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3 critiques
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0,5
Publiée le 22 août 2022
Soyons claires... C'est absurde... Des requins qui n'existent pas (Dents de la mer) Des courants sous-marin dignes d'une tornade terrestre (ça n'existe pas). Des requins qui mordent sans blessure et des coups de dents pour battre un requin de 4 mètres...
Absolument inutile.... Les films anaconda iu piranha sont 1000x plus intéressants....
Bien que les films d'horreur sur les requins soient légions depuis quelques années, le scénario de « 47 meters down » comporte quelques éléments qui le font presque sortir de l'ordinaire. Les scénaristes se sont visiblement amusés avec nos phobies profondes, telles que la peur du noir, des profondeurs, du manque d'oxygène etc... Du coup, on parvient assez facilement à s'identifier aux deux jeunes héroïnes malgré leur côté « cruche » et le peu de réalisme de leurs aventures. En réalité, dès qu'elles prennent place dans leur pauvre cage et qu'elles descendent au milieu d'un banc de requins avec une bande de « bras cassés » pour seul secours en surface... On sent le drame pointer le bout de son nez ! L'inconvénient, c'est justement ce côté ultra-prévisible qui vient inéluctablement gâcher le spectacle. La plupart des péripéties son téléphonées et le scénario est étiré au maximum pour faire tenir le suspense pendant les 90 minutes syndicales... Alors forcément quelques longueurs viennent égratigner la qualité du rythme qui finit donc... en dents de requin ! Quelques scènes efficaces surnagent de ci, de là et le final est relativement surprenant mais c'est trop peu pour en faire un nouveau « Dents de la mer ».
Y'a pas grand chose à dire, c'est une grosse bouse de 1h40 , y'en à qui payent pour aller voir ça, c'est dramatique . Heureusement pour nous que les filles sont mignonnes, ça sauve un peu le tableau.
La profondeur ici n'a d'égale que la profondeur abyssale de nullité de ce film. Les invraisemblances sont nombreuses (masques pas sur les oreilles, oxygène au lieu d'air, gestion irréelle des bars restants,...)..
Chose étonnante que plus de 40 ans après sa sortie, l'ombre de "Jaws" plane encore sur le cinéma, avec un sous-genre des plus prolifiques : le film de requin. Peut-être est-ce du à la facilité avec laquelle on peut, depuis la fin des années 2000, créer un requin numérique pour un public peu regardant ? Toujours est-il que bien qu'il se vende dans cette veine, "47 Meters Down" est en réalité un survival plutôt qu'un film de requin, les squales servant davantage ici de prétexte à l'intrigue. On suit en effet deux sœurs en vacances au Mexique, qui décident de plonger dans une cage pour observer les fonds marins, sauf qu'évidemment les choses vont mal tourner. Rien de très ambitieux ni novateur, et les CGI autour de la cage sont même vilains. Mais le film offre un suspense crédible et relativement efficace, s'appuyant sur les spécificités de la plongée sous-marine. Le niveau d'air dans les bouteilles évidemment, mais aussi les dangers de la décompression, ou l'ivresse des profondeurs. Les actrices font le job (Matthew Modine limitant sa présence à quelques répliques), et la mise en scène est tout à fait correcte.
47 meters... sous le niveau d'un Q I moyen pour ce film navrant plein d'invraisemblances et d'incohérences narrant l'histoire de 2 idiotes pleurnicheuses et gémissantes qui partent avec n'importe qui sur un vieux rafiot tout pourri. Comme d'habitude dans ce genre de film ultra bas de gamme les scènes d'action ne montrent rien que des très gros plans avec la caméra qui bouge dans tous les sens. la caméra se fixe sur les bars restant dans les bouteilles d'oxygéne et les machoires du requin. Un film de bar - jaw.
On est dans un film typique ou les requins sont des vilains méchants qui veulent manger les gentils humains sachant qu il y a 10 milliards de poissons tout autour on se demande bien pourquoi ils se ferais chier à attendre qu elles sortent de leur cage pour grignoter un morceau .... scénario plus que prévisible, aucun intérêt !
Des jolies filles , des requins d'une taille incroyable ' même en réalité tu en trouves pas ' un scénario des plus classiques, bref un pur divertissement américain qui n'a aucun sens . A évité, même entre pote .
47 Meters down présente l’intérêt de ne pas court-circuiter son récit par des digressions inutiles – marque de fabrique des films et téléfilms de la « sharksploitation », à savoir la caractérisation ridicule de fantoches que tout destine à disparaître déchiquetés, le parcours depuis le ciel de plages remplies de corps dénudés etc. Au contraire, l’exposition initiale ne dure qu’une poignée de minutes au terme desquelles les deux personnages principaux sont enfermés dans une cage rouillée au contact direct des grands blancs. Pour notre plus grand plaisir. Pour notre plus grand frisson. Le long métrage ne triche pas, et s’il joue avec nous c’est en créant des espaces de terreur pure à la croisée de la réalité et des projections mentales des deux plongeuses. Cependant, ce sont moins les attaques et leur soudaineté qui surprennent que ces plans a priori simples en caméra subjective sur une mer insondable qu’aucune lumière ne vient éclairer sinon celle de la lampe : l’individu se raccorde alors à la fragilité de sa condition et au vertige terrible du néant qui manque de l’engloutir à chaque instant. Nous regretterons que le réalisateur organise trop son récit en faisant alterner scènes de requins et scènes de plongée ; de même, les profondeurs de la mer ne semblent habiter par aucune autre espèce animale : tout est trop propre, trop aquarium pour véritablement incarner le cauchemar d’une détention sous-marine. Reste un film efficace et terrifiant.
Un film sur les requins qui fonctionne, et qui fait le travail. Les deux actrices nous maintiennent en haleine jusqu'au bout. Même si le film est un peu cliché, qu'il est cousu de file blanc, ( la cage de plongée est rouillée , on ne voit pas le vent venir peut être) il demeure néanmoins un divertissement honnête et efficace. Un film correct servi par un twist final pour le moins inattendu.