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    Eka et Natia, Chronique d'une jeunesse georgienne
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Eka et Natia, Chronique d'une jeunesse georgienne" et de son tournage !

    La statuette en ligne de mire ?

    Le comité de sélection géorgien a choisi de miser sur Eka et Natia, Chronique d’une jeunesse géorgienne, dans la course à l’Oscar du meilleur film en langue étrangère. S’il parvient à séduire l’Académie lors de l’étape de présélection finale, il deviendra le deuxième long-métrage géorgien à concourir pour cette distinction après Les Mille et une recette du cuisinier amoureux de Nana Dzhordzhadze en 1996.

    Equipe rodée

    C’est déjà la troisième collaboration entre Simon Groß et Nana Ekvtimishvili. Avant Eka et Natia, Chronique d’une jeunesse géorgienne, ils s’étaient rencontrés sur Fata Morgana en 2007 qu’avait écrit et réalisé Simon, puis s’étaient retrouvés pour "Wating for Mum", court-métrage écrit et réalisé par Nana.

    Quadrillage de Tbilissi

    Afin de trouver les interprètes de leur film, Simon Groß et Nana Ekvtimishvili ont arpenté les rues de la capitale géorgienne Tbilissi durant une année. "Concrètement, nous avons pris des photos dans toutes les classes de Tbilissi. Nous avons fait des centaines et des centaines de photos ! Nous avons aussi écumé les cours de toutes les écoles. Avec la directrice de casting Lili Miminoshvili, on a cherché partout, dans les rues, les squares…", explique le réalisateur allemand.

    Souvenir vivace

    Cette histoire est directement inspirée du vécu de la réalisatrice Nana Ekvtimishvili. Au début des années 1990, quand la Géorgie a obtenu son indépendance, elle avait 14 ans. Elle a donc puisé dans ses souvenirs pour raconter l’histoire de ces deux jeunes filles et le sentiment qui animait la société géorgienne à cette époque.

    Récompensé

    Ce long-métrage n’a pas laissé insensible les festivals où il est passé. Eka et Natia, Chronique d'une jeunesse georgienne a ainsi été primé lors du Festival international du Film de Berlin où il a reçu le Prix CICAE (Confédération Internationale des Cinémas d’Art et d’Essai). Une récompense qu’il reçut également à Sarajevo où il fut aussi désigné meilleur film.

    Tournage efficace

    Fort d’un gros travail de préparation en amont, Simon Groß et ses équipes n’ont pas eu besoin de multiplier à outrance les séquences et ont travaillé avec efficacité. "La plupart du temps, nous ne faisons que deux ou trois plans par jour et souvent de longs plan-séquences. Il fallait quatre ou cinq heures minimum par plan et cinq, six ou sept prises par plan. Nous n’avions pas besoin de plus", révèle le cinéaste allemand.

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