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    The Program
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    3,5
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    194 critiques spectateurs

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    Charlotte28
    Charlotte28

    100 abonnés 1 804 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2019
    Un biopic qui présente un portrait objectif d'un champion passé de l'adulation à la condamnation tout en suivant en parallèle le travail d'investigation d'un journaliste pugnace. Cette mise au jour d'une affaire de dopage plus politique et ramifiée qu'elle le laissait paraître offre au téléspectateur une réflexion sur le monde sportif que le réalisateur n'oriente jamais. Cependant le parti pris de ne traiter ni les conséquences ni l'aspect éthique de ce cas peut en frustrer certains. Ben Foster livre une prestation excellente, aidé par un casting pertinent et une mise en scène proche du documentaire, notamment pour la mise en lumière des paysages. Un divertissement très réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 octobre 2018
    Un film d’une complaisance très pesante quand on connaît un peu les coulisses du cyclisme à l’epoque.

    Le dopage n’a pas commencé avec la première victoire de lance amstrong, auto transfusions, hormones de croissance, stéroïde avaient largement devancé l’epo, le film n’en parle pas, pas plus qu’il n’evoque le dopage mécanique qui a accomgné sa fin de carrière.

    Amstrong , comme le docteur Ferrari sont vraiment présentés comme des héros incompris, limite victimes, assez insupportable , trop pour entrer dans le film, assez pour être méfiant envers tous les biopics de Stephen Frears .
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 437 abonnés 12 210 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2018
    N'importe quel observateur du monde cycliste vous le dira : Lance Armstrong est le plus grand gâchis de la Grande Boucle! Au sein du peloton, il y avait les pro et anti-Armstrong! Aujourd'hui, il restera jusqu'à son dernier souffle le hèros dèchu du cyclisme! Ses sept titres perdus de vainqueur du Tour de France puis sa descente aux enfers mèritaient bien un long-mètrage! Avec "The Program", Stephen Frears nous rèvèle l'ampleur du mensonge et du dopage! Le cinèaste signe un biopic prenant et très proche de la rèalitè qui se hisse dans ses meilleurs moments au niveau des rèfèrences du genre avec de très bonnes reconstitutions de courses! Tout cela serait même bien illustratif ou caricatural si le toujours excellent Ben Foster n'y apportait pas son talent, toujours aussi habitè dans sa façon d'aborder un personnage, filant droit à l'essentiel! La ressemblance est frappante au point que le spectateur s'identifie totalement à l'ex-septuple du Tour de France accusè de dopage! A noter la superbe intro d'un Armstrong seul au milieu des montagnes alpestres...
    Hypertension
    Hypertension

    2 abonnés 183 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 août 2018
    C'est dingue on connait tous la fin et pourtant, on prend toujours autant de plaisir à voir "Lance" perdre tout se qu'il a "gagné".
    Il y a un côté jouissif au film, du faite qu'on adore détesté Lance. Ben Foster arrive bien à retranscrire l'attitude froide et dérangée du personnage. Le biopic se regarde facilement pas besoin d'être un expert du cyclisme pour comprendre et aimé le film.
    konika0
    konika0

    25 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 août 2018
    Souvenez-vous de l’affaire Festina qui avait révélé des systèmes de dopage très organisés au sein du Tour de France. Souvenez-vous surtout de Lance Armstrong, champion déchu mais tricheur inégalé. C’est son histoire que raconte Stephen Frears dans The Program, film aussi saisissant que haletant. On y croise un Lance Armstrong ultra flippant en démon à l’ego surdimensionné, nourri au fric à la gloire et à l’EPO. Ce qui frappe ce sont surtout les à côtés de cette histoire ubuesque. Ce que les médias appellent aujourd’hui le story-telling ou autrement dit, la narration autour d’un événement ou d’un personnage. Car l‘histoire d’Armstrong est proprement idéale. Hercule des temps modernes, le gars se remet d’un cancer et gagne 7 fois le Tour de France. Ça vend du rêve, du papier, du vélo, du sponsor … et tant pis si c’est tout est faux. Le film décortique l’envers du décor et montre comment le mythe est tombé. « Tout le peloton le sait mais personne ne dit rien » car la vérité n’arrange personne. Par ailleurs, le film de Frears interroge aussi le rôle des médias quand leur santé financière est engagée. Par les temps qui courent, c’est salutaire.
    Fabien S.
    Fabien S.

    484 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2018
    Un bon film sur les étapes du Tour de France. Ben Foster incarne Lance Armstrong lié à des affaires de dopages .
    lejojoducoin
    lejojoducoin

    21 abonnés 876 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2018
    Pas évident de reproduire au cinéma, un film se plongeant dans le milieu du Cyclisme. Et pourtant, c'est plutôt réussi, compte-tenu de l'incroyable scénario de la vie de Lance Armstrong. Ce film, qui ne se regarde jamais comme un documentaire, montre parfaitement la personnalité égocentrique de Lance Armstrong et sa soif de réussite, qui l'a amené à contrôler complètement le cyclisme mondial. Les scènes de vélo et entre équipiers sont très réalistes, et Ben Foster incarne à la perfection Lance Armstrong. J'ai juste été un peu déçu de la prestation de Guillaume Canet en médecin Italien. A mon avis, il y avait mieux à trouver. A regarder pour se plonger dans le programme fou élaboré par Armstrong pour gagner.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    99 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juin 2018
    The Program est un film qui présente assez peu l'apparence d'un documentaire, mais c'est ce qu'il est dans ses tréfonds. Il drogue d'abord le spectateur de scènes très belles sur le cyclisme, avec une voix off térébrante et des images historiques bien intégrées. Mais certaines pubs sont aussi bien réalisées que ça aussi.

    Goût et arrière-goût se confondent bientôt avec amertume : derrière la beauté se cache un discours qui se veut moralisateur mais qui ne fait qu'entretenir les polémiques (bizarrement, c'est aussi la définition du trollage sur Internet). D'un côté, c'est un film qui montre avec une honnêteté patrie-cide que les États-Unis assument la triche de Lance Armstrong. De plus, celui-ci est encore vivant et l'on se demande quel effet ça lui aura fait de voir ce film ou de faire semblant qu'il n'existait pas ; mine de rien, cela joue dans l'audace d'une telle création, et ne peut être ignoré dans la critique qu'on en fait.

    Mais d'un autre côté, The Program tient trop à rétablir une soi-disant « vérité » qui devient du coup extrêmement manichéenne... et donc faussée. Le film nous dit « voyez-vous, Armstrong se dopait ; c'était un tricheur, un menteur et un mauvais perdant du temps de sa carrière, mais c'était aussi quelqu'un qui avait créé une œuvre caritative et n'hésitait pas à faire don de fortunes à l'avantage de cette dernière ». À présenter les choses comme ça, il faut bien le dire, Armstrong nous semble un homme encore plus basique et méchant qu'avant le visionnage du film, parce qu'il ajoute la dimension hypocrite du personnage.

    Bref, comme beaucoup de films avec un aspect documentaire, The Program est plutôt raté. Et il le serait carrément s'il n'était pas vibrant avec deux bouts de ficelle dans les quelques scènes sportives qu'il nous donne à voir. Mais il ne joue pas cette carte, se contente de monter en puissance jusqu'à une fin très plate. On en vient à regretter l'hypothétique biopic dont l'idée à été soulevée et qui devait caster Jake Gyllenhaal. Et vu que le sujet se résume à la chanson de Leonard Cohen au générique final « Everybody knows », il n'y a rien pour sauver le film d'une mauvaise note.

    septiemeartetdemi.com
    Aaaarrrrrgh
    Aaaarrrrrgh

    20 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2019
    The program est une œuvre très intéressante, parce qu'au delà de l'enrobage réussi, on en apprend vraiment sur la vie du cycliste (brillamment interprété par Foster), surtout à travers son ambivalence, partagé entre son combat contre le cancer et sa soif de victoires. Le film est intéressant car l'histoire est intéressante, le cyclisme n'étant finalement que le contexte.
    Lepouceducoin
    Lepouceducoin

    17 abonnés 924 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 janvier 2018
    Ce film de Stephen Frears retrace la plus grande escroquerie sportive de tous les temps : la machine créée par Lance Armstrong et Johan Bruyneel pour gagner 7 fois le Tour de France. Et Dieu sait que ça a été efficace ! Franchement, ce film dépeint exactement le genre de mec que j'imagine et que j'imaginais d'Armstrong : le gars antipathique, cynique, trop sûr de lui, ayant en horreur la défaite, égoïste au possible mais franchement, ça fait mal au cœur de le dire, mais il a été simplement plus intelligent et plus déterminé que les autres à l'époque. Force est quand même de reconnaitre que malgré ce scandale, il a permis à la lutte contre le cancer de faire un bond incroyable. La performance de Ben Foster est excellente. D'ailleurs, la ressemblance physique est assez troublante par moments. Jesse Plemons qui joue Floyd Landis est également très bon. Ceci dit, je pense que le réalisateur pouvait aller encore plus loin et on regrette un peu la rapidité de traitement de certains passages. On se demande quand même ce que vient faire Guillaume Canet là-dedans, surtout dans le rôle du Docteur Ferrari (on appréciera la remarque sur Virenque : "c'est une fillette"). Enfin, ce film permet de se remémorer quelques souvenirs de grandes étapes de cyclisme mais aussi de rappeler que gagner à tout prix n'est pas acceptable.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 septembre 2017
    Un excellent biopic sur le champion déchu de son piédestal et ex roi de sa discipline, le monde du cyclisme, la trame s'enchaîne et captive jusqu'à la révélation finale toute en profondeur et d'émotion, Ben Foster joue bien son rôle
    Xavier D
    Xavier D

    50 abonnés 1 053 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 août 2017
    pauvre Armstrong, après les médias et le public, maintenant c'est un film qui continue à le des crédités encore plus. le gouffre! un tricheur, un manipulateur, un escroc même si il n'avait pas un si mauvais fond lié à sa maladie. une descréditation mérité. Ceci dit le biopic est vraiment bien réalisée et interprèté avec brio, Ben Fisher en tête bien sûr qui habite le rôle. Un brin conventionnel voir même parfois inutile, vue que l'on connaissent tous la fin.
    CH1218
    CH1218

    170 abonnés 2 779 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 août 2017
    En 1999, Lance Amstrong remporte son premier Tour de France, 6 autres suivront. Bien que l’on connaisse en gros les événements qui ont amené l’UCI à lui retiré ses 7 titres, le film de Stephen Frears met en images d’une manière limpide et fort bien documentée les mécanismes du programme de dopage qui ont entouré ces peu glorieuses années de mensonges, tout en mettant en parallèle les suspicions (parmi tant d'autres) du journaliste David Walsh. Un bon film sans temps mort où Ben Foster retranscrit avec aisance la personnalité arrogante et intimidante du plus grand tricheur du monde du cyclisme professionnel.
    Benjamin A
    Benjamin A

    668 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 août 2017
    The Program est typiquement le genre de film plutôt passionnant par son sujet (selon qu'on s'y intéresse ou non évidemment) mais décevant dans sa forme, qui plaira un minimum à ceux qui sont initialement intrigué, mais qui risque de laisser sur le bord de la route tous les autres.

    Très vite, la vie de Lance Armstrong devient le parfait scénario du film hollywoodien, l'ascension puis la chute, il est d'abord le symbole du courage suite à sa guérison du cancer, puis de l’extrême réussite par le biais de ses victoires et enfin du tricheur, puis du pariât. C'est d'ailleurs fou de constater qu'il a un peu pris pour tout le monde et que beaucoup sont un peu passé à travers les mailles du filet, notamment d'autres coureurs et surtout les sponsors qui ont fini par se retourner contre lui alors qu'ils finançaient voire encourageaient tout cela... Surement le prix de la victoire...

    Stephen Frears, qui adapte le bouquin Seven Deadly Sins: My Pursuit of Lance Armstrong du journaliste David Walsh, propose une oeuvre vraiment classique et d'un style wikipedia, ce qui est vraiment décevant lui qui avait tant brillé dans un genre similaire avec The Queen, suivant dans l'ordre chronologique les faits, et en occultant aussi beaucoup d'éléments, pour mieux retenir l'essentiel, l'ascension puis la chute. C'est tout de même dommage d'oublier quelques points plutôt intéressants de la carrière de l'américain, notamment l'enquête autour de sa prise d'EPO par le journal L'Equipe en 2005.

    Enfin, là où Stephen Frears est sauvé, c'est que le sujet est pour moi passionnant, et qu'il sait mettre en scène plutôt efficacement le récit, avec quelques aspects bien trouvés, à l'image des séquences purement cyclistes avec de jolies prises de vues, sachant aussi mettre en avant le coureur face à la (et sa) nature. Il mène plutôt bien son récit, sachant faire un condensé plutôt intéressant du programme et du long destin d'Armstrong même si certaines facilités et inutilités sont un peu déconcertantes.

    J'ai aussi bien aimé la façon dont il a été présenté, certes comme un ambitieux sans pitié, mais avec quelques moments touchants (notamment face à l'enfant malade), et sans jamais occulté le rôle primordial et dangereux des médecins et entraîneurs, qui sont tout autant fautif que les coureurs. Dommage tout de même que certains autres personnages importants bénéficient d'un traitement bâclés, notamment Landis qui restera un des pires dopés, notamment après la retraite d'Armstrong, voire même traîtres, et qui passe ici pour un pauvre petit gentil innocent. C'est le genre de gaffe qui gâche un peu le film, c'était inutile et rajoute un côté un peu manichéen (idem pour le journaliste, avec sa bonne tête de gentil).

    The Program peut surprendre, positivement cette fois-ci, par la façon dont il montre ce qu'à pu être le dopage au sein d'un peloton, avec une vraie spirale où tout le monde est entraîné et surtout doit se taire, pour ne pas être banni de ce milieu. C'est là que l'oeuvre arrive à être saisissante, dans la façon dont le dopage n'est devenu que routine, dommage qu'elle soit régulièrement rattrapée par ses limites. On pourra néanmoins apprécier de bons comédiens, arrivant à se fondre dans leur rôle, malgré une absence d'un réel point de vue venant de Stephen Frears qui, décidément, se restreint à la page Wikipedia du coureur américain.

    Malgré son passionnant sujet, The Program inspire surtout un sentiment de gâchis, tant certains éléments ont été modifiés, rendant les faits plus manichéens qu'il n'y paraît, et dans un style biopic Wikipedia manquant clairement de point de vue et d'intensité, dommage....
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 août 2017
    "The Program" : En fait c'est tout simple. Le scénario est copié d'une histoire vraie et y ajoute simplement la dose d'émotion et de personnages utiles à celle-ci afin d'alimenter le propos. Bien sûr ce n'est pas tout simple, les plans ne sont pas particulièrement géniaux, mais on s'en fiche. On s'en fiche totalement en fait. Parce que ça réussit. C'est ce film où l'on ne prête pas attention au cinéma, on le vit. On ne regarde pas les acteurs, on n'analyse pas l'histoire, on ne fait que voir, entendre, imaginer : on partage les sensations des personnages, on se projette dans le film, dans cette réalité si puissante, si intense, si juste et injuste. C'est presque anecdotique que de mentionner la superbe performance des acteurs, bien qu'en fait ils forcent le trait (mais sur le moment on ne le voit pas), car ce ne sont plus des acteurs, ce sont des humains, ce sont nos partenaires, c'est notre entraîneur. Voilà, le titre conditionne, carré, beau et carthésien. "The Program" bouleverse les sentiments et les réalités de chacun, il s'associe et s'approprie notre inhumanité à l'écran, il transforme le cinéma en invraisemblance, en inexistence.
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