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    Ladygrey
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    13 critiques spectateurs

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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 169 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2016
    Le film se vend comme un profond secret sur fond de post-apartheid, il n’en est rien. Ladygrey, c’est plutôt la chronique de voisins excentrés dans les sublimes montages du Drakensberg. Chacun est à sa place, jouant son rôle comme il faut. Aucune surprise à l’horizon, même lorsque le fameux secret tombe comme un cheveu sur la soupe. Le plus séduisant dans Ladygrey, c’est la performance de Jérémie Renier. Adulte atteint d’une déficience mentale, celui-nous nous touche à la moindre apparition. Aimant son entourage, il tente au mieux de subvenir aux besoins de sa famille. Pour le reste, Alain Choquart s’éparpille dans une multitude de mystères mal ficelés et par conséquent peu prenants.
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    dai72
    dai72

    121 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 juillet 2016
    Je n'ai pas vraiment compris l'histoire, où on voulait nous emmener, ce qu'on voulait nous apprendre, nous montrer. Certains personnages sont très médiocres et les rares passages intéressants sont englués dans un ensemble lent, ennuyeux et incompréhensible !!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 avril 2015
    "LadyGrey" porte l'essence d'un grand film universel, poétique, complexe et romanesque. Des hommes et des femmes unis par une même terre: l'Afrique du Sud, partageant une douleur collective et des secrets enfouis. Le rythme du film vous impose la vision d'un cinéaste "Oeil de faucon". Son récit plane sur les montagnes du Drakensberg, saisit le vol d'un aigle pêcheur, le sourire d'un enfant qui au bout d'un tunnel de canne à sucre espère retrouver la rivière de son enfance, L'amour et la pudeur des pères, aux silences d'un couple qui résiste à l'hiver. Le réalisateur ne renonce jamais, il est audacieux dans sa structure narrative, impressionnant dans sa direction d'acteurs. Avec minutie, il offre un film puissant ou rien ne s'expose... C'est au spectateur de tendre l'oreille et d'entendre l'eau vive d'une rivière verte et silencieuse... J'espère que le public découvrira ce film. Enfin un 1er film qui ne filme ni sa cité, ni son enfance, ni un trio amoureux!!!!
    FaRem
    FaRem

    7 394 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 septembre 2015
    Un film choral pas très bien construit qui manque de rythme, d'intensité ce qui donne un ensemble assez décousu. Il y a beaucoup de choses, beaucoup de personnages, mais il n'y a rien qui sort vraiment du lot, la mise en place est assez lente, et même quand les morceaux se mettent en place et que les histoires se lient entre elles ça reste toujours brouillon. J'ai lu que c'était adapté de deux romans différents ce qui explique surement cela, c'est dommage, car le cadre est joli, les acteurs sont bons et la situation post-apartheid est intéressante, mais bon, le réalisateur est passé à côté de l'essentiel.
    Hastur64
    Hastur64

    190 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 avril 2016
    Très franchement en voyant la bande-annonce je m'attendais à quelque chose de bien plus intéressant que ce à quoi j'ai assisté. Sans m'être totalement ennuyé devant ce film, je dois dire que j'ai été peu intéressé par celui-ci. En fait, je n'ai pas trouvé l'intrigue très forte et je n'ai ressenti que peu d'empathie pour les personnages. Ceux-ci semblent d'ailleurs évoluer tous dans leur petit univers sans que rien ne les relie vraiment excepté la géographie. Le synopsis du film mentionne un événement qui vient faire ressurgir des fantômes du passé... Faut être clair, ce coup de tonnerre ressemble plutôt à un pétard mouillé tant il influence que mollement l'histoire et les personnages ; en outre il ne se produit qu'aux deux tiers du film laissant le spectateur se languir devant le quotidien de gens pas franchement sympathiques. On a vraiment du mal à savoir où le film veut nous emmener et les différentes petites vies que mènent les habitants de ce petit bourg au fond de l'Afrique du Sud ne sont pas loin de là bien passionnantes. La beauté des paysages et le casting international sont à peu près les seuls bons points d'un film de près d'une heure cinquante qui fait s'éterniser une intrigue assez molle qui aurait pu être plus vivante resserrée sur une heure trente. Un drame sans vigueur à l'histoire délayée par trop de personnages dont les relations sont trop distantes et vagues pour passionner un spectateur dont l'attention n'est qu'épisodiquement réanimée par la vue des paysages d'Afrique du Sud. Pas franchement incontournable.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    104 abonnés 2 176 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 12 novembre 2016
    THE BURNING. Coup de torchon sur l'apartheid. Un horizon bouché et des mots qui n'apaisent pas. Un puzzle africains sur un semblant d'intrigue, sur un secret à moitié déterré. La réalisation souffre, moi aussi.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    217 abonnés 2 855 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 août 2019
    Alors là c'est la tuile ! Ce film n'est pas nul mais bon sang qu'il est pénible ! C'est long, c'est ennuyeux et malgré un thème accrocheur, un côté 'chorale' qui est attirant, on s'ennuie ferme et même l'excellentissime Jérémie Rénier ne sauve pas ce film du naufrage ! Un somnifère complet.... Zzzzzz !
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    165 abonnés 1 855 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mai 2016
    L'Afrique du Sud après l'Apartheid, sujet passionnant que Choquart a essayé de traiter au travers de la vie d'une poignée de personnages. Mais sa volonté de neutralité est franchement dérangeante : il y a eu des crimes des deux côtés, certes, mais peut-on mettre les crimes des esclaves révoltés sur le même plan que ceux de leurs maîtres ? De plus, seuls quelques personnages de Blancs sont un peu développés, ceux des Noirs restent à l'état de silhouettes. Les deux personnages qui apparaissent le plus, l'handicapé mental et l'enfant, sont d'ailleurs très loin d'être les plus intéressants. On notera aussi quelques maladresse comme le long récit du mourant, alors qu'il aurait sans doute fallu utiliser quelques flashes back. Ce film, qui sent le gros roman mélo, manque d'intensité et on ne sait pas trop où le réalisateur veut aller, ni ce qu'il souhaite nous dire de la situation. Reste qu'il est bien fait, réaliste et servi par d'excellents interprètes.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 382 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 juillet 2021
    Tourné et situé dans l'Afrique du Sud de l'après-apartheid ce petit village a un sous-entendu de secret et de misère. Nous réalisons qu'un événement tragique a plongé les citoyens dans une perspective sombre et chaque jour semble aussi sombre que le précédent. Mattis (Jeremie Renier) à l'esprit lent il apporte une énergie et un esprit extraordinaires à un environnement autrement déprimant. Malheureusement Mattis oscille entre l'extase la frustration et la colère pure et simple chaque changement semblant se produire pour le plus petit détail. La synergie entre les personnages joués par Liam Cunningham, Emily Mortimer, Peter Sarsgaard et Sibongile Mlambo est si inconfortable que nous ne savons jamais quelle forme prendra le prochain cycle de confiance brisé. Ce ne sont pas des gens heureux et aucune de leurs relations n'est à la limite du sain d'esprit ce qui est déroutant pour le spectateur...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 17 juin 2015
    Les premiers mots qui viennent à l’esprit pour décrire Ladygrey sont contemplatif, lyrique. Le film retrace l’histoire de plusieurs personnages, par fragments. Le spectateur découvre progressivement quelles relations lient les personnages les uns aux autres, et surtout, quel est leur rapport avec le meurtre et la dissimulation des corps de onze innocents, à Ladygrey, plusieurs années avant. C’est à travers ce puzzle qui s’assemble progressivement et efficacement que l’on découvre les espoirs et les désillusions de protagonistes interprétés par un casting très hétéroclite.

    Le film est à la fois en anglais et en français, en plus de dépeindre des relations parfois amicales, parfois tendues entre les sud-africains noirs ou blancs. L’on peut certes reprocher à Ladygrey d’être longuet et, au final, de ne pas raconter grand chose, au reste, le film reste très beau, et l’on en ressort avec l’esprit à la fois mélancolique et rêveur. Il ne s’agit peut-être pas d’un film à voir plusieurs fois, mais de beaux diaporamas s’enchaînent, au rythme d’une musique berçante et marquante, et il découle de l’histoire une impression d’authenticité telle que l’on serait tenté de croire qu’il ne s’agit pas d’une fiction.

    Le casting est excellent, à commencer par Liam Cunningham (Game of Thrones), qui n’a certes pas le rôle le plus sympathique du film. Jérémie Renier est peut-être simplement moins convaincant en guetteur d’oiseau à l’esprit lent et à la locution difficile. Le film n’est au fond qu’un ensemble de scènes de vies qui s’entremêlent parfois, le fil rouge étant les liens entre les personnages et l’intrigue autour de Ladygrey qui se dénoue progressivement. L’histoire aurait pu commencer avant, finir après, comme ces romans de Céline ou de Proust. Certaines scènes sont dures, mais au risque de se répéter, l’on reste surtout dans la contemplation.
    Cette œuvre n’est pas accessible à tous mais vaut tout de même la peine d’être découverte.
    scopecouleur
    scopecouleur

    3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 février 2016
    LADYGREY n’est pas un film qui donne dans la facilité ! L’Afrique du sud, 10 ans après l’apartheid, porte encore les stigmates d’une histoire qui s’est construite dans la haine et le sang… Comme un aquarelliste, maîtrisant les couleurs qu’il va poser sur son « canson », Alain Choquart dépeint, avec délicatesse et retenue, la violence qui a réuni les antagonistes dans une adaptabilité résignée ! Les destins contrariés, semblent évoluer dans une complaisance mortifère qui, tout au long du scénario, souligne ce manque d’élan de vie inféodé à un système qui a du mal à s’effacer… ! On peut regretter , d’ailleurs, qu’aucun des personnages n’utilise ses pulsions contrariées pour faire exploser l’ineffable écoulement de leur devenir, lequel se fluidifie comme l’eau de la rivière que dissimule les cannes à sucre… Mais le réalisateur ne prend, volontairement, aucun parti, sauf celui de l’esthétisme » ! Magnifiquement réalisé, le film reste le témoin sensible, de cet étrange climat qui s’oppose à une impression de liberté due à l’immensité des décors. ! Les comédiens sont tous remarquables, exprimant avec justesse l’acceptation des fatalités qui se dévoilent, peu à peu, dans leur psychologie fataliste…Alain Choquart n’est pas seulement un excellent réalisateur, il est aussi un grand directeur d’acteurs ! Un premier film prometteur !
    jules R.
    jules R.

    1 critique Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mai 2015
    Le pari semblait risqué, il est réussi. Filmer l'après, les ressentis, la psychologie et la pesanteur des sentiments et rester toujours aussi près de ses personnages n'est pas chose facile. Ladygrey est un film maitrisé, dirigé, abouti. Un premier film ? ah bon vous êtes sur ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 mai 2015
    Très bien filmé et très bien construit, le film laisse affleurer avec délicatesse les souffrances et les histoires de chacun des personnages, tous interprétés avec beaucoup de justesse. Doux-amer, il nous montre que tout n'est pas "tout noir ou tout blanc"... Un très beau film, qui mériterait d'être diffusé dans beaucoup plus de salles.
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