Avis : Top Gun - Page 5

Vraiment pas fan de ce film qui réunit à lui tout seul tous les défauts/clichés classiques du film d'action américain. Déjà on passe une bonne partie du film à s'ennuyer ferme si on est pas intéressé par les cascades aéronautiques qui occupent plus de la moitié du film. Bien sur, on échappe pas à l'excès de patriotisme. Et cette histoire d'amour, trop facile, pas réaliste et totalement mièvre... Non vraiment pas fan de ce "classique" de Tony Scott.

Une nuitée effroyable accable tous les films de Tom Cruize, ou alors c’est Tom qui porte la poisse à tous les films où il joue dedans ! Normal me direz-vous !

Et ben ça alors! J'y crois pas!J'avais oublié de me farcir le TOP GUN de tony scott ( que son frère ridley doit certainement renier au passage!) AH LA LA....TOP GUN!! Dans le genre film de propagande yankee pour buveur de bière en chaleur,c'est vrai qu'il en imposait à fond les manettes! D'ailleurs quand j'y pense,il s'en est fallu de peu pour que le film ne se hisse aux sommets des oeuvres du septième art.C'est vrai quoi,en vérité tout n'est qu'une question de ton puisqu'avec le même scénario hollywood nous livrait quelques années plus tard une de ses comédies les plus fandares qui soit...HOT SHOT!

Plus cliché que "Top Gun" tu meurs. Ce long métrage de Tony Scott est une caricature de tout ce qui se faisait, se fait et se fera dans le cinéma hollywoodien. Sur tous les plans, le film accumule les clichés à tel point que cela en devient désespérant. Une grosse machine commerciale qui nous donne l'impression de regarder un long clip promotionnel en faveur de l'armée de l'air américaine. Et dire que "Top Gun" a cartonné au box-office à l'époque et qu'il est devenu culte par la suite, lançant même la carrière de Tom Cruise. Bonjour l'imposture ! Malgré quelques plans soignés, le film est d'un vide abyssal. A voir pour sa culture cinématographique ... et encore...

Trois ans à peine après la sortie de « The Hunger », Tony Scott est mobilisé pour un projet de haute voltige. Rien à voir donc avec son bal de vampires, qui luttent contre la vieillesse et l’éternité. Il n’y a que des uniformes de l’US Air Force que l’on distingue, si ce n’est le corps masculin, qui assoit une certaine autorité, que ce soit dans le vestiaire ou aux commandes d’un F-14. Autant dire que la testostérone va de pair avec l’avion de chasse, car c’est précisément là où le fil veut en venir, avec sa propagande qui ne néglige pourtant pas le spectateur, venu pour décoller de son siège. Toute une génération s’est emballée à l’idée de servir le drapeau, portée par Reagan, mais finalement, c’est plutôt pour le comédien vedette que l'on reste aussi longtemps devant l’écran.

La chance pour Maverick de rentrer à Top Gun est inouïe, mais cet opportunisme est l’affaire de toute une vie orgueilleuse, en parallèle de l’ego surdimensionné de Tom Cruise pour ses cascades. Nous lui devons bien ça d’être le chaperon d’un petit monde, où le machisme serait le principal propos de ses films. Ici, l’allusion est plus qu’évidente et on n’hésitera pas à verser dans l’homosexualité, quand il s’agira pour le jeune pilote de confronter son rival, Iceman (Val Kilmer). Les mâles alpha jouent une partie de chasse dans une académie qui souhaite les faire rentrer dans le rang et ce sera aux dépens du héros, qui apprendra un peu plus à s’affirmer. Une quête identitaire tourne autour de ce dernier, pas très malin et mais suffisamment arrogant pour se bâtir un mur d’illusion, quant à son enfance, qu’il a pu vivre pleinement et sans figure autoritaire pour le freiner.

C’est bien entendu ce qu’il est amené à rencontrer lors de ses vols d’entraînements ou dans le petit espace de vie qu’on lui laisse dans la base. La résistance de la sulfureuse Charlie (Kelly McGillis) l’amènera à laisse le gamin tourmenté et maladroit derrière lui pour enfin devenir un homme, avec l’esprit de séduction par-dessus, qui relègue alors rapidement la gent féminine au second plan. C’est de loin la vitesse qui intéresse le cinéaste, qui met le paquet dans la captation en plein air, directement dans le cockpit. Cela nous donne droit à un véritable vertige, authentique et forcément applaudi pour l’audace. Les combats aériens sont chorégraphiés avec soin pour que cela reste lisible, puis le son des moteurs et des vrilles suffira amplement à satisfaire le spectacle du grand écran.

L’enjeu humain de « Top Gun » pourrait forcer le respect, mais les dialogues ne travaillent pas sur la même intensité que les plans aériens. Ils sont au plus bavards et sans la conviction souhaitée, tel un méga spot publicitaire qui doit rester accessible. La romance est à double tranchant ici, mais l’esprit de corps sera le catalyseur principal de Maverick, comme pour souligner une once de culpabilité à troquer contre une médaille. Réhabiliter cette branche de l’armée semble la motivation la pertinente du récit, mais cela se fera souvent au détriment d’autres sensations fortes, manquées sur le tarmac. Il restera tout de même l’élan de l’œuvre, celui qui stimule nos neurones jusqu’à l’éjection d’urgence, signe que ce plaisir est éphémère.

Autant ce film est ringard, plutôt culcul la praline, sonne creux, autant il captive grâce au couple charismatique à l'affiche, et à sa musique, sa photographie qui n'est pas trop dégueulasse. Je peux comprendre son statut de film culte pour toute une génération, mais je ne le trouve pas non plus incontournable.

un scénario assez simpliste, pour autant, ce film de T. Scott a marqué toute une génération. des scènes d'aviation impressionnantes, une histoire d'amour avec un couple star et glamour, une BO oscarisée : un divertissement honorable.

Difficile d'avoir une critique objective de ces films d'action qui ont bercé nos années 80/90. Alors oui, le scénario est objectivement simpliste, l'acting niais et la romance ringarde. Restent des scènes de vol spectaculaires et une ribambelle d'acteurs en devenir qui auront tous de meilleurs rôles par la suite (euh en fait non, pas pour Meg Ryan).

C'est horrible à dire, mais je préfère la parodie "Hot Shots". Malgré les années "Top Gun" reste pas mal et réalise une prouesse quant à son faible budget. Mais le scénario et les effets ne sont pas géniaux aujourd'hui. A voir tout de même quand on apprécie Tom Cruise et Val Kilmer.

C’est une réalisation de Tony Scott. Pour la petite histoire, le Britannique, décédé le 19 août 2012, fut officiellement démis de ses fonctions à trois reprises durant le tournage, et donc trois fois réembauché. Le scénario a été écrit par Jim Cash, et Jack Epps Jr. Top Gun a remporté l’Oscar de la Meilleure chanson.

Alors que le second opus, Top Gun: Maverick, vient de sortir, c’était donc le moment idéal de remettre play sur Top Gun. Depuis les années 80, ce film est devenu un grand classique du cinéma. Il a notamment été à l’origine de l’éclosion de Tom Cruise. Dans ce périple, on va donc suivre Maverick qui va intégrer la prestigieuse école de pilotes Top Gun. On notera au passage une petite égratignure pour la guerre du Vietnam où il est rappelé la débâcle de l’armée américaine.



C'est d'ailleurs une des choses qui surprend le plus avec ce film. Les Américains ont une capacité à nous faire avaler comme des bonbons ce qui est en réalité est du poison. En effet durant tout Top Gun, les avions de chasse sont mis en avant. Ils sont présentés comme un instrument majestueux. Alors qu’il faut le dire concrètement c’est un engin de mort. On se prend à s’émerveiller devant les différences phases de vol en oubliant les véritables conséquences qu’il y a derrière l’usage de ceux-ci. Il faut dire que ces scènes sont spectaculaires. C’est filmé de manière parfaite et toutes les sensations sont bien retranscrites. Cela va de la stupeur à la tension.



L’une des grandes forces de Top Gun est d’arriver à nous garder en éveil même lorsque nous ne sommes pas dans les phases de pilotage. Quand on est sur terre, cela va être tout de même un peu plus calme. On va avoir la rivalité entre Maverick et Iceman qui va apporter un certain peps. Cependant cela reste tout de même limité à ce niveau-là car faisant partie tous les deux de l’académie, on se doute qu’ils ne vont pas se démonter l’un l’autre. Pour donner de l’entrain, il faudra plus aller chercher du côté de la love story. Pris de charme pour une des instructrices, leur relation va être un des intérêts de ce film. Comment un pilote solitaire peut ouvrir son cœur. Il y a notamment la bande originale qui vient toujours ajouter ce petit truc entraînant. La musique Take My Breath Away de Berlin est devenu un incontournable. L’amitié, entre Maverick et son partenaire Goose, va être aussi émouvante. Elle est même indispensable pour apporter du cœur à ce film.

Comment ne pas souligner la performance grandiose de Tom Cruise. Celui qui deviendra plus tard l’une des icônes du cinéma commence sa carrière de bien belle manière même s’il est vrai que ce n'est pas son premier film. Avec un jeu à la fois insolent mais brillant, il arrive à sublimer son personnage. Comme si le rôle avait été écrit pour lui. En plus de cela, il est vraiment entouré par un casting de qualité. Val Kilmer pour lui tenir tête et Kelly McGillis va faire des merveilles dans celles sublimant son cœur.

La sortie prochaine de Top Gun 2 est présentée comme un événement.
Pourtant il serait bien de remettre certaines choses à leurs places. Notamment que Top Gun est un film ringard très surestimé et que Maverick est en fait un gros co***rd égocentrique !

Jusqu'à la mort de son meilleur ami, le film est un festival de clichés foireux et d'une beaufferie consternante.
La scène de "séduction" dans le bar où tout le monde chante pour Kelly McGillis, qui la pauvre ne sert que de potiche pendant toute l'histoire, est un monument de machisme décérébré et de misogynie inconsciente. Son personnage est faussement et hypocritement présenté comme une femme forte, alors qu'en réalité elle ne fait que de subir les évévements pendant tout le film, est le jouet de Maverick, et le fantasme des cro-magnons qui l'entourent. Affligeant !

On présente Iceman, le personnage de Val Kilmer, comme un abruti agressif et provocateur, alors qu'en fait c'est lui qui est dans le vrai: Maverick est bien un pitoyable crâneur égoïste et irresponsable qui met en danger les autres pour faire le malin.

Outre la bêtise générale du film - histoire superficielle, plate et prévisible, dialogues stupides, culte bovin de l'armée US, interprétations de romans photos - le vrai Top de Top Gun est de renverser la réalité en faisant passer un sombre crétin nombriliste et dangereux comme Maverick pour un héros "qui assure grave", et Iceman pour le méchant tête-à-claques, alors qu'en fait il voit le "héros" en carton tel qu'il est vraiment, contrairement à ce qu'on essaie de faire gober aux spectateurs.

La suite du film, après la mort "tragique" (sic) du meilleur ami du héros-zéro, reste complètement clichée, mais plus adulte, moins ringarde, et Maverick devient plus humain et sympathique en dehors de sa frime de pacotille.

Le film contient des séquences de vol absolument magnifiques, des scènes qui ont fait de ce film un succès particulièrement rentable à l'époque, et l'ont rendu culte.
Elles sont effectivement à couper le souffle. Mais mises bout à bout, on atteint combien de temps de métrage en fait ?
Peut-on réellement penser qu'on a à faire à un bon film quand il n'y finalement quasiment que ces quelques minutes de valables sur toute la durée du film ??
A méditer avant de s'impatienter de voir le 2...

C’est d’un long et d’un répétitif ces petites voltiges aériennes...et en plus, il faudra se coltiner une histoire d'amour bien vide pour rythmer le film. Que ce soit le scénario pas bien folichon ou la mise en scène du regretté Tony Scott, "Top gun" aura du mal à honorer son concept pourtant prometteur (enfin, s'il avait su se développer de façon immersive ou intrigante...). Les turbulences seront bien trop nombreuses pour nous offrir un bon moment de cinéma. Et bizarrement (alors là, ne me demandez pas pourquoi), mais le film en deviendrait limite un partisan de la cause gay... C'est tout de même violent cette atmosphère qui en ressort (et je ne parle pas que du match de beach-volley aux torses huilés). Et enfin, Tom Cruise nous fera part de son jeu "façon beau-gosse" très (trop) accentué pour en devenir rapidement agaçant, dans ce rôle de tête-à-claque par excellence. En résumé, on préférera se tourner vers sa parodie : "Hot shots !"

Top Gun est un film qui plaira aux femmes qui aiment admirer Tom Cruise, et aux hommes qui aiment les gros avions (et inversement, pas de préjugés). Pour les autres, fuyez ce film soi-disant culte, il n'en a que le sobriquet sans la qualité. Une histoire qui se résume à la romance du pilote et de sa psychologue du travail dont dépend sa faculté à voler. Rien de plus. Seul point positif, la bande-originale qui est restée célèbre et ne s'oublie pas facilement après le visionnage de Top Gun. Ce qui ne sera pas le cas pour l'essentiel du film que l'on oublie dès le générique de fin... On se rappelle vaguement (si l'on ne s'est pas endormie ou n'a pas changé de chaîne entre temps, ce qui est vraiment tentant) de dialogues langoureux interminables entre Maverick (le pilote) et la femme qu'il aime, et des combats d'avion de chasse. Si l'on devait caricaturer, on pourrait dire que Top Gun est plus proche du nanar que du chef-d'œuvre... Ne vaut le détour que si vous êtes fan de Cruise ou d'avions.

Alors que son grand frère Ridley s'est déjà fait un petit nom dans le domaine du 7ème Art, le petit frère Tony Scott s'essaie au long-métrage également. Après le flop de son premier film Les prédateurs, il s'attaque à du plus lourd, du concret, le film qui allait lancer sa carrière et celle de Tom Crusie également : Top Gun. Cette histoire de dépassement de soi sous fond de romance autour de cette école de pilotage d'avions de chasse a passionné bon nombre de cinéphiles, lui accordant l'aura d'un film générationnel. Pourquoi ? Parce que Top Gun possède une histoire finalement passionnante et inédite et une pléiade de jeunes acteurs immédiatement attachants (Tom Cruise le beau rebelle, sa compagne froide mais sexy Kelly McGillis, son meilleur ami rigolard Anthony Edwards, son infroissable rival Val Kilmer). Une romance bienvenue accompagnée d'une B.O. culte ("Take My Breath Away" de Berlin) et surtout des scènes d'action en plein vol sont d'un réalisme à couper le souffle agrémentent le long-métrage d'une qualité irréprochable. Tout comme son frère, Tony Scott a le souci du détail et filme le quotidien des pilotes avec autant de réalisme que de panache, scotchant sa caméra aux endroits les plus improbables (comme sur l'aile ou le dessous d'un avion par exemple, nous plongeant au cœur du vol). En somme, Top Gun est une référence en matière de film de Navy et un véritable film d'action culte à voir d'urgence qui ne pourra que doublement combler les nostalgiques des années 80.

Et ben ça alors!
J'y crois pas!J'avais oublié de me farcir le TOP GUN de tony scott ( que son frère ridley doit certainement renier au passage!)
AH LA LA....TOP GUN!!
Dans le genre film de propagande yankee pour buveur de bière en chaleur,c'est vrai qu'il en imposait à fond les manettes!
D'ailleurs quand j'y pense,il s'en est fallu de peu pour que le film ne se hisse aux sommets des oeuvres du septième art.C'est vrai quoi,en vérité tout n'est qu'une question de ton puisqu'avec le même scénario hollywood nous livrait quelques années plus tard une de ses comédies les plus fandares qui soit...HOT SHOT!