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    The Program
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    3,5
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    194 critiques spectateurs

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    Stéphane C
    Stéphane C

    56 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 octobre 2015
    Difficile de trouver un élément à décharge dans ce film-documentaire très passionnant. Le réalisateur retrace l'ascension puis la chute de celui qui fut probablement la plus grande supercherie du cyclisme et du sport en général; l'absolution dans sa lutte contre le cancer paraît si dérisoire ! Un portrait éloquent, incendiaire d'un homme - admirablement incarné par Ben Foster -, antipathique, à l'égo surdimensionné et totalement aveuglé par le succès ...
    nathaliewell
    nathaliewell

    19 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 octobre 2015
    Ben Foster rentre dans la peau de son personnage au point qu'il devient Lance Amstrong sur le grand écran et ça c'est vraiment bluffant. Ce film nous montre, avec l'appui de nombreuses et réelles images d'archives, comment cet homme a réussit à ''monter'' une véritable entreprise de dopage au sein de son équipe, dans le seul et unique but de gagner et ce à n'importe quel prix.
    Le portrait qui est dépeint de Lance Amstrong dans ce film ne fait pas de lui un homme très sympatrique ! Le film ne valorise ni l'homme, ni le cyclisme, mais il est construit de façon à nous faire penser que tout est vrai et que cet homme n'a rien d'un champion ! Qu' Amstrong ne serait qu'un effroyable imposteur qui court après l'argent et la gloire et qu'il ne serait qu'un tricheur, un menteur, un manipulateur qui finirait même par se prendre pour le parrain en menaçant tous ceux qui essayeraient de se mettre en travers de sa route. Qu'ils soient coureurs, qu'ils soient journalistes ou qu'ils soient des proches, il ne laissera personne l’empêcher de continuer d'être ce héros qu'il a décidé de créer ! A force de mensonges, d’égoïsme, d’Égaux surdimensionné, de froideur et de manipulations, cet homme qui dans ce film est montré comme menaçant et machiavélique réussit à faire croire au monde entier qu'il est un héros !Mais à vouloir toujours plus, le héros finit par laisser place à un effroyable monstre. C'est ce que raconte The Program. Quand un sujet ne m’intéresse pas suffisamment pour me plonger dans des lectures d'articles et d'archives, j'avoue que je me contente d'aller voir le biopic au cinéma afin de mieux comprendre et de me faire une idée. Si le film réussit à m’intéresser je fais alors des recherches pour comprendre et vérifier la véracité de ce que je viens de voir au cinéma. Ce film m'a intéressé. J'ai alors fais des recherches, j'ai regardé beaucoup de reportages, j'ai lu de nombreux articles sur Lance Amstrong avant de pouvoir émettre un avis sur le film de Stephen Frears et il semblerait que The Program ne soit pas une fiction...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 octobre 2015
    Straight to VOD film. No release date in the US, every industry outlet in America, THR, Variety, Deadline killed the film. Foster’s performance is a cartoonish over the top Armstrong. Foster plays the same creepy villain over and over in every film, this time is just Charlie Prince or Jake Mazursky on a bike. He may have nailed the facial resemblance but his body is nothing like Armstrong’s. Foster’s legs are the pasty, fat legs of an accountant, not a pro cyclist. His announcement to the press about PED’s assumption looked like a desperate PR stunt ahead of the TIFF premiere. No method actor tells his tricks to the press aiming to get headlines and some awards buzz, DDL never did that. The film would have been better if the lead was Jesse Plemons: his Floyd is the best performance of the film. This is one of the worst films Frears has ever made.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 octobre 2015
    bons acteurs, bon moment, même si la fin semblait un peu bâclée. On sort avec l'envie d'en savoir plus.
    vincenzobino
    vincenzobino

    97 abonnés 390 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2015
    Merci Monsieur Frears d'avoir porté a l'écran l'adaptation du livre décrivant le plus gros fiasco sportif de ce siècle.
    J'étais extrêmement sceptique avant le visionnement du film car je craignais une sorte de compassion envers le cycliste texan qui m'avait d'abord impressionné avant de me susciter bon nombre de questions a partir du passage du tour a Lausanne en 2001 et d'un souvenir fort particulier professionnel étant réceptionniste dans l'hôtel qui accueillait les US Postal, l'équipe cycliste de l'américain. Et a partir de ce jour, ma vision de ce miracle avait changé et le show d'Ophrah Winfrey avec l'aveu connu fut une certaine réjouissance.
    Le film est remarquable a la fois dans sa description de ce "programme", dans ses reconstitutions (si l'on excepte un couac géographique situant Genève... a Montreux, et oui la Suisse joue un rôle géographique) et par son casting emmené par un brillant Ben Foster qui est Lance et un hilarant Guillaume Canet dans le rôle du Dr Ferrari.
    Également intéressant la place jouée par Floyd Landis a qui je dis merci d'avoir été un tricheur honnête et permis en grande partie a la vérité d'éclater au grand jour.
    A recommander...
    Septième Sens
    Septième Sens

    77 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 octobre 2015
    Lance Armstrong est un tricheur. Ça, tout le monde le sait. Mais Stephen Frears va nous montrer comment toute cette supercherie a pu voir le jour. Bienvenue dans les dessous d'un des plus grands scandales sportifs de tous les temps.

    Avant toute chose, The Program n'est pas un long-métrage sur le sport, mais sur le mensonge. Durant les courses qu'il filme cependant, le cinéaste donne au cyclisme le dynamisme qu'il mérite en décadrant de nombreux plans et opérant un montage assez nerveux. Mais que dire d'autres choix artistiques plus que douteux ? Comme celui d'alterner de temps à autre images d'archives et fiction, brouillant la frontière qui existe entre documentaire et cinéma. Ou comme celui d'insérer quelques flashbacks maladroits desservant la linéarité du récit.

    Car, et l'on pourrait se poser cette question essentielle à chaque fois que nous quittons une salle obscure : que nous a réellement apporté ce film ? Pas grand chose, puisque la presse avait déjà massivement relayé ces informations à l'époque où le scandale avait éclaté. Pour avoir la légitimité d'adapter cette histoire sur grand écran, le réalisateur de The Queen devait se pencher sur la personnalité complexe et habité de son héros, Lance Armstrong. Paradoxal et impénétrable, celui-ci ne semble pas passionné par le vélo mais par le désir intarissable de gagner. Ayant construit son mythe sur un mensonge flagrant, quelles étaient ses réelles motivations ? Son association caritative lui servait-elle à se déculpabiliser de son imposture ? Le cinéaste ne fait qu'effleurer ces thèmes majeurs et n'arrive pas à dépeindre avec assez de précision ce personnage pourtant passionnant et bien campé par Ben Foster.

    Mi film d'enquête journalistique, mi film dramatique, ce fragile Program développe une thèse répétitive qui ne sert qu'à enterrer ce sportif dans sa tombe. Un reportage aurait suffit, nul besoin de procédé cinématographique pour un tel résultat...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 septembre 2015
    Une démonstration sans concession qui évite toutefois le procès à charge, apportant de la crédibilité au scénario. Le film nous permet de prendre conscience de ce dopage organisé, de l'omerta autour de ces pratiques et des jeux de pouvoir qui se jouaient en coulisse pour couvrir ce scandale pendant plusieurs années.
    Jean Marc Dinaut
    Jean Marc Dinaut

    21 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 septembre 2015
    qu'est ce qui a bien pu pousser le grand cinéaste Stephen Frears à faire un film sur Lance Armstrong. Mystère ! En tout cas cette bio, est plate, glacée, superficielle. On n'apprend rien de plus qu'on ne sait déjà (vu tous les films qui ont déjà été faits sur le sujet). Malgré tout, le début du film augurait de bonnes choses, mais qui ne se sont jamais concrétisées. Ce n'est qu'un défilement de scènes de course - certes bien filmées, de scènes de tricheries. Nous aurions aimé que le cinéaste rentre plus dans la personnalité complexe le L.A, et décortique un peu plus ce sport magnifique, tellement controversé. D'autre part, paradoxalement, étant donné le vrai charisme du vrai L.A, on n’adhère jamais au personnage du film (Ben Foster), au surjeu et au regard torve, tricheur, malhonnête et manipulateur. Néanmoins reconnaissons qu'il était difficile d'appréhender ce personnage réel et vivant dans ses motivations intimes et philosophiques. Devait on en faire un film ? Voilà la question.
    jaja77
    jaja77

    59 abonnés 1 326 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2015
    j'ai été voir par hasard ce film, pas du tout déçu.en effet, j'ai été surprise par la qualité de l'histoire vraie de "lance amstrong" le champion du cyclisme pendant de longues années très bien interprété par le personnage principal qui y joue superbement bien le rôle du gagnant du tour de france avec des périodes parfois plus difficile que d'autres.tous les autres acteurs sont également bons.une bonne reconstitution du cycliste et du cyclisme des années 1993 à 2013 avec ses bons et mauvais moments durant la totalité de son parcours de champion.j'en suis ressorti émue.
    Gonnard
    Gonnard

    224 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2015
    Les dernières secondes du film révèlent toutes les qualités mais également défauts de celui-ci. Basé, pour ne pas dire copié-collé, sur le rapport de l'USADA, "The Program" n'est ni plus ni moins que ce qu'on pourrait qualifier de docu-fiction. Respectant une chronologie (bien trop) linéaire, Stephen Frears nous livre minutieusement tous les détails de ce vaste foutage de gueule que fut le Tour de France version Arsmtrong. Le problème, c'est qu'à moins d'être parti en Amazonie taquiner la vie sauvage une dizaine d'années, on n'apprend absolument rien. Le suspense est donc pulvérisé d'entrée, et la réalisation s'avérant complètement fade on n'y trouve pas grand plaisir. "The Program", un film décevant donc, surtout au vu de l'accueil favorable. pour moi il fait plus figure de catharsis collective que d'une œuvre cinématographique digne d'intérêt.
    Black-Night
    Black-Night

    169 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2015
    The Program est un très bon film. Nul besoin d’être fan ou passionné de cyclisme pour apprécier ce biopic sur la légende Lance Armstrong surnommé aussi comme le plus grand scandale de l’Histoire du sport. Un biopic et un film dramatique presque sous la forme de thriller pour découvrir la vérité de l’enquête sur le démantèlement du programme de dopage sur la star du coureur cycliste septuple champion du Tour De France.
    Le métrage est vraiment super, riche en infos, doté d’un travail de recherche excellent pour nous restituer avec brio le parcours hors norme et la vie de Lance Armstrong, de ses débuts difficiles, son combat contre le cancer, sa gloire, sa déchéance. Tout nous est montré dans ses moindres détails, de la procédure de dopage par intraveineuses avec son lot de scènes de piqûres un peu trop nombreuses et pas forcément des plus agréables, aux scènes de courses cyclistes toutes plus belles et maîtrisées les unes que les autres, aux scènes plus intimistes des conférences et autres interviews de la star. A mon sens tout ou presque en tant que fan de vélo et de la Grande Boucle est bien restituée sur l’affaire Armstrong. Seules les trop nombreuses scènes que l’on peut appeler chirurgicales et les quelques scènes et points abordés de manière assez furtive m’ont déplu.
    La mise en scène est bonne, notons aussi la très belle ouverture originale rendant un bel hommage aux anciens Tour De France.
    Un manque léger sur la bande son se fait ressentir car très souvent en retrait mais elle reste de qualité.
    Le réalisateur Stephen Frears nous offre une réalisation superbe où je retiens personnellement ses plans magnifiques lors des courses cyclistes filmées avec splendeur. L’enquête et les personnages nous sont incarnés par d’excellents acteurs jouant tous bien leurs rôles avec : Ben Foster excellent dans son rôle de Lance vraiment convaincant, Chris O’Dowd excellent dans le rôle du journaliste, Guillaume Canet excellent dans le rôle du médecin italien Michele Ferrari, Lee Pace bien, Dustin Hoffman dans un petit rôle y est très bon, Jesse Plemons très bon dans le rôle de Floyd Landis coéquipier d’Armstrong, Denis Ménochet très bon dans son rôle de Johan Bruyneel le directeur d’équipe, Elaine Cassidy bien.
    Un portrait happant sur le plus grand tricheur de l’histoire du cyclisme qui en 2012 sera finalement déchu de ses 7 titres. Un biopic fort et choc à voir sur la star et ce fameux programme de dopage.
    Ma note : 8/10 !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 septembre 2015
    L'exposé sur Armstrong est scolaire: le réalisateur déroule des faits somme toute déjà connus, de façon plate et linéaire. Rien à redire sur le jeu, la caméra, le rythme, mais rien à en dire non plus. Les personnages n'ont pas d'épaisseur, on n'entre pas dans la psychologie de Lance, aucune complexité des émotions, aucune vie intérieure. Des faits, seulement des faits. Pas de place non plus pour le public, ses doutes, ses réactions, le scandale, la polémique, l'émotion des fans. On n'est pas non plus dans l'ambiance du tour, de l'entrainement, de l'épreuve pour les coureurs. On survole, dans un film propre mais sans saveur.
    Christophe R
    Christophe R

    25 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2015
    "The Program" est définitivement un excellent témoignage sur l'un des plus répugnants escrocs du cyclisme professionnel, et a fortiori du sport de haut de niveau. Le portrait rendu de Lance Armstrong, très bien documenté, est glaçant, tout comme le monde du vélo d'ailleurs. Le film est en sens passionnant et répugnant, aidé par des acteurs fabuleux. Pas forcément fan du Tour de France, j'ai été pris aux tripes par ce film. Superbe tour de force réussi par Stephen Frears, définitivement un réalisateur orfèvre.
    Charles R
    Charles R

    48 abonnés 424 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2015
    Que peut-on attendre d'un film sur Lance Armstrong ? Un simple biopic comme le cinéma s'est décidé à en cultiver la mode depuis déjà plusieurs années ? Des révélations fracassantes sur une histoire de dopage connue de tous, du moins dans ses grandes lignes ? Non, le dernier film de Stephen Frears n'apporte pas grand-chose à notre connaissance d'une des plus lamentables histoires du sport de ces dernières années. Tout est raconté : les premières victoires du jeune champion, la rencontre avec le sulfureux docteur Ferrari, la mise en place d'un "programme" plus inspiré par les pratiques mafieuses que par les lois du sport, les victoires imméritées qui s'enchaînent, l'entrée en scène d'un coéquipier, Floyd Landis, que Lance Armstrong pense pouvoir manipuler à son gré, les révélations finales et la confession devant les caméras de la télévision américaine. Le scénario n'apporte donc aucune surprise. La distribution, quant à elle, est inégale : Ben Foster impeccable dans le rôle-titre, Chris O'Dowd très convaincant dans son rôle de journaliste qui se donne pour mission de faire toute la lumière sur l'invraisemblable supercherie, Dustin Hoffman que l'on retrouve avec plaisir même s'il campe un rôle secondaire, en revanche un Guillaume Canet qui prête ses traits - sérieusement travestis pour la circonstance - à l'abominable docteur Ferrari et fait de celui-ci une caricature peu inspirée en italianisant au maximum le personnage (accent italien sur accent anglais, quel méli-mélo !). En revanche, le grand gagnant dans l'affaire est indéniablement le montage : des images qui nous précipitent dans une ténébreuse affaire à un rythme endiablé, c'est tout bonnement splendide. Le film dure environ une heure trois-quarts, mais on n'a guère le temps de s'ennuyer tant le spectateur est entraîné dans ce monde du cyclisme où la vitesse est de mise, mais aussi où tous les coups sont permis. Un thriller ? Sans doute avec les personnages attitrés : le boss autour duquel se met en place tout un réseau, le médecin criminel, les complices plus ou moins déclarés, le journaliste probe qui mène une enquête qui devra conclure à un scandale retentissant... Mais aussi un film sur le mensonge porté à son plus haut degré et affectant un coureur appartenant à une nation où mentir est le pire des péchés capitaux. Bref, un film de seconde zone dans la production de Stephen Frears, mais qui se laisse voir avec un certain plaisir et témoigne une fois de plus des immenses qualités de son metteur en scène.
    The Hurt Locker
    The Hurt Locker

    3 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 septembre 2015
    J'attendais beaucoup de ce film sur une des plus grandes stars déchues du monde du sport. Et avec S. Frears à la réalisation le film promettait. J'ai été très déçu car c'est un film superficiel qui n'est bon qu'à faire enfler la polémique du grand méchant loup. D'accord, tous les points principaux et anecdotes de cette affaire sont mentionnés. Mais on survole littéralement les Tours de France gagnés par Armstrong. Ben Foster n'apparaît sur son velo que quelques minutes mais sont au moins superposées quelques images d'archives. Le film ne mentionne à aucun moment les entraînements qu'Armstrong s'est infligé ni des tactiques de course et encore moins son intelligence du sport. En gros Armstrong a gagné ses sept Tours à force de piqûres de Ferrari et d'intimidations. Ferrari d'ailleurs interprété par un Guillaume Canet en petite forme qui essaie de parler anglais avec un accent italien, ce qui n'est pas crédible une seule seconde. Ben Foster joue de son côté un Armstrong très fade et très sûr de lui. S. Frears disait qu'il voulait être le premier sur le projet et que tout a été bouclé très vite. Cela se ressent car apparemment il n'a pas pris la peine d'étudier le coureur et sa vraie personnalité en tant que sportif et homme. Le Armstrong du film est plutot le portrait robot que les medias ont dressé de lui lors de sa chute.
    Ce film est un pur gâchis car il aurait pu êre plus intelligent et moins partie pris. Sont enfin citées à la fin du film les deux principales sources : le livre de David Walsh et le rapport de l'Usada comme sources principales... Bref, passez votre chemin!
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