Avis : La Voleuse de livres - Page 4

Adapté d'un roman, ce drame est pourvu d'un scénario très bien écrit, une reconstitution soignée et un casting de choix, dont une révélation, Sophie Mélisse.
Un très bon moment de cinéma.

Malgré le nombre incalculable de film sur la 2nde guerre mondiale, après Elle S'appelait Sarah, c'est ce film qui m'a le plus bouleversée.. Des frissons, des pleurs, des rires, ce film est tellement prenant. Une manière différente d'aborder le thème avec "la mort" qui nous raconte l'histoire de cette jeune Liesel. Je conseille vraiment ce film !

Assez touchant mais j'ai pas vraiment accroché. Le scénario est assez plat, un peu répétitif et attendu.. On se lasse trop vite !

Trop de scènes coupées du livre qui ne sont pas dans le film. L'histoire n'en est pas moins émouvante pour autant, les acteurs sont attachants et on se plonge bien dans l'esprit de l'époque de 39 à 45. À voir.

Beau film mais il manque quelque chose. Un peu ennuyeux également. et surtout j'arrive pas à m'imaginer dans cette ville refaite. Trop de décors créé j'y crois pas.

A voir absolument. de très bons acteurs, une histore merveilleuse et un rappel de la bêtise faciste

Un film émouvant et drôle, excellemment interprété, notamment par Geoffrey Rush.
Une critique plus détaillée de ce film et d'autres sur

Excellent film, Sophie Nelisse est magistrale ! on se laisse emporter par cette histoire tragique (soyons heureux de ne pas avoir vécu cette période noire de l'histoire). Ne regardez pas les critiques presses (des bons a rien !)

Très beau film où l'on suit la construction d'une petite fille qui va subir des multiples épreuves. C'est un film d'espoir et d'amour (pas au sens romantique). Une bonne surprise.

Hallucinant de nullité. "Thank you", puis "nein" pour chlore la même phrase. Elle parle en anglais et elle dit "papa" au lieu de dad ou daddy ... ???? Et ce avec un accent allemand qui tient du vilain gros cliché d'une comédie de base. Et alors comme cette chose là, nous parle du ciel, depuis le début, on pourrait penser que c'est DIEU, nous ! Et bien ça ferait bizarre tout de même d'entendre en voix off, DIEU nous dire -"j'ai bien travaillé pour Hitler .... !"- "Ils" n'auraient quand même pas osé faire ça !?! Pour se rendre compte, après avoir attribué la voix off à un autre personnage du film, "absent", et ce, seulement au dernier quart du parcours que c'est de la MORT qu'il s'agit, la mort en voix-off (idée sinistre il faut quand-même le dire, exemple : "L'âme de Rudy vint s'allonger dans mes bras" ou un truc du genre) C'est Madaaame la MORT qui veux se faire passer pour une gentille et qui dit qu' "elle aime les humains"!!!!! Le délire total, autour d'une histoire en kit, genre si tu la montes avec créativité, tu changes de point de vue (ici celui d'une pré-adolescente, encore une enfant donc) et tu comprends mieux (soyons didactiques mes frères car les spectateurs sont des idiots) ce que la guerre a pu laisser de traumatismes et de destructions. Truffé de bons faux sentiments, comme d'échafauder qu'une jeune fille en volant des livres puisse réellement s'évader de l'horreur, dans l'espace de rêve qu'ils lui procurent. Sans aucune émotion, la demoiselle est sans expressions la plupart du temps, en dehors de ses grands yeux-soucoupes, à se demander si elle comprend ce qu'elle fait-là :Tellement jolie qu'elle pourrait être la princesse échappée d'un conte de fées et qui va sauver le monde. C'était oublier que l'histoire est déjà écrite. Racoleur comme c'est pas permis : la maman d'adoption, rèche et revêche, froide et rigide, voire grossière et vulgaire, va finir, au contact de la demoiselle par se révéler une femme douce et intelligente. Hallélouia ! Quand je pense que j'y suis allée sans réfléchir, car Geoffrey Rush, car Emily Watson ... Car une ingénue ?? ... Ah voilà, la jolie demoiselle, presque aguichante, aurait dû me mettre la puce à l'oreille. Dès l'affiche nous pensions assister à un conte de Noel ... dans le fond ... Mais quel conte de Noel pourrait effacer les dégâts d'une deuxième guerre mondiale ??? Quel ratage honteux et lamentable !

Un film absolument magnifique, à voir de toute urgence. Le scénario du film est simple, mais là n'est pas l'essentiel. L'histoire se déroule en Allemagne sous la domination nazie, et décrit bien évidemment ce qui se passait du côté allemand. Une histoire d'amitié(s), d'amour aussi, d'affection et de solidarité. C'est émouvant, humain, vrai, juste, drôle, prenant et je ne sais quoi d'autre encore... La justesse du jeu des acteurs est merveilleuse : tout est ciselé à la perfection. Bref, un pur moment de bonheur qui, malgré sa durée de plus de deux heures et les dialogues en Anglais avec un fort accent allemand (un peu ridicule à vrai dire -- une VO en Allemand aurait été plus juste) est passionnant d'un bout à l'autre. Courez-y !

Dans ligné du “Garçon au pyjama rayé”, voici un nouvel film tiré d’un roman pour la jeunesse qui évoque, ici aussi avec beaucoup de délicatesse, la période difficile de la Seconde Guerre Mondiale et son volet idéologique antisémite. À travers le destin de Liesel, on suit les années noires de l’Allemagne avec son entré en Guerre, les bombardements, les exactions antisémites, puis les déportations, ainsi que la persécution de tous ceux qui ne sont pas conformes à l’idéologie nazie. Alors, le film ne s’appesantit pas sur ces événements, il les évoque comme fond à l’histoire de Liesel adoptée, car sa mère, communiste, est déportée. On suit donc la jeune fille dans une vie faite de complicité avec un père adoptif musicien à ses heures perdues, d’amitié avec le jeune Rudi fan de Jesse Owens et avec Max jeune homme juif caché dans la cave familiale et avec qui Liesel se découvre beaucoup de points communs. Mais c’est avant tout l’évocation de la joie de lire et de la découverte des livres que le film évoque avec une jeune héroïne illettrée au début qui grâce à son père, puis à la gentillesse de la femme du Burgmeister va découvrir le bonheur de lire comme remède aux avanies de ce monde en guerre qui est le sien. Le film n’élude rien, pas même la mort de personnages importants, voire d’enfants, mais il le fait avec beaucoup de sobriété et de délicatesse, nous évitant beaucoup la violence et un sentimentalisme lacrymal. De ce fait le film, adapté d’un roman pour la jeunesse, garde cette part d’innocence qui caractérise ces lectures, mais permet quand même aux adultes de s’intéresser à une histoire loin d’être mièvre. Un très beau film nanti d’une interprétation solide de ces principaux acteurs qui permet une évocation sans tabou de l’Allemagne durant le régime nazi, mais sans y amener la violence inhérente au sujet. À voir sans hésiter.

« La voleuse de livres » de Brian Percival (2013) est l’adaptation du roman éponyme écrit par l'Australien Markus Zusak. L’histoire est belle sur le papier : nous sommes en 1938 dans une bourgade allemande, la petite Liesel (Sophie Nélisse), âgée d’environ 8 ans et dont la mère célibataire est communiste, est adoptée par Rosa qui est en apparence une femme assez dure et Hans plus sensible et accessible. Liesel ne sait pas lire ni écrire mais assez miraculeusement son père adoptif va lui apprendre très vite à lire… et Liesel de dévorer les livres, allant même jusqu’à récupérer un ouvrage lors d’un autodafé et à « emprunter » à l’épouse du Bourgmestre dont le fils semble être mort à la guerre, des livres de sa bibliothèque. On y ajoute le fait que la famille d’accueil est se doit de cacher Max, un juif dont le père a sauvé la vie de Hans lors de la première guerre mondiale… et une amitié avec un petit voisin, Rudy, qui bien que bien blond et aux yeux bleus a comme idole Jesse Owens (quadruple médaillé d'or lors des Jeux olympiques de Berlin en 1936). Le tout se déroule pendant la guerre avec toutes ses affres y compris – ce qui est rarement dit – pour les civils, mais Liesel, 2 ans après la libération, retrouvera Max qui l’avait incité à écrire… et Liesel de devenir une écrivain comblée ! L’histoire est racontée en voix-off par la mort !
Un film bien long (plus de 2 h) à l’eau de rose… Bref je n’ai pas aimé !

Très beau film malgré une ou deux scènes qui n'étaient pas vraiment utiles à l'histoire du film. Seul bémol, le film qui est retracé sur plusieurs années, le visage des personnages ne change pas. Je pense q'un enfant entre 10 et 15 ans se métamorphose rapidement. Mais film à voir sans hésitation.

Adapté du best-seller (2005) par l'Australien Markus Zusak, ce long-métrage présenté sous forme de conte (la mort nous parle en début et en fin de film), romance de façon remarquable un drame qui nous place côté allemand au temps de la terrible seconde guerre mondiale d'Hitler. A l'interprétation, deux parents d'adoption formidables : Geoffrey Rush ("Le discours d'un roi") et Emily Watson ("Les cendres d'Angela") et deux enfants admirables : Sophie Nélisse (repérée dans "Monsieur Lazhar") et Nico Liersch (rôle de Rudy dans le film, jeune garçon blond). Cette histoire, qui aurait pu exister, en opposition à la peur et à la douleur, délivre un message de courage et d'espoir. A voir en famille...