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    Bird People
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    2,8
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    193 critiques spectateurs

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    nikolazh
    nikolazh

    55 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juin 2014
    Si, malgré un démarrage un peu longuet et de nombreux plan à rallonge qui auraient mérités un coup de ciseaux, le film est relativement prenant dans sa première partie (le portrait d'un homme qui décide de remettre en question sa vie dans l'endroit le plus vide et le plus impersonnel du monde - un hôtel d'aéroport), il se transforme en grand n'importe quoi dans sa deuxième partie (le portrait d'une jeune fille qui travaille dans cet hôtel) en prenant le pari - raté - de surprendre le spectateur en choisissant un virage pseudo métaphysico-fantastique qui, loin d'amener de la légèreté, alourdit considérablement l'intrigue (ou plutôt met en relief cruellement le manque d'intrigue). Introduire un élément quelque peu surnaturel (qu'il soit fantasmé ou réel) dans une histoire banale n'est pas une mauvaise idée en soi, mais c'est fait ici avec une telle maladresse que ça rend juste la dernière demie heure insupportable et gâche tous ces petits moments de poésie... D'autant plus dommage qu'avec un peu d'effort le film aurait pu être scénaristiquement plus aboutit et efficace, en se servant de l'oiseau comme fil rouge pour rebondir d'un personnage à l'autre (rôle qu'il est plus ou moins censé joué - on suppose - mais qui dans l'était actuel du film ne sert pas à grand chose). Bref, un film complètement raté ! A éviter.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    52 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juillet 2014
    Gary, ingénieur Américain est à Paris pour affaire. Dans sa chambre du Hilton de Roissy, il décide soudainement de tout laisser tomber : travail, femme et enfants. Audrey, jeune femme de chambre, dans ce même hôtel, vit une vie solitaire, sans passion.

    Pascale Ferran tourne peu mais bien. Après "Petits arrangements avec les morts" et "Lady Chatterley", ce "Bird People" était très attendu. Présenté à Cannes dans la sélection "Un certain regard", il est encensé par la critique. Une critique sans doute plus pointue lors du festival, car le film est quelque peu déconcertant de par sa forme et son récit. Un film de 2h08 dans lequel pourtant il ne se passe pas grand chose. La scène d'introduction et celles du survol de l'aéroport de nuit sont très réussies. Les interventions des animaux bluffent chaque fois par leur perfection. Josh Charles et Anaïs Demoustier sont parfaits. Si la majorité des scènes qui se succèdent sont agréables, elles sont aussi toujours trop longues. De plus, l'ensemble manque de liens. Le traitement des deux histoires est trop dissemblable, ou pas assez, comme si on visionnait deux oeuvres simultanément. Cela manque d'harmonie. Et à la fin de la projection, si on résume les événements, il y en a peu. Aussi, la façon dont la réalisatrice traite le, vu et revu, thème de la perte des contacts et des relations (Gary n'échange que par mails, téléphone ou skype, Audrey est seule à Paris et dans les aéroports les gens courent sans se voir...) est vieillote. Dernière déception, la scène finale semble tomber dans une facilité fabriquée en proposant une nouvelle définition du mot "personne". Grosse déception. Dommage.
    Nicolas S
    Nicolas S

    40 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 septembre 2018
    Malgré son matériau hyper contemporain et son symbolisme tout en paradoxes (stase / fuite ; invisibles néanmoins essentiels et omniscients ; etc.), 'Bird People' peine à trouver son élan et ne dit finalement pas grand chose. Dialogues et monologues sont en effet d'une infinie platitude, et ne donnent aucune chair aux personnages - qui s'avèrent en fait n'être que des types. Le "businessman", Gary, pourtant l'un des deux héros du film, est même profondément antipathique. Quant à la métamorphose promise par le titre, bien que joliment réalisée, elle ne constitue en rien le climax attendu et enfonce même le film dans une bêtise naïve assez gênante pour le spectateur. On a donc le sentiment que 'Bird People' ne tient que sur quelques bonnes idées, et qu'un format court-métrage aurait largement suffi pour les exploiter.
    cylon86
    cylon86

    2 316 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 octobre 2014
    Gary est un américain en voyage d'affaire à Paris séjournant dans un hôtel près de l'aéroport de Roissy. Audrey est une femme de chambre travaillant dans cet hôtel. Il ne s'agit pas vraiment d'une histoire sur la rencontre de ces personnages mais une histoire sur ces personnages. D'un côté, il y a Gary qui décide tout plaquer du jour au lendemain que ce soit son travail ou sa femme et d'un autre il y a Audrey qui se retrouve mystérieusement transformée en moineau et qui décide d'en profiter pour observer ce qu'il se passe autour d'elle. En soi, l'idée de "Bird People" n'est pas mauvaise mais elle tient difficilement la route sur près de deux heures. Si l'histoire d'Audrey est pleine de poésie et de grâce, l'histoire de Gary est bien trop classique pour intéresser. On sent bien la volonté de la réalisatrice de montrer le manque de communication entre les gens et elle relie assez subtilement ses deux personnages mais le film manque de matière pour convaincre. Au final, on sent que l'ensemble tourne en rond et on se retrouve rapidement à s'ennuyer...
    poet75
    poet75

    261 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 juin 2014
    En songeant à ce beau et étrange film de Pascale Ferran, ce qui me vient irrésistiblement à l'esprit, ce sont les romans du grand écrivain japonais Haruki Murakami. Comme l'auteur de "La Fin des Temps" ou de "1Q84", toujours prompt à faire surgir l'inattendu et le poétique du sein même de la banalité du quotidien et des vies les plus mornes, Pascale Ferran, dans son "Bird People", entraîne malicieusement et judicieusement le spectateur dans des contrées et sur des hauteurs qu'il ne prévoyait pas d'explorer.
    Rien de moins poétique, en effet, semble-t-il, que le cadre et que les personnages choisis par la réalisatrice. Après s'être attardé sur les foules et sur quelques visages d'anonymes préoccupés, rêvant, se distrayant, allant à leurs occupations, la caméra se concentre sur deux d'entre eux: Gary (Josh Charles), un Américain en transit à Roissy et devant rapidement s'envoler pour Dubaï afin d'y conclure un important contrat, et Audrey (Anaïs Demoustier), étudiante travaillant comme femme de chambre dans l'hôtel même où réside Gary afin de financer ses études.
    Banalité, disais-je, vies mornes, sans éclat... Sauf que survient l'inattendu, sauf que surgit un je ne sais quoi qui provoque de grands changements et de grandes prises de décision. Pour Gary, c'est en pleine nuit, alors que, dans sa chambre d'hôtel, il est assailli par de terribles crises d'angoisse, que vient inopinément la décision irrévocable: tout laisser, tout changer, tout abandonner de sa vie antérieure, donner sa démission, rompre avec sa compagne, tout recommencer! Par téléphones et par écrans interposés, il lâche tout, il abandonne le navire de sa vie puisque, il en est sûr, c'est un navire en perdition.
    Pour Audrey, cela survient insidieusement, mais sans angoisse... Certes, il y a les questions que lui pose son père au téléphone et qui ont le don de l'agacer, certes il y a les exigences de ses employeurs qu'elle a bien envie d'envoyer paître... Certes, il y a eu aussi ce moineau qu'elle a aperçu, posé sur un rebord de fenêtre, et à qui elle a souri... Mais de là à tout quitter dans un envol, dans une escapade, dans une métamorphose comme celle qui s'empare d'elle, comme celle qui la fait s'élever à tire-d'aile, voilà bien ce à quoi personne ne pouvait s'attendre! Etonnant voyage qui lui fait rencontrer un cousin d'Haruki Murakami, mais peintre celui-là et qui s'empresse d'immortaliser la scène à coups d'encre de Chine.
    Le voyage d'Audrey prend fin subitement alors que commence celui de Gary. Les deux personnages se croisent fugitivement. L'un a retrouvé son triste quotidien, l'autre s'en va, mais ont-ils vraiment pu se libérer durablement de l'aliénation du capitalisme contemporain? Rien n'est moins sûr...
    Ce qui est sûr, par contre, c'est que Pascale Ferran, cinéaste rare (son film précédent date d'il y a huit ans!), a parfaitement réussi son retour avec ce film mêlant intelligemment le réalisme et le fantastique. 8,5/10
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    115 abonnés 1 589 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 décembre 2014
    Autour de l’aéroport de Roissy où les avions ne sont que de passage, ce film nous invite à suivre tout une humanité en transit ; dans un monde qui pourtant n’a jamais autant aussi bien permis de connecter tous les individus entre eux. Pour illustrer son propos, Pascale Ferran décide de suivre un cadre supérieur américain en mission à Paris entre deux vols et une jeune femme de chambre d’hôtel de luxe perdue dans son existence.
    Pascale Ferran veut témoigner, à sa façon, d’un malaise actuel dans nos sociétés dites moderne. Une société où tout un pan de l’humanité se loge derrière les technologies. Technologies qui contribuent plus à éloigner les gens qu’elles ne les rapprochent. Et çà fait l’objet d’une entame de film élégante s’appuyant sur la contemplation de tous ces individus coincés dans une économie 2.0 oppressante qui ne leur convient pas. On passe dans une rame de train face à tous ces gens assez seuls rivés sur leur smartphone, tablettes ou casque sur les oreilles se lamentant via une voix off sur leur condition. Captivant. Après, à la façon Ozon dans « Ricky », un tournant soit disant poétique lourdingue, longuet, poussif et soporifique éteint le film. Un oiseau seul n’aide pas au film à prendre de la hauteur. Ni le scénario ni la mise en scène arrive à sonner juste jusqu’à un final essayant de raccrocher péniblement les morceaux, mais c’est trop tard les spectateurs ont quittés la salle devant autant de vide.
    Pénible durant 1h15… çà fait long
    JotaB
    JotaB

    5 abonnés 241 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 juin 2015
    J'ai trouvé ce film très beau, très mélancolique. J'aime beaucoup ce perso (l'américain) qui se défait de ses chaines du jour au lendemain. Quant à Anais demousiter, elle est magnifique. LA scène de l'oiseau est certe un peu longue mais la musique de Bowie en survol de l'aeroport claque bien. La scène du dessinateur chinois aussi est classe. Bien qu'un peu longuet, je me suis laissé emporter par cette brise fraiche et apaisante.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    153 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2014
    QUEL ENNUI !!! Où donc Pascale Ferran souhaite nous emmener dans ce tunnel interminable et immobile ?!? Le problème est que ladite cinéaste "a la carte" et que toute la presse encourage les spectateurs à aller en salle. Et effectivement, ça fonctionne : la salle était comble. Tout cela pour voir une interminable séquence pendant laquelle un Américain décide d'abandonner job et épouse (quelle atroce scène de dispute) puis une phase fantastique où une femme de chambre se transforme, on ne sait pourquoi, en... (voilà un vain mystère mais je le respecte). Le souci est que, oui, on ne sait pas où on va et qu'on découvre finalement qu'on ne va strictement nulle part...
    Manu711
    Manu711

    51 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 janvier 2015
    J'ai vu sur le coup là où le film voulait en venir, et ça avait quelque chose de beau. Mais quelques jours après, me voilà en train de rédiger ce bref avis et je suis déjà plutôt vide d'idées. Ce qui n'est jamais bon signe... Le concept est intéressant mais il n'y a rien de particulier qui reste à l'esprit. Ce n'est pourtant pas mauvais, mais à cause du parti pris pour la mise en scène, ça reste assez ennuyant dans l'ensemble. Enfin, il s'agit d'un énième film sur le mal-être et l'individualisme de notre société, ce qui n'est pas très original. Dommage.
    Ristobop
    Ristobop

    22 abonnés 96 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2015
    J'ai presque honte d'être resté à la porte de ce film, sur le palier. Je n'ai pas réussi à prendre sa poésie au vol (humour facile, ok). J'ai pourtant une furieuse envie de le défendre. Défendre le risque qu'à pris la réalisatrice _ Pascale Ferran_ d'inciter le spectateur (à l'instar de ses personnages) à décrocher du réel et du quotidien glauque, à laisser divaguer ses sentiments, sensibilité, mélancolie... Sans fard ni effets spéciaux, mais à force de longs plans simples, fiction et poésie n'arrivent qu'en seconde partie du film, d'où peut-être une certaine surprise. Les personnages abandonnent la réalité pour s'évader mentalement, et peut-être ne s'attend-on pas à devoir prendre en charge soi-même cette part de rêve, de spiritualité, de liberté. Ce fut du moins mon cas ... ça demande une deuxième vision.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 7 juin 2014
    Long, ennuyeux et n'apporte rien de bien intéressant.
    Ciné2909
    Ciné2909

    67 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 août 2014
    Si vous avez un conjoint qui a l’habitude des déplacements professionnels, vous risquez de ne plus le laisser partir après avoir regardé Bird people ! On pose d’abord les bases du film à savoir la vie dans cet hôtel et à partir de là, un premier portrait se dresse ; celui de Gary voguant entre le burn-out et la dépression puis celui consacré à Audrey. C’est dans ce dernier que la réalisatrice Pascale Ferrand nous réserve une drôle de surprise qui risque d’en perturber plus d’un. Composé de rencontres plus ou moins furtives, c’est un film qui n’est pas toujours passionnant mais duquel ressortent les belles prestations de Josh Charles & Anaïs Demoustier.
    Arlette et les mécanos
    Arlette et les mécanos

    62 abonnés 556 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 avril 2015
    Ah franchement, comment se faire avoir en 1 leçon? Il suffit d'aller voir ce navet; Un début très prometteur, des personnages qui nous laissent supposer une bonne histoire et puis plus rien. On les verra plus. On se retrouve avec un américain qui décide de tout plaquer depuis sa chambre d'hôtel Ibis et qui reste une plombe à l'expliquer sur skipe et au téléphone et une fille dont on suit pendant plus de la moitié du film son boulot de femme de chambre, j'ouvre la porte, je coince la porte, j'ouvre la fenêtre, je jette les vieux papiers sales dans la poubelle, je fais le lit...et enfin pour couronner le tout, qui se transforme en moineau jusqu'à la fin du film où retrouvant enfin son corps de femme, sert la main de l'américain. Voilà. Long, interminable, sans aucun sens, du vent. Je ne vois pas où est la poésie, cette incursion du surnaturel est sans fondement, grotesque. Nul.
    Zbrah
    Zbrah

    35 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 octobre 2014
    « Bird People » est comme un oiseau qui se pose sur le rebord de notre fenêtre ; on le remarque et puis on l’oublie. Sur le moment il nous touche, on se dit que c’est une belle petite chose gracieuse que l’on a devant les yeux. Et le temps passe, et il ne laisse finalement sur nous aucune trace. C’est triste mais c’est comme ça. Impossible de nier que « Bird People » est un joli film qui traite agréablement et subtilement des rêves qui peuvent être source d’échappatoire dans un univers morne et individualiste. L’oiseau est l’objet de fascination, il est le modèle à atteindre, lui qui vit en dehors de toute contrainte. Les deux protagonistes n’ont rien en commun hormis ce désir ardent de s’élever au-dessus de toute préoccupation. Elle est une femme de ménage jeune et enthousiaste, lui est un homme d’affaires usé. Elle a déjà décollé du nid mais ne se sent pas pour autant délivrée, lui s’apprête à le faire. Rien ne les unit excepté l’imposant et luxueux hôtel Hilton, décor oppressant renforçant leurs solitudes respectives. Le film commence très fort, puisque la réalisatrice donne au spectateur accès aux pensées des utilisateurs du RER parisien. Nouvelle vision illustrant le mal de ce siècle, la solitude alors même que l’on est oppressé dans un véhicule bondé. S’en suit de nombreux plans et moments plus ou moins symboliques où Audrey et Gary vivent leurs mornes existences. Puis un écran noir nous indique que l’on ne suivra maintenant que la vie de Gary, puis plus tard celle d’Audrey. Quel dommage que ces segments de vies aient été si froidement opposées au lieu de les mélanger pour mieux mettre en exergue leurs divergences et concordances ! Concernant le rythme, les évènements sont parfois terriblement lents, mais cette lenteur provoque un étrange attrait. Voir Audrey effectuer plus ou moins méticuleusement ses tâches quotidiennes, voir Gary entamer une interminable conversation avec sa femme ennuie tout en captivant. Peut-être est-ce grâce au magnétisme dégagé par Anaïs Demoustier, peut-être aussi est-ce la véracité du moment qui fait qu’on y prête attention. Il y a des longueurs, mais quelle vie n’en n’a pas ? Et puis soudainement, les choses bougent. Une touche de fantastique inattendue fait son entrée. C’est à ce moment-là qu’on se rend compte qu’Anaïs Demoustier n’est absolument pas faite pour le doublage mais aussi à quel point on est méfiant lorsque les codes sont dépassés. Passé le premier temps d’étonnement, on ne peut que saluer l’initiative qui, bien que maladroitement mise en place, est charmante. Il y a de jolis plans ainsi que des moments qui font rêver (le choix de David Bowie pour la B.O, la rencontre avec l’artiste japonais, sublime). Et puis vient ce moment terrible, sans dialogues ni civilisation, ce moment où l’oiseau a remplacé l’être humain et ou la liberté a pris le pas sur l’humanité et ses règles. Est-ce vraiment de ce type de liberté dont Audrey ressent le besoin ? Heureusement, Pascale Ferran a su écrire une conclusion idéale pour son œuvre. Ni moralisatrice, ni spécialement concluante, elle ouvre plutôt sur différentes visions de l’avenir, que chaque spectateur pourra percevoir à sa guise. A cause de l’ennui régulièrement ressenti, je comptais affubler « Bird People » d’un petit deux et demi, mais en parler a ravivé la poésie au détriment de l’ennui. Un petit trois donc.
    Patricemarie
    Patricemarie

    41 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 octobre 2014
    Film, style chronique sociale à l'Hollyday Inn de Roissy, deux acteurs et peu de budget.
    Je crois que n'importe qui aurait pu tourner ce film. Le coup du moineau, ça mange pas de pain, il fallait y penser pour corser un peu le film et lui donner un titre mystérieux, mais c'est pas indispensable.
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