Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le retour de Sandrine Veysset, avec son thème de prédilection – les rapports mère - enfant – et sa manière de mêler la réalité et le conte.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un mélange original de naturalisme et de fantastique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par François Forestier
Huis clos prenant, le récit jongle avec l’anxiété, l’inquiétude, et tout ce clair-obscur des sentiments. Il faut s’abandonner au film, condition nécessaire pour l’apprécier. Sinon, c’est un exercice de style un peu formel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Malgré quelques faiblesses, un conte envoûtant.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Chez Veysset [...], la peur vient moins du présent, incertain et sans mystère, que du passé et du monde réel qui recèlent de noirs secrets.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Il y a quelque chose de burtonien dans L’Histoire d’une mère, une dimension expressionniste fort appréciable. Et même si la réalisatrice a pris de nombreuse liberté par rapport à l’écrit originel, elle a su préserver, bien qu’un peu sèchement parfois, la mélancolie cruelle d’Andersen.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Gabrielle Adjerad
Il en ressort une féérie étrangement lugubre et hors du temps prise entre des enjeux sociologiques insuffisamment développés et un vrai potentiel magique dont le film exploite le caractère obscur sans véritablement parvenir au surnaturel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Pourquoi rendre l'intrigue et le propos si insignifiants ? Reste Lou Delage, jeune comédienne fort intrigante.
La Croix
par Marie Soyeux
Ce conte moraliste joue avec des peurs primitives, comme un chat avec une pelote de laine, sans tricoter d’histoire véritablement consistante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le film de Sandrine Veysset est rêche, rugueux, inégal. On ne voit pas toujours où elle veut nous mener, et il manque sans doute un liant qui en assure la cohérence profonde.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Autour de l’idée de deuil, Sandrine Veysset, inspirée par un conte méconnu d’Andersen, tisse une intrigue inquiétante et sensible. Un film fragile, presque déroutant, porté par deux belles actrices.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La réalisatrice de "Y aura-t-il de la neige à Noël ?" fait à nouveau de la vie de famille une cérémonie magique, mais se heurte à un manque criant de moyens.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Sotinel
Si les séquences oniriques impressionnent par leur économie, le va-et-vient avec la réalité prend un tour mécanique, accentué par la faiblesse de l’interprétation.
Libération
par Marcos Uzal
Sandrine Veysset parvient d’abord avec peu de moyens à maintenir une inquiétude diffuse, dont nous ne savons si elle basculera dans le fait divers sordide ou dans le fantastique. Malheureusement, ses choix formels ne convainquent pas.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Laetitia Mikles
Le symbolisme romantique pourrait êrte séduisant mais sa réalisation naïve donne des allures kitsch au conte et la photographie d'Hélène Louvart ne sauve rien.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Il séduit quand il s'aventure dans le fantastique mais s'égare dès que le conte percute la réalité.
Télérama
par Nicolas Didier
L'alchimie opère mal, la faute à des scènes oniriques artificielles.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
Le retour de Sandrine Veysset, avec son thème de prédilection – les rapports mère - enfant – et sa manière de mêler la réalité et le conte.
L'Humanité
Un mélange original de naturalisme et de fantastique.
L'Obs
Huis clos prenant, le récit jongle avec l’anxiété, l’inquiétude, et tout ce clair-obscur des sentiments. Il faut s’abandonner au film, condition nécessaire pour l’apprécier. Sinon, c’est un exercice de style un peu formel.
Les Fiches du Cinéma
Malgré quelques faiblesses, un conte envoûtant.
Les Inrockuptibles
Chez Veysset [...], la peur vient moins du présent, incertain et sans mystère, que du passé et du monde réel qui recèlent de noirs secrets.
aVoir-aLire.com
Il y a quelque chose de burtonien dans L’Histoire d’une mère, une dimension expressionniste fort appréciable. Et même si la réalisatrice a pris de nombreuse liberté par rapport à l’écrit originel, elle a su préserver, bien qu’un peu sèchement parfois, la mélancolie cruelle d’Andersen.
Critikat.com
Il en ressort une féérie étrangement lugubre et hors du temps prise entre des enjeux sociologiques insuffisamment développés et un vrai potentiel magique dont le film exploite le caractère obscur sans véritablement parvenir au surnaturel.
L'Express
Pourquoi rendre l'intrigue et le propos si insignifiants ? Reste Lou Delage, jeune comédienne fort intrigante.
La Croix
Ce conte moraliste joue avec des peurs primitives, comme un chat avec une pelote de laine, sans tricoter d’histoire véritablement consistante.
Le Figaro
Le film de Sandrine Veysset est rêche, rugueux, inégal. On ne voit pas toujours où elle veut nous mener, et il manque sans doute un liant qui en assure la cohérence profonde.
Le Journal du Dimanche
Autour de l’idée de deuil, Sandrine Veysset, inspirée par un conte méconnu d’Andersen, tisse une intrigue inquiétante et sensible. Un film fragile, presque déroutant, porté par deux belles actrices.
Le Monde
La réalisatrice de "Y aura-t-il de la neige à Noël ?" fait à nouveau de la vie de famille une cérémonie magique, mais se heurte à un manque criant de moyens.
Les Fiches du Cinéma
Si les séquences oniriques impressionnent par leur économie, le va-et-vient avec la réalité prend un tour mécanique, accentué par la faiblesse de l’interprétation.
Libération
Sandrine Veysset parvient d’abord avec peu de moyens à maintenir une inquiétude diffuse, dont nous ne savons si elle basculera dans le fait divers sordide ou dans le fantastique. Malheureusement, ses choix formels ne convainquent pas.
Positif
Le symbolisme romantique pourrait êrte séduisant mais sa réalisation naïve donne des allures kitsch au conte et la photographie d'Hélène Louvart ne sauve rien.
Studio Ciné Live
Il séduit quand il s'aventure dans le fantastique mais s'égare dès que le conte percute la réalité.
Télérama
L'alchimie opère mal, la faute à des scènes oniriques artificielles.