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    Week-ends
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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 174 abonnés 3 974 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 septembre 2016
    Quatre comédiens de talents se retrouvent en Normandie pour traiter des rapports de couple avec ses joies et ses tristesses. Anne Villacèque propose une œuvre juste et humaine. Cependant la mise en scène se veut trop cinéma d’auteur avec sa voix off que seuls Godard et Truffaut savent manier. Les ménagères de quarante et cinquante ans s’identifieront à ce Week-ends, mais les moins sentimentalistes sentiront l’arnaque à plein nez. Il y a pourtant de bonnes intentions, mais les coups de gueules et les philosophies au lit laissent un goût amer.
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    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    234 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2015
    Une histoire de famille assez acide, portée par des acteurs magnifiques. Jacques Gamblin est touchant comme jamais. Karin Viard excellente. Il est rafraîchissant de voir un film avec comme cadre autre chose que Paris. Une province loin d'être idéalisée. Et surtout de voir filmer la désagrégation d'une famille sans pathos ni démonstration.
    missfanfan
    missfanfan

    75 abonnés 829 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mars 2014
    Voila un film sans prétention les paysages sont beaux et Ulrich Tukur est formidable
    Roub E.
    Roub E.

    738 abonnés 4 825 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juin 2015
    Dans la campagne Normande deux couples d amis s ennuient. Du coup solidaire avec eux, je me suis profondément ennuyé devant ce film qui traite mollement de personnages qui semblent aussi résignés que le film. Alors qu avec ces deux vieux couples usés, il aurait été intéressant qu ils explosent, qu ils se rebiffent contre ses vies qui les attristent autant qu elles nous ennuient. Non ils ont tous renoncé, comme la réalisatrice à faire quelque chose d original qui sorte de leur train train, fait de jardinage de ballade dans des chemins boueux ou de soirées lectures près du feu. Il ne manque que le tic tac d une vieille horloge pour finir de plomber l ambiance.
    poet75
    poet75

    256 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Histoire de deux couples liés par l'amitié depuis une trentaine d'années, tellement amis qu'ils ont acquis des maisons voisines au fin fond du bocage normand, qu'ils y passent tous leurs week-ends et qu'ils ont donné le même prénom (Charlotte) à leurs filles respectives nées à quelques mois d'intervalle. Question amitié, tout va pour le mieux, même au bout de trente ans, mais en est-il de même au sein de chaque couple? Du côté de Jean (Jacques Gamblin) et de Christine (Karin Viard), pas vraiment, puisque le premier décide subitement de partir et de refaire sa vie ailleurs. Christine supporte mal cette rupture: on la sent accablée, en pleine crise et ayant le sentiment de porter seule sa détresse. Même s'il s'est remis en couple avec quelqu'un d'autre, Jean également se sent terriblement seul (il le dit dans une des scènes les plus intenses et les plus déchirantes du film). Et l'autre couple, et leurs amis Sylvette (Noémie Lvovsky) et Ulrich (Ulrich Tukur)? Pas question pour eux de se séparer, même si, après tant d'années, c'est davantage par routine que par passion qu'ils restent ensemble. Mais les voilà bien embarrassés: comment se comporter dorénavant avec Christine et sa souffrance, Jean et son mal-être et la nouvelle compagne de ce dernier? Anne Villacèque, la réalisatrice, explore avec talent ces difficultés, ces souffrances, ces hésitations. Seule réserve: il m'a semblé que Karin Viard n'était pas toujours très à l'aise dans son rôle et que, par moments, elle surjouait. Mais, dans l'ensemble, ce film est une belle réussite. 7,5/10
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    221 abonnés 2 864 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 25 février 2019
    FIlm bien étrange ! Cela commence doucement avec un début un peu loufoque, des réactions pas très réalistes, une voix off et une bande originale qui ne collent pas avec la platitude des propos et on a vraiment beaucoup de mal à entrer dans l'histoire mais finalement le dénouement n'est pas pire, le personnage de la maîtresse qui débarque donne un nouveau souffle au scénario et ce n'est pas pire... mais ce n'est pas transcendant non plus et malgré un casting honorable, on ne s'emballe pas et on reste sur notre faim. Il y avait mieux à faire !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 11 mars 2014
    Une fois de plus cela s'avère vrai, NE PAS SUIVRE LES CRITIQUES des PROS mais celle du PUBLIC. Je me suis emm..... pas possible, jeu d'acteurs ou forcé () ou médiocre (GAMBLIN que j'aime par ailleurs bcp) , la a l'air de se faire ch.... et n'en a rien à faire, TUKUR sort du lot, mais quel nullité ce film, quand je pense qu'ils recoivent des subsides et subventions de tous ordres pour nous offrir cela. Et puis cette campagne Haute Normande que je connais bien,étant né là-bas, elle est filmée dans toute sa tristesse, même les falaises sont déprimantes. Film à éviter hautement hormis un soir d'hiver maussade devant la télé, avec un coup de cid' comme y disent les normands.
    Ciné2909
    Ciné2909

    63 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2014
    Un couple d’amis qui se séparent, ce n’est jamais facile à gérer et Week-ends propose ainsi une vision particulière de ce sujet. On s’installe ainsi dans leurs maisons de campagne où l’on partage volontiers en leur compagnie le café ou un bon gigot devenant ainsi les témoins privilégiés de la séparation entre Jacques Gamblin & Karin Viard. Cette dernière apporte un vrai dynamisme au film à tel point qu’on finit par s’ennuyer durant ses quelques absences à l’écran. Pas toujours évident à appréhender, on reste un peu confus devant ce film d’Anne Villacèque puisqu’on ne sait jamais vraiment s’il vaut mieux rire ou pleurer des situations dans lesquelles sont plongés ces personnages.
    Jonathan M
    Jonathan M

    112 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2014
    Tout mou la tragi-comédie normande. Pas très optimiste non plus. Balade sous un paysage capricieux. Deux couples à qui il manque de la consistance. La voix-off de mauvais goût comme toujours. Inutile ici. Le pire, c'est le mystère des vingts dernières minutes. On ne comprend plus rien. Zéro fils conducteurs et incohérence la plus totale. Un seul bon point : le casting. La névrose de Karin Viard, j'y crois. La scène du train est brutale et sincère. La bien pensance d'Ulrich Tukur l'est autant.
    Fontaine Eric
    Fontaine Eric

    51 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mars 2014
    Un film qui mêle la cruauté des coeurs au paroxysme de la déchirure des couples, fin de clap on reste attaché aux personnages singuliers, le tout dans une bourgeoisie "bobo" en déclin...à voir !
    Pasthen
    Pasthen

    46 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 octobre 2014
    Une histoire banale d'un homme (Jacques Gamblain plus insipide que jamais) qui quitte sa femme (Karine Viard plus hystérique que jamais), le tout sur une voix off post puber, probablement choisie par une personne malentendante. Rien, rien à dire, rien à voir dans ce Week-ends aux scènes répétitives à l'intérêt fort limité.
    Yves G.
    Yves G.

    1 293 abonnés 3 296 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2014
    "Week-ends" est un petit film français qui ne paie pas de mine
    Son affiche est calamiteuse : deux couples de quinquagénaires arborent la lande dans des tenues caricaturalement bourgeoises.
    On dirait du sous-Sautet, du simili-Truffaut.
    Le pitch du film est aussi ennuyeux que son affiche : deux couples, amis depuis l'enfance se partagent deux maisons de campagne voisines jusqu'au jour où l'un des deux se déchire.

    Et pourtant Anne Villacèque relève la gageure de traiter avec légèreté des situations qui pèsent une tonne. Elle parie sur la connivence du spectateur - bientôt quinquagénaire, divorcé, ex-divorcé ou futur-divorcé. Nous avons tous connu des couples d'amis qui se séparent ; nous avons tous essayé de ne pas choisir entre l'amitié de l'un et la fidélité à l'autre ; et nous avons tous fini par devoir pendre parti.
    C'est ce que filme avec intelligence et délicatesse "Week-ends" bâti autour d'une succession de week-ends, tour à tour automnal, hivernal, printanier et estival, filmés dans ces deux maisons de campagne qui se font face. Karin Viard y joue le rôle de l'épouse trahie qui, par colère plus que par méchanceté, se transforme en harpie hystérique. Jacques Gamblin joue avec (trop de ?) retenue celui du mari mutique qui s'en va un beau matin sans trop qu'on comprenne pourquoi - ni d'ailleurs que lui non plus ne trouve de signification à son geste. Face à ce couple déchiré, Ulrich Tukur et Noémie Lvovsky - attelage improbable sur le papier mais qui réussit à bien fonctionner - joue en miroir le couple stable, même si les craquelures se devinent sans peine dans ce couple que rien ne semble plus réunir que de vieilles habitudes.
    Le portrait de ce quatuor quinquagénaire est profondément déprimant pour nous autres qui nous approchons dangereusement de cet âge : n'y a-t-il devant nous qu'haines recuites ? petites frustrations quotidiennes ? conformisme inquiet ? force de l'habitude ? peur de mourir ?
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 31 août 2014
    Week-ends, le quatrième film d’Anne Villacèque est sorti en semaine. Un film dramatique français au titre évocateur, tel qu’on aime les moquer dans les médias. Un film intello diraient certains, je dirais un film intelligent.

    Christine (Karin Viard)et Jean (Jacques Gamblin), d’un côté, et Sylvette (Noémie Lvovsky) et Ulrich (Ulrich Tukur), de l’autre, forment les deux faces d’une même médaille. Les deux couples, qui se sont rencontrés dans les années 80, ne se sont plus quittés. Et tous les week-ends, ils se retrouvent dans leurs deux maisons qui se font faces, dans la campagne normande. Leur vie, réglée comme du papier à musique, est bouleversée par une fausse note : un matin, Jean quitte Christine. Sans trop d’explications, il veut « vivre ailleurs ». Les rapports changent alors imperceptiblement entre Christine et ses deux amis de toujours, qui doivent concilier l’amitié intacte qu’il porte à Jean, et leur envie d’adoucir la tristesse de leur copine. Ulrich, certainement marxiste, propose à Christine, de faire « du passé, table rase ».

    Week-ends, c’est un peu la douceur de vivre. C’est l’espérance d’un grand nombre, de pouvoir s’établir loin des villes, loin de leur folie. Ne serait-ce que pendant les congés ou les repos. Mais c’est aussi une illusion, car un rien peut faire s’étioler le rêve. Et puis, après tout, c’est aussi, dans le calme, l’occasion de réfléchir sur sa propre existence. Paradoxalement, la villégiature permet de se retrouver face à soi-même aussi sûrement que le travail peut aliéner. Et de là, de terribles constats peuvent surgir. C’est un peu ce qui arrive à Jean, qui se réveille un matin pour fuir ses responsabilités, vit un temps l’illusion de sa jeunesse perdue auprès d’une autre femme, pour finalement, revenir en arrière, dans un autre mirage. Jean n’est pas un mauvais type, Jean est un type perdu, qui réalise qu’il n’a jamais vraiment eu d’amis, et qui, dans sa solitude, affronte des tourments qui hante tous les mortels. Jacques Gamblin, pourtant rude gaillard, se retrouve ainsi, nu, dans la cuisine de ses amis, observant la nuit à travers les carreaux embués, sanglotant et implorant Ulrich de le serrer dans ses bras. Il y a ceux qui nient l’inéluctable, comme Ulrich, et ceux qui ne le supportent pas, comme Jean. Week-ends, au rythme des saisons, nous ramène à notre condition funeste. Nul ne peut échapper à cette vie qui s’écoule lentement entre nos doigts, et que nous berçons d’illusions. Cependant, tels Sylvette et Ulrich, qui écoutent un soir à leur fenêtre Jean jouer la Casta Diva de l’opéra Norma de Bellini, on doit apprécier la beauté de chaque instant. Celle-ci réconforte toujours les cœurs sensibles et mélancoliques. Pendant ce temps, leurs enfants vivent l’innocence de ne pas connaître, encore, ces angoisses que l’on acquit trop vite en vieillissant. Faisant de l’enfance, ce court moment d’éternité où la mort n’existe pas. Charlotte (Iliana Zabeth), la fille d’Ulrich et Sylvette, incarne cette insouciance perdue.

    Week-ends, est une œuvre sensible, illuminée par la froide lumière normande. Des scènes de la vie, simples certes, mais qui en sont l’essence même. Ce cinéma-là a été beaucoup décrié ces dernières années. C’est pourtant, le genre qui se rapproche le plus de nos poètes et le plus fidèle à son grand-frère, le théâtre. Le dénigrer, c’est souvent faire preuve d’insensibilité. Vouloir sa fin, pour des copies de copies formatées, c’est vouloir un cinéma dénué d’amour. Ce cinéma français-là, n’est peut-être pas fabriqué pour battre toutes les audiences, mais je suis convaincu qu’il ne peut pas, ne pas parler au cœur des Hommes.

    Lire nos autres critiques sur Une Graine dans un Pot :
    Dom Domi
    Dom Domi

    35 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2014
    Huit clos à deux paires de vies, ce film manque de " matière ". On sort un peu frustré de ces " week-ends ". Ce n'est pas la faute des acteurs, qui sont très bons, mais plus la façon dont le silence s'installe dans les dialogues. L'auteur du film assume le silence de ces " taiseux ". À chacun de mettre ce qu'il a à mettre dans ces silences. Et tant mieux ? On pourrait le dire mais on pourrait dire aussi ( je le dis ), qu'avec un peu plus de subtilité moins " silencieuse ", on aurait pu ajouter du carburant et de la " vie " dans ce film qui reste néanmoins un film à voir, et à entendre...

    dom
    Flore A.
    Flore A.

    33 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 février 2014
    Des dialogues grinçants et assez bien vus, un bon jeu d'acteurs mais j'ai regretté que le film s'intéresse surtout à la gestion des relations de voisinage plus qu'aux états d'âme des protagonistes de ce triangle amoureux, et notamment au ressenti du personnage interprété par Jacques Gamblin que le film oublie à part dans la dernière scène : dommage ...
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