Avis : Blood Father - Page 5

le grand retour de mel gibson ils disaient et ben c'est totalement raté , un film d'action sans action avec des longueurs interminables pour masquer l'absence de scénario, le film est super lent à démarrer et la fin sans surprise , un gros navet sans intêret

Aucun intérêt à voir un Mel Gibson fatigué sous la direction d'un Richet qui ne se fatigue pas... Oui la réalisation n'est pas au niveau mais en même temps le scénario non plus ! A la fin on se demande seulement : " à quoi bon avoir fait ce film ? ".
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Après "Un moment d'égarement", Jean-François Richet revient vers le cinéma d'action avec une série B peu originale qui n'est divertissante qu'à de rares moments et qui est surtout ennuyeuse. Je ne sais pas si c'est le grand retour de Mel Gibson, mais pour le coup, l'affiche ne ment pas totalement puisque j'ai trouvé ce dernier très convaincant et crédible. Il forme un bon duo avec Erin Moriarty qui apporte un peu de fraîcheur et de naturel, mais les deux ne suffisent pas pour sauver une histoire trop limitée et prévisible. Ça avait pourtant bien démarré avec pas mal d'action et un bon rythme, mais cette longue traversée du désert durant laquelle Link cherche des solutions qui resteront sans suite a eu raison de moi. Le réalisateur n'exploite même pas ses propres idées comme quand il montre une aberration avec Lydia qui se fait refuser un paquet de cigarettes, mais pas des munitions... C'est pareil pour son terrain de jeux et ses superbes décors désertiques qu'il met en valeur, mais sans réellement les utiliser du moins pas à bon escient. Ce n'est pas mauvais, ça peut se laisser regarder, mais ça manque vraiment de rythme et d'intensité, et même pour une simple série B, je suis resté sur ma faim.

Blood Father est pour le coup un véritable moment d’égarement pour le réalisateur Jean-François Richet qui semble avoir perdu tous ses moyens face à Mel Gibson. Peter Craig a lui même massacré cette histoire en réduisant le rôle de son héroïne à peau de chagrin pour laisser les coudées franches à l’acteur. Au lieu de grand retour, Blood Father semble plutôt sonner le glas de la carrière de star de l’action pour Mel Gibson qui n’arrivera plus jamais à égaler ses rôles les plus emblématiques. Il ferait mieux de tourner la page une bonne fois pour toutes ou de jouer la carte de la dérision plutôt que de tourner dans ce genre de long métrage taillé pour le direct to vidéo. [lire la critique complète sur le site]

Gibson joue le porte-flingues dans un long-métrage aussi idiot que poussif, qui dépasse les limites de la série B pour rejoindre celles du rang Z. Voilà, tout est dit ou presque de ce film d'action aussi banal que mal construit. L'histoire d'une jeune femme de dix-sept ans bien maquillée durant tout le film malgré le nombre d'horreurs qu'elle verra de ses propres yeux, d'une très violente agression à plusieurs meurtres à la suite. L'environnement désertique et sauvage justifie le mieux une photographie de qualité, la musique n'est pas assez marquante pour remplir les périodes d'action. Alors bon, tentons de nous contenter de la mise en scène, avec cette caméra extrêmement rapprochée des personnages qu'elle filme (surtout de Mel Gibson, avec lequel la caméra semble être en plein émoi sentimental). L'oeuvre visuelle débute par un travelling et se termine par un travelling, vers l'arrière puis vers l'avant. C'est plutôt bien vu. Mais alors que la mise en scène tente de faire le café, le scénario part dans l'autre sens. Il est tatoueur, mauvais père et alcoolique. Le personnage de Gibson empile les caricatures, tandis que "l'actrice", qui interprète sa fille, passe son temps à chialer et à sous-jouer. Pire encore, les répliques lancées tout le long du film semblent être écrites sous acide et sur le trône des chiottes. Le film ne devient intéressant que lorsque Michael Parks (excellent dans "Tusk", moins bon ici) fait son apparition en commerçant véreux, à dicter des morales "vitales" bien pensées mais malheureusement trop facilement oubliées car le personnage est bien trop mal exploité. Mais, enfin, on arrive à une scène bien réfléchie, astucieuse et juste : Gibson parle du suicide dans une chambre d'hôtel, en enseignant à sa fille la possible idiotie de ce système. C'est la meilleure scène du film. Celle-ci berce dans ses bras numériques une miette d'émotion. Navrant qu'elle se sente si seule.

En fait tout est dans le titre.
Mel le bad boy Hollywood revient avec perte et fracas avec un zeste de sentimentalisme paternel!
Il a pas changé le vieux briscard, encore plus vénere que d'habitude!
ce film n'apporte rien au 7 em art si ce n'est quelques dizaines de minute de violence républicaine décomplexée!

En ouverture, l'héroïne mineure achète assez de boîtes de balles 9 mm pour fournir une armée mais se voit demander une pièce d'identité pour un paquet de clopes. Ces quelques secondes en disent plus sur les USA que le reste du film, très conventionnel dans le genre et sous influence Breaking Bad pour l'image. Quant à Mel Gibson,s' il a évidemment enrichi son jeu de regards depuis Mad Max, le " grand retour " que promet l'affiche, ça sera pour une autre fois.

déçu,le film a peine commencer que je me suis dit dans quoi je me suis embarquer.mel Gibson génial mai ce n est plus ce que c était et le rôle ne lui convient pas.l histoire est pas top,je passe mon tour

mel Gibson barbu, hirsute; dans un film sans scénario ou presque mais beaucoup de bavardage insipide , très peu d'action , un ratage complet. dommage car l'histoire se passe dans les superbes paysages de l'ouest américain,

Mel Gibson retrouve sa fille prise dans un mauvais pétrin... avec Taken un nouveau genre est né : le film de père qui sauve sa fille, mais malheureusement le résultat est le même ici, rien d'extraordinaire

Un road movie d'action dont le scénario est clairement trop vide. Dommage parce qu'il y avait du potentiel.
Une critique plus détaillée et d'autres sur

2,8 - pas mal dans l'ensemble - Mel Gibson, très convaincant - bon rythme etc Mais niveau scénario, même si ça se tient, c'est surtout au niveau des échanges et de certaines scènes que c'est très peu crédible.. spoiler: comme quand ils arrivent à sa caravane.. ils n'auraient pas demandé gentillement pour entrer faire un tatouage et négocié pendant 5 minutes avant laisser le personnage rentrer se cacher à l'intérieur.. idem dans quelques situations.. trop de blabla par des "mecs" qui ne "badinent" pas trop selon leurs réputation..
bref, un gros manque de cohérence dans les situations à de nombreuses reprises ce qui ridiculise un peu la trame.. Sans cela, c'était intéressant, spoiler: notemment le final ! triste mais..

Je m'attendais à une daube mais en fait le film est plutôt divertissant ! La plupart des "anciens" sur le retour (Scharzy, Stallone, Costner, ect) essaient d'en faire toujours trop et d’êtres dans la surenchère ! Que ce soit le film en lui même et Mel Gibson, ce n'est pas ambitieux , on reste dans ce quon sait faire, un bon film d'action qui ne prend pas la grosse tête et qui n'en fait pas des tonnes ! Mel Gibson ne se prend pas pour un dieu intouchable, ni un expert des armes a feu, juste un américain moyen, bourru et sympathique !

Ce n'est pas vraiment le film d'action vendu par la bande annonce. Pour un film de 1h28 (!!) je m'attendais à un resultat plus punchy. Evidemment il fallait bien placer des scènes de présentation, de retrouvailles, les relations père-fille et le fossé qui les sépare, etc mais bon, le résultat est relativement ramollo et convenu.
Le scénario est moyen. La réalisation est très correcte et Mel Gibson fait du Mel Gibson (mimiques, torsion de visage et yeux écarquillés...L'arme fatale, complots, le patriote... du Mel, quoi!).
Déception. Grrrr!
Note d'humeur: 12/20

Jean-François Richet, à qui l’on doit le diptyque sur Mesrine en 2008, réalise ici son second film en langue anglaise, après le remake Assaut sur le central 13 (2005).

Il s’agit d’une libre adaptation du roman homonyme de Peter Craig, dans lequel on y retrouve dans les principaux rôles, Mel Gibson & Diego Luna.

Blood Father (2016) est un thriller de bonne facture, un montage et une mise en scène soignés, au cœur d’une histoire trop improbable pour que l’on y adhère les yeux fermés. Il n’empêche que l’on aime se prendre au jeu, grâce à la prestation convaincante d’un Mel Gibson barbu & méconnaissable.

C’est typiquement le genre de film à devenir un DTV une fois arrivé dans l’hexagone, mais production française oblige, il aura eu droit aux honneurs d’une exploitation en salles. Etait-ce mérité ? Oui, car cette Série B, bien qu’imparfaite, se laisse tout de même regarder sans déplaisir.

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