogie des dollars pour sa plus grande présence de l’humour). Et pourtant le cinéaste sera capable de livrer un film peut-être encore plus grand avec Il était une fois en Amérique.
Sergio Leone signe une nouvelle un monument du western et du cinéma en général. Pas ou peu de fausses notes dans "Il était une fois dans l'ouest". La mise en scène est splendide et parfaitement maîtrisée, la BO magnifique et les acteurs charismatiques. On en fait plus des western de ce calibre et c'est bien dommage...
Du grand Sergio Leone de la musique d'ennio moriconne des images aux acteurs une grande fresque du western injustement qualifié de spaghetti par les incultes