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    Macbeth
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    183 critiques spectateurs

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    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    217 abonnés 2 855 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 mai 2016
    Mais grand Dieu quel ennui mortel !!! Je n'ai jamais rien regardé de si lent et de si pénible...et quelle violence !! J'avais adoré le livre de Shakespeare mais là cette version sur grand écran est horrible comme tout ! Un vrai calvaire et vraiment je ne recommanderais même pas ce film à mon pire ennemi ! C'est pour dire...
    Fabien S.
    Fabien S.

    454 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mai 2016
    Un chef d'œuvre. Micheal Fassenber est impérial dans le rôle de Macbeth. Marion Cottilard est talentueuse dans le rôle de sa femme. L'œuvre de William Shakespeare est très bien adaptée. Une bande originale sublime. Un film puissant et envoutant.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 382 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 novembre 2020
    Macbeth était certainement très artistique et certaines parties étaient tout simplement magnifiques. Cependant il n'y a pas grand-chose de plus à recommander. Le pire pour moi était la façon dont les dialogues était parlé ou non car il s'agissait principalement de chuchotements et de marmonnements. La prose de Shakespeare ne demande qu'à être appréciée mais ici je ne pouvais pas comprendre ce qu'ils disaient la moitié du temps. De plus ils semblaient ne pas savoir quoi faire avec les parties parlantes et essayaient simplement d'inventer des scènes d'action étranges pour les accompagner qui ne semblaient pas à leur place. Il est trop théâtrale est la façon dont je décrirais ce film. Il essaie d'être réaliste et situé dans des temps historiques mais cela fait simplement ressortir le théâtre de manière plus maladroite. En termes de performances il n'y a rien à redire car tout le monde a fait un excellent travail. Dans l'ensemble il y a des étincelles de brillance ici mais j'ai juste le sentiment que les fabricants ont abandonné avant d'atteindre l'objectif et le produit final est donc médiocre...
    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2016
    Déjà détruit par la guerre et le chagrin, puis mal inspiré par des visions et enfin encouragé par son serpent d’épouse travestie en douceur vertueuse, on retrouve l’histoire de ce seigneur Ecossais assassin qui gagne sa couronne par le meurtre de son roi-bien-aimé et qui, rendu fou par le remords, la culpabilité, la honte et la peur, deviendra un abominable tyran.
    12ème version cinéma de la pièce de Shakespeare, celle-ci présente beaucoup plus de tournages en extérieur, avec une ambiance propice à la suggestion, à l’imaginaire, à la noirceur, et bien sûr étant données les possibilités techniques actuelles, bien plus hantée par le psychédélisme visuel. Une énième impressionnante performance pour Michael Fassbender qui confirme sa place d’un des plus grands acteurs d’aujourd’hui.
    Marc L.
    Marc L.

    40 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 juillet 2018
    Les adaptations de pièces de théâtre à destination cinéma, spécialement celles des classiques des siècles passés, sont un des exercices les plus périlleux qui soient : soit on s’éloigne du texte et du rythme, soit on ennuie la majeure partie du public des salles obscures. Le ‘MacBeth’ de Justin Kurzel, jeune réalisateur australien qui n’avait alors à son actif que le plutôt convaincant ‘Les crimes de Snowton’ consacré à un fait divers crapuleux, atteint pourtant une sorte d’équilibre miraculeux entre respect de la dramaturgie shakespearienne et choc visuel, quoique le résultat ne vire jamais au grand spectacle stérile. Le texte - même si les coupures opérées prêteront comme toujours à discussion - dont la persistance à travers les siècles suffirait à valoir à cette adaptation les lauriers de la réussite et l’histoire, celle d’un guerrier valeureux et loyal, qui se voit promettre par des sorcières une future accession au trône d’Ecosse et qui, poussé par son épouse qui juge qu’ils doivent être les artisans de cette ascension politique, s’enfonce dans une spirale de violence et de folie, y sont évidemment pour beaucoup. L’hubris démesuré de l’aspirant souverain, le cynisme meurtrier de sa femme pour qui la fin justifie les moyens sont plus que jamais d’actualité, quatre siècles après avoir été imaginés. Si, dès la bataille truffée de ralentis qui ouvre le film, on craint que Kurzel ne fasse du sous-Braveheart à vingt ans d’écart, on constate rapidement que le réalisateur avait une idée précise de la manière dont il souhaitait que l’image habille le texte. La relation perverse du couple MacBeth, l’abandon progressif de leur cause par tous leurs partisans et leur lente dégradation mentale se situent majoritairement dans les salles intérieures de forteresses que Kurzel a vite fait de transformer en geôles labyrinthiques. Lorsqu’il s’aventure en extérieur, c’est pour quelques séquences à la cruauté calculée, telle l’exécution du clan MacDuff, d’autant plus éprouvantes qu’elles ne sont que suggérées. Quand à cette Ecosse qu’on dirait peinte par le Caravage, ces landes noyées dans les brumes ou éclaboussés d’un clair-obscur spectral et ces champs de bataille rougeoyants, tout sert à refléter le cauchemar éveillé dans lequel se débat le monarque, monstre de violence et d’instabilité mentale, que Michael Fassbender parvient à rendre paradoxalement pathétique et pitoyable, comme victime d’un destin trop lourd pour ses épaules. Couplé à l’approche viscérale de Kurzel, qui s’approche sans cesse de l’excès pompeux sans jamais y basculer, cette nouvelle vision du chef d’oeuvre de William Shakespeare, moderne sans doute mais pas pour autant déconnectée de son sujet, n’a pas à rougir de la comparaison avec ses légendaires prédécesseurs.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 novembre 2015
    Vu en VOST. La traduction des dialogues garantit la fidélité au texte de la pièce tel qu’on a pu l’apprendre à l’école. Le réalisateur a choisi de filmer en images obscures, ce qui accentue la noirceur de l’histoire. Problème, : à cette obscurité d’ensemble s’ajoute le grimage noir rituel des visages des protagonistes, ce qui gêne l’identification des personnages dès le début du film et, par conséquent, perturbe la compréhension des jeux de rôles ultérieurs. En conclusion : film noir et sanglant, fidèle à l’œuvre de Shakespeare, bien interprété dans une tonalité théâtrale (ex : dialogues entre Macbeth et la reine), assez inconfortable à suivre, qui devrait satisfaire les fans de Shakespeare voyant pour la première un film sur ce drame. Personnellement, j’ai préféré la version de Roman POLANSKI (1971)
    Matis H.
    Matis H.

    11 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 novembre 2016
    Je n'attendais rien de ce film, et je dois avouer que, malgré mes réserves, "Macbeth" est une jolie surprise. Avec ce second long-métrage, Justin Kurzel prouve une chose, même face à Shakespeare, son cinéma a une personnalité. Car dès les premières secondes, avec ces plans morbides du cadavre d'un enfant, de ces Hommes écrasés par les paysages d'une Ecosse froide et hostile (impossible de ne pas faire le lien avec "Valhalla Rising" de Refn), on comprend tout de suite que l'on a pas affaire à une adaptation bien tranquille, mais à une vrai vision de cinéma.

    Certes le film n'est pas exempt de défauts, mais le travail visuel, bien que parfois trop clinquant et tape à l'oeil, est à saluer. De plus, la mise en scène de Kurzel magnifie parfaitement ces grands décors dans lesquels ses personnages se perdent. Cette dernière s'articule, durant les scènes de combat, autour d'une opposition entre une hauteur d'Homme brutal, chaotique et individuellement traumatisante, à une vision de la nature pour laquelle tout cela ne représente que des masses qui s'entrechoquent. C'est intelligent et percutant en plus d'être d'une grande beauté. Cependant, la pertinence de ces ralentis est plus discutable lors de passages plus posés dans le récit, donnant la désagréable impression d'un formalisme et d'un esthétisme bien vain.

    Malheureusement, cette radicalité visuelle et formelle tranche complètement avec le parti pris de Kurzel de conserver les mots du dramaturge. C'est une intention bancale, car autant elle marche parfaitement lors de scène à l'ambition dramatique forte (dernier monologue de Lady Macbeth, scène du banquet), autant elle détruit la force et la portée de l'intime. Et cela est d'autant plus dommage que les acteurs sont tous dans le rôle de leur vie et que Kurzel sait comment filmer un regard, un mouvement, pour que ce dernier dise tout sur ce qu'il se passe. On peut ainsi difficilement nier que voir Fassbender déclamer du Shakespeare est impressionnant, mais encore une fois, son seul regard, dément et hanté, aurait suffit. Le résultat est assez contradictoire avec les autres partis pris du réalisateur, tout en diminuant la force de ces derniers, bien que cette intention n'échoue pas complètement.

    Mais, bien qu'il fût d'une fidélité exemplaire en ce qui concerne les dialogues, Kurzel les utilise à des fins différentes. Ici, le pouvoir est source de fatalité, le posséder ou s'opposer à lui mène l'Homme à sa perte. Sa transmission est inévitable (le magnifique plan de fin), ainsi que l'horreur qui en découle. Ayant comme base cette vision fataliste, Kurzel fait de Macbeth est homme qui est gagné par la folie avant même de d'obtenir le trône, ce dernier parlant aux cadavres et est régulièrement prit de visions. De la même manière les rapports de force entre Lady Macbeth, d'abord manipulatrice mais qui finira prise de remords ( spoiler: au point d'en mourir
    ) et Macbeth lui même, dont les réticences originels se transformeront en folie tyrannique et dévastatrice.

    Avec ce long-métrage, Justin Kurzel impose une vision percutante et radicale, son "Macbeth" est personnel et ne ressemble à aucune autre adaptation. Cependant, son cinéma manque de maturité et de maitrise, ne parvenant pas à faire cohabiter toutes ses intentions et faisant parfois sombrer sa mise en scène dans un formalisme des plus vain. Malgré tout cela, ce long-métrage est une oeuvre riche , malheureusement inabouti mais à la singularité fascinante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 décembre 2015
    Accrochez-vous. Comme toute oeuvre d’art, MacBeth se laisse admirer, lentement... Si vous y êtes prêt, ouvrez grand les yeux, ils seront comblés. Arrêts sur images fractionnés au coeur d’une extrême violence ; jeu de couleurs sombre et hypnotisant ; ambition et folie exacerbés par des acteurs qui poussent la tragédie à son apogée. Destin inéluctable et âmes torturées. Pour les amateurs de la pièce néanmoins, on en est loin, bien que les dialogues aient des airs de tirades. Kurzel s’est ici approprié l’oeuvre Shakespearienne pour l’adapter à son époque. Peut-être un peu trop, et c’est là le seul reproche que je peux faire : une scène choquante, qui m’a rappelé un traumatisme cinématographique personnel. En conclusion : à voir, avec l’esprit ouvert, et pas une trop grande sensibilité.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 novembre 2015
    En voila une performance !! tout d’abord parlons un peut du cast Mr Fassbender dans ce rôle ma vraiment convaincu je dirais même que je le vois sous un nouvel angle,il est tout simplement brillant dans sont jeu il exécute une performance de haut niveau,jouer un personnage aussi complexe sans être dans le sur jeu tiens pour moi du miracle,l'exactitude des émotions et la justesse de la mise en scène me fait penser que je n'ai pas vue mieux au cinéma cette année.Marion Cotillard,je trouve qu'elle n'ai pas aussi brillante et j'ai du mal a cautionner un tel écart de niveau,je trouve qu'elle surjoue un peut trop,peut être pour les besoins du film,mais si c'est le cas je n'y ai pas été sensible. Je voulais aussi parler de la réalisation et de la production,je tenais a porter une mention spécial a la réalisation diriger par Justin Kurzel,les plans sont assez oppressant tout comme la folie de Macbeth ont y retrouve un environnement cloisonné ce qui aurais sans doute porter préjudice a l'oeuvre mais la dynamique du film compense largement le tout. je recommande ce film.
    elisebeunier
    elisebeunier

    8 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 août 2016
    Très très belles images (par moments on dirait un clip tellement c'est esthétisant) mais leeeeeennnt...........
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 7 décembre 2015
    Ce film est une petite pépite. On voit tout de suite par les images qu'il a été réalisé en plein air, paysages, brouillard, etc.
    Fassbender et Cotillard forment un bon duo et jouent très bien.
    Le film en lui-même colle bien à la pièce, après on aime ou pas shakespeare.
    Fred B.
    Fred B.

    9 abonnés 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 novembre 2017
    Je ne connaissais pas la pièce avant d'avoir vu ce film, on va dire que j'ai donc rattrapé en partie mon ignorance théâtrale sur le sujet, même si un film ne vaudra jamais la pièce originale.
    Après avoir lu des résumés de la pièce, j'en déduis que ce film semble complètement fidèle à la pièce avec 2 acteurs très connus dans les rôles principaux, Michael Fassbender (dans le rôle de MC Beth) est attachant et froid en même temps alors que Marion Cotillard (pour son épouse) semble un peu plus fade, même si le rôle est difficile à tenir
    Concernant la musique, rien à dire, elle va bien avec le film. Après, les langages sont des adaptations de l’œuvre théâtrale, on a donc pas de vrais discours à proprement parler mais des discours théâtraux adaptés au film, ce qui fait une impression étrange, c’est peut-etre pour ça que la mayonnaise a du mal à prendre. Ajouté à cela de nombreux monologues et on on arrive à un film correct, pas mauvais, pas exceptionnel non plus
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 décembre 2015
    En s’attaquant à « Macbeth », le monolithe shakespearien, le réalisateur Justin Kurzel s’embarquait dans une épopée mêlant le clair-obscur de l’audace et de l’ambition. Mission plus que réussie avec cette œuvre d’art magistrale et totale, à l’esthétisme sur-lêchée mais toujours subordonnée à la puissance du dire et de l’émotion.
    Près de 410 ans après la rédaction de la pièce, Macbeth est toujours l’histoire de cet homme, le général Macbeth, qui, revenant victorieux d’une guerre contre les traîtres au royaume d’Ecosse (menés par le général MacDonald) rencontre trois sorcières ; les sœurs du destin qui formulent la prophétie suivante : Macbeth sera un jour roi d’Ecosse. Il succombe ensuite aux suggestions pernicieuses de sa Lilith de femme, Lady Macbeth, qui le convainc de s’emparer du pouvoir des mains d’un roi bienfaisant. S’ensuit alors une spirale descendante, dans la psychose, le sang et l’iniquité…
    Dans ce film sur la pente des passions, Kurzel manifeste une fidélité à l’égard des dialogues, qui sont les mêmes que ceux de la pièce, au vers près. Le choix de Marion Cotillard et de Michael Fassbender, s’impose, au visionnage du film comme une lumineuse évidence, Cotillard, sensuelle d’avidité, puissante de cruauté, Fassbender petit lionceau perverti mu en Caligula médiéval.
    Au jeu des acteurs s’ajoute une conjonction de talents à l’œuvre dans le film, des costumes fabuleux, une direction photo hallucinante, permet une résonance poétique digne de la grandeur de langue. Le tout résultant en une commotion visuelle et une sensation de puissance contagieuse, presque orgasmique. A ne pas manquer.
    BigDino
    BigDino

    7 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 janvier 2016
    Il y a du pour et du contre dans cette nouvelle adaptation de Shakespeare. On a parfois l'impression, au vu du rapport entre l'image et le texte, que le réalisateur n'est pas à l'aise avec ce dernier. Le côté grand spectacle est plutôt exagéré, avec les ralentis et les filtres qui alourdissent l'ensemble. Néanmoins, si on est loin de l'élégance d'une réécriture comme Le Château de l'araignée de Kurosawa, il y a de belles choses. Les paysages tout d'abord, et le jeu de Michael Fassbender. Il y a également la réussite de la reconstitution historique qui nous immerge vraiment dans le film. L'ensemble donne donc un bon film malgré les quelques défauts.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Certainement difficile à saisir aux premiers abords, ne serait-ce tous simplement pour les dialogues puisque la presque intégralité des répliques de l’œuvre originale sont ici retranscrites à l'écran, Justin Kurzel tente d'insuffler une vision peu commune de la folie en adaptant l'un des chef d’œuvre absolue de Sir William Shakespeare, MacBeth. Si le film ne se révèle pas aussi transcendant que prévu pour ma part, l’œuvre reste néanmoins d'une excellente qualité, notamment d'un point de vue esthétique, la photographie étant absolument irréprochable car véritablement singulière. Présentant une esthétisme assurément hors du commun, le film cherche vraisemblablement à transmettre la dimension de violence et de brutalité, ainsi que la folie grandissante des protagonistes majoritairement par l'image que par un tout autre moyen, ou du moins, il n'y parvient pas. En effet, outre le visuel assurément transcendant, MacBeth n'a que peu de choses auxquels se raccrocher afin de proposer une œuvre captivante sur toute sa longueurs. L’afflux d'informations lors de scène monologue rend certain moment réellement incompréhensible, limitant l'étendue du drame et de la tragédie, chose ici navrante car élément central à l’œuvre. C'est d'ailleurs la principale reproche à effectuer envers le film, la dimension dramatique est presque mise de côté, l'intrigue mettant en avant la conquête de MacBeth au profit d'un aspect davantage torturé de ses protagonistes. Cotillard en fait d'ailleurs les frais, avec un personnage peu présent à l'écran, malgré une très bonne interprétation, Lady MacBeth devient très vite un personnage tourmenté mise en retrait. Si l'on poursuit du côté des acteurs, Fassbender est incroyable dans son rôle de roi d’Écosse, fonctionnant à la perfection car maintenu par le reste d'un casting très efficace et aussi convaincant que lui. Donc, outre l'afflux de scène apportant une quantité certaine d'informations en a temps restreint, générant une certaine complexité scénaristique, MacBeth reste un excellent film si l'on sait à quoi s'attendre. Une excellente œuvre à ne pas négliger tellement le visuel est transcendant, ou encore Fassbender impitoyable en MacBeth.
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