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    Nymphomaniac - Volume 2
    Note moyenne
    3,2
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    210 critiques spectateurs

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    nielrowbooks
    nielrowbooks

    21 abonnés 669 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 novembre 2014
    On poursuit le récit de Joe, et on a fait le tour de la chose ou à peu près. Nous n'irons pas jusqu'à acquiescer aux idées de von Trier, lesquelles sont ici quelque peu survolées et mériteraient un aller plus profond. Mais cela nécessiterait un film plus que long. Nous retiendrons des deux parties que l'addiction n'a rien d'enviable. 10 amants dans la journée, on veut bien mais ça fait 10 heures d'occupation. On travaille quand ? La réponse est dans le film, en faisant un régime sec. Et finalement ceux qui persévèrent à classer cette oeuvre dans la catégorie érotisme, ont tout faux. C'est comme si un mec de 400 kilos était présenté comme un gourmet de génie. Non seulement l'érotisme est absent, mais la vie de l"héroïne, si on peut l'appeler ainsi, est un enfer. Pour elle et pour les autres. La nymphomanie est une maladie sexuellement intransmissible mais qui bénéficie d'un préjugé favorable dans la société, même si les gens regardent les sujets atteints d'une manière torve. Remarquons que certains voient dans cette histoire un épisode plus ou moins féministe, mais il leur faudra expliquer en quoi une maladie pourrait devenir un porte-drapeau du mouvement.
    Nous n'aurons pas tout dit sur cette oeuvre qui appelle au débat. Rien que pour provoquer ce dernier, la réussite est complète. A suivre ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 24 avril 2015
    Nymphomaniac, 2nd partie. Film qui s'éloigne de son sujet initial. En quoi la violence physique permet-elle de satisfaire une addiction sexuelle ? La réponse est dans la question.
    Artriste
    Artriste

    82 abonnés 1 822 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2014
    Cette deuxième partie n'a rien à voir avec la première. On sent l'évolution des personnages à travers une réalisation beaucoup plus conventionnelle et qui du coup perd en créativité pour se retrouvé avec quelque chose de bien fait mais de beaucoup plus basique. Mais surtout ce qui saute aux yeux c'est que c'est beaucoup plus sombre, violent et plus cru sexuellement. Le chapitre 6 du canard silencieux est la partie la plus réussi de ce second volet mais aussi la plus hard. Malheureusement après cette séquence ça devient la descente aux enfers en terme de qualité. On se retrouve avec une histoire de chasseur de dettes et de pistolet qui n'ont pas grand chose à faire la dedans et surtout ça devient long et ennuyant par moments. Et que dire de la scène avec spoiler: le traducteur et les deux africains dans l’hôtel
    qui n'apporte vraiment rien au film et qui est purement inutile. Du côté des acteurs, Joe ayant grandit on retrouve Charlotte Gainsbourg qui remplace Stacy Martin et qui nous offre une prestation grandiose surtout quand on voit les scènes qu'elle à fait ou elle n'est pas ménagé. On découvre aussi "P" interprété par la ravissante Mia Goth qui est un personnage vraiment intéressant. Par contre je n'ai pas compris pourquoi Shia LaBeouf à laisser sa place à Michael Bas pour jouer le rôle de Jérôme vieux il ne lui ressemble pas du tout et ça fait pas trop crédible surtout que je pense qu'avec un peut de maquillage c'était tout à fait réalisable. La b.o. elle est toujours aussi belle et bien incorporé aux différentes scènes. Malgré cela Lars Von Trier parvient à nous accoucher d'une fin réussi qui fera réfléchir et qui nous satisferas. Ce Nymphomaniac Volume 2 est certes inférieur au premier dans beaucoup de domaine mais apporte assez au récit pour qu'on le regarde avec envie. Globalement Nymphomaniac est un film, une expérience à vivre absolument pour un public averti et aimant un cinéma non conventionnel.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 662 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    J'ai vu un film... qui m'a dérangé comme rarement, et bien plus que le n° 1 qui pouvait s'apparenter à une démarche initiatique de découverte d'une jeune fille dans la perversité et le sexe... Le tout agrémenté de dialogues et de mises en perspectives savoureuses, ou intéressantes... Mais là, on suit le parcours (la chute) d'une femme plus mure, déchirée, et je crois que rarement comédienne ne s'est mise autant en danger... Charlotte Gainsbourg, et de nombreux autres sont vraiment montrés sans fard et sans atours, avec une mise en scène qui porte une brutalité inouïe.. C'en est particulièrement choquant, sur de nombreuses scènes pilotées par le génial réalisateur Lars Von Trier qui nous met si mal à l'aise... J'ai quand même largement préféré certains de ces autres films que j'ai pu trouver bien plus intéressants.
    boscopax
    boscopax

    72 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 septembre 2014
    Suite toute aussi lourde que le premier volet (voir critique précédente), ce volume 2 passe de la maladie au traitement pour obtenir la guérison. Sans succès, car on nous a perdu depuis bien longtemps.
    NammJones
    NammJones

    96 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 septembre 2014
    Un deuxième volet un peu différent du premier avec une histoire moins "passionnante". Il y a moins d'explications, plus de questions, plus de sexe pur et dur sans grand intérêt.Ce volet ne nous révèle plus grand chose et devient un film pornographique sans réelle histoire. Néanmoins, les acteurs sont vraiment concentrés et donnent beaucoup.
    Félix F
    Félix F

    204 abonnés 2 423 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 septembre 2014
    Revendiqué comme trash, voir pornographique, Nymphomaniac n'en est rien. Alors oui les images sont crus. Mais le film est lent, poétique et passionnant, prenant et envoutant. CHarlotte Gainsbourg est excellente et la réalisation de Von Trier toujours aussi omniprésente. Ce film est un Ovni, controverser mais rondement bien mené. Un grand film pour un grand réalisateur.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 septembre 2014
    Vraiment moyen ce volume , alors que dans la première partie Lars von Trier avait réussi à me scotché à l'écran là j'ai eu l'impression de voir un film totalement différent, alors qu'a la base c'est un seul film coupé en deux !Y a toujours de bonne idée spoiler: par exemple Joe qui se lasse et essaye de nouvelle expérience, le fait qu'elle est un enfant
    mais j'ai l'impression que Von Trier à voulu faire du trash pas assez trash pour les dernier chapitre du film (si on le voit comme un seul film) et même si j'aime les "twist final" et fin ouverte là je n'ai pas du tout aimé la fin.
    estcetony1
    estcetony1

    17 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 juillet 2014
    Aussi mauvais que le 1er avec des mauvais raccords, de la psychologie de bas étage et moins de scènes hot.
    Bref tout pour ne pas foutre en l'air 2h de son temps
    Toad_ M
    Toad_ M

    2 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Encore plus dégoûtant que le premier opus, cette suite et fin de Nymphomaniac montre de manière encore plus explicite la violence et les péripéties sexuelles subies par la narratrice-personnage, Joe, incarnée à l'écran par une Charlotte Gainsbourg totalement décomplexée. Ainsi, certaines scènes sont vraiment très difficiles à supporter (flagellation, mutilation...) visuellement et psychologiquement. Et tout ça pourquoi ? Pas grand chose, puisque la boucle finie par être bouclée et on comprend ce qui a amené l'héroïne là où elle se trouve au début du volume 1. Et que dire de la fin, totalement indéchiffrable... Il y a un truc qui ne tourne pas rond chez Lars Von Triër, ce me semble.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 juillet 2014
    J'ai trouvé le 1 un peu longuet par moment. le 2 est beaucoup moins sexuel et beaucoup plus violent, du coup on a moins l'impression de regarder un porno et il se passe en fin quelque chose. Je l'ai préféré au 1 indéniablement, pour son coté encore plus malsain.
    L'oeuvre en 2 parties prend alors tout son sens car il faut bien avoir ressenti le 1, pour apprécier la noirceur du 2. Nymphomaniac devient alors une vraie réussite sensorielle et malsaine. Çà change a coté des sempiternel blockbusters US ou tout le monde il est gentil sauf le gros vilain...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 juillet 2014
    Tout d'abord, posons les bases de cette critique : premièrement, je juge ici les 2 parties comme un ensemble logique, cohérent; l'ensemble artistique de l'oeuvre dans son entièreté et non pas ce découpage qui, à mon avis, sert des desseins purement commerciaux. Deuxièmement, il faut savoir que j'aime beaucoup le cinéma de Lars von Trier et la manière qu'il a d'utiliser sa vision du monde sombre, voire parfois carrément nihiliste (avec un sens de la nuance tout de même) pour en faire jaillir des éclats de beauté inespérés. Enfin, ce qui nous mène à l'amorce de la critique à proprement parler, je comprends PARFAITEMENT que l'on ait pu détester, ou au contraire, adorer ce film, fait rare et révélateur. Personnellement, je pense qu'il s'agit d'un des ouvrages les plus faibles de Trier, sans que ce dernier démérite vraiment. Explicitons : sans développer le scénario plus que nécessaire, il faut savoir que la perspective de Joe, contrairement à ce que l'on aurait pu croire, n'est pas décrite de manière brutale, hystérique ou bien encore réellement "choquante". Pour la première fois dans son cinéma, Trier se fait extrêmement narratif et didactique et ose même renouveler son approche classique en donnant un ton presque humoristique (surtout dans la 1ère partie) ou du moins une ironie très amusée à chaque situation et à chaque chapitre. Cette forme s'incarne dans le parti-pris du scénario, celui d'opposer le conte, la représentation, donnée par Joe, au regard extérieur d'un personnage qui est vierge de toute connaissance de ce premier personnage dans une espèce d'hommage aux dialogues philosophiques du XVIIIème siècle marchant sur le même principe, affirmant d'autant + les racines littéraires des références von Trierienne et la "littéralité" des descriptions et des analogies qu'invente le film. Seligman, qu'on pourra tantôt assimiler au réalisateur (cultivé, passionné de littérature et de classique, jugeant tendrement Joe comme un bon moraliste se doit de le faire...), tantôt au spectateur (dubitatif par rapport à une trop grande "romancisation" [néologisme habile '-'] des faits parfois énoncés par Joe), sert ainsi à développer les échanges philosophiques, politiques et moraux du film, à créer un contrepoint à la vision nihiliste de Joe, sur les autres, sur la vie, mais aussi sur son parcours ! Seligman produit aussi, surtout dans la 1ère partie, des comparaisons explicites et visuelles à chaque scénette de Joe, qui contribuent à accentuer le caractère parfois "léger" du film par rapport à son sujet, mais aussi à introduire la nature "pédagogique" du film. Il est intéressant de remarquer que cette relative "explication de texte" constante s'estompe au fur et à mesure : de l'initiation, on passe à la mélancolie, à l'élégie, à la poésie voire au déchirement, qui sommeillaient depuis le départ. Trier invente constamment de nouveaux moyens expressifs, comme il en a l'habitude, d'où résultent quelques scènes édifiantes de majesté telle que la "reconstruction" du corps composite de Jérôme à travers des parties des passagers d'un train (idée géniale), ou cette scène de Vaudeville inédite et grotesque avec Me. H, ou bien encore la scène des "bites de nègre" (je ne vois pas comment l'appeler autrement vu le propos du film '-'), toutes inventives et jamais vues, servant le propos magistralement. Malheureusement, le dispositif qui sert de moteur à Trier montre certaines limites. A commencer par la conclusion, qui sonne comme l'antithèse de tout ce que l'on a pu nous expliquer depuis le début. Cette fin, abrupte, durant laquelle Seligman spoiler: tente finalement de baiser Joe, alors qu'il s'était dit asexué, et que cette dernière le tue froidement
    , nous ramène à une certaine forme de réalité, coupée de la représentation fictive qui opérait depuis le début dans l'échange des idées, sombre, radicale... NIHILISTE ! C'est ici que la nature même de Trier reprend le dessus, balayant du revers de la main l'espoir et l'humanisme qui auraient pu subsister, au final, d'un conte presque merveilleux, pour ramener à la nature mauvaise de l'Homme comme Hobbes ou Nietzsche avaient pu la percevoir ( spoiler: Seligman n'est-il d'ailleurs pas à assimiler dans une des pistes de lecture à la figure du Malin, qui écouterait sagement sa proie, qui ferait fie d'écouter Joe, d'être son thérapeute, pour ensuite abuser d'elle
    ). Tout comme une fin du monde type Melancholia, ce sont des gravats et des ruines, des ténèbres que naissent la lumière, la beauté artistique salvatrice et clémente (comme en témoigne la magnifique scène du lever de Soleil, dont une seule tache de lumière fugitive apparait sur le mur de briques grisatre de la maison Seligman). Ce revirement scénaristique symbolique n'est pas un défaut intrinsèque, loin de là, mais la lourdeur avec laquelle Trier l'amène ici est significative du défaut principal qui irradie à travers tout le film : le manque de finesse dans le propos. Abandonnant la pureté de représentation de Melancholia et la perversité totale et l'hystérie d'Antichrist, Trier n'arrive plus à s'émanciper du caractère schématique de son film et de son propos, et tout le système de contrepoint que nous avons énoncé, ainsi que l'humour, n'arrivent pas toujours à rattraper le côté "assommant" du message. Le film manque LITTERALEMENT d'un caractère plus tortueux dans son intrigue, qui brouillerait plus intelligemment encore la part de réel et d'imaginaire de l'histoire ainsi que les points de vue et les motivations de chaque personnage. La fin, elle, est beaucoup trop abrupte pour être crédible et il est aisé d'imaginer une conclusion qui suivrait la même piste, mais élaborée de manière bien plus fine, par la synecdoque et le hors-champ ou le changement de point de vue... Ce n'est pas tant le scénario qui pêche, en définitive, mais la frontalité du film et sa mise en scène, qui ne sont pas assez finement déployées, que ce soit dans le microcosme du coeur d'une scène, ou même dans sa structure générale, pour être parfaitement justifiées et appréciées complétement. Restent quelques scènes magnifiques, des acteurs tous géniaux, une utilisation astucieuse de la bande-son, par touche (Rammstein à fond les ballons quand il faut, musiques classiques figuratives et intradiégétiques par instants, etc...), un système cinématographique qui distille un mystère constant (on ne lâche jamais et les 4 heures passent TRES vite à tel point qu'on se demande ce à quoi ressemblerait le film s'il n'avait pas été censuré, avec 1 heure et demi retirée '-') et une toile symbolique plutôt complexe. Un Trier qui mérite largement d'être vu, mais assez maladroit sur la forme, et pour la première fois, ponctuellement provocateur de manière assez gratuite x).
    Flowcoast
    Flowcoast

    51 abonnés 1 199 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juillet 2014
    Certes, hyper tabou, Nymphomaniac a tout d'un film intéressant. Sauf que les situations deviennent de moins en moins intéressantes, même si l'atmosphère lourde et pervertie semble faire un effet assez important. Mais, nul doute que le rôle de Charlotte Gainsbourg est intelligemment crée. Mais, le film pêche vraiment par des scènes un peu moches. La fin semblait, un poil, prévisible. A conseiller pour les avertis.
    BeatJunky
    BeatJunky

    121 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 juillet 2014
    Mouais, un peu décevante cette suite. Je l'ai pas trouvé aussi subtile que la première partie qui faisait beaucoup dans le comparatif avec la pêche ou les personnages religieux. Ici, Seligman écoute le récit bien plus direct de cette nymphomane sans intervenir autant et c'est ce qui m'a manqué dans cette seconde partie. Malgré tout, c'est paradoxalement cette brutalité qui m'a intéressé ici, Lars Von Trier y va sans prendre de gants et c'est appréciable. Autant, je n'étais pas intéressé par le sujet que je me suis surpris à vouloir connaître la fin de cette histoire qui il faut l'admettre est drôlement bien mis en scène par LVT et bien interprété, particulièrement Gainsbourg qui mérite un grand respect pour tenir des rôles aussi difficiles.
    Malheureusement, ça reste compliqué à décrypter, je n'ai certainement pas tout saisi ni capté tous les clins d'oeil du réal alors mon avis reste mitigé.
    Au final, j'ai trouvé le film original et vaut donc la peine de le regarder mais c'est quand même très spécial et difficilement accessible, ça ne plaira à tous...Mais ça, Lars Von Trier s'en fout! c'est même ce qu'il recherche je pense!
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    94 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 juillet 2014
    Beaucoup moins d’humour dans ce 2ième volume. On s’éloigne des jeux d’enfant pour s’intéresser en profondeur à la souffrance, au mal être d’une telle hypersexualité. La mise en scène est toujours extraordinaire mais le rythme change, plus lent et on sent que LVT appuie là où ça fait mal créant toujours plus de malaise. Le jeune couple ne fut qu’une brève illusion et la maternité n’aura donc pas comblé ce vide insatiable entre ses cuisses. Après l’extraordinaire prestation de Stacy Martin, c’est au tour de Charlotte Gainsbourg de se mettre à nue et de subir les idées saugrenues de Lars Von Trier bien décidé à la faire souffrir pour en tirer le meilleur. Le moment le plus déroutant est sans nul doute la longue séquence de sadomasochisme perpétrée par le terrifiant Jamie Bell qui manie les cordes et la cravache à la hauteur de son talent. Ca m’a rappelé « Romance » de Breillat qui d’ailleurs est bien la seule avec LVT à explorer le sexe également de cette manière. L’ambiance est pesante, moins de musique bien qu’il place judicieusement les plus connus des plus grands classiques pour nous laisser respirer en de rares occasions. Les conversations avec Stellan Skarsgard sont plus axées sur la religion et la philosophie. Tout s’écoule jusqu’au dernier chapitre qui est assez surprenant du point de vu du scénario car je n’aurais jamais imaginé voir Joe se faire embaucher comme recouvreuse de créance( ?). Je trouve que ça colle pas trop dans l’histoire, c’est moins crédible… Bref il n’empêche que ça nous entraine dans une nouvelle séquence assez perturbante avec la très mignonne Mia Goth qui va devenir son bras droit et la raison de cette monstrueuse confession qui au final porte cette nouvelle œuvre de l’immense Lars Von Trier tout près du rang de chef d’œuvre à tel point qu’on se demande bien ce qu’il va pouvoir nous trouver pour atteindre ce niveau…
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