Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 11 septembre 2007
Un Beau Film!!!Bons Acteurs, avec Danny Glover, Excellent dans ce Film!!!La Musique Trés Belle, l'Histoire ou encore la Réalisation pour Terminer, Bravo!!!Une étoile en Moins, car des fois, je n'étais pas Totalement dedans, sans savoir pourquoi, mais bon, Un Grand Film!!!
Film extraordinaire de Spielberg, qui est dur, poignant, touchant et d'une émotion à toute épreuve, premier film aussi du réalisateur qui n'emploiera pas John Williams à la partition, mais le producteur Quincy Jones, le casting est une merveille et la réalisation est phénoménale, malheureusement je trouve que le film est sous-estimé et qu'il mérite plus de sympathie pour l'une des meilleurs œuvre historique de Steven Spielberg.
A côté des nombreux blockbusters réalisés par Steven Spielberg, ce « La couleur pourpre » est tombé dans l'oubli. Dans ce long métrage, le célèbre cinéaste aborde nombre de sujets sérieux comme la ségrégation, la violence conjugale, l'émancipation des femmes, même l'homosexualité y est vaguement traité,.... et le tout a travers le regard d'une jeune femme noire. Pourtant, il est mal aisé de prendre au serieux cette histoire qui comporte tout ce que je déteste dans le cinema hollywoodien : intrigue prévisible et manichéenne, beaucoup de niaiseries, des personnages stéréotypés au possible, .... Durant 2h30, le film balance entre le mélo bas de gamme et la farce grand guinolesque. Tout ce que dénonce Spielberg dans son long métrage perd en crédibilité. De même, les personnages n'ont aucune profondeur psychologique. Bref, on nous sert de la guimauve tout du long. A renfort d'une musique larmoyante, il est compliqué de ne pas se sentir ému par moment et je dois admettre mon déplaisir ne me faire avoir par cette soupe de pathos. Je n'ai jamais été un grand fan de Steven Spielberg mais "La couleur poupre" est surement un (son?) de ses plus mauvais films.
Peut-être le premier grand film "sérieux" de Spielberg. Les connaisseurs du cinéaste retrouveront ses tics de mise en scène, ainsi que les valeurs et les thèmes qu'il transmet, l'enfance et l'évolution du héros dans un monde sans pitié mais que la liberté réside au fond de lui-même et de celle des autres, et une critique des mauvais personnages qui au final sont encore plus faibles que le héros. Cependant le passage de Spielberg dans un monde moins joyeux est encore délicat, il n'a pas encore la maturité nécessaire pour réaliser les grands films qui suivront après. Plus les séquences s'enchaînent, plus le spectateur a l'impression de s'éloigner du but d'origine, qu'est pour l'héroïne de retrouver sa soeur. Finalement, le film de Spielberg aurait du garder deux parties : la séparation et les retrouvailles des deux soeurs, la séquence finale étant émouvante et poignante.
Quand ce ne sont pas les juifs de la shoah, Spielberg s'intéresse à la communauté noire et s'en sort pas trop mal dans ce drame grace à une Whoopi Goldberg impressionnante mais une fin ratée...
Si on retire 30 min au début, 30 min à la fin et les scènes sentimentalistes "made in Spielberg", c'est un très bon film, avec un thème dur et - on le sent - abordé avec justesse et profondeur.
Franchement mauvais. Les téléfilms de nos jours sont mieux joués, mieux fait, bien plus captivant ... Je cherchais des films cultes sur le sujet, grosse déception, j'ai trouvé le jeu des acteurs tellement mauvais, exagéré au possible. L'histoire est longue et mal ficelée, Whoopy Goldberg inssuportable en femme invisible, ça sonne tellement faux, au bout d'un moment on en peut plus d'autant de misérabilisme et de niaiseries. Tout est surjoué, sonne faux ... vraiment j'ai perdu 2h. J'imagine que le roman est bien mieux, en même temps c'est difficile de faire pire.
Quel dommage ! Spielberg aurait pu faire un grand film, mais c'est trop fade et ça ne va pas au fond des choses. Le scénario est là, mais le personnage joué par Whoopy Goldberg n'est pas crédible. Etre aussi bon et indifférent après tant de souffrances, ça ne peut être que dans un Spielberg! Toutes proportions gardées, cet échec relatif ressemble à celui de Munich. Une histoire, de la matière à, mais tout de même cette volonté de faire un film grand public touchant. Le spectateur n'a aucun espace de liberté, et c'est bien dommage. Deux étoiles tout de même pour le jeu de Danny Glover (ça change de l'arme fatale) et le personnage touchant joué par Oprah Winfrey.
simplement soporifique... Mon dieu... N'y a t il pas moyen de traiter de sujets sérieux sans tomber dans le mélodrame larmoyant.Ce qui me fait peur de plus avec ce genre de film, c'est que les gens les notent corrrectement juste pour faire bien et ce donner bonne conscience... Et bien messieurs dames, désolé, mais je ne suis pas raciste, je n'ai jamais battu qui que ce soit, et je trouve ce film simplement ennuyeux, soporifique et surtout, inutile. J'ai tenu 1 heure, et c'est bien suffisant... Désolé spielberg.
En 1985, Steven Spielberg s'occupe pour la première fois d'un film historique, La Couleur Pourpre. C'est son neuvième film (dixième film si on compte le téléfilm Duel dans sa filmographie). La Couleur Pourpre est une adaptation du roman d'Alice Walker qui fut récompensé par le prix Pulitzer. Alors au sommet avec E.T et les deux premiers volets de la saga Indiana Jones, Steven Spielberg nous propose à l'écran l'histoire d'une jeune Noire américaine du début des années 1900. Le film est composé quasi-exclusivement d'un casting afro-américain, le film fit forcément sensation et fit également couler beaucoup d'encre à l'époque pour cela. Il fut boudé pour les Oscars malgré ses nominations. La Couleur Pourpre nous démontre avec une efficacité sans pareille que non seulement Steven Spielberg peut clairement tout adapter à l'écran mais également qu'il n'est pas nécessaire qu'un metteur en scène soit de la même ethnie qu'un sujet racial pour en faire un très bon film. Steven Spielberg nus livre un long métrage très puissant parlant de sujets forts du début des années 1900 spoiler: le sujet du machisme et de la place de la femme dans l'Amérique à l'époque. Le savoir faire de Spielberg n'était plus à prouver pour nous présenter l'atmosphère d'un film historique. Les interprétations sont impressionnantes avec les révélations de Danny Glover mais aussi d'Oprah Winfrey et Margaret Avery qui impressionnent tous par leurs jeux d'acteurs. Les décors plus vrais que natures retranscrivent très bien l'atmosphère et le contexte du film et la mise en scène de Steven Spielberg est parfaite, le voyage, aussi difficile qu'il est, reste une démonstration de cinéma que beaucoup de réalisateurs actuels devraient penser à s'en s'inspirer.
En 1985, soit un an après le succès mondial des deuxièmes péripéties d'Indiana Jones, Steven Spielberg prend le risque d'adapter "La Couleur Pourpre", roman-phare d'Alice Walker et Prix Pulitzer. Alors clairement au sommet, le réalisateur, blanc et juif de surcroît, va narrer la vie dramatique d'une jeune Noire américaine du début du siècle. Composé quasi-exclusivement d'un casting afro-américain, le film fit forcément sensation et fit également couler beaucoup d'encre. Public en grande partie choqué et film boudé par les Oscars en dépit de ses nominations, La Couleur Pourpre démontre avec une efficacité sans pareille que non seulement Spielberg peut clairement tout adapter mais également qu'il n'est pas nécessaire qu'un metteur en scène soit de la même ethnie qu'un sujet racial pour en faire un bon film. Réalisateur traitant avant tout de l'humain, l'auteur du récent E.T. livre ici une poignante histoire, traitant bien moins du racisme que du machisme et du rôle de la femme dans l'Amérique du début du siècle. Interprétée avec justesse et parfois malice par Whoopi Goldberg, dont c'est le premier rôle à l'écran, notre jeune héroïne va être témoin durant une bonne partie de sa vie de la cruauté de l'homme, lui qui ne la jamais traité comme un être humain mais plus comme un objet. Parcours initiatique long et éprouvant, le film raconte – parfois de manière un peu poussive – comment une femme va apprendre à vivre, comment un être va se découvrir humain, comment une ombre va devenir lumière. Certes larmoyant et tombant un peu trop souvent dans le pathos pur et dur, La Couleur Pourpre n'est pas moins un excellent drame et un long-métrage puissant, bien entendu triste mais aussi amusant par instants, le savoir-faire de Spielberg pour détendre l'atmosphère n'étant plus à prouver. Ainsi, appuyé par une interprétation plus que solide (la révélation Danny Glover mais aussi Oprah Winfrey et Margaret Avery), des décors plus vrais que natures et une mise en scène impeccable, le voyage, aussi difficile soit-il, reste une leçon de cinéma que beaucoup de réalisateurs actuels devraient penser à s'en inspirer.
Magnifique film. Quelle histoire splendide. C'est tellement beau l'amour de ces deux sœurs et c'est tellement bien rendu pour l'ambiance des champs de coton, les décors de cette région. Une très grande réussite du cinéma