Avis : Dumbo - Page 4

Cette adaptation de TIm Burton est réussie. En partie grâce au casting talentueux : Eva Green en trapéziste, Michaël Keaton (génial) en directeur de parc d’attractions, Danny DeVito en directeur de cirque et Colin Farrell (impeccable). Tim Burton donne vie à l’éléphant volant pour notre plus grand plaisir. L’univers du réalisateur est parfaitement en adéquation avec le récit. On retrouve l’atmosphère des films de Burton dans ce classique de Disney. Tim Burton a réussi à placer sa touche personnelle

L’éléphanteau volant est craquant.

Le film plaira aux grands (nostalgiques notamment avec la scène des éléphants roses) et comblera de plaisir les plus petits. C’est poétique, touchant, et beau. On y parle de la famille, des valeurs, de la différence. C’est féérique

Ce film est un grand spectacle, un bel hommage au monde du cirque.

j'ai vu un film... magique, d'autant que je n'y croyais pas du tout au moment de démarrer... Et finalement, j'ai été emporté par le récit, par l'histoire, par les personnages, en oubliant complètement mes "a priori"... Tim Burton prouve, une fois de plus, qu'il sait raconter des histoires prodigieuses, avec une maîtrise hors-pair. C'est un film vraiment original et plein de tendresse. Ce film sur l'univers du cirque berce notre âme d'enfant et nous fait grandir. Le casting est vraiment réussi. Colin Farell est un "vieux cavalier" manchot qui a perdu son bras, et ses illusions, à la guerre... Michael Keaton est un magnat du cirque qui est tyrannique à souhait et tous les personnages ont une véritable âme... Un très beau film...

Tim Burton réalisant un remake de Disney et la.magie opère.
Les éléphants sont superbes grâce à des images de synthèse réaliste qui savent même nous apporter des émotions tantôt drôles tantôt tristes.
Mention à Danny de Vito fidèle au réalisateur qui se fait rare à l'écran mais nous enchante à chacun de ses rôles.

Nouvelle réécriture d'un classique de l'animation, ce Dumbo version Tim Burton n'est malheureusement pas totalement convaincant. Même si on retrouve à certains moments tout ce qui a pu faire le succès de Tim Burton en tant que réalisateur, de nombreux détails auraient pu être retravaillés. Il faut en effet convenir que Burton a retrouvé tout son sens de la mise en scène et de la chorégraphie dans ce film. Certains instants sont magnifiquement bien filmés et on se réjouit de le voir retrouver cette vision artistique. C'est clairement l'un des plus gros points forts de ce long-métrage, cette réalisation nous emmène tout au long de ce récit bien connu sans vraies difficultés. A côté de ça, le travail sur la partition musicale aurait pu être grandement amélioré. Malgré une reprise sublime de Baby Mine qui nous ramène directement à notre premier visionnage de ce chef-d'oeuvre de Disney, il arrive trop souvent que la musique soit trop forte comparé aux voix des personnages. Son omniprésence n'étant d'ailleurs pas utile, elle constitue un frein important au développement de l'histoire. Les effets spéciaux qui ponctuent le film ne sont d'ailleurs pas toujours optimaux. On aurait pu attendre beaucoup mieux de Burton sur ce point compte tenu des qualités qu'il a maintes fois exposées au cinéma. Cela dessert malheureusement un peu l'histoire. La réécriture du conte Disney est faite avec attention et la volonté d'originalité est clairement présente. Néanmoins, on ne peut s'empêcher d'être dubitatif quant à certaines interprétations, certains personnages ou certains développements. Là où Burton réussit surement le mieux c'est retranscrire tout ce qui a rendu cette histoire célèbre à savoir la place des animaux dans les cirques. Cette vision passe toujours subtilement que ce soit par un dialogue ou une image mais c'est au fond cette vision qui ressort le plus. Tout ce qui touche aux autres personnages nous laisse relativement de marbre. Bien entouré par un casting impressionnant, il faut là encore s'avérer un peu critique. Dans la myriade d'acteurs et d'actrices qui se succèdent à l'écran, seuls Colin Farrel, Eva Green, Mickael Keaton, Danny DeVito et Sharon Rooney sont bien dans leurs personnages et apportent de l'intérêt. Les deux enfants joués par Nico Parker et Finley Hobbins n'ont pas vraiment été à la hauteur avec un jeu assez mécanique décevant. Malgré tout, c'est un plaisir de se replonger dans l'histoire de Dumbo, on en attendait plus mais cette réécriture Disney est loin d'être la pire que le studio nous ait proposé.

C’est un film solide dans l’ensemble. Il ne comporte pas de défaut majeur et se révèle être réussi du début jusqu’à la fin. Il y a de bons sentiments mais le film ne transporte pas non plus pour autant. La mise en scène de qualité et le jeu des acteurs et de bonne facture.

Tim Burton s'était déjà penché sur l'adaptation d'un classique de Disney avec "Alice au Pays des Merveilles". Le résultat s'était avéré correct, mais ne nous avais pas laissé un souvenir impérissable. Nos attentes n'étaient donc pas forcément très élevées concernant "Dumbo", nouvelle adaptation en live action des classiques de Disney. Nous sommes obligés d'admettre que nous avons été très séduits par cette histoire sur l'éléphant volant. Contrairement aux récentes adaptations Disney, Tim Burton a pris plus de libertés par rapport à l'œuvre originale de 1947, et cela est un réel atout puisque l'intrigue réserve plus de surprises. Le film est, par ailleurs, desservi par un excellent casting où Colin Farrell, Danny DeVito, Eva Green et Michael Keaton se partagent l'écran. Les différents messages portés par le film sur l'altérité ainsi que la conclusion animaliste sont également un très bon point pour "Dumbo". L'histoire de l'éléphant volant n'a jamais été aussi touchante, et cette histoire n'était pas forcément la plus facile à retranscrire sur grand écran avec des prises de vue réelles. Même si les effets spéciaux sont parfois un peu trop visibles et que certains décors sont un peu sombres et tristes, Tim Burton réalise un très bon "Dumbo".

Contrat rempli pour Tim Burton qui réalise une belle interprétation du dessin animé.Les images sont superbes mais le scénario est bétonné, Disney oblige.

Vraiment bon !

On est dans le haut du panier des adaptations live avec The Jungle Book et Pete's Dragon !

Mais là où Dumbo se démarque, c'est surtout dans le fait qu'il s'agisse du meilleur film de Burton depuis 15 ans (depuis Big Fish et Charlie & la Chocolaterie donc).

Là où le film original de 1941 était une histoire relativement courte, centrée sur l'éléphanteau, la bonne idée ici est de faire à la fois un remake (globalement les 30-40 premières minutes), une suite (qui amène donc le récit de base un peu plus loin, en traitant avec sensibilité de la cause animale et de la maltraitance dans l'industrie du divertissement) et une relecture de l'oeuvre (plu qu'un film sur Dumbo, on a vraiment affaire à un film sur les freaks du cirque et les marginaux, chose qui est totalement dans les cordes de Tim Burton

Un peu à l'image de The Greatest Showman, on s'intéresse vraiment à cette troupe itinérante, menée par un Danny DeVito toujours aussi sympathique et jovial, notamment à travers le personnage de Holt Farrier (un Collin Farrell très convaincant, d'autant mieux qu'il n'était que le 4e choix de Burton pour le rôle après Will Smith, Chris Pine et Casey Affleck), revenu de la guerre avec un bras en moins, qui renoue avec ses 2 enfants en même temps que l'art du cirque (les 2 jeunes acteurs sont convaincants).

Des clins d'oeil (que ce soit la souris Timothée ou les cigognes), des reprises de scènes (les éléphants roses ou le spectacle de clown avec incendie), le film sort de sa fonctionnalité littéralement lorsque le personnage de Michael Keaton (le retrouvailles avec DeVito après Batman Returns ont de quoi faire sourire) entre en scène (en même temps qu'Eva Green dans un rôle charmant qui la sied à merveille) pour mener la troupe dans son Dreamland (une sorte de Disneyland uchronique

Là le film trouve littéralement sa voix, à l'image d'un Tomorrowland, avec une critique acerbe de l'industrie du divertissement en même temps de la maltraitance animalière.

Un terrain connu, qui était aussi présent dans le film original, mais qui trouve une vraie résonance ici.

Les effets spéciaux par MPC sont globalement de très bonne facture, Dumbo est animé à merveille et crédible, en plus d'être attendrissant en un regard qui véhicule mille émotions. L'empathie se fait donc via un rien, et il suffit d'une reprise de "Baby Mine" pour que l'émotion soit au rendez-vous.

La production design est de toute beauté, renouant avec des esthétiques et un univers visuel renvoyvant aux grandes heures du cinéma de Burton, avec un charme évoquant même le côté intemporel d'oeuvres comme Mary Poppins ou Pinocchio.

Le mariage entre practical et CGI est donc organique à souhait, et la photo de Ben Davis (les Gardiens de la Galaxie) enrobe le tout avec douceur.

Danny Elfman revient également à la musique, proposant une partition pas forcément mémorable mais avec du corps, plaçant l'émotion où il faut et évoquant les sonorités d'un Charlie & la Chocolaterie.

Finissant sur une note d'optimisme qui fait du bien, on a donc là un vrai bon film de Tim Burton, une bonne relecture plein d'âme, un retour du conteur qu'on aime !

7/10 !

C'est vraiment une grande réussite ce Dumbo !
Quelle folie, quelle magie !
J'ai adhéré à 100 % à ce Dumbo fait par T. Burton.
Pour petits et grands, sans exception.

Dumbo s'offre un nouvel envol dans cette version spectaculaire en live action.Tim Burton s'empare de l'univers et nous offre un film fantastique qui apporte un souffle novateur à l'histoire de l’adorable petit éléphant rejeté par son cirque à cause de ses grandes oreilles. En signant une version qui s'éloigne de son support d'origine, Tim Burton à pourtant réussi à récrire l'histoire avec sa propre esthétique sans pour autant ternir la magie qui faisait le charme du film d'animation, grâce à d'époustouflante prouesses techniques offrant au passage une belle expérience cinématographique. La direction artistique qui est d'une beauté renversante, dont les décors supervisés par Rick Heinrichs sont juste superbes. Les thématiques qu'il traite sont : le monde de l’enfance qui se heurtent au monde des adultes, ou, cette thématique qui nous amène à nous poser des questions sur des problèmes de société, pose un regard plutôt intéressant sur la modernité et joue avec justesse avec nos espoirs et nos doutes. Le casting est bon mais la vedette principale est bien évidemment, Dumbo. Le défi etait de taille pour recréer l'éléphanteau afin qu'il soit le plus réaliste au possible, mais aussi pour que le public puisse faire la différence avec la version animée. Pari réussi. Ce remake très divertissant est à la fois un film référencielles pour les fans et visuellement beau, mais aussi parce qu'il nous livre une version en live action bien plus captivante qu'on aurait pût croire, évitant tout simplement d’être un copié-collé du classique de 1941, grâce au savoir-faire intact de Tim Burton qui retrouve son inspiration en y insufflant douceur, tendresse, spectacle, mélancolie et on en ressort avec le sourire. Une fantastique aventure familiale.

Sans surprise, le nouveau Tim Burton est encore une totale réussite, n'en déplaise à certains qui sans doute en attendent trop de ce réalisateur de génie. On retrouve forcément sa patte dans les décors, la musique, l'ambiance générale , comme par exemple ce lune-parc si impressionnant et si sombre. Quant à Dumbo, il est plus vrai que nature en images de synthèse, sa relation avec sa maman éléphant très touchante, sans oublier ce cirque si bien reconstitué, d'une autre époque et avec ses personnages et animaux parfois à la limite de l'étrange. Bref, on l'aura compris, on baigne pendant presque deux heures que l'on ne voit pas passer dans un univers féerique, et son âme d'enfance retrouvée...

Le pari était risqué et osé, adapter le célèbre dessin animé de Walt Disney en film, tendance généralisée de tous les succès Disney actuellement, et retrouver la magie du jeune éléphant volant avec ses grandes oreilles. Obligatoirement les images de synthèse et les effets spéciaux devaient être au rendez vous ainsi que la magie visuelle et esthétique du monde du cirque, mais aussi la tendresse et l'émotion que ce magnifique dessin animé dégageait. Pour la magie, la féerie, le fantastique et une approche poétique esthétique le choix de Tim Burton à la réalisation était audacieux avec le questionnement toutefois de la difficulté à laisser libre court à la liberté d'expression, d'invention, voire la folie de Tim Burton, tout en respectant assez scrupuleusement le cahier des charges Disney qui pouvait vite devenir un carcans pour ce créateur de génie. Pari réussi, Tim Burton apportant sans contestation sa patte esthétique et poétique inimitable tout en respectant totalement l'histoire et le contexte jusqu'à reconstituer scrupuleusement des scènes entières à l'identique. L'esprit est là, la beauté des images aussi ,les effets spéciaux réussis même si ils restent visibles et que l'on ne croit jamais réellement à un vrai éléphant, et l'émotion présente en particulier par le jeu extraordinaire des 2 enfants. Danny de Vito, parfait, apporte la note d'humour, Eva Green s'impose avec charme, talent et douceur et tire remarquablement son épingle du jeu dans un rôle pourtant secondaire. Colin Farrell lui hérite d'un rôle ambigu, pas du tout flamboyant, assez terne et même presque antipathique par moments et ce n'est vraiment pas lui la vedette du film ni Michael Keaton en promoteur extraverti et un peu caricatural à la morale peu exemplaire. Un très beau film au final, pour toute la famille avec une réussite pour la réalisation, les 2 enfants, Eva Green et Dany de Vito sans oublier évidemment Dumbo.

Tim Burton, on aime, on n’aime pas ou alors on aimait. Il reste l’un des réalisateurs les plus populaires qui a marqué le cinéma notamment grâce un style visuel très marqué. 9 ans après Alice au Pays des Merveilles, il revient chez Disney pour adapter en version live, le très célèbre Dumbo. Ce film pouvait susciter quelques craintes: l’idée de faire un remake live d’un film Disney aurait pu refléter un certain manque de créativité. Mais Tim Burton est surtout connu pour son imagination débordante et donc, que vaut Dumbo ?

Dumbo raconte l’histoire d’un éléphant né avec de très grandes oreilles. Vivant dans un cirque, il sera séparé de sa mère avant de devenir une bête de foire du fait de sa capacité à voler.

Et ce film fait plaisir. C’est une adaptation qui change des remakes plan par plan des autres Disney que l’on a pu voir (La Belle et la Bête, Cendrillon, …) et comme on risque encore de voir (Le Roi Lion, Aladdin, …). En effet, Tim Burton s’est approprié l’histoire de Dumbo pour en faire une œuvre plus personnelle. L’histoire est modifiée, les humains ont une place plus importante dans ce film. Burton glisse des références en plaçant les scènes les plus marquantes du dessin-animé de façon cohérente. Oui, il y a bien la scène des éléphants roses qui dansent où nous voyons que le réalisateur s’est clairement lâché.

Certaines scènes sont très touchantes et provoqueront des pincements au cœur, notamment au début. Si vous avez pleuré devant le film de 1941, préparez vos mouchoirs.

Les effets spéciaux concernant Dumbo sont très réussis et très réalistes. On ne peut qu’adorer ce petit éléphant.

Le film introduit de nouveaux personnages comme la famille Farrier. Une famille qui n’est plus la même, depuis le décès de la mère. Ils sont très attachants car ils restent forts et continuent d’avancer malgré les épreuves qu’ils ont traversé.

Le père, Holt, formidablement interprété par Colin Farrell, est très touchant. C’est un homme revenu de la guerre où il a perdu son bras. Ils retrouvent ses deux enfants, Milly et Joe, et se sent perdu car il a l’impression de ne pas savoir communiquer avec eux comme sa femme savait le faire. Milly est aussi un personnage très attachant qui veut devenir scientifique comme Marie Curie, elle permet d’introduire un certain féminisme au sein du film.

Au niveau des acteurs, Tim Burton met en scène des têtes connues de sa filmographie. Nous ne retrouverons pas Johnny Depp ou Helena Bonham Carter mais il est plaisant de revoir Michael Keaton (Batman, Beetlejuice), Danny DeVito (Batman, Big Fish) ou encore la nouvelle muse du réalisateur, Eva Green (Miss Peregrine et les enfants particuliers, Dark Shadows). Eva Green s’approprie l’écran dès lors qu’elle apparaît. Elle joue Colette, une trapéziste très touchante et très humaine, ce qui lui permet de se détacher du rôle habituel de femme mystérieuse ou fatale. Elle nous sort d’ailleurs son plus bel accent français.

Suite de la critique: https://www.cinematiccritiques.com/critiques/critique-dumbo-2019

Ce nouveau long-métrage Disney proposé par Tim Burton est exceptionnel, à tel point que le film s’est fait ovationner en fin de séance. Le Grand Tim Burton nous offre une belle adaptation du dessin animé de 1947, en y apportant quelques nuances sur l’histoire afin de lui offrir un véritable vent de fraîcheur ! La suite de la critique sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=GLjQhZJLxHA

" dumbo " adapté par Tim Burton est un émerveillement pour moi .En effet le réalisateur s'est entouré d'un çasting 5 étoiles dont la merveilleuse Eva Green dans un récit qui dénonce les excès du capitalisme et maltraitance des animaux dans un univers splendide avec des prises images en vue réelles somptueuse.