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    La Grande Bellezza
    Note moyenne
    4,0
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    264 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 mai 2013
    Ils sont fous ces romains!!Film dont la longueur ne sert qu à eterniser les scenes............
    Benjamin A
    Benjamin A

    650 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mars 2014
    Avec "La Grande Bellezza", Paolo Sorrentino nous fait suivre l'histoire de Jep Gambardella un écrivain auteur d'un seul livre il y a plus de 40 ans et maintenant journaliste et critique de théâtre. Plutôt séducteur il parcourt les évènements mondains de Rome et Sorrentino nous raconte ses pensées, son sens de la vie, ses ballades, ses amours, ses fêtes ou encore ses souvenirs. A travers ce personnage, il nous livre une vision désabusé et cynique de la Jet-Set Italienne et au final le peu d'intérêt qu'ils ont. Malheureusement, l'histoire et les personnages n'ont pas vraiment beaucoup d'intérêt et c'est le principal défaut du film, il ne passionne jamais, aucun attachement à des personnages et au final ça s'avère par moment interminable. De plus il n'approfondis jamais, et aborde les sujets en surface et la mise en scène est parfois trop contemplative et assez maladroite. Dommage car sinon Rome est bien sublimé, les dialogues sont souvent impeccable, tout comme les interprétations et en particulier Toni Servillo dans le rôle principal. Mais malheureusement insuffisant, malgré quelque qualités indéniables, on ne s'attache jamais aux personnages et l'histoire est trop rarement correctement abordé.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 janvier 2015
    "La Grande Bellezza" ou littéralement traduit "La Grande Beauté", rarement un film n'aura aussi bien porté son nom, parce que ce film est beau ! Tout ce qu'il y a dans ce film est beau, de la scène d'ouverture au générique final. Le film nous conte l'histoire d'un homme, Jep Gambardella, qui vient de passer le cap des 65 ans et qui met sa vie en question et qui a décidé de ne plus perdre de temps à faire ce qu'il n'avait pas envie de faire. On le suit dans son quotidien, on voit ses amis, ses soirées, ses rencontres et ses sorties dans Rome. Rome, dans le film la capitale de l'Italie est dépeinte comme une ville en pleine décadence, mais cependant grâce à la superbe photographie et les plans magnifique on voit Rome sous son meilleur angle, on prend plaisir à suivre le personnage de Toni Servillo dans ses balades dans Rome, on le regarde et on regarde aussi ce qu'il y a autour de lui. La photographie du film est très soignée et chaque plan n'a été pas pris au hasard, Paolo Sorrentino sait comment diriger une caméra est pas étonnant que le film ait gagné le "European Film Award du Meilleur montage" grâce à Cristiano Travaglioli. Durant les scènes de soirées nos yeux sont ravis et nos oreilles aussi, grâce à la superbe bande son et aux dialogues et quels dialogues ! Toni Servillo parlons-en, dans son rôle de Jep Gambardella il dégage une telle classe, une telle prestance, son rôle lui colle parfaitement. Le rhytme lent du film pourrait en plaire à certains, mais moi personnellement, ce n'était pas du tout un soucis, j'ai adoré suivre Jep dans son quotidien et je n'ai, à aucun moment, ressenti de l'ennui. Comme vous l'avez sans doute compris "La Grande Bellezza" est un film d'une grande beauté ! À voir absolument en bluray et en vostr...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 1 décembre 2013
    Très beau film, gros travail esthétique, des scènes magnifiques, le tout magnifié par la beauté naturelle de Rome. Un film à part, poétique, porté par un style et une musique d'inspiration Fellinienne. On peut se sentir perdu par ce méli-mélo au début du film, il faut s'accrocher ! car le puzzle et le message ou plutôt la pensée du réalisateur s'éclaircissent lorsque les secrets ou les zones d'ombres du personnage principal se dissipent. Beau portrait d'un écrivain raté ou pas, à vous de juger, et de ses escapades dans la jet set italienne... A voir !
    Flore A.
    Flore A.

    33 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2013
    Un film original et inventif qui nous propose une vision cynique, mélancolique et même inquiétante de Rome aujourd'hui. Une mise en scène savamment dosée où des passages tout en retenue et en finesse alternent avec des moments de démesure éclatante. Quelques longueurs néanmoins.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 juillet 2013
    Si vous voulez vous emmerder 2h et demie, voici une excellente solution. Rien ne ressort de ce film, aucune histoire, aucun dialogue digne d'intérêt, voilà notre société actuelle, transcender du mauvais et du vulgaire comme au temps du bas empire ! Qu'on parle d'un héritage de Fellini, à part Rome rien ne m'y a fait penser, j'ai plutôt pensé à du Pasolini alors on aime ou on exècre !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juin 2013
    le film que j’ai vu hier soir est artificiel, snob, maniéré, faussement provoquant; le scénario est d’une vacuité intersidérale et les personnages totalement creux.
    Si le seul message est que la vie n’a pas de sens, pas besoin de commettre ces deux heures et demi esthétisantes et vaines.
    Quel navet pour bobos vieillissants
    ffred
    ffred

    1 503 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2013
    Après deux films formidables Il Divo et This must be the place (tous deux déjà en compétition à Cannes), Paolo Sorrentino nous revient aujourd'hui avec La grande bellazza. Ce nouvel opus, bien que très différent (quoi que) est tout aussi réussi (mais sans doute un peu moins puissant). Dans le rôle titre, il fait de nouveau appel (pour la quatrième fois) à Toni Servillo, impressionnant Giulio Andreotti de Il Divo...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 février 2014
    Ce film, dont les dialogues sont rares, permet une profonde réflexion sur le sens de la vie et les années passées. La musique nous porte et malgré un léger manque de rythme, je n'ai pas vu passer les plus de deux heures de ce film. Les paysages, tout aussi magnifiques que les personnages, m'ont ravie et collent très bien avec l'ambiance présente tout au long du film.
    A voir.
    willyzacc
    willyzacc

    72 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mai 2013
    On retrouve le Sorrentino d'Il Divo, après la parenthèse This Must Be the Place plutôt réussie. Je n'aime pas vraiment sa réalisation épileptique et ses fresques fantasques plutôt mal construites. Mais il faut reconnaître que dans La Grande Bellezza il y'a quelques scènes superbes, oniriques qui rattrape les dialogues interminables sur le néant et les mondanités dont le spectateur s'ennuie vite...
    ninilechat
    ninilechat

    68 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2013
    Fellinien, évidemment, et pas seulement à cause de Rome, Roma -mais aussi parce que dans le personnage de Jep Gambardella, interprété par le magnifique Toni Servillo (vous vous souvenez, plus vrai que vrai en Giulio Andreotti dans El Divo!) on aurait bien vu Mastroianni, el vecchio Marcello, celui qui s'amusait tant à tourner en dérision cette image de séducteur, de latin lover, qu'on lui avait collée, et dans laquelle il ne se reconnaissait pas.

    Comme dans Fellini, vous aurez une naine et des obèses, des communiantes et des nonnes, la nuit magique sur une ville magique, des fêtes avec des fêtards grotesques, un suicide, un cardinal qui ne s'intéresse qu'à la cuisine, des scènes surréalistes avec des animaux comme cette girafe au milieu d'un amphithéatre, qu'un magicien va faire disparaître..... et des fontaines.

    C'est l'été, un magnifique été, et Jep Gambardella, qui fête ses soixante cinq ans, est un homme qui a réussi. Il se pensait écrivain; jeune, il a écrit un livre, semble t-il, de grande qualité, primé en tous cas, "l’appareil humain" et puis.... plus rien. Il est devenu journaliste, interviewer vedette..... mais plutôt pour la presse people. Il connaît tout le monde, il donne des fêtes somptueuses sur la terrasse de son appartement, une immense terrasse où on peut facilement faire tenir cent personnes, un truc dingue, juste en face du Colisée! On peut même pas imaginer qu'un appartement aussi sublime puisse exister!

    Ses invités, c'est la fine fleur de l'intelligentsia de gauche, patrons de presse, collectionneurs, esthètes.... qu'on retrouve au bout de la nuit, ronds comme des barriques, en train de faire le petit train.... Beaucoup d'ironie cruelle dans le regard que pose Paolo Sorrentino sur ce petit monde qui s'écoute parler, se retrouve devant des performances (hilarantes, comme lorsqu'une femme nue, une faucille et un marteau tracés dans des poils pubiens passés au henné, se jette tête la première en courant contre la pile d'un pont). L'élégant Jep a la dent dure -très dure, mais il a tellement de charme qu'il continue à séduire -sans conviction. Qu'attend il encore de cette vie, à laquelle il semble cependant continuer à trouver du charme? Contrairement à la plupart de ses infatués comparses, il est clairement conscient de se médiocrité -et de la petitesse de sa vie. Se remettre à écrire? Il y pense, sans s'en croire capable. Et voila qu'il découvre, via l'intrusion d'un veuf larmoyant, que son tout premier amour qui l'a laissé tomber et en a épousé un autre "un bon compagnon" n'a aimé que lui, toute sa vie, et n'a écrit que pour lui dans son journal intime.... Et voila qu'il est convié à interviewer une sainte mutique, une mère Thérésa centenaire qui ne se nourrit que de racines et passera la nuit chez lui; au matin, sa terrasse est recouverte de flamands roses, vision poétique et troublante qu'un souffle de la sainte fera disparaître....

    On connaît le syndrome de Florence, décrit par Stendhal.... plus encore, dans cette Rome estivale dont Sorrentino a cependant évacué les touristes (à part quelques silhouettes burlesques dans la scène introductive), où l'on va d'amphithéâtre en palais, bercés par le chant des fontaines, on se dit que trop de beauté stupéfie, stérilise, paralyse....

    Pourquoi Jep a t-il cessé d'écrire? Peut être, parce qu'au fond, il ne cherchait qu'à rencontrer la grande belleza....

    Ce petit miracle hors du temps, il ne faut surtout pas le rater, même s'il est un peu long. En deux heures, amputé de quelques scènes de bringue, il n'en aurait été que meilleur... Mais c'est un vrai bonheur, avec un peu de nostalgie. Que reste t-il de ce cinoche italien qu'on a tant aimé?
    L_huitre
    L_huitre

    63 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 juillet 2013
    Le film de l'année. Quelle merveille ! Ce film rare et peu couru du grand public est un petit plaisir qu'il faut faire l'effort d'aller chercher dans une salle d'art et d'essai. Mais dès les premières minutes, il vous enchante littéralement. Par son optimisme, son ton décalé, le jeu fiévreux et, en même temps, nonchalant des personnages. C'est absolument étonnant. Une farandole de scènes qui vous emporte dans un grand tourbillon, qui fait penser bien sûr à Fellini. Mais un Fellini qui serait plus humain, plus proche de nous, plus digeste que l'original. Mais en revanche, on y trouve la même gourmandise, la même italièneté désopilante, le même Rome éternelle qui vous captive et vous émoustille. Et quel humour ! On a des scènes d'une cruauté réjouissante. Et ici ou là, explosent quelques grenades bien senties contre les débordements et les hypocrisies de la société italienne. On assiste au jeu de massacre le sourire aux lèvres ( Ah ! Cette scène où une femme intellectuelle se fait dézinguer en public par le vieux Jap, C'est génial ! ). Même si elles gravitent autour du vieil auteur, les femmes tiennent une place considérable dans le film. Elles sont belles, généreuses, séduisantes ( apparition inattendue de Fanny Ardant ), démonstratives... Mais c'est sans conteste Tony Servillo qui porte le film sur ses épaules. Il promène son cynisme et son air désabusé avec un naturel incroyable. Il donne vraiment corps à son personnage. Et il transmet étonnamment bien au spectateur ses questionnement métaphysiques d'un homme dont l'essentiel de sa vie est derrière lui. Que dire de plus ? Il faut aller voir ce film ! C'est une évidence... Un film dont j'attends avec impatience la sortie du DVD. Rien que pour me replonger dans le délire de la fête du début. Ou pour ré-apprivoiser Rome avec cette caméra au raz du bitume. Superbe !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 novembre 2013
    Un film "Sélection officielle du dernier Festival de Cannes" qui mérite d'être vu, mais sur lequel j'émets quelques réserves. Visuellement c'est très beau et ça ne se raconte pas. La première grande scène en boîte de nuit est géniale et parfaitement sur-rythmée. Les comédiens sont irréprochables, tous sans exceptions ! Le problème est qu'il faut être bien réveillé pour suivre ensuite le film entièrement car il souffre de plusieurs longueurs et on peut avoir tendance à s'endormir un peu... A voir par contre en VO impérativement !
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 074 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2013
    Sorrentino filme admirablement Rome mais nous ennuie très vite dans cette débauche de scènes vaines et répétitives. Certains osent évoquer "La dolce vita" à la vision de ce film, voilà un raccourci injuste voire ridicule.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 16 janvier 2014
    Que dire de ce film ? Qu'il est déroutant, que ses personnages sont difficiles à cerner, aussi laids qu'attristants, aussi superficiels que désabusés et désoeuvrés... mais parfois touchants, et finalement tellement humains ! On passe de la beauté à la grossièreté, de l'humour cynique à la mélancolie, entre grandeur et décadence d'une ville se voulant pourtant flamboyante, au contraire des personnages. Toutes les émotions sont suscitées et l'on est continuellement déstabilisé car en manque de repères et peut-être de fil conducteur, de progression affichée, en attendant une chute ou une conclusion à cette introspection de Jep. Ni mauvais, ni excellent, ce film me laisse perplexe car je n'aime pas avoir le sentiment d'être passé à côté des choses, des message envoyés... Si toutefois message il y a, au delà d'un simple exercice de style.
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