Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le film, impeccablement réalisé, est au diapason de ses décors d'un luxe lourd et sombre, au sein desquels les personnages trament entre eux des ignominies.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Metro
par Marilyne Letertre
Sophistiqué dans la forme, grinçant sur le fond, "L'ivresse de l'argent" confirme le talent d'Im Sang-soo pour croquer les travers de la grande bourgeoisie sud-coréenne. Jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Nicolas Bauche
"L'ivresse de l'argent" n'est pas un film, c'est un opéra (...) d'une sensualité (...) vénéneuse.
La critique complète est disponible sur le site Positif
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Dans le prolongement de "The Housemaid", où le cinéaste dénonçait déjà les abus de pouvoir de patrons richissimes sur leurs employés, ce film ultra-stylisé témoigne, avec une belle acuité, de la Corée d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Croix
par Arnaud Schwartz
Dans ce film magnifiquement mis en scène (...), Im Sang-soo se livre à une analyse d'une grande lucidité sur cette "ivresse de l'argent" qui rend possible d'ignominieuses dominations. Culpabilité, mépris et humiliation trouvent leurs rôles dans cet étrange jeu.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
La mise en scène au scalpel d'Im Sang-soo, son sens du détail signifiant, des jeux de regards, valent le détour. Surtout, la distance glacée qu'il conserve vis-à-vis de ses personnages les maintient dans une ambiguïté fascinante (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
On pourrait trouver [le] manichéisme [d'Im Sang-soo] un peu appuyé mais il est parfaitement assumé et participe du plaisir du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Jakuta Alikavazovic
Convulsions grotesques et saillies cruelles fournissent un heureux contrepoint à l'atmosphère raréfiée dans laquelle évoluent ceux qui se prétendent les heureux du monde.
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Malgré la lourdeur de son propos, "L'Ivresse de l'argent" peut aisément s'aborder à la manière d'un bon comic, comme une expérience ludique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Stéphane Argentin
Après "Housemaid", une nouvelle raillerie fort plaisante de la haute bourgeoisie coréenne signée Im Sang-Soo.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Loin du premier degré qui empesait "The Housemaid", Im Sang-soo signe une fable cynique, boursouflée et assez réjouissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Gérard Delorme
Les familiers du cinéma d'Im Sang-Soo retrouveront son sens aigu de la satire ainsi que sa fascination pour le luxe (...) mais la poudre aux yeux ne suffit pas à renouveler un thème qui commence à fatiguer.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Romain Le Vern
Une satire bien sentie et bien méchante renvoyant la Corée à ses clivages sociaux et ses excès.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Samuel Douhaire
"L'ivresse de l'argent" est une nouvelle offensive contre les ultra riches coréens (...) Mais ses travellings caressants sur les meubles à plusieurs millions de wons se font si insistants que l'on se demande si le réalisateur n'a pas succombé à la fascination des élites friquées qu'il entendait dénoncer...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Im Sang-soo aurait dû davantage brouiller les pistes pour élever le spectacle vers des sphères narratives à la hauteur de son talent d'esthète.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cette satire de la grande bourgeoisie coréenne souffre d'une mise en scène exsangue. Le film tire vers la saga décadente viscontienne mais ressemble à une petite maquette sans ampleur : les figures outrées et les tourbillons des mouvements d'appareil s'épuisent dans un décor de karaoké où tout sonne faux.
Paris Match
par Alain Spira
Il manque ce parfum d'authenticité essentielle à ce type de tragicomédie.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
TéléCinéObs
par Nicolas Schaller
La froideur chic du décorum et de la mise en scène fascine. On ne peut en dire autant du film qui, entre soap-opéra et tragédie brechtienne, ne fait qu'entrebâiller des portes ouvertes.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
L'Humanité
Le film, impeccablement réalisé, est au diapason de ses décors d'un luxe lourd et sombre, au sein desquels les personnages trament entre eux des ignominies.
Metro
Sophistiqué dans la forme, grinçant sur le fond, "L'ivresse de l'argent" confirme le talent d'Im Sang-soo pour croquer les travers de la grande bourgeoisie sud-coréenne. Jubilatoire.
Positif
"L'ivresse de l'argent" n'est pas un film, c'est un opéra (...) d'une sensualité (...) vénéneuse.
20 Minutes
Dans le prolongement de "The Housemaid", où le cinéaste dénonçait déjà les abus de pouvoir de patrons richissimes sur leurs employés, ce film ultra-stylisé témoigne, avec une belle acuité, de la Corée d'aujourd'hui.
La Croix
Dans ce film magnifiquement mis en scène (...), Im Sang-soo se livre à une analyse d'une grande lucidité sur cette "ivresse de l'argent" qui rend possible d'ignominieuses dominations. Culpabilité, mépris et humiliation trouvent leurs rôles dans cet étrange jeu.
Le Monde
La mise en scène au scalpel d'Im Sang-soo, son sens du détail signifiant, des jeux de regards, valent le détour. Surtout, la distance glacée qu'il conserve vis-à-vis de ses personnages les maintient dans une ambiguïté fascinante (...).
Les Inrockuptibles
On pourrait trouver [le] manichéisme [d'Im Sang-soo] un peu appuyé mais il est parfaitement assumé et participe du plaisir du spectateur.
Transfuge
Convulsions grotesques et saillies cruelles fournissent un heureux contrepoint à l'atmosphère raréfiée dans laquelle évoluent ceux qui se prétendent les heureux du monde.
Critikat.com
Malgré la lourdeur de son propos, "L'Ivresse de l'argent" peut aisément s'aborder à la manière d'un bon comic, comme une expérience ludique.
Ecran Large
Après "Housemaid", une nouvelle raillerie fort plaisante de la haute bourgeoisie coréenne signée Im Sang-Soo.
Les Fiches du Cinéma
Loin du premier degré qui empesait "The Housemaid", Im Sang-soo signe une fable cynique, boursouflée et assez réjouissante.
Première
Les familiers du cinéma d'Im Sang-Soo retrouveront son sens aigu de la satire ainsi que sa fascination pour le luxe (...) mais la poudre aux yeux ne suffit pas à renouveler un thème qui commence à fatiguer.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
TF1 News
Une satire bien sentie et bien méchante renvoyant la Corée à ses clivages sociaux et ses excès.
Télérama
"L'ivresse de l'argent" est une nouvelle offensive contre les ultra riches coréens (...) Mais ses travellings caressants sur les meubles à plusieurs millions de wons se font si insistants que l'on se demande si le réalisateur n'a pas succombé à la fascination des élites friquées qu'il entendait dénoncer...
aVoir-aLire.com
Im Sang-soo aurait dû davantage brouiller les pistes pour élever le spectacle vers des sphères narratives à la hauteur de son talent d'esthète.
Cahiers du Cinéma
Cette satire de la grande bourgeoisie coréenne souffre d'une mise en scène exsangue. Le film tire vers la saga décadente viscontienne mais ressemble à une petite maquette sans ampleur : les figures outrées et les tourbillons des mouvements d'appareil s'épuisent dans un décor de karaoké où tout sonne faux.
Paris Match
Il manque ce parfum d'authenticité essentielle à ce type de tragicomédie.
TéléCinéObs
La froideur chic du décorum et de la mise en scène fascine. On ne peut en dire autant du film qui, entre soap-opéra et tragédie brechtienne, ne fait qu'entrebâiller des portes ouvertes.