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    Suzanne
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    3,6
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    305 critiques spectateurs

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    jspl
    jspl

    22 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    Dire qu'il y eut une époque où nous avions un cinéma français digne de ce nom!!! Là, vraiment ça ne ressemble à rien!!! Encore une perte de temps et d'argent.
    solange
    solange

    5 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 décembre 2013
    Quand le générique de fin démarre, on reste là, scotchée sur sa chaise, à essayer de digérer tout ce que l'on vient de voir. Un drame social très francais, puissant et si réaliste qu'il en dérange. Sara forestier est magnétique. Elle mérite un César. Et tous les acteurs autour d'elle sont extraordinaires, justes et encore une fois si réalistes dans leur émotion et dans leur réaction. Suzanne dérange, elle agace tant ses choix sont irréfléchis mais katell quilléveré a l'intelligence de ne jamais juger. De laisser le spectateur se faire sa propre opinion. Un film coup de poing. A voir d'urgence - notamment pour les amateurs du genre (sans toit ni loi ; la vie rêvée des anges...)
    Jean-Claude M
    Jean-Claude M

    12 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 décembre 2013
    Bien interprété, c'est certain, mais j'en ai un peu assez de ces films misérabilistes qui ne nous font vraiment pas rêver. On plante une caméra dans les "cités" et on a la même chose. J'ai vraiment envie, surtout par les temps qui courent, de voir autre chose …. !
    Sylvain P
    Sylvain P

    301 abonnés 1 333 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2013
    Suzanne est un sprint. En 1h30, on voit défiler des petites scènes de quelques minutes racontant une vingtaine d'années d'une vie torturée. On en ressort essoufflé, vidé, et avec l'impression qu'on ne nous a pas raconté une histoire, mais qu'on nous a gavé. Indigeste.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    118 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 décembre 2013
    Ah l'amour. "Sentiment très intense, attachement englobant la tendresse et l'attirance physique", comme aime préciser madame Larousse, éditions 2006. Cet amour, la réalisatrice à bien du mal à le faire partager avec son public. Et même si on rajoute à ce drame de l'euphorie à quinze pour-cent des scènes, cela ne suffit pas au spectateur pour s'attacher aux personnages. Rajouté à cela de longs moments ou la caméra ne regarde QUE Sara Forestier, impressionnants mais trop nombreux. Vraiment dommage que l'ennui perdure, car le casting est véritablement IMPECCABLE! Une semi-déception, si on peut appeler ça comme ça.
    Seemleo
    Seemleo

    52 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 décembre 2013
    La réalisatrice nous gratifie d'un story-board enlevé, tout en choisissant soigneusement les tranches de vie à raconter. Sur une histoire enfilant les poncifs un à un, le découpage, les ellipses, la mise en scène et le choix d'un traitement réaliste, renouvellent largement l'intérêt de chaque plan et de l'intrigue et les comédiens excellent en finesse dans toute la gamme des émotions. Un film qui se distingue largement de la confiture de téléfilms français que l'on nous tartine dans les salles à longueur d'année.
    traversay1
    traversay1

    3 108 abonnés 4 627 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2014
    En soi, l’histoire de Suzanne, deuxième film de Katell Quillévéré, après la bonne surprise d’Un poison violent, n’a rien de fondamentalement original. Une vie de femme entre 5 et 35 ans. Ce qui le sort de la banalité, c’est d’abord sa construction. Chaque scène est un mini récit dont la relation s'opère par ellipses, plus ou moins longues, de quelques mois à quelques années. Cela donne du rythme et un accent de plus en plus dramatique à mesure que le personnage de Suzanne vieillit. La réalisatrice fait montre de la même sensibilité que dans son précédent film mais son cinéma a mûri et sa mise en scène est plus assurée. L’une de ses qualités premières est de savoir tirer le meilleur de ses interprètes. Sara Forestier est extraordinaire, on ne l’avait jamais vue aussi libre et touchante. Mention très bien également à Adèle Haenel et à François Damiens et à tous les seconds rôles, remarquables. Un joli film émouvant et plus que cela encore.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 décembre 2013
    Que de pathos et de clichés. C'est moche, c'est glauque et ça se croit intelligent à filmer la misère... Non la vraiment je ne comprend pas la presse qui délire sur un truc vu et revu mais surtout sans style ni mise en scène...
    tixou0
    tixou0

    633 abonnés 1 970 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 décembre 2013
    Le deuxième "long" de Katell Quillévéré (que je souhaite en "second" !) est hautement prévisible, dans ses "rebondissements", dès l'instant que les personnages sont mis en place, et véhicule une "morale" à deux balles. Un progrès cependant par rapport à "Un Poison violent", qui trouvait vite son inspiration principale dans une charge laïcarde pesante contre la religion catholique. Sur la subtilité et l'invention, cependant.... on y reviendra.
    Le film s'ouvre sur une gamine de 5 ans boulotte, dont la prestation lors d'une fête d'école est immortalisée par un père de famille ému (François Damiens). Le veuf laborieux (chauffeur routier) n'a pas refait sa vie (ne voyant qu'à la sauvette une patiente candidate au remplacement de la défunte), et élève de son mieux ses 2 filles : Suzanne (Sara Forestier, à l'âge adulte - pendant 15 ans à peu près), la petite boulotte (devenue filiforme, dès l'adolescence) et Maria, son aînée (Adèle Haenel - adulte). Maria reste dans le rang - ouvrière dans une petite usine textile à Marseille, elle rentre voir son père et sa cadette tous les week-ends à Alès (dans le Gard limitrophe), mais n'oublie pas de s'alcooliser en boîte (son unique "loisir", semble-t-il). La "rebelle", c'est Suzanne ! Mère d'un enfant sans père au lycée, elle rencontre son mauvais ange quelques années plus tard, Julien, et forme assez vite avec lui un duo façon Bonnie & Clyde du pauvre, en ayant laissé son petit garçon, Charlie, à la garde de sa soeur. Laquelle refile l'enfant à leur père. Qui en perd la garde, au profit d'une famille d'accueil - car il s'absente trop souvent au goût des services sociaux.
    On est à la limite du quart-monde, toujours très gratifiant cinématographiquement ("signifiant" pour le spectateur bobo visé - sans oublier qu'il est lucratif, car il permet de trouver les financements sans problème, entrant pile dans le cahier des charges des différents organismes à solliciter). Et à la lisière entre le mélo ordinaire (ici un classique : l'histoire d'une famille qui n'a pas de chance - sniff) et le portrait "attachant" : celui de Suzanne, qui cherche (et trouve) son destin en s'attardant sur la case "prison".
    La seule surprise vient d'un François Damiens au "look" inhabituel côté pilosités: imberbe (puis moustachu, sur le tard) et, assez loin dans le film, avec des cheveux !
    La réalisatrice a voulu gommer le pathos en systématisant les ellipses : bof ! Quant au récit lui-même, platement linéaire (les récurrences "elliptiques" mises à part), ses chapitres se déroulent gentiment, de manière quasi "téléphonée" - figures imposées d'un drame étriqué.
    Seule chose à sauver : la prestation très méritoire de Sara Forestier. Mais ses efforts de tous les instants pour emporter la conviction tournent bien sûr à vide, la "partition" à jouer étant bien courte.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 novembre 2014
    Un portrait de femme magnifique, tout en pudeur et émotion. Sarah Forestier crève l'écran de son naturel, sa force de jeu et son charme. François Damiens est époustouflant de sincérité. Ce film m'a ému aux larmes, et tous les acteurs, y compris les seconds roles, m'ont fait aimer leur personnage. La réalisatrice a une façon incroyable de capter la richesse et la complexité des émotions. Un très grand film qui me restera longtemps en mémoire.
    Nelly M.
    Nelly M.

    81 abonnés 525 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 décembre 2013
    Etonnante Katell Quillévéré qui récidive aussi bien sinon mieux que dans "Un poison violent" ! Même habileté à faire entrer dans son histoire par pans, nonchalamment avec d'habiles coupures. Mêmes dialogues minimalistes. Davantage de profondeur, le seul amour encore crédible étant l'alchimie des corps, ultime bastion contre le pourrissement collectif (ce refus d'accorder sa confiance comme si les mots étaient devenus la porte ouverte à toutes les trahisons)... Musique sur mesure, y compris au niveau de la signification, on est vraiment gâté, non seulement les compositions de départ, tout à fait à la hauteur de l'enjeu, mais cette version de "Suzanne" par Nina Simone qui reste entêter ! Le récit biographique comporte plein de blancs dans la vie de l'héroïne marquée par d'horribles coups du sort, (Sara Forestier dirigée ainsi promet autant que Sandrine Bonnaire !). Et puis ce père veuf qui fait son possible avec ses deux filles (rarement traité sous cet angle !) ne peut que taper dans le mille... La passion irrépressible est surtout prétexte à introduire "la débrouille" comme un dédoublement nécessaire... à la survie de l'espèce. Ensemble incroyablement mature de la part d'une trentenaire polie, lisse sous ses allures de mannequin ayant l'absolue maîtrise de son sujet, de ses acteurs. Déterminée autant que passionnée ! Portrait de femme à l'enfance fracassée certes, + charge sourde contre l'économie actuelle, l'officielle, pas l'autre !
    islander29
    islander29

    765 abonnés 2 275 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 décembre 2013
    prétentieux et vide...¨Pas de scénario, des dialogues de peu d'intérêt......une mise en scène sans surprises, on fait du sous Pialat....Le résultat est confus et ennuyeux, un film à oublier le plus vite possible, avec ou sans Sara forestier, d'ailleurs je viens de sortir de la séance, je ne sais même plus de quoi cela parle, un cinéma qui se voudrait "moderne" mais qui ne l'est pas ...A éviter..... piégé par la pub
    Akamaru
    Akamaru

    2 807 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 mai 2014
    Encensé de toutes parts par la critique presse,"Suzanne" confirme certes tout le talent de Katell Quillevéré pour les portraits féminins et le trouble qui s'en empare. Sara Forestier campe une jeune femme,devenue mère trop tôt(à 17 ans),éprise de liberté et à la poursuite d'un illusoire amour fou. Elle s'abandonne corps et âme à ce rôle difficile. Ça se sent et ça se voit. Moins démonstrative,Adèle Haenel est étonnante en sœur fusionnelle(César du second rôle 2014),de même qu'un inédit François Damiens en père aimant mais dépassé par les événements. Adepte du naturalisme,Quillevéré est dépassée par son ambition de saga concentrée. Son choix de multiplier les ellipses aurait pu être payant,mais en l'état,il demeure frustrant. Chaque pic émotionnel est tué dans l'œuf,et les interactions entre les divers protagonistes sont finalement assez restreintes. On a surtout l'impression que l'histoire est mal racontée,même s'il valait mieux se concentrer sur les errements affectifs de Suzanne que sur sa fugue. Un drôle de mélodrame,vif mais creux.
    velocio
    velocio

    1 170 abonnés 3 034 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 décembre 2013
    On dit souvent qu'il est plus facile de réaliser un premier film que le second. En tout cas, il a fallu 3 ans à Katell Quillévéré pour franchir cette nouvelle étape, après "Un poison violent", un premier film très prometteur qui s'était vu décerner le Prix Jean Vigo 2010. Entre temps, Katell avait participé à "Vandal", sorti il y a quelques semaines, en tant que co-scénariste. "Suzanne", ce deuxième film de Katell Quillévéré, avait été choisi comme film d'ouverture de la Semaine de la Critique du Festival de Cannes 2013. "Suzanne" raconte sur une période de plus de 20 ans l'histoire d'une jeune femme qui, par ses choix radicaux, s'éloigne de la vie que son environnement social avait plus ou moins tracée pour elle. "Suzanne" fait partie des films auxquels on peut coller l'étiquette « montagne russe », c'est-à-dire cette famille de films auxquels l'intérêt qu'on leur porte n'arrête pas de changer, des scènes sans grand intérêt succédant à des scènes soit passionnantes, soit attachantes, soit émouvantes. Même si, dans une bonne partie du film, Katell Quillévéré arrive à confirmer les talents de réalisatrice qu'elle avait montrés dans "Un poison violent", on peut quand même regretter que, globalement, ce deuxième film ne soit pas au niveau du premier.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 septembre 2014
    Vous vous souvenez sans doute d’une publicité sur une banque dans laquelle la vie banale d’un jeune homme défilait et à chaque étape importante une voix annonçait « les copains », « les filles », » le travail », « la fille » etc? Voici la version longue du spot commercial.

    Comme la réalisatrice a voulu qu’on voit les protagonistes vieillir -prouesse cinématographique s’il en est d’après les critiques du Masque et la plume entre autres- elle ne prends pas le temps de construire de vraies scènes ou d’emmener les sentiments, ...
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