Derniers Avis : Les Animaux fantastiques - Page 6

C'est le premier roman de l'auteure des Harry Potter. Dans la lignée. Une histoire de magiciens et un scénario très complexe. Il y a beaucoup d'effets spéciaux. L'histoire passe bien et on reste accroché au suspens. Les lieux c'est Paris et Londres. Après c'est visible il y aura une suite. Combien ? Sept, peut être dix.

De la génération Harry Potter, je ne pouvais rester plus longtemps sans regarder les Animaux fantastiques. Si l'univers rappelle la saga Harry Potter et ne manquera pas de nous transporter, le scénario est quant à lui bien moins intéressant. La première partie du film nous perd, l'intrigue ne se révèle pas avec évidence et la chasse des Animaux devient ennuyeuse. La seconde partie est bien mieux avec l'obscurus et l'apparition moins furtive de Grindelwald.
En un mot, un peu de déception après ce film mais la fin donne envie de poursuivre avec le deuxième volet.

Quand je l'ai vu pour la première fois à sa sortie au cinéma, j'étais très heureuse de retrouver le monde d'Harry Potter, ma saga préférée. Je préférai toujours Harry Potter aux Animaux Fantastiques, mais ça n'empêche le fait que je l'ai trouvé très bien. Je vous le conseille, surtout si vous aimez le merveilleux. Il est meilleur que le deuxième film, qui est un peu confus et manque de créatures magiques. A voir !

Je trouve que ce film est très moyen , c'est l'univers d' Harry Potter certes mais c'est largement moyen
Mais ce que je trouve par rapport au crimes de Grindelwald c'est qu'on voit beaucoup plus les animaux fantastiques , comme le voyage dans la valise qui est juste incroyable , ils aurait pu approfondir l'idée

Tout le monde attendait une suite à Harry Potter.... et bien non pas vraiment ! Mieux ? je pense pas... moins bien je dirai plus adulte plus différent. Un bon film de magie qui rappelle la magie D'harry potter. La bonne surprise est l'apparition de Johnny Depp, le rôle lui va à la merveille et on le verra dans l'épisode 2 encore mieux !

Voici donc Les animaux fantastiques, la nouvelle franchise amenée à remplacer Harry Potter dans le coeur meurtri des fans. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'hormis l'usage de la magie, l'ambiance n'a pas grand choses à voir. Fini la jeunesse et cette découverte enchanteresse du monde des mages mais place à un monde bien encré dans la réalité ou utiliser des sorts est aussi facile que faire du vélo. Cet état de fait retire la sympathie que nous avions pour le jeune Harry et prouve que le film est un prolongement de la première saga à destination unique des fans de la première heure. Le nouveau héros est joué par l'oscarisé Eddie Redmayne mais s'il etait parfait dans l'interprétation de Stephen Hawkins, il est juste ridicule dans son nouveau personnage en le jouant de la même façon... Dans le casting, seul le moldu est intéressant et apporte une touche de fantaisie dans ce monde inconnu. Ce nouveau départ est donc un échec mais trouvera grâce auprès des fans peu adepte d'oeuvres travaillées et se contenteront de ce film sans fil conducteur et prétexte à engendrer du cash.

Un nouvel accès vers le monde magique qui marque des similitudes mais c'est ce démarquer à travers de nouveaux personnages, une intrigue et bien entendu des effets visuel époustouflants.

Histoire sympa et cohérente. spoiler: Mais j'ai pas aimé que ce soit vraiment à la toute fin qu'on voit le visage de Grindelwald qui ne dure que quelques minutes et que sa relation avec Norbert Dragonneau soit si simplette. Et aucun personnage me plait (Norbert qui est moche, maladroit et anti-héroïque, son amoureuse qui lui fait la tête pendant tout le film avant de devenir d'un coup dingue de lui à la toute fin, son pote, sa relation avec les Animaux Fantastiques est sympa et l'idée qu'un moldu devienne un héros devant tout oublier à la fin est bonne mais à part ça, il est juste là pour amuser la galerie et la soeur de la copine de Norbert, quelle crétine!). De plus, ça s'appelle les Animaux Fantastiques mais qu'est-ce qu'y apportent au scénario au juste? Ce sont des personnages totalement secondaires, voire tertiaires, la preuve, les deux seuls dont je me souvienne vraiment sont l'ornithorynque et l'adorable plante (j'ai craqué quand Norbert l'a donnée à la parfaite copie de Grispec)! ça aurait presque pu s'appeler juste Norbert Dragonneau. Ils auraient pu faire, par exemple, qu'à la fin, ils aident Norbert à arrêter Grindelwald mais non, y sont juste là pour impressionner...

Étant un fan des Harry Potter, j’ai tout logiquement beaucoup aimé ce film. On retrouve le monde que l’on avait laissé avec l’élu, seulement ici pas de Voldemort car on est bien avant l’ascension de celui dont « On ne doit pas prononcer le nom ». Mais attention, nous ne sommes pas dans un prequel car il s’agit d’une histoire totalement distincte bien que se déroulant dans le même monde magique. Cette fois-ci, le héros sera assez atypique avec un Eddie Redmayne au style bien particulier. Les références à Norbert Dragonneau sont assez discrètes dans la saga Harry Potter. Je dois avouer que ce n’est pas le charisme assez inexistant des héros qui m’a marqué. Par contre Colin Farrell en directeur de la Sécurité du Congrès Magique, ça en jette. Il apporte tout son panache à un casting qui en manquait fortement. La force de ce film fantastique ne réside donc pas là mais dans la richesse de ce qu’il nous propose. On aura un scénario bien construit qui réservera plusieurs rebondissements bienvenus, une bande-son des plus exquises avec une musique entraînante se mariant parfaitement avec l’univers proposé, et enfin un visuel de toute beauté. Que ce soit les effets spéciaux merveilleux ou l’atmosphère, rien n’est laissé au hasard pour nous immerger dans ce monde magique. Un dur labeur récompensé par l’Oscar des Meilleurs costumes. LES ANIMAUX FANTASTIQUES nous fait revivre la douce saveur d'Harry Potter tout en se distinguant intelligemment.

En décalage avec son univers et son humour, il remplit correctement le job en faisant passer son statut de découverte, à divertissement.

Jk rowling nous emporte une fois de plus avec cette saga dans son univers magique et fantastique , j’avais bien entendu aimer la saga culte harry potter mais cette nouvelle saga je la trouve plus mûr, plus élaborée est fascinante j’attend de voir la suite

Je trouve que c'est un très bon film avec de super effets spéciaux, il y a des animaux super mignon et Eddie Redmayne joue vraiment très bien sont rôle.

Film léger, agréable à regarder et sans ennui. L'histoire n'est pas spécialement très recherchée mais on passe un bon moment devant ce film. Seul bémol, je trouve que l'acteur principal n'est pas très attachant, et je ne sais pas si c'est le rôle qui veut ça ou non mais il n'est pas très charismatique non plus.

De mon premier regard sur ce film, il y'a maintenant trois ans, nait une petite confusion entre l'instant ou je l'ai vu, vécu, et la bride indescriptible qui m'en reste. J'ai pris le film de David Yates comme un truc sympa, sans plus, toutefois avec du recul j'ai un peu plus analysé, enfin non ... Disons plutôt que j'ai ressentit avec de la distance une réelle envie de le retrouver car j'avais comme l'impression d'avoir manquer ce petit quelque chose !

Trois années sont passées, maintenant oui, je confirme, j'avais bien raté un truc, sa principale qualité, voir un pluriel !

Fantastic Beasts and Where to Find Them n'est pas de ses films parfaits, immaculées. Non, il y'a bien là des sujets sur lequel tiqués, voir même sur lequel habituellement je me serais casser les dents. Mais je crois que c'est au fond, justement car il y'a des zones d'ombres que j'adore au final ce film.

J'évoque ces ombres, en général le parallèle opère avec la lumière, la question est ici également posé par l'intermédiaire des parcours, des trajectoires prises, dans la trame même de son histoire mais si on regarde plus près, c'est bien dans ses interstices que se nichent sa plus grande force ... Le premier chapitre de ce film se focalise sur des protagonistes qui ne sont habituellement en rien des héros. Peu importes le camp d'ailleurs. Qu'il soit premier ou dernier, ici tout le monde est dans la même case et gravite dans la sphère des marginaux, opprimées, dans une mouvance qui truste de sa succursale un conflit plus politique entre oppositions et rejets.

J'avoue avoir un peu trouvé l'écriture des personnages formels, dans un premier temps, j'insiste. Car après coup, je change complètement mon avis ! Loin des normes, ils et elles sont tous habituées à se terrer, à être ceux qui se planquent sur les photos. Pas assez légitimes, pas assez confiants, ou touts simplement car ce n'est pas de leurs ressorts ou que rien ne les y appellent, chacun à lors d'une voir plusieurs séquences un moment ou il démontre une certaine forme de solitude. Une inadaptation aux codes de la vie sociale, manifeste et finalement magnifique. L'humilité transpire, notamment chez ce quatuor atypique. On va dire que justement cet aspect à de quoi être téléphoné, sans doutes, mais peu importe. J'en appel à cette conversation sur ce quai de gare, un champ, contre champ tout ce qu'il y'a de plus simple à première vue mais qui révèle une profonde émotion dans son échange, verbal et non verbal.

La grande histoire en sous texte n'est pas forcément ce que je préfère, sa relégation aux seconds plans force quelques accents et initie des raccourcis. Toutefois il y'a une écriture, une collision que l'on sent heurtés le débat et venir faire écho avec une mythologie que l'on connais bien. J'ai aimé ici que le film sache à la fois se rattaché des aventures de Harry Potter tout en se détachant avec un nouveau ton , de nouvelle couleur, un phrasé un peu changer ... Oui, j'aime l'idée. Sa jovialité qui dissimule sa mélancolie est d'ailleurs comme je faisais référence plus haut, sa qualité première !

Loin d'être parfais, ce film fais de ses héros ce que l'on ignore, sans éloges, ni applaudissement, ils ne les cherchent de tout manière pas tant que çà. Le lien qui est tissé, fragile, est déjà une immense victoire pour ses réservées là. Eddie Redmayne et Katherine Waterston sont divins ! Dan Fogel et Alison Sudol pas loin. Colin Farrell, Carmen Ejogo, Samantha Morton sont eux aussi à leurs manières intéressants. Le premier donne vraiment tout sur la fin, le moment charnière pour lui, nettement plus que sa petite révélation qui est franchement pas très surprenante ...

Coté mise en scène, Yates fais avec une nouvelle teinte fais des merveilles. Ses animaux sont géniales, ses décisions intenses à défaut d'être révolutionnaires ( on ne lui demande pas ), il fait le job et bien en plus. Avec les similitudes et les bases de ses fondements, le film vit et donne vie au début de cette nouvelle histoire. A titre personnel je me suis éclaté.

Après avoir été un peu dur avec Fantastic Beasts and Where to Find Them, j'inverse les choses, je n'ai plus que tendresse pour ce film-ci. Complètement !

Pour son grand retour au cinéma, l'univers magique et fantastique de J.K. Rowling s'incarne dans les aventures périlleuses du "magizoologiste" (terme employé pour désigner les spécialistes des créatures magiques) Norbert Dragonneau, dans les rues de New-York, 70 ans avant les événements de la saga originelle Harry Potter.
Premier des cinq films prévus de la franchise des Animaux fantastiques, ce volet introductif est plus à considérer comme l'extension de l'univers originel que comme une simple série dérivée, à en croire les propos de la romancière à l'origine de la création de ce monde fantastique. En effet, il est difficile d'établir des liens directs entre les aventures de Norbert Dragonneau en 1927 avec celles du jeune sorcier, entre 1991 et 1998. Toutefois, baguettes magiques, incantations et créatures ensorcelées ne sont pas sans rappeler les éléments qui ont fait le succès d'Harry Potter. Les fidèles du sorcier qui a survécu peuvent donc aisément se retrouver dans la saga des Animaux fantastiques.
A l'origine simple petit livre rédigé dès 2001 par J.K. Rowling, Les Animaux fantastiques finit par être adapté au cinéma 15 ans plus tard, non pas par Alfonso Cuarón comme cela avait pu être évoqué (réalisateur d'Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban), mais par David Yates, cinéaste des quatre derniers volets d'Harry Potter. A ses côtés, de nombreux membres de l'équipe de réalisation des films Harry Potter reprennent du service, notamment le directeur artistique Stuart Craig, le responsable des effets spéciaux Tim Burke et le monteur Mark Day. Et atout majeur du projet : J.K Rowling en tant que scénariste du film, rien que ça ! De quoi rassurer avant même le début du tournage, qui prend lui-même place, en partie, dans les anciens studios Warner Bros d'Harry Potter, près de Londres.
Doté de costumes particulièrement soignés et fidèles à l'époque du récit, comme le confirme l'obtention de l'Oscar des meilleurs costumes en 2017 (un fait inédit pour un film de l'univers Harry Potter), cette réalisation tant attendue profite également d'un casting aussi fantastique que l'est son titre. A commencer par le chouchou du public britannique depuis son apparition remarquée dans Une merveilleuse histoire du temps, Eddie Redmayne, interprète par excellence d’un personnage farfelu et étourdi mais terriblement attachant. Et on ne voit pas qui aurait pu mieux que lui se glisser dans la peau de Norbert Dragonneau et retranscrire aussi tendrement le portrait et la personnalité de ce sorcier sensible. A ses côtés, le principal second rôle est tenu par Katherine Waterston, encore peu connue du grand public et dont la prestation n’est pas très convaincante, une critique que l’on peut également faire à l’égard d’Alison Sudol, dans la peau d’une Légilimens franchement cruche. Dan Fogler qui, comme les deux précédentes actrices, obtient la renommée grâce à ce film, apporte une touche comique qui réussit à aboutir, à presque tous les coups, à un sourire amusé ou à un rire. Avec Eddie Redmayne, plusieurs acteurs arrivent tout de même à tirer leur épingle du jeu, notamment Colin Farrell, charismatique, rigide et rusé dans le rôle de Percival Graves, Auror en charge de la direction de la Justice magique du MACUSA, mais qui est en réalité le redoutable Grindelwald dissimulé sous une fausse apparence grâce à un polynectar. Sa prestation est l’une des plus abouties et accompagne la principale révélation du film, Ezra Miller, encore peu connu. Les fans de The Walking Dead reconnaîtront l’actrice qui prête les traits à Alpha, Samantha Morton, qui interprète d’ailleurs une mère adoptive brutale et insensible, une ressemblance frappante avec son rôle dans la série horrifique d’AMC. Ron Perlman, principalement connu pour être le costaud Hellboy, apparait ici dans un personnage bien plus fragile physiquement, un gobelin peu scrupuleux et en qui il semble très difficile de faire confiance. Enfin, bien que l’apparition de Johnny Depp soit très brève au regard de la durée du film, ceci s’explique par un souci de cohérence narrative, et la fin présage d’ailleurs une présence plus appuyée pour la suite de la saga.
Pour un budget de 180 millions de dollars, ce premier volet atteint son objectif en réunissant 4 millions d’entrées en France et plus de 800 millions de dollars de recettes à l’international. Néanmoins, cette réalisation souffre de quelques faiblesses qu’il me semble légitime de souligner. D’abord, le couple horripilant formé par Jacob Kowalski et Queenie Goldstein. Probablement présent pour apporter du comique à l’atmosphère du film, on peut toutefois se demander si sa présence était indispensable. Pour la comédie, les prestations d’Eddie Redmayne et Dan Fogler sont largement satisfaisantes, et ont le mérite de ne pas basculer dans un humour niais et infantile. Ensuite, le réalisme apporté à ce premier volet, qui s’oppose au déroulement de l’intrigue de la saga Harry Potter dans un univers purement fictif, efface un peu de magie et peut être un frein pour le spectateur qui souhaite s’évader dans un monde imaginaire.
Finalement, ce retour des sorciers de J.K. Rowling au cinéma est une réussite, certes en deçà de celles des films Harry Potter, mais qui a le mérite de contribuer à enrichir cet univers incontournable et inoubliable pour toute une génération.