Mon compte
    The Program
    Note moyenne
    3,5
    1905 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Program ?

    194 critiques spectateurs

    5
    4 critiques
    4
    57 critiques
    3
    82 critiques
    2
    36 critiques
    1
    12 critiques
    0
    3 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Bon film. Pour les passionnés du sport en général. Pour un sport propre.
    Pour mieux comprendre l'histoire Amstrong et le dopage en règle général.
    Bien construit, bien détaillé sans être complexe. A voir pour mieux comprendre certaines facettes du sport.
    Benito G
    Benito G

    616 abonnés 3 159 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Si Frears met du sien pour insuffler la vie à ses courses cyclistes, le reste est beaucoup plus sage et le film... inutile (je suis triste de le dire mais c'est malheureusement le cas)? Tour à tour biopic, oeuvre accusatrice, descriptive du combat d'un homme contre le cancer, témoignage d'une réussite exceptionnelle et d'une chute aussi dure que juste, essayant de mettre en avant le travail d'un journaliste, The program a au moins le mérite d'être particulièrement technique (les cyclistes sont devenus des rats de laboratoire) et servi par d'excellents comédiens. Mais le souci c'est que l'histoire a fait la une de tous les médias il y a encore peu et qu'on la connaît vraiment par coeur. Un homme fauché par la maladie et frustré qui va tout faire, vraiment tout, pour prouver au monde qu'il est le meilleur ; un homme dépassé par les évènements, son statut d'icone, de héros, de juste... mais qui, on le sait aujourd'hui, n'est que l'incarnation du mensonge, 100 % coupable. Personnage plus important pour avoir défiguré à jamais le cyclisme que pour ses performance depuis annulées corps et âme, film mettant en avant le fait depuis longtemps avéré que ce sport n'est plus constitué d'un homme seul avec son vélo mais d'une équipe complexe (du directeur marketing au médecin) : il n'y a pas grand chose à piocher ici, ce qui me fait une nouvelle fois dire qu'il ne suffit pas de mettre un évènement en image pour l'éclairer sous un jour nouveau. Peut-être que ce film est sorti trop vite, trop tôt, et n'a pas laissé à l'Histoire le temps de se faire. Mais bon on va dire qu'il en on trop parler (d'où le très faible succès au BO^^) et le sujet on a vite fait le tour. Sa manque de piquant de surprise.... Un biopic alliant un petit coté thriller^^. Dommage (mais perso je n'attendais rien).
    FaRem
    FaRem

    7 705 abonnés 8 979 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Lance Armstrong était un bon coureur puisqu'il a été champion des Etats-Unis et du Monde avant même qu'il ne soit question de dopage, on le voit d'ailleurs avec les couleurs arc-en-ciel sur son col lorsqu'il aborde pour la première fois cette question, mais les échecs et l'envie d'être plus qu'un simple bon coureur l'ont poussé à choisir la facilité. Il restera l'un des plus grands tricheurs peut-être même le plus fort parce que toutes les méthodes utilisées étaient très sophistiquées, mais il restera aussi un homme qui a servi d'exemple pour beaucoup de malades.
    J'ai trouvé le film vraiment pas mal, il est bien détaillé, on évite pas certains raccourcis qui laissent croire que tout est facile alors qu'il y a une sacrée organisation derrière tout ça, mais il faut dire que l'histoire de l'Américain est tellement riche que les 100 minutes n'étaient bien évidemment pas suffisantes pour avoir un traitement plus précis. Stephen Frears va à l'essentiel et décrit toutes les méthodes pour tricher, mais pas que puisqu'il montre à quel point Armstrong avait la même mise sur tout le monde que ça soit les membres du peloton, je me souviens de l'affaire Simeoni quand ce dernier était échappé et qu'Armstrong était sorti du peloton pour l'obliger à revenir, ou sur l'UCI qui avait tellement peur d'un scandale qu'ils se sont tus.
    Si vous avez aimé ce film, je ne peux que vous conseiller "La petite reine" qui se disperse moins et qui est vraiment axé sur le dopage et toutes les méthodes folles pour passer entre les mailles du filet.
    Michel P.
    Michel P.

    5 abonnés 75 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2016
    Les plus :

    Inspiré d'un livre du plus couageux des journalistes sportifs, voila un film passionnant par son thème sur le dopage. Le sport d'aujourd'hui est un grand spectacle, au milieu duquel il y a des hommes. Lance Amstrong, 7 fois vainqueur du Tour de France incarne la gloire, l'argent mais aussi la triche organisée qui se joue de l'éthique et de l'amour propre.
    Jamais on tombe dans le documentaire et la durée ( 1h40 ) passe vite. Les seringues jetées dans les cannettes vides, les poches de sang accrochées à des cintres, on voit tout. C'est vraiment captivant.
    Une belle performance de Ben Foster incarnant parfaitement Lance, qui avant d'être un ange déchu, fut un meneur d'homme sans partage. Son regard foudroyant est tellement vrai. Glaçant!
    Stephen Fears filme bien magnifiquement, mais très peu le vélo et le tour de France, pour cibler l'homme, chargé comme une chaudière, prêt à tout jusqu'au mensonge avec lui-même.

    Les moins :
    • Je regrette de ne pas savoir quelles sont les motivations profondes d'Amstrong dans la recherche acharnée de la première place sur le podium, son enfance n'est pas du tout explorée dans le film. Elle est pourtant fondamentale pour me comprendre la dérive pathétique de l'humain qu'il est.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2016
    Un mythe magnifiquement raconté et des scènes très travaillés ! Je le conseille à tout le monde ! Mais surtout au sportifs !
    Ciné2909
    Ciné2909

    67 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 décembre 2015
    Pas la peine d’être un grand spécialiste du vélo pour connaître Lance Armstrong qui a fait la une des médias d’abord pour ses performances sportives puis par le scandale du dopage. Stephen Frears revient sur son ascension fulgurante tout comme le fut sa chute ; on y découvre un champion qui aura longtemps vécu dans le déni avant de devenir le héros déchu que l'on connaît aujourd'hui. Pour l'incarner et c'est l'un des points forts de The program, notre pote Ben Foster nous livre une prestation à l'image de sa transformation c'est-à-dire impressionnante. Un biopic sur un personnage malgré tout fascinant et qui doit beaucoup à son interprète principal.
    zhurricane
    zhurricane

    73 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2016
    Monter et déchéance de Lance Amstrong considéré comme le plus grand cycliste de sa génération, voir tout court. Le film commence très bien, Frears sait instiller de la tension, et du rythme. Le film repose avant tout sur ces acteurs avec en tête Jesse Plemons dans le rôle de Landis il est excellent et vole la vedette à Ben Foster qui est pourtant très bon tout comme Chris O'Dowd et Guillaume Canet dans un rôle assez drôle. Le film évite parfaitement le lynchage d'Amstrong tout comme sa glorification. De là, on peut dire que le film est intelligent. Petit bémol toutefois sur les courses de vélos qui manque de réalisme. Bref au final un bon film, bien que classique.
    benzinemag.net
    benzinemag.net

    22 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 novembre 2015
    Pas facile de retranscrire au cinéma le plus grand scandale de l’histoire du sport moderne. Pourtant, Stephen Frears s’en est plutôt bien sorti en mettant en scène le cycliste Lance Amstrong et la manière avec laquelle, durant des années, il a berné les contrôleurs de l’UCI et la planète entière sur ses performances. Le réalisateur anglais dresse le portrait d’un sportif mégalo au parcours et à la personnalité atypique en nous plongeant dans les coulisses du Tour de France, nous montrant bien les enjeux du dopage. Passionnant et haletant comme un polar.
    NewBoorn
    NewBoorn

    56 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 novembre 2015
    Après le très émouvant Philomena, Stephen Frears s'essaie au biopic de ce diable de Lance Armstrong, avec selon moi beaucoup moins de réussite, notamment au niveau de la réalisation, marquée par des vidéos d'archives ne collant pas du tout avec le film. L'effet est raté à ce niveau là, on ne sait plus si l'on regarde une fiction ou un doc. De plus, l'image de l'américain est de mon propre avis erronée. A l'époque où le cycliste ne s'était pas encore fait épinglé, son image médiatique et en tant qu'homme était plutôt bonne voire excellente. Or "The Program" nous en fait quelqu'un de mauvais et fourbe, à la limite d'être un monstre qui a simplement soif de victoire. On est au final assez peu ému de son sort car l'oeuvre n'est pas assez extérieure et prend parti contre le personnage. Ses aveux sont expédiés comme une lettre à la poste, après tout ça... Les acteurs ne sont pas non plus très marquants, et la blague du tout est malheureusement pour nous Guillaume Canet : expliquez moi pourquoi prendre cet acteur pour jouer un italien pas net du tout ? Son personnage frôle le ridicule...
    Fab V
    Fab V

    1 abonné 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2015
    La on comprend mieux ce qui peut poussé et amené les sportifs au dopage pour Armstrong sont cancer la rongé après le personnage est orgueilleux et refuse de combattre pour gagner mais à vaincre san péril ...... on triomphe sans gloire . Concernant le film il dévoile le système ce qui est très bien également des acteurs dans leur rôle
    Ricco92
    Ricco92

    190 abonnés 2 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 octobre 2015
    Description de l'ascension et de la chute de Lance Armstrong, The Program est une très intéressante description de l'importance du dopage dans le cyclisme. Même s'il simplifie un peu la réalité (Stephen Frears donne l'impression que David Walsh est le seul journaliste à avoir révéler la tricherie du coureur américain alors que Walsh a collaboré avec le français Pierre Ballester et que quelques enquêtes faites par d'autres journalistes avaient déjà apportées quelques révélations), le film est très prenant et montre l'aspect mafieux qui peut régner dans le sport ainsi que les raisons pouvant amener à ces extrémités (le refus de perdre). Lance Armstrong est d'ailleurs brillamment interprété par Ben Foster qui le représente comme une personne peu appréciable, arrogante et dictatoriale. Sans être une œuvre marquante (elle est peut-être un peu trop classique), The Program est un film à voir pour son aspect documentaire passionnant et pour le réalisme de l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 octobre 2015
    agréablement surpris et j'ai appris plein de choses sue le vélo et ses dopé
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 14 octobre 2015
    C'était un grand challenge que de porter à l'écran l'histoire du plus célèbre tricheur de l'histoire du sport mondial : Lance Armstrong. Force est de constater que Stephen Frears a réussi ce challenge.

    Grâce à l'écriture soignée du scénariste/adaptateur John Hodge, à qui l'on doit les superbes «Trainspotting» et «La Plage», le récit de la carrière du cycliste, depuis sa lutte contre le cancer jusqu'à sa chute et sa mise au ban du sport mondial, est parfaitement maîtrisé. En montrant, dès le départ, la culpabilité d'Armstrong face au dopage, Stephen Frears fait le choix de s'interroger sur les raisons qui ont poussé le champion à tricher. Il explique la course au dopage par la persévérance d'un homme à la volonté brutale de gagner à tout prix, sans jamais abandonner. Frears filme, avec talent et sans effet de style superflu (sauf la double focale parfois gênante), l'organisation du dopage, la méthode Armstrong : le fameux "Program".

    Il parvient même à rendre le personnage fascinant. C'est certainement lié à la performance bluffante de Ben Foster, qui incarne avec brio le célèbre maillot jaune. L'acteur serait même allé jusqu'à se doper pour tenir le rôle. Les autres acteurs ne sont pas mauvais mais ils sont loin de faire une aussi grosse impression. On se demande quand même pourquoi Frears est allé chercher les Français Guillaume Canet, pour endosser le rôle du médecin italien Ferrari, et Denis Ménochet, pour incarner le chef d'équipe belge Bruyneel. Jesse Plemons, aperçu dans «Breaking Bad», en Floyd Landis est assez juste.

    Finalement, avec ce film, Frears rend habilement compte d'un monde où le dopage et toléré par tous ceux qui y ont intérêt. Si les connaisseurs du sujet pourront être un peu déçus par l'absence d'explications claires sur comportement d'Armstrong, les autres se régaleront.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 octobre 2015
    Tout juste deux ans après les aveux médiatisés du coureur aux sept victoires dans la Grande Boucle, le cinéma s'attaque à cette affaire de triche sous fond de gros sous, épisode exemplaire dans son genre. Et pas n'importe comment, de manière ultra punchy, avec le parti pris de laisser la psychologie de côté pour privilégier les faits, rien que les faits. Ainsi pas de développement d'un éventuel traumatisme d'enfance ou d'une vie opprimée qui mériterait revanche, on démarre directement sur les routes du Tour en 1993. Ce postulat dérangera ceux voulant découvrir le Armstrong privé derrière l'homme publique, mais la réalisation dynamique de Stephen Frears justifie rapidement ses intentions : s'immerger dans les zones noires du cyclisme via un cas emblématique. Ni héros, ni salaud. Le teasing du film a insisté sur ce point, le pari est ténu, néanmoins tenu d'extrême justesse car en grande partie à charge contre son personnage principal. Heureusement le prologue situe le tournant de 1994 dans le cyclisme, à savoir la généralisation de la prise d'EPO dans le peloton, ainsi Armstrong suit un mouvement en place, tout juste le fait-il avec un peu plus de zèle que les autres. Ce qui prime sera donc l'étonnement de voir passer un honnête coureur de « spéciales » à un statut de monstre de « montagne », le traitement du phénomène par les médias, le milieu du sport, les politiques, les organisateurs du Tour eux-mêmes (implication nette et sans appel de l'Union Cycliste International en point d'orgue). Au-delà de la prestation de Ben Foster, dont le mimétisme avec LA est sidérant, le film vaut pour son montage survolté, ses inserts brillants entre archives, séquences rejouées et commentaires originaux (les téléspectateurs de France Télévisions reconnaîtront la voix inimitable de Patrick Chêne), un sens du gigantisme et de la démesure en concordance avec le culot cynique du maillot jaune et son équipe. Parfois le récit rompt avec sa spirale grandiloquente pour d'authentiques et troublants moments d'humanité : le malaise d'Armstrong face aux malades du cancer le prenant pour exemple, sa séance d’auto-persuasion devant le miroir, les tensions avec son rival de l'intérieur Floyd Landis, ses entretiens, d'abord feutrés puis violents, avec le journaliste David Walsh dont l'enquête guide l'essentiel du long-métrage. Nous ressortons de la projection avec la sensation d'avoir composé avec la dualité d'un être complexe, à l'origine d'une œuvre de bienfaisance elle-même basée sur un mensonge, l'auteur de constantes menaces, jeux d'influence, stratagèmes pour conserver sa place au sommet. Un arriviste ? Sans doute, mais pas du genre que l'on condamne avec suffisance. Doutes et réflexions s'insinuent de bout en bout, à l'image d'un générique de fin saupoudré de citations contradictoires des protagonistes du scandale sur fond de Leonard Cohen. Tout jugement paraît vain, sinon de considérer le titre de la chanson en question, Everybody knows, comme l'aveu d'un crime englobant bien au-delà du banc des accusés.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    392 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 octobre 2015
    Entre maladie, quotidien de mensonges et vie amoureuse, Stephen Frears conte l'échec d'un champion cycliste : Lance Armstrong. Ce qui aurait pourtant pu être un bon film, tombe très vite dans une vision trop manichéenne du personnage, entre déchéance et combat contre le cancer. Le traitement du temps perd le spectateur à coup d'ellipses lorsque même Guillaume Canet ne parvient pas à rattraper le biopic... Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top