Avis : Space Jam - Nouvelle ère - Page 3

25 ans après "Space Jam" (1996) et le vrai Michael Jordan parachuté dans le monde des Looney Tunes, la Warner Bros récidive avec cette fois-ci LeBron James dans le rôle du basketteur obligé de composer avec des toons pour gagner un match de basket complètement improbable.
Petits et grands trouveront leur compte dans cette fiction totalement déjantée mêlant images d'animation et prises de vues réelles.
Même si les toons sont bien sûr les personnages vedettes ici, j'ai adoré la multitude de clins d'oeil au monde WB : les DC Comics bien sûr (Superman, Batman, Wonder Woman), Harry Potter, King Kong, Matrix, Le Géant de fer...
Pour se replonger l'espace d'un film dans les dessins animés de notre jeunesse et pour apprécier tout simplement un très bon moment cinéma vitaminé et hyper plaisant, courez voir ce spectacle très réussi et vraiment divertissant !
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Tres mauvais ! Rien âvoir avec le celui de michael
Jordan ! Scenario mediocre ...tres déçus de ce film !

Ce film est beaucoup critiqué mais il ne faut pas oublier que c’est un film de Looney Tunes et que comme dans le premier Space Jam, le scénario est en réalité secondaire ! Un grand plaisir de revoir les personnages de la Warner briller sur le grand écran, ce qui n’était pas arrivé depuis « Looney Tunes Back in Action » en 2003 (en 2D comme en 3D!) La partie 2D est juste excellente
Je trouve que Lebron joue mieux que Jordan (pas bien compliqué même temps)

Peut être visuellement très joli, mais scénario écrit par des enfants de 5 ans. Pourquoi le grand méchant s'emmerde organiser un match alors qu'il a les pleins pouvoir sur tout.
"Je suis dieu, je fais ce que je veux. Je vous efface, vous refaçonne à ma guise. Mais on va tout jouer sur un match de basket."

Y avait-il un intérêt à ce que Space Jam entre dans une nouvelle ère ? Pas vraiment... Le résultat est assez laid, pas drôle et mal écrit. Difficile d'y trouver son compte. Le premier, sans être un chef d'œuvre, disposait au moins d'un capital sympathie...

Après de nombreuses années et plusieurs tentatives de faire une suite au film de 1996 avec Mickael Jordan, on peut le dire la suite s’est fait attendre largement. Alors déjà, je ne connais pas du tout ce basketteur mais bon ça ne change pas grand chose. Je trouve que l’animation est vraiment excellente et le scénario assez original. J’avoue que je ne me souviens plus trop du premier film ne l’ayant pas vu depuis plusieurs années. D’ailleurs, il faudrait que je le montre à mon fils, j’avais adoré étant jeune. LeBron James ne pense qu’à une chose : le basket et il veut que ses fils fassent comme lui sauf que son cadet n’a clairement pas envie, lui est passionné de jeux vidéos. Tout se retourne contre eux à cause d’une intelligence artificielle caractérielle. Cette dernière essaye alors de mettre le film de James dans sa poche et ils doivent alors se battre au basket sauf que LeBron James voir les personnages des Looney Tunes comme coéquipiers qui ne connaissent rien au basket tandis que l’autre voit les personnages qu’il a crée dans son jeu vidéo et qui sont boostés à mort. J’ai adoré toutes les références qui sont dans le film et puis les looney tunes sont très drôles comme à leur habitude.


En résumé, Space Jam – Nouvelle ère est un sympathique film qui bizarrement semble plus viser ceux de la génération du premier film ! En effet, il y a énormément de références dont les jeunes d’aujourd’hui n’ont aucune idées de ce que c’est et encore moins les petits. S’il faisait une suite à ce film il y aurait moyen de faire quelques choses de plus cool avec genre la planète Harry Potter ou Game of Throne. Ca pourrait être drôle ! Il y a des idées sympas même si je ne suis pas très fan de LeBron James. Un bon divertissement.

Hormis quelques séquences en animation traditionnelle sympatoches,
rien à sauver de ce pseudo-remake du 1er volet (déjà pas mémorable, mais ça passait) en mode "Ready Player One", avec son éternelle histoire gnan-gnan entre père et fils, un Don Cheadle excentrique et des effets de mode parfois très gênants.

Bref, passez votre chemin face à cette pub géante (et sans intérêt) pour le catalogue de la Warner.

Éreinté par la critique, ce nouveau Space Jame, sans être à la hauteur du très sympathique et culte, premier volet, n'est pas, non plus, la catastrophe annoncée. Alors oui la mise en place de l'intrigue est laborieuse, la morale familiale niaise et les toons en 3D sont assez laids, mais le film vaut le détour pour sa manière de superposer les différentes dimensions des mondes de la warner. S'il y a un côté publicitaire très visible et même gênant, ces scènes sont plutôt bien faites, drôles et originales. Space jame se regarde sans déplaisir parce que les looney toons assurent le show lors de la partie de basket endiablée. C'est un peu mince, peut-être, mais le divertissement familial reste honorable même si Lebron James n'a pas le charisme de Michael Jordan. On peut aussi regrettera l'absence du géniale Pépé le putois, victime collatérale de la cancel culture... Bref sympathique mais oubliable.

Film dans la lignée du premier, la surprise en moins.
C'est conventionnel. Cela se regarde mais un peu long quand même. Casting sympa sur le papier mais cela ne sauve pas le film.

Un produit commercial par excellence sans aucune ambition scénaristique ou les images hystériques et le bruit s'enchainent pour ne rien dire.
Le film de 1997 avec Jordan n'était pas d'une grande subtilité mais il avait un certain charme et surtout il avait quelques moments drôles, celui-ci n'en possède aucun.
C'est dommage de mettre autant de moyens technologiques pour raconter aussi peu, et en plus le film s'étire beaucoup trop sur la longueur.

Ce film est à l'image de beaucoup de choses de notre époque : beaucoup de belles images mais sans véritable fond. Il ne s'appelle pas nouvelle ère pour rien...
J'avais l'impression d'être sur tik tok et que les images défilaient sans cesse pdt 2 heures, sans à aucun moment faire une pause et intégrer ce que l'on voit. Le cerveau est en ébullition permanente.
On regrette amèrement l'époque et le film space Jam 1...

Un film à la gloire de Warner où l'on essaie de tester les limites du spectateurs en rajoutant du CGI autant de possible.

Sorti en 1996, “Space Jam” était un film d’animation mêlant les personnages des Lonney Tunes et de vrais humains comme le plus grand basketteur Michael Jordan. Vingt-cinq plus tard le basket est de nouveau à l’honneur avec la vedette LeBron James. Dans cette nouvelle version de “Space Jam”, LeBron est invité par la Warner Bros pour discuter affaires. En réalité, il est pris dans un piège, il est envoyé dans un monde virtuel et doit former une équipe avec les Looney Tunes pour se libérer et sauver son fils. Le scénario ne casse pas trois pattes à un canard et s’appuie trop sur ses caméos et nombreuses références aux films Warner. Côté post-production, les couleurs criardes et la rapidité des scènes font perdre tout intérêt à cet opus qui s’adresse à une cible inconnue.
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Très loin du revival tant attendu. Autant le Space Jam 1 était excellent et plaisait autant aux adultes qu'aux enfants, autant ici on est sur du pur teenage movie sans aucun intérêt. Mis à part le côté qui mélange tous les personnages de l'univers Warner (un peu à la "Les Mondes de Ralph") qui est franchement réussi, tout le reste est lent, plat et sans surprise. Même la 3D est moche, une honte en 2021 surtout pour un film de ce budget

Malheureusement ce film souffre de plusieurs défaut, le plus grave c'est le charisme digne d'une moule de lebron james et oui c'est pas Michael Jordan, il n'as pas son charisme, sa présence.
Je trouve le traitement donné au looney tones également pas terrible, ça manque cruellement de créativité alors que les possibilités sont énormes et le pire dans tout ça c'est ce pauvre War Machine, Don Cheadle qui avait surement un loyer à payer parce qu'a aucun moment il ne représente une quelconque menace.
Le fait de noyer le spectateur sous une montagne de référence que de toute façon le jeune public à qui s'est destiné ne comprendra pas me laisse également sans voix, bref c'est vraiment moyen, ils auraient pas dut.