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    Le Temps des aveux
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    3,1
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    73 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 décembre 2014
    L'histoire réelle est un bon sujet prometteur et donc promettant un film halletant. Bof bof, cefilm manque d'identité, de caractère. R. Personnaz n'y est pas à sa place. Dommage, le film se regarde mais sonne néanmoins un peu creux.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 janvier 2016
    Le film n'est pas convainquant. Rythme beaucoup trop lent et contemplatif. Il manque une bonne tension dramatique. L'interprétation des acteurs est trop lisse. Au final tout cela manque cruellement d’enthousiasme.
    Antoine G.
    Antoine G.

    6 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2014
    Kompheak Phoeung est très juste dans l'interprétation de Douch. Très khmer. Film difficile pour un public non connaisseur de l'histoire et de cette culture. A voir !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 30 décembre 2014
    Le temps des aveux est le dernier opus de Regis Wargnier, notre réalisateur français des destins individuels au sein des grands évènements de l’histoire. Malheureusement ici, il manque le souffle épique qui balaye les personnages et entraine les spectateurs à leur suite. La vérité des Khmer Rouges est à peine esquissée, l’horreur du camp de Tuol Sleng est tout juste évoquée, aussi on ne prend pas vraiment la mesure du carnage causé par Douch et le régime Khmer Rouge. Donc on n’est jamais vraiment inquiet pour le personnage central, sa relation avec Douch reste également esquissée, on aurait aimé un peu plus de profondeur pour ressentir la dualité de cet homme. Quant à l’évacuation des occidentaux de l’ambassade de France, il vaut mieux revoir « La Déchirure » pour apercevoir la difficulté de la situation des diplomates français. Dommage, tout y était pourtant : de bons acteurs, des décors splendides, un passage de l’histoire du monde des plus horribles, une histoire d’homme, et un réalisateur qui sait faire (voir Indochine) mais cela ne suffit pas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 16 avril 2015
    Un film sans musique ! Certains s'en plaignent, moi ça me ravi car enfin je vais pouvoir entendre les dialogues ! Pour la musique je vais au concert ou écoute un CD.
    Regardez mais surtout écoutez attentivement le film de Clint "Gran Torino", pas une note de musique sauf au début (chant gospel dans une église) et pour le générique de fin ; un grand film sans musique c'est possible. Le vacarme - fut-il musical - n'est là que pour masquer l'indigence des dialogues, tout comme un montage ultra rapide est là pour masquer l'indigence de la réalisation.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 décembre 2014
    Ce film ne peut que décevoir quiconque a lu le livre de François Bizot d'où il est tiré ("Le portail" 2000). Evidemment Régis Warnier sait faire des films mais à celui-ci il manque une tension dramatique, quelque chose qui émeuve et cela n'arrive pas ! Cette histoire, extraordinaire en elle-même devient un récit assez plat, décorporé car mal resitué dans le cadre général des guerres d'Indochine ; il ne manque pas d'images d'archives qui, habilement intégrées, auraient permis de resituer celle-ci dans un cadre plus général. Le nom de Pol Pot n'est jamais cité ... Plus décevant encore est le récit de la relation si particulière entre le gardien et son prisonnier. Quelques rares dialogues ne suffisent pas à en comprendre la complexité si bien décrite dans le livre. Les interprètes font ce qu'ils peuvent : Raphaël Personnaz n'est ni bon ni mauvais, honnête sans plus, à défaut d'être très crédible : l'interprète (aux deux sens du terme) de Deuch quant à lui ne fait en rien ressentir le mystère du mal qui habitait l'original ... Et ce n'est certainement pas en répétant que "c'est la procédure" qu'il pouvait y arriver ... Au total, pour les spectateurs qui ne connaissaient rien à cette histoire parce que trop jeunes, ce film constituera peut-être une incitation à en savoir plus ; pour ceux qui ont suivi ces événements de loin au fur et à mesure, une grande déception ...
    vincent L.
    vincent L.

    240 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2016
    Un sujet fort sur les kmers rouges et ses bourreaux. La reconstitution historique est bien rendue, j'ai juste eu un peu de mal avec Personnaz mais cela n'est pas nouveau. Il m'avait déçu dans le film d'Ozon "une nouvelle amie" et là encore son attitude et son jeu ne me paraissait pas naturel. Hormis cela j'ai aimé retrouvé cette relation particulière entre cet ethnologue et son géolier.
    A voir
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 janvier 2015
    Médiocrité absolue. Pas de bande son en plus ! On dirait un cinéaste amateur. Quelques scènes tournées en forêt de Fontainebleau. Pauvreté des jeux d'acteurs pauvreté des mises en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 décembre 2014
    Malgré la note globale que j’ai mise, le film mérite d’être vu ne serait-ce que pour la troublante justesse de l’interprétation de Kompheak Phoeung dans le rôle de Duch, alors qu’il n’était encore qu’un révolutionnaire Khmer rouge parmi d’autres.

    Je m’explique. Si Duch est principalement connu pour être le directeur froid et impitoyable du centre S21 ayant fait 17000 morts entre 1975 et 1979, le film Le temps des aveux relate une époque, le début des années 70, où Duch, confronté à François Bizot, ethnologue français qu’il fait prisonnier car soupçonné de travailler pour l’ennemi américain, révèle une personnalité on ne peut plus troublante : derrière une apparente cruauté nourrie par la paranoïa et un idéalisme aveugle, on découvre un autre aspect de Duch, celui d’un homme capable de sensibilité et même d’amitié, celui d’un homme qui était avant tout un être humain comme vous et moi, mais dont de nombreuses circonstances ont fini par le transformer quelques années plus tard en bourreau sanguinaire. Ce visage humain de Duch, est-ce parce que Kompheak Phoeung a été le traducteur officiel de Duch lors de son procès qu’il le joue si bien ? C’est en tout cas pour moi l’intérêt majeur du film parce que c’est aspect qui dérange et donne à réfléchir : est-ce possible que Duch, le bourreau sanguinaire, ait pu avoir un visage si doux et fraternel envers Bizot au moment même où il faisait arrêter et exécuter arbitrairement des « ennemis » ? Ce film a le mérite de compléter le portrait complexe de Duch que l’on essaie désespérément de dresser pour expliquer l’incompréhensible.

    Malheureusement, le rôle de François Bizot n’est pas joué avec la même justesse. Or il me semble que cela aurait dû être l’objectif principal du film qui, rappelons-le, est une adaptation des deux romans de François Bizot relatant l’expérience de sa capture puis ses retrouvailles avec Duch pour son procès. Sans douter que le rôle est loin d’être facile à jouer, on s’attend à ce que l’acteur choisi l’ait été pour son aptitude à le jouer de façon plus crédible que d’autres. Le résultat laisse planer un doute sérieux. Raphaël Personaz dans le rôle de Bizot nous offre un Bizot qui parle un khmer tout juste incompréhensible sans que l’on sente une once d’effort de sa part pour faire mieux. Peut-être que c’est une négligence qui ne gênera que le spectateur comprenant le khmer, mais dans l’absolu, n’est-ce pas cohérent de travailler un minimum sa diction si l’on veut se rapprocher le plus de Bizot, l’ethnologue passionné, qui vit depuis plus de 5 ans au Cambodge ? Il nous offre également un Bizot assez creux tout au long du film. Personaz reste stoïque et prononce son texte sans émotion. Alors que l’évolution des sentiments de Duch est clairement perceptible, on ne sait jamais ce que pense vraiment Bizot tout au long du film. Est-ce qu’il méprise Duch ? Est-ce qu’il est tiraillé entre reconnaissance et ressentiment ? Considère-t-il Duch comme un monstre ? Les expressions ou le stoïcisme de Personaz ne donnent pas de réponses à ces questions ou au moins des éléments, pour cela il faudra revenir aux livres dont le film s’inspire.

    Au final, on n’apprend pas grand-chose de l’expérience de Bizot : c’est-à-dire comment il a vécu tout cela, qu’est-ce que sa relation avec Duch a représenté. On ressort de ce film avec un rappel des faits sur les prémices de la dictature Khmer rouge où au passage est racontée également l’arrestation d’un français dont le geôlier s’attache, le tout sous couvert de décors appréciables du Cambodge. Dommage pour François Bizot que le film est censé mettre à l’honneur. Mention spéciale pour l’acteur Kompheak Phoeung tout de même.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juin 2018
    J'ai adoré ce film tout en retenue et en finesse et il n'y a pas besoin de montrer la torture pour l'imaginer horrible.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 décembre 2014
    Voilà ce qu'est pour moi le cinéma!
    Donner à comprendre un peu mieux le monde, mettre en lumière notre humanité, ses questionnements...
    Un film tout en finesse.
    Plein de bons sentiments, mais dans le sens noble du terme. Pour une fois ces bons sentiments qui peuvent faire pêcher ailleurs sont ici parfaitement justes, canalisés.
    Les acteurs ont un jeu remarquable.
    Ce film, tiré de l'autobiographie de François Bizot, donne envie de se plonger dans le livre, dans l'histoire vrai de cet homme ainsi que dans l'Histoire du Cambodge;
    Fascinant.

    Bref, "Le Temps des aveux" m'a vraiment emballé et je le recommande chaudement!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 décembre 2014
    Bien car on apprend plein de choses sur le Cambodge et les Khmers rouges...
    Bon jeu des 3 acteurs principaux, mais Doutch avait-il autant d'humanité dans le regard? J'en doute au regard du nombre de personnes qu'il a tué...
    Très belles images.

    Bémol: le vieillissement des personnages est mal fait (ex: visage vieilli de la femme mais bras de jeune fille!!! Ou bien les poches sous les yeux de Raphaël Personnaz...

    Entre parenthèse, Raphaël Personnaz et Oliver Gourmet ont de nouveau tourné ensemble dans "L'Affaire SK1" qui sort prochainement)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 janvier 2015
    je suis allé voir ce film avec un à priori plutôt négatif. Impossible de faire mieux que la Déchirure, film de référence et multi oscarise sur la période khmer rouge ! Et pourtant j en suis sorti tout ému! l histoire des khmers rouges vue sous l angle de la relation entre le bourreau et sa victime est très intéressante d autant plus que c est une histoire vraie! Raphaël Personnaz a une belle gueule, entre un Delon jeune et un tom cruise dans top gun, s en tire très bien, on perçoit bien son investissement dans ce rôle: perte de poids, s essaie à parler le khmer, mais au final je trouve que c est Douch, le tortionnaire, censé représenter le Mal, qui se révèle attachant; ce qui est très dérangeant pour moi car on finit par mieux comprendre sa logique, une victime lui aussi du système, et qui est responsable des milliers de morts commis au camp de torture S21. J aime ce genre de film qui ne fait pas grand bruit et pourtant qui va rester longtemps dans mes réflexions en alimentant de longues discussions avec mes meilleurs amis lorsque nous parlerons de la vie de la mort du bien et du mal (tout comme dans le monde des Hobbits);)
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