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    La Vengeance
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    Skipper Mike
    Skipper Mike

    69 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 juillet 2013
    Vous cherchez un film, intense, drôle, épique et pourtant réaliste, avec une tendresse et un romantisme attachants mais aussi une veine contestataire, servi par des acteurs fabuleux qui croient en leur personnages et une bande originale sublime et puissante ? De l'émotion à fleur de peau, un scénario captivant, des trouvailles visuelles à tous les niveaux, une originalité sans égale, une morale humaniste et hautement philosophique ? Vous ne trouverez rien de tout ça dans "La Vengeance", premier long-métrage de Mohamed Mehadji. Campant le personnage de Morsay, une enflure raciste et pourtant victime de racisme, le cinéaste retrace de façon romancée l'avènement des Truands 2 la Galère, son collectif de gangsters. Après une scène où la justice est représentée dans toute sa splendeur (ça vaut le coup d'œil), Morsay est bien décidé à se venger des néonazis qui l'ont amoché. Cependant, son frère Zehef (dont le regard est fort zehef) n'est pas du même avis et préfère fonder son entreprise. Alors que celle-ci est couronnée de succès et que Youssef s'enrichit, Morsay connaît la misère, sexuelle avant tout puisqu'il ne parvient pas à trouver de partenaire pour évacuer le stress de la prison, mais aussi morale. Heureusement, dans un discours profond et révolutionnaire, le voleur de bonbons rappelle que l'État, il la baise, et que si l'alphabet lui est inconnue, il se rappellera à jamais du A et de la Z, et ne se laissera donc pas faire (fautes de grammaire incluses). Hélas, le chef des néonazis, ex-policier campé par Benjamin Biolay (ou son sosie), n'en a pas fini avec lui : il fait appel à un Algérien fourbe, incarné par Romain Duris (ou son sosie) pour assassiner sa némésis. S'ensuivront une vendetta implacable et une fin digne d'"Eaux sauvages". D'une certaine façon, "La Vengeance" est un peu une adaptation du Nouveau Testament : alors que l'avenir semblait lui sourire, Morsay va être porté plus bas que terre, va subir la traversée du désert mais jamais ne succombera aux appels sataniques de la légalité, comme le fera son faible frère. Trahi par Judas / Duris, il devra alors se préparer à la crucifixion, planifiée par Ponce Pilate / Biolay. Heureusement, dans un geste rédempteur, Zehef décide de se racheter en sauvant son frère avant que l'irréparable ne soit commis, faisant ainsi intervenir la résurrection avant la crucifixion. Sur ses bases, Saint Pierre / Zehef va pouvoir organiser, cette fois de manière saine, l'Église destinée à vouer un culte à Morsay, à savoir l'entreprise Truands 2 la Galère. Il est évidemment audacieux de la part de Morsay, ce Jésus des temps modernes, de réécrire la fin de la Bible de cette façon, mais il est vrai que cette nouvelle conclusion est beaucoup moins bancale que la précédente et possède une aspiration philosophique que le livre des chrétiens est loin de connaître, accédant même à une universalité inédite. Comme le signifiait si bien l'accroche du film, "la vengeance est un plat qui se mange froid, moi je le mange cru parce que avant je n'en avais pas", et cette citation est appelée à rester dans le firmament du septième art.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 801 abonnés 3 956 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 mars 2012
    Après plusieurs pauses, j'ai enfin réussi à finir le film tant attendu : la vengeance.
    Je pense qu'on pourrait tirer sur l'ambulance pendant de longues heures tant il y a dire sur la médiocrité du film, la mise en scène absente, la photo la plus dégueulasse depuis longtemps, le jeu d'acteur à la ramasse, l'idéologie nauséabonde qui émane du film, le manque d'intelligence du scénario, les dialogues à la ramasse, les sous titres bourrés de fautes d'orthographe (non sérieux ça ne sait pas conjuguer le verbe avoir au présent de l'indicatif, c'est grave), mais bon le pire dans tout ça est le manque totale de discernement de la réalité, Morsay qui insulte une policière en lui disant qu'il ne veut pas lui parler car c'est une femme, et forcément ça dégénère, donc en fait c'est des skins. Il y a clairement un sérieux manque de jugeote. Tout comme lorsqu'il sort de prison, il veut baiser, ça peut se comprendre, mais lorsqu'il dit "putain il n'y a pas une meuf qui veut nous sucer la bite" c'est à se poser des questions sur ce qui se passe dans la tête de ce pauvre garçon.
    Je suis le premier à considérer la femme comme un objet sexuel (qu'elle est, tout comme l'homme en est un), mais là c'est juste le comble de la connerie, ce qu'il cherche c'est un trou, les filles sont justes là pour être baisées. Beau programme.
    Après je pense que Morsay n'a pas conscience non plus que son histoire de vengeance elle dure en réalité 20 minutes à la fin et que tout le reste ça raconte juste rien du tout.
    Même à la rigueur le scénar de base pourrait être pas mal, deux mecs qui sortent de taule, un qui veut s'en sortir, un autre qui veut foutre la merde, et le mec qui veut s'en sortir va devoir quitter le chemin de la légalité pour sauver son "frère", je suis sûr que Gray aimerait bien filmer ce genre d'histoire.
    Sauf que Morsay n'est pas Gray, et que la vengeance c'est juste rien du tout.
    Je ne sais pas si ce bonhomme ce rend compte qu'il est tout aussi raciste que les "skins" qu'il accuse. Il doit faire partie de personnes qui ne comprennent pas que la Police n'est pas juste un gang adverse, que non elle ne vient pas déranger les gens qui font leur trafics tranquillement.
    Et honnêtement je suis déçu, parce que si le film reste drôle, bien que passablement chiant par moment, parce que simplement il ne va pas au bout de la connerie du concept, alors ok on a des gens qui savent à peine parler français, c'est marrant cinq minutes de se foutre de la gueule, Morsay qui crie comme une fille lorsqu'il frappe un mec, un resto chic qui a tout l'air d'être une boîte à partouze glauque, la glorification des caves, en effet, elles doivent être bien leurs caves à Clicli ils en parlent tout le temps, on a les tatouages au feutre, la lumière dégueulasse, le tout pue le manque de budget (enfin bon ça à la rigueur), mais bordel ils sont où les combats ? Je voulais voir Morsay se battre moi, pas faire sa chochotte à crier comme une fille entrain de jouir pendant qu'il frappe un mec, je veux bien croire qu'ensuite il ait du mal à faire gober à ses amis de la rue qu'il est hétéro, et que pour retrouver un peu de virilité il dusse insulter toutes les filles qui passent.
    D'ailleurs en parlant de filles, il y en a dans le film, mais elles ne servent à rien, c'est juste des trous potentiels pour Morsay et ses potes, sauf que bizarrement dans son film Morsay ne semble pas avoir réussi à conclure. Je l'imaginais entouré de filles moi, ce qui rend encore plus ambigüe ses cris lorsqu'il touche un homme.
    Après les skins, mais c'est énorme, je pensais que c'était juste des racailles comme Morsay, ben en même temps, ils s'habillent tous n'importe comment et ont tous les crâne rasé donc bon, moi je ne fais pas forcément la différence, et pour moi l'une des meilleures scènes du film c'est le gros qui dit "on s'est fait taper", on se croirait au collège c'est génial. (en même temps ont-ils le niveau collège ?).
    Bref le film offre quelques beaux moments WTF qui valent le détour, mais bon ça dure plus de deux heures d'un ennui mortel. Il faut se le taper son film, surtout avec un son dégeu, une image dégueu, des acteurs dégueu, rien n'est crédible.
    Sous l'emprise de l'alcool ça pourrait peut-être passer, mais à sec, c'est douloureux.
    Jahro
    Jahro

    43 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 février 2013
    C’est une sorte de contrat moral : rédiger la critique d’un ouvrage impose de l’avoir parcouru en entier. Avec La vengeance, jamais cette règle n’aura paru si dure à respecter. Morsay est semble-t-il connu pour une ligne de fringues monochromes étiquetées Truands 2 la galère (wesh zincou, tavu ?) et bardées de slogans lourdauds du genre « on s’en bat les couilles » ou bien « si tu m’aimes pas va niquer ta mère » qu’il écoule aux puces de Saint-Ouen. L’entreprise lui ayant a priori rapporté gros, il s’est mis en tête d’en raconter l’histoire dans un long-métrage à sa gloire. Bon, et puis à vingt euros le DVD, il y a de quoi s’en mettre encore un peu plus plein les fouilles. Voilà donc sa vie, un quotidien de cité où il zone du matin au soir, se vantant de toucher son RSA sans lever le petit doigt, crachant sans arrêt sur une France dont il profite à plein, méprisant les femmes, insultant les flics, régissant le trafic de shit et laissant son frère s’occuper des affaires légales. Comme ça on a l’impression que c’est une quiche, mais certains détails laissent paraitre qu’il se considère lui comme un Robin des Bois moderne. Bref. Pour narrer ce passionnant récit, notre apprenti réalisateur s’est entouré d’une smala géante de débutants à peu près tous consternants. Les sous-titres cachent leurs fautes d’orthographe sous une photo mille fois trop exposée, l’indigente grossièreté des dialogues disparait sous les bruits variés de la rue, les acteurs enfilent l’une après l’autre toutes les perles à éviter, bafouillements, regards caméra, inspirations en milieu de phrase, gestuelles forcées, oubli de texte. Mais ne riez pas trop, c’est avec cet esprit que le gars est devenu millionnaire. Et ça, on a du mal à l’oublier pendant cette abominable épreuve de quand même deux heures. Alors si vous n’êtes ni nanarophile hardcore, ni abruti notoire, un conseil : fuyez. -1/5.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 septembre 2012
    Tableau naturaliste dépeignant l'état actuel de la société, fable contemporaine revisitant avec brio le thème antique de la vengeance, ce film est avant tout l'histoire vraie et tragique d'un homme, Morsay - Mohamed Mehadji de son vrai nom - dans son propre rôle, et époustouflant de justesse, qui osa dire "non" au racisme ordinaire que subissent les habitants du 92. Le récit puise sa force dans un prodigieux équilibre, entre chronique sociale, comédie burlesque, et drame eastwoodien. Dans la lignée de La Haine, dont ce film est un peu l'héritier, Morsay a avant tout souhaité reconstituer de manière fidèle toute la réalité de la vie difficile en cité. N'en déplaise aux bobos du FN (dont il faut invariablement faire partie pour ne pas aimer le film ...), La Vengeance montre donc un monde violent et sans tabou. Mais il s'agit d'une réalité que Morsay a osé montrer, une réalité faite de bavures policières, de racisme envers les arabes, et de lutte pour s'en sortir, à l'exemple de Morsay. C'est cela, un "truand 2 la galère". Un humaniste qui se bat comme il le peut pour la justice, dans un monde en train de s'écrouler... C'est un film véritablement universel, où tout le monde peut retrouver une part de soi, un épisode de sa propre vie.
    La réalisation se veut sobre et efficace, privilégiant de longs plans-séquences fixes et une lumière naturelle qui contribuent à créer une ambiance particulièrement réaliste. La scène du tribunal durant laquelle Morsay et son ami Zehef sont injustement condamnés à 6 mois d'emprisonnement est tout simplement bouleversante, mêlant l'émotion la plus pure à la critique aiguisée d'un système judiciaire kafkaïen qui brise la vie de tant de personnes innocentes en France. A toutes ces belles images, s'ajoute une bande originale réussie, régal pour les oreilles, constituée dans sa globalité de compositions de Morsay lui-même, qui en plus d'être un réalisateur de génie, est avant tout, ne l'oublions pas, un grand artiste musical et un vocaliste talentueux.

    Bref, je n'ai pas peur de le dire, La Vengeance, c'est la résurrection du cinéma français, c'est tout ce qu'on peut attendre d'un film en terme d'action, d'émotion, de narration, et de réflexion. Un film déjà culte, et qui très vite deviendra un grand classique, j'en suis persuadé.
    A sa valeur artistique, s'ajoute également une utilité publique, et je pense que le film devrait être montré dans les écoles, pour que nos enfants puissent comprendre, d'une part que le monde qui les attend n'est pas toujours tendre, et d'autre part qu'il existe un moyen d'y survivre, en suivant l'exemple incroyable de Morsay, le seul, l'unique, truand 2 la galère.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 28 juin 2013
    Un max de substances diverses ont rendu les premières minutes de ce film distrayantes, mais tout s'est écroulé à ce moment et cette réplique "comment qu'on dit dans votre pays ?vous avez un regard bien Zehef monsieur" De la part d'une juge d'instruction ce genre de réplique fait mal. A la langue française, surtout. Le reste du film est un immense placement produit pour truand2lagalère (le film raconte la création de la marque, et les acteurs en portent avant que Zehef en ait l'idée...mon dieu). Sinon, du point de vue du scénario on pourrait décliner ça en une série de livres martine du genre : Martine péta des pates et des bonbons chez l'épicier, martine rétame des keufs et des skins tellement elle est balèze. Trop mauvais pour être du cinéma, et pas assez génial pour être du Ed Wood. 1 étoile pour les courageux figurants qui se sont faits postillonner à la gueule par Morsay
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 avril 2013
    Quand j'ai vu ce film, j'ai été confronté à deux choix: rire ou pleurer. J'ai décidé de le regarder comme si c'était du second degré et j'en ai chialé de rire, tellement le scénario est nul, la situation et les personnages caricaturaux (vous voyez La Haine de Kassovitz ? C'est encore pire, on dirait presque une parodie de parodie), le jeu d'acteur pitoyable, les dialogues creux et mal écrits. La BO est répétitive et inutile (la plupart du temps la musique semble juste là pour rendre les dialogues inaudibles). Mais le pire de tout (ou le meilleur, si on aime rire de ce que le cinéma fait de plus mauvais) c'est la technique: je reste persuadé que ce film a été tourné sans micro et sans éclairage. Jamais vu un son et une lumière aussi mal gérée. spoiler: Le passage ou deux personnages discutent sur des escaliers en pleine rue est juste à mourir de rire: toute la scène est gâchée par le bruit d'une mobylette qui masque complètement le dialogue. Même un film amateur fait par des gamins de douze ans n'atteindrait un niveau aussi lamentable.
    Et que dire du sous-titrage des passages en arabe... Aucune ponctuation, une moyenne de 18 fautes par phrase... En résumé, un travail de collégien en échec scolaire. Bref, le film le plus mauvais que j'ai jamais vu, mais j'ai rarement autant ri devant une équipe aussi pathétique.
    JokerDreizen
    JokerDreizen

    270 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 août 2012
    Une horreur tout droit sortie des profondeurs de la médiocrité. Je sais, c'est facile, très facile de s'en prendre de la sorte aux films amateurs, mais là, j'en viens à implorer la grâce de Dieu en qui je ne crois même pas. Je souligne déjà en premier lieu le caractère affreux du personnage de Morsay, une tâche de cet univers, une incarnation de l'illettrisme et de la connerie en France. Le "truand 2 la galère" se lance dans 2h de film tortueuses, 2h au bout desquelles beaucoup d'entre vous ne parviendront pas, hélas (tout comme ça a été mon cas). Le tout est fait avec les moyens du bord : Une qualité ridicule pour une mise en scène inexistante. Les dialogues vraisemblablement écrits par un prépubère de 5e (Wait ... Morsay n'a-t-il pas cessé d'être scolarisé en 5e ?) sont constamment surplombés par une musique atroce ("Composée" par .... Morsay. Une autre facette de l'art que notre personnage a souhaité massacrer), comme si la qualité sonore était suffisante pour qu'on se le permette (dialogues difficilement audibles). Mais là encore je dois revenir et insister sur la qualité des dialogues, interprétés par des acteurs de basse cour qui ont sans doute le même niveau d'éducation que Morsay. Aucun n'y croit, on a l'impression que tout est une comédie hautement humoristique, et pour ça il suffit de voir la scène du tribunal (Voir la juge demander "Me suis bien-je fais comprendre ?" dans tout son sérieux est une épreuve de résistance hors normes). En dehors de tout ça vous serez épatés par le scénario, où le jeunes de banlieue sont martyrisés par les méchants flics. Encore un grand message humanitaire que Morsay essaie maladroitement de passer, en faisant passer les jeunes de banlieue pour de simples bouseux. Une daube absolue ... et non, monsieur Morsay, si votre "vidéo" avait été protégée du téléchargement illégal, y'aurait pas plus de monde qui l'aurait achetée.
    Teuteu8391
    Teuteu8391

    29 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 septembre 2013
    Je suis un grand fan de rap francais mais je n'apprécie pas plus que ca ceux que propose Morsay. Je me suis dit que regarde ce qu'il allait propose dans un autre registre pouvait etre interessant.... mais non ce ne l'ai pas, des acteurs pas crédibles du tout, des dialogues en carton (valait mieux que ce soit muet), un manque de crédibilité de la par de Morsay en tant qu'acteurs qui est flagrant et encore plus dans la réalisation très amatrices, ca n'est pas assez soigné très long pour pas grand chose. A éviter.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 novembre 2013
    bon j'ai essayé de le regarder après tout les sketchs que l'on peu voir de lui! Je savais a quoi m'attendre mais en fait c'est naz totalement. J'ai pas pu regarder en mode normal au bout de 30min...puis 2h...Je suis sur que mater les conneries de nabila c'est plus fun! documentaire, film enfin je ne sais quoi bah c'est pas cela qui va redonner une image positif de lui et de ces potes...un pur nanard
    Real C
    Real C

    102 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 octobre 2013
    0 pointé pour ce film ... C'est tout ce que j'ai à dire
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 juin 2013
    Une nullité filmée au camescope par des amateurs vraiment pas doués avec en plus, un discours simpliste limite raciste... Naze, dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 décembre 2012
    La pire merde qui n'ai jamais été tournée.
    De plus le pire des acteurs wesh wesh .... bof
    Wesh les pyramides ..... (voila l ambiance du film de merde)
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 novembre 2013
    C'est vraiment une blague ce film, on dirait une parodie de La Haine ou Ma cité va craquer, réalisé par un élève de troisième triplant. Le son est horrible, parfois les dialogues sont inaudibles, l'image est constamment sous-exposée ou sur-exposée, les acteurs (si on peut employer ce terme) sont horriblement mauvais et il n'y a même pas de véritable intrigue. Enfin si, un vague règlement de comptes avec des skinheads tient lieu de fil conducteur à tout ça.

    Morsay nous raconte sa "passionnante" vie, entre vol à l'étalage, trafic de drogues et drague foireuse. D'ailleurs je ne comprends pas où il veut en venir avec certaines scènes, comme celle des "beurgeoises", franchement c'est quoi son objectif à part passer pour un gros crevard qui vole des filles et abandonne son pote dans le pétrin ?

    Tout le reste du "métrage" est de cet acabit, on se dit mais il est maso ou quoi ? A part se faire passer, lui et sa clique, pour une bande d'abrutis voleurs, violents et misogynes, et pourrir l'image des habitants de banlieue en général et des maghrébins en particulier, qu'est-ce qu'il avait en tête ? Le mieux, c'est quand même les sous-titres des dialogues en arabe, blanc sur fond blanc, il faut le faire quand même.

    Le seul intérêt de regarder cette bouse, c'est qu'on rigole bien à certains moments.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 28 avril 2012
    J'ai abordé ce film plein de préjugés et sans aucunes attentes car étant complètement allergique à la culture "caillera". Mais "La Vengeance" se révèle être un film très intéressant et respectable pour deux principale raison :

    1) Une sincérité et spontanéité vraiment touchante tant au niveau de la réalisation que du jeu d'acteurs. Bien sur on sens que les auteurs n'ont pas fait d'école de cinéma mais l’esthétique final est un mix de reportage, serie B, neo blacksploitation version Racailsloitation, ou les protagoniste jouent tel qu'ils sont au quotidien.

    2) Une vision des quartiers pour une foie vue de l’intérieur et non des journalistes qui permet de mieux comprendre cette mentalité sans miserabilisme et sans clichés.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 006 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 mars 2012
    Si la catégorie "pire film sur la cité qui fait de la peine" devait exister, La Vengeance en serait assurément le leader. Pathétique comme pas possible, il est l'exemple même qu'une petite ogive bien placée ferait le plus grand bien.
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