Mon compte
    The Program
    Note moyenne
    3,5
    1905 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Program ?

    194 critiques spectateurs

    5
    4 critiques
    4
    57 critiques
    3
    82 critiques
    2
    36 critiques
    1
    12 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 juillet 2017
    The Program est une biopic sur le célèbre coureur cycliste Lance Armstrong montrant son programme de dopage en détail qui lui à permis pendant des années d’accéder à la victoire, la gloire et de cacher l'un des plus gros scandale du sport Français. Même si le film tiens en haleine durant 1h44, il se montre particulièrement pas assez explicite, il aurait été bien d'en découvrir beaucoup plus sur les conséquences de ces actes et l'impacts sur sa vie personnelle après scandale.
    Un Ben Foster dans le rôle d'un Lance arrogant, exécrable et manipulateur est parfait. J'ai également beaucoup aimé la prestation de Jesse Plemons et de Chris O'Dowd
    Un biopic correct même si il aurait été bien d'en découvrir d'avantage sur ce scandale
    Serpiko77
    Serpiko77

    51 abonnés 1 630 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 mars 2017
    Ceux qui s'intéresse un minimum au cyclisme n'apprendront rien du tout dedans. Pour les autres ce sera assez ennuyeux, le film ne fait que survoler les sujets et ne s'attardent jamais sur les choses importantes. On a vraiment l'impression que le réalisateur ne connait pas son sujet et qu'il a parer au plus pressé, ce qu'il a d'ailleurs reconnu. On espère à l'avenir un biopic bien plus sérieux sur ce sinistre personnage.
    Stephenballade
    Stephenballade

    369 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    Qu’on s’intéresse ou pas au vélo, je ne pense pas me tromper en affirmant que tout le monde a entendu parler un jour ou l’autre de Lance Armstrong. D’abord sous les meilleurs termes, ensuite sous des mots moins éloquents. L’affiche mise en avant par le site préféré des internautes cinéphiles porte quatre qualificatifs du champion américain déchu : champion, menteur, héros, tricheur. Je vous laisse le soin de mettre ces quatre mots dans l’ordre. Mais il existe des variantes d’affiche où figurent d’autres mots, souvent seuls : traître, science, vérité. Eh bien je crois que tout cela résume à peu près la carrière de ce coureur cycliste. Alors que pouvait apporter ce film sur une personne tour à tour adulée et détestée ? Pas grand-chose si ce n’est de mettre en images cette immuable rage de vaincre, et les rouages de la mise en place du dopage. Une certaine façon de montrer les coulisses du Tour de France, plus centrée sur son côté obscur et peu enviable. On doit saluer les recherches qui ont été faites pour rapprocher ce biopic au plus près de la réalité, mais il existe des inexactitudes de taille. En effet, le journaliste David Walsh par qui le scandale est arrivé est présenté comme solitaire ramant contre le reste de la presse. Dans les faits, Pierre Ballester (ancien journaliste du journal L’équipe) a non seulement participé à l’enquête, mais il a écrit lui aussi les articles et partagé les ennuis avec Walsh. "The program" a beau être un film britannico-français, c’est toute la partie française de l’enquête qui a été occultée. Parmi les autres inexactitudes, l’escamotage d’un contrôle positif est bien évoqué, mais il semblerait qu’il y en ait eu un ou deux autres. Et je ne parle même pas du fait qu’on expliquait alors les performances de l’athlète par les prises de médicaments prescrits à la suite de son cancer du testicule, évocation inexistante dans ce film. Il n’empêche que l’essentiel est là, sur un rythme qu’on pourrait croire dopé pour boucler le tour de la question en 103 minutes seulement. La réalisation est propre, crédibilise le propos à l’aide d’images d’archives, et le scénario ne se perd jamais en futilités qui auraient pu servir à romancer un peu tout ça. Mais qui de mieux qu’un américain pour jouer le rôle d’un américain ? C’est Ben Foster qui s’y est collé, et de quelle manière ! Il nous livre une énorme prestation parce qu’il va jusqu’à ressembler à cet ex immense champion dans l’effort. Non, je ne confonds pas avec les images d’archives, je parle bien des courtes séquences recréées pour les scènes à vélo. La performance de Foster passe par une psychologie du personnage très compliquée (grande intelligence, ego démesuré, cynisme, manipulateur, sincérité devant les enfants atteints du cancer…), et va jusque dans l’imitation du positionnement si particulier de Lance Armstrong sur le vélo. Un travail remarquable auquel Chris O’Dowd a répondu présent de façon très convaincante dans la peau du journaliste David Walsh. Par ailleurs, notons les présences remarquées de Denis Ménochet plus que convaincant dans le rôle de Johan Bruyneel, de Dustin Hoffman (que je n’attendais pas là) et de Guillaume Canet, littéralement transformé pour ressembler au célèbre médecin (italien) d’Armstrong. "The program" est donc un film bien fait, très bien fait, même, que ce soit au niveau de la reconstitution des courses, ou que ce soit au niveau des plans embarqués (vue sur le dérailleur, sur les pédales…). Beaucoup de choses sont évoquées, mais certaines d’entre elles ne sont pas suffisamment développées ; il va ainsi de l’influence du fameux "train bleu" sur le peloton, et du cas de Floyd Landis dont le rôle au sein de l’équipe n’a pas été suffisamment exploité, bien que là n’était pas le sujet. En revanche, les séquences podiums font faux… Un film qui ne s'arrête pas seulement aux initiés.
    djskeud
    djskeud

    4 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 novembre 2016
    Très belle prestation de Ben Forster que j'ai redécouvert dans Inferno avant de le revoir dans The program.
    Il est loin le jeune homme de 11h14....
    J'ai été agréablement surpris du film et de sa bonne construction.
    Le faits s'enchaînent bien et les acteurs sont justes, hormis Floyd Landis qui, je trouve, n'arrive pas à trouver le ton juste.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 13 octobre 2016
    Clairement, ce film n'a pas été écrit et réalisé par des amateurs de cyclisme. Et de ce fait, il ne s'adresse pas à eux non plus.

    The program n'a qu'un seul angle d'attaque : le procès à charge du démoniaque Armstrong. Cet homme aurait donc gagné ses 7 tours de France uniquement grâce au dopage et à l'intimidation. Aucun mot sur son entraînement, son aura, son intelligence de la course, son professionnalisme et surtout aucun mot sur le fait que tous ses concurrents sont eux aussi tombés pour dopage !

    Mais le plus grave, c'est que le film ne doit comporter que 5 minutes de vélo sur 1h30. Quand on voit la tronche des reconstitutions ça se comprend... Mais tout de même, j'aurais aimé voir la cohabitation avec Contador, les duels avec Ullrich et Beloki, la mort de Pantani...

    Quant à l'interprétation de Ben Forster, je l'ai trouvée mauvaise. Armstrong est un homme intelligent et ambigu. A aucun moment je n'ai retrouvé ça dans le film, où il est plutôt décrit comme le stéréotype du bovin texan.

    De l'aveu même du réalisateur, le film a dû être bouclé rapidement et ça se voit aussi bien dans la forme digne d'un téléfilm, que dans le fond aussi inconsistant qu'un reportage de BFM TV.
    peter W.
    peter W.

    40 abonnés 1 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 octobre 2016
    Un biopic bien réalisé qui donne quelques éclairages intéressants sur le fonctionnement du système Amstrong et sur la psychologie du coureur. Avec une bonne bonne interprétation de Ben Foster et un petit rôle "sympathique" pour Guillaume Canet. Cependant il laisse de coté pas mal d'épisodes et la réalisation de Frears reste finalement très lisse par rapport au sujet.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    239 abonnés 2 921 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2016
    Ce biopic m'a fichu une vraie claque !!! C'est prenant, dérangeant et vraiment parfaitement réalisé !!! Frears signe un nouveau coup de maitre et l'acteur qui joue Armstrong est épatant !! On découvre le vrai visage du ''champion'' de cyclisme et comme on le savait il est détestable et son ego surdimensionné, son ambition maladive et sa condescendance vous donnent envie de vomir !!! Sa fâcheuse tendance à se faire passer pour une victime parce qu'il a vaincu le cancer m'a révolté et vraiment devant le film on n'a qu'une hâte c'est de le voir déchu de ses titres et de voir sa chute !!! Un personnage exécrable et un biopic réussi sans hypocrisie !!! Un chef d'oeuvre !!
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    115 abonnés 1 589 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Un biopic sur le sulfureux Lance Armstrong pétri d’arrogance, d’ambition et terriblement manipulateur réalisé par Stephen Frears, çà paraissait alléchant. Mais Stephen Frears n’est plus très convaincant depuis plusieurs années, sa méconnaissance du cyclisme se voie à l’écran tout comme le manque de moyens dans la reconstitution de la course ; mais aussi dans l’absence de ligne directrice dans le récit qui aurait donné de la profondeur à ce tsunami sportif… tout cela ressemble à un film de commande peu inspiré et peu ambitieux. Au fond, on n’y apprend pas grand-chose que l’on ne savait déjà, voir dont on se doutait fortement déjà lors de ses victoires pour qui a un regard aiguisé. L’affaire Festina éclate avant la première victoire d’Armstrong plus les soupçons de dopage sur la Banesto et Indurain précédemment ; ces derniers étaient tout simplement plus amateurs que la programmation pour la victoire organisée au sein de l’US Postal par le Dr Ferrari. En passant, la composition de ce dernier par Canet est risible, car cette référence du dopage dans le cyclisme et le foot a l’air d’un bouffon tout droit sorti d’une série B sur la mafia. Revenons à Armstrong qui comme tout sportif de haut niveau est un malade en puissance : Armstrong son cancer, Froome sa maladie du sang. Et les comparaisons ne s’arrêtent pas là, les deux ont eu du mal à trouver une équipe pro à la petite vingtaine ; le premier monte une équipe de bric et de broc autour de lui (US Postal), le second signe chez Minolta comme coureur de 2nde zone. Leur potentiel de futur vainqueur du Tour de France n’était pas perceptible à 22/23 ans… et pourtant. Ensuite pour Armstrong, Walsch (le journaliste au cœur de l’investigation) s’étonne, à juste titre, des performances d’un ex cancéreux devenu hyper polyvalent après une si grave maladie. Mais n’a-t-on pas eu un exemple franco français avec Jalabert qui avant sa grave chute était seulement rouleur et revient bon sur tous types de terrain ; ajoutons les Festina qui roulaient à plusieurs jusqu’au haut des cols ;… On peut regretter que seul le vélo soit attaquer car nous pourrions parler du foot et de notre héros national : Zidane courant comme un lapin et ayant aussi gagné en masse musculaire après son arrivée à la Juve… tout cela dû au professionnalisme de la préparation à l’italienne et un certain Dr Ferrari probablement. Mais ici comme sur les Tour gagnés par Lance, c’est l’omerta qui prime, trop d’argent en jeu. Et le film a bon goût de se terminer par « Everybody knows », tout le monde le savait (UCI, coureurs, journalistes,…), mais une révélation pouvait conduire à l’effondrement du système. Donc du pain et des jeux et avant la musique, on ne crache pas dans la soupe qui nous fait vivre. Le film a donc une petite vertu, de pousser le public à s’interroger sur sa propension à gober les récits factices qu’on lui fait avaler. Et autre chose encore ; dans le sport, les ambitions et l’ego de certains sportifs dépasse leurs capacités, et ils passeront devant des athlètes bien meilleurs qu’eux-mêmes, car ils se fixent moins de limite… merci le dopage
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    252 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2016
    Toujours délicat d'adapter à l'écran la vie d'une personnalité encore vivante. Le manque de recul sur une affaire trop récente empêche parfois d'y voir clair. Stephen Frears a donc décidé de s'attaquer au cas du cycliste Lance Armstrong, sportif dopé parmi les dopés. Et il s'en sort plus que bien, livrant un film passionnant sur le sujet. Le réalisateur ne montre pas seulement un système de dopage ultra perfectionné. Il met aussi en lumière la personnalité tyrannique d'un coureur qui a donné tant d'espoir, mais aussi tant déçu. Et il nous interroge sur notre perception et notre capacité à monter des héros, et à les défaire aussi vite. Reste dans notre tête cette question lancinante à l'issue du film : comment a-t-on pu se faire avoir ?
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    113 abonnés 2 192 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 septembre 2016
    UN AMERICAIN A PARIS. Je le jure. Le Tour de France pour les nuls. Les éléments phare de l'affaire Armstrong, on oubliant les à coté ( vie de famille, prise de produit....). The King pour le pouvoir et la victoire, à l'insu de son plein gré.
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    54 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2016
    Super biopic sur la carrière et les affaires de dopage de Lance Armstrong. Appréciant beaucoup le cyclisme, j'ai beaucoup aimé les détails présent, les voitures des directeurs sportifs, les maillots, même les vélos sont des saisons antérieurs, quel travail! On voit à l'écran le vrai caractère d'Armstrong
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 201 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 août 2016
    Le biopic, c’est peu dire si je n’en suis pas très fan. Allez ! Osons-dire les choses jusqu’au bout : je n’aime pas les biopics. Ce n’est pas le concept en lui-même qui me dérange, c’est la manière dont on le traite quasi-systématiquement. D’un côté on sait qu’on aborde un personnage réel qui a vraiment existé, donc on s’efforce d’aborder les choses avec le plus d’exactitude possible. De l’autre, on se dit qu’on ne fait pas un documentaire non plus ; que les gens attendent de l’émotion, des rebondissements, une progression à l’histoire ; et que donc il va falloir céder à certains arrangements indispensables pour que la fiction tienne… Le résultat est souvent le même : une œuvre tiède qui en fin de compte ne satisfait ni vraiment la première exigence, ni vraiment la seconde… Et si j’explique tout cela, ce n’est bien évidemment pas un hasard. Même si c’est Stephan Frears qui est à la barre de ce « The Program », j’avoue qu’au final, je retombe à nouveau sur ce bilan. Alors après, je l’avoue, avec moi comme spectateur, le film ne partait pas gagnant. Déjà que je n’aime pas les biopics à la base, mais en plus il a fallu que ce film choisisse d’aborder une question sur laquelle je suis pas mal informé. Autant dire que, dès le départ, j’allais forcément passer le fil de cette intrigue à la moulinette. Or, ce qu’il en est vite ressorti, c’est que finalement, il n’y a pas grand-chose à dire sur les choix de Frears, parce que des choix... il n’y en a pas vraiment. Le film enchaine les évènements sans vraiment les interpréter, sans faire de choix dans ses angles d’attaque. Est-ce que ce qui l’intéresse c’est la mécanique du dopage ? C’est le coureur qui repousse les limites du corps ? C’est l’ambivalence d’une figure qui incarne à la fois l’espoir contre le cancer mais aussi la triche dans le sport ? Toutes ces questions sont certes abordées mais jamais vraiment traitées. Et le pire, c’est que je reste convaincu que ce résultat n’est que la triste conséquence de cette logique que j’ai évoqué plus haut. Parce qu’Armstrong est un personnage du réel ; un personnage encore vivant, Frears n’a pas trop osé l’interpréter. Alors du coup, il s’est caché derrière son petit doigt en reprenant les un à un les éléments du livre de David Walsh sur la question. Le problème, c’est qu’à mon sens, on ne peut pas prendre l’intrigue du point de vue d’Armstrong (comme c’est le cas dans le film) en cheminant selon l’enquête de Walsh, personnage d’ailleurs quasi-inexistant dans ce film. Non – et tant pis si on ne sait pas tout – si le film comptait aborder la question du point de vue d’Armstrong, alors il fallait s’attaquer à la logique d’Armstrong. Part on de son cancer, de son sauvetage miracle, et lui fait-on dire « maintenant je m’en fous, je vis et je fais les trucs à fond » ? Ou bien au contraire, est-ce qu’on insiste sur le fait qu’Armstrong n’est pas forcément doué en rien, si ce n’est au fait qu’il est un battant et qu’il sait ne se fixer aucune limite ? Explorer l’un de ces angles, cela aurait permis de questionner l’œuvre, de questionner le personnage et le système Armstrong. Au lieu de ça, je trouve qu’on a une œuvre propre certes, mais la plupart du temps distante, simplement illustrative et assez désincarnée. Un détail que je trouve incroyable mais qui pour moi en dit long, c’est qu’au final on a très peu de vélo dans cette histoire. Difficile de désincarner plus que ça un biopic sur un cycliste je trouve ! Bref, sans être totalement désagréable, ce « Program » passe pour moi pas mal à côté de son sujet, et je trouve ça juste vraiment dommage…
    jean-paul K.
    jean-paul K.

    10 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 août 2016
    J'ai été très agréablement surpris par ce film. C'est vraiment fait comme un thriller et non pas comme un biopic, ce qui a beaucoup plus d'intérêt. Je ne sais pas si le personnage est aussi désagréable et manipulateur que dans le film; ici il est tellement "too much", on attend une seule chose: sa condamnation et sa déchéance. Quelques images rappellent bien des souvenirs suscitant bien des interrogations, notamment ses démarrages laissant ses adversaires à distance en quelques mètres. Le personnage est tellement désagréable dans le film que je n'ai éprouvé aucune sympathie ou admiration, notamment pour son rôle dans sa fondation. N'est ce pas encore une façon d'exprimer son ego surdimensionné ?
    iceman7582
    iceman7582

    42 abonnés 1 158 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2016
    Un film documentaire hallucinant ! Ben Foster est exceptionnel dans le rôle de Lance Armstrong. Le scénario déjà connu nous emporte malgré tout jusqu’à la dernière minute. Le film nous révèle l'ampleur du mensonge et surtout dénonce au grand jour l'étendu du système dopage pendant les années 2000... Un superbe film à voir, y compris pour ceux qui ne connaissent rien au cyclisme.
    cinono1
    cinono1

    269 abonnés 2 000 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2016
    Avec ce film, Stephen Frears s'attaque à un de ses thèmes de prédilection, les faux semblants. Il montre un système corrompu ou chacun est pourtant persuadé d'agir avec la plus grande sincérité. Quand le mensonge est d'abord cru par celui qui le pratique...cela jette une lumière crue sur les fausses valeurs de notre époque, ce sentiment d'impunité, de superiorité qui ne manquera pas de se retourner contre celui qui l'utilise. Le film est très malin, très rapide, presque trop, cela empèche de sentir les enjeux qui se cache derrière la comédie humaine ordinaire.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top