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    Les Chevaliers insomniaques
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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 janvier 2013
    Comme chaque année, Carlos passe l’été avec sa famille en Estrémadure. Cette fois, il va rester plus longtemps, il n'y a pas d'emploi à Madrid. La santé de son père empire et celui-ci a besoin de Carlos pour l’aider avec les moutons. Dans cette ville, les vieillards continuent à célébrer des rites médiévaux pour écarter du village les forces du mal. Carlos va rencontrer un jeune policier, Juan, et ils tombent amoureux l'un de l'autre. Un amour à vivre parmi les problèmes d'exode rural et de chômage des jeunes, avec ces rites séculaires et la crise de toute une nation, tout cela dans un contexte spectaculaire qui semble en quelque sorte hors de ce monde.

    « Les Chevaliers insomniaques », film pastoral allemand, réalisé par Stefan Butzmühlen (1982) et Cristina Diz (1983) en Espagne, est une œuvre d’une forte maturité et étonnante maîtrise. Depuis quelque temps Salzgeber produit et distribue des films réalisés par de jeunes cinéastes qui expérimentent des écritures nouvelles (« La Clé des Champs », Benjamin Cantu, 2011). Ici, ce film métaphysique interroge l’espace, le temps, les causes, l’être et l’amour. Questionnements profonds pour ces jeunes générations, pas si désabusées, au stade de l’observation du monde qui meurt et dans la génèse de celui à créer. Ainsi l’archaïque serait vu comme socle du devenir. Déracinement, culture, homosexualité, en miroir aux sociétés anciennes, arpentent ces paysages élégiaques dans une conjecture fictionnelle en livrant le théorème virgilien au son du pipeau et de la corrida. Une œuvre mémorielle, primordiale et de fait incontournable. (Hervé Joseph Lebrun, Chéries-Chéris 2012)
    Jean HERVE
    Jean HERVE

    7 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 22 décembre 2012
    J'ai rarement vu un film aussi ennuyeux, un beau physique n'est pas suffisant pour faire un bon film de celui ci il n'y a rien de positif à noter pas d'histoire, absolument à fuir.
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