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    The Beatles : Le monde est à eux
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    Alain D.
    Alain D.

    490 abonnés 3 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 novembre 2016
    Cet excellent documentaire de Ron Howard nous livre une belle quantité de documents de qualité : enregistrements live, séquences studio (Abbey Road de Londres) et témoignages de personnalités. Il nous montre des scènes de liesses populaires ou l'hystérie du public dépasse même celle du King Elvis…
    Le documentaire débute en 1962 avec les premières scènes filmées du groupe, et enchaine vite avec un extrait de concert en novembre 63 à Manchester.
    L'année 64 est très riche : leur passage à l'Olympia a partir du 16 janvier avec 2 à 3 concerts par jour ! Nos 4 Garçons Dans Le Vent vont pour la 1ere fois aux USA : ils sont invités à New York pour le Ed Sullivan Show. Cette même année ils remportent le Music Awards. Nous assistons également aux concerts de Melbourne, Adélaïde, Stockholm… Le film révèle l'extraordinaire cohésion du groupe face au "cirque ambulant" dans lequel ils évoluent. A cette époque la, John et Paul composent sur les routes. Cette année est aussi celle de leur premier film " A Hard Day’s Night" tourné en 30 jours.
    1965 : Extraits du tournage de Help, leur second film. Une superbe séquence de scène au Blackpool ABC Theater. Concerts à Paris, Milan, Madrid… Portland, Chicago, Hollywood, Toronto, New York (56.000 personnes) ; ils jouent dans des stades, les salles de 5000 personnes seraient débordées.… Octobre 65 a Buckingham Palace ou ils sont décorés par la Reine. 1965 est un virage avec "Rubber Soul" leur 6 éme album ; Georges rejoint Paul et John à l'écriture. 1966 Tokyo, Manille, puis la polémique avec la religion et le début de la lassitude. 1967, l'évolution musicale se poursuit avec "Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band". Le documentaire se termine en Janvier 69 avec leur concert improvisé sur le toit de leurs bureaux à Londres.
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    26 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 septembre 2016
    Quatre garçons dans le vent...
    Certes ils l’étaient dès le début des années 60. Le vent de la célébrité qui a commencé léger dans les caves de Liverpool jusqu’à devenir l’insupportable ouragan qui les a défait. C’est cette histoire que raconte le film. Et il captive le film : extraits de concerts mythiques, séquences inédites de travail en studio, évocation de l’alchimie magique de leur amitié, images de leur espièglerie, gros plans de la démente hystérie de hordes de filles amoureuses… le tout ponctué de commentaires actuels et de confidences de Paul et Ringo.
    Eight days a week...
    Plans après plans, le film nous fait réaliser à quel point leur groupe était exceptionnel. Leur succès n’a certes rien dû au hasard ! Avec ce génie musical qui permet à John et Paul de composer, écrire et mettre en boîte en deux ou trois heures des tubes que la terre entière peut chanter aujourd’hui. Avec cette force de travail qui leur fait enchaîner de par le monde des concerts et des séances d’écriture eight days a week. Avec ce charisme souriant, qui a fait qu’une bonne partie de la planète adolescente rêvait de les avoir pour copains. Leur groupe prenait tout à la dérision, et surtout la vieille société qui s’évaporait dans les années 60.
    On avait la trouille...
    Mais voilà, comme le dit Ringo « eux étaient normaux, le monde était fou ». La preuve par ces images de leur concert de 65 au Shea stadium de New-York, a hard night. Alors, Help ! Ils n’entendaient plus leur musique, tant les clameurs du succès étaient violentes. « Ça devenait du cirque » et « on avait la trouille » nous dit Paul. Ils avaient beau veiller les uns sur les autres, a little help from my friends n’a plus suffi. I’m so tired, la lassitude des stars les a amenés à quitter la scène prématurément.
    Sourire...
    La narration s’arrête donc au moment de la sortie de Sergent Pepper’s. Un peu frustrant, mais un sujet suffit. Et il faut remercier Ron Howard d’avoir su écarter vie privée et frictions internes. Il reste du film une sensation de joie, une impression de sourire. Sourires oui, ceux d’une époque, d’un groupe mythique, d’une musique. I’ll be back, disait John en 64 : c’est fait.
    Piovem
    Piovem

    10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2016
    Tout de ce groupe m'a toujours convaincu, c'était ma prime jeunesse et ils m'ont aidé à grandir, à apprendre l'anglais par plaisir.
    Le film est ainsi fait qu'on peut bien enchaîner l'évolution, alors que quand on était branchés sur le vif, cela nous passait à côté. Il y a une vraie structure musicale et générationnelle derrière ces images. D'elles ressort un personnage grand, généreux et beau qu'est John Lennon et un couple de compositeurs hors pair, avec des ambitions musicales révolutionnaires que la génération des 15-25 ans a de suite senti comme les siennes.
    Que dire du style, de la période et de leurs engagements politiques, cachés par les médias à l'époque? Cela fait une fulgurance qui a parcouru le monde comme un tremblement de terre, illuminant les coins les plus reculés de la planète.
    Cette force on la ressent à travers les images, le son, les textes, le culot et le succès.
    Le clou, s'il en fallait, est le concert au Shea Stadium de New York. Là, les dimensions changent et cela donne vraiment le tournis. Même les conditions précaires et les problèmes de service d'ordre, n'entament en rien cette ferveur, cette FORCE et cet enthousiasme.

    Merci The Beatles, 50 ans après...
    sly.d
    sly.d

    3 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 septembre 2016
    Fan des Beatles depuis longtemps, je me suis fait une joie de voir ce doc retraçant ces années en tournée, même si je n'ai pas eu l'impression qu'il y avait autant d'images inédites que ça. Tout ce qui tourne autour des Fab Four reste de toute façon incontournable, et entendre des interviews d'époque ou plus récentes était un vrai plaisir, sans parler des moments de concert, plus ou moins nets selon le matériel de l'époque et en cadeau bonus le fameux concert au Shea Stadium où on ne peut vraiment s'empêcher de rire ou de sourire en voyant le fanatisme de certaines jeunes filles. Génial !
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    111 abonnés 2 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2017
    Un bon docu-fiction, qui ne laissera pas les nostalgiques indifférents, très beau, très bien fait, qui utilise à merveille les images d'archives, parfois seulement esthétisant, qui ne dit pas tout, qui met légèrement en perspective les aspects sociologiques du phénomène Beatles, mais reste assez superficiel. C'est une ambiance, une replongée dans les années 60 et dans les disques de ce groupe mythique.
    alouet29
    alouet29

    65 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juin 2018
    Ce film à destination des fans n'apporte que peu d'éléments inédits. Les fans s'y retrouvent néanmoins et les autres, seront au mieux, indifférents.
    Ce documentaire est brouillon, on voit mal la progression de la "beatles-mania"
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 janvier 2017
    Jolie petite histoire bien romancée. Tout est beau et parfait dans ce documentaire qui passe sous silence toutes les dissentions entre les différents membres.
    Brian Epstein n’est présenté que comme manager pour organiser ou promouvoir le groupe, mais son rôle fut bien plus important au sein même du groupe, notamment lorsqu’il joua le rôle de médiateur et assura la cohésion interne sans laquelle les quatre garçons auraient été éparpillés dans le vent.
    George Harrison n’est sité que pour indiquer qu’il n’en peut plus des tournées, alors qu’il était systématiquement relégué au rôle de guitariste et ses compositions boïcottées par le duo Lennon/McCartney.
    Le film devient vague sur la seconde partie de son existence. C’est bien dommage car elle est particulièrement riche en influences et en créativité. Serait-ce pour limiter d’avoir à trop parler de ces parties moins enchanteresses de la formation ?

    Joli petit conte qui ne raconte, agréablement il faut bien le reconnaître, que le politiquement correct des Fab Four. C’est bien dommage car un film qui prétend raconter leur histoire n’a pas a en édulcorer les côtés moins enchanteurs.
    Eselce
    Eselce

    1 196 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Un bon documentaire sur l'ascension fulgurante des Beatles et leurs réactions face à ce succès aussi inattendu qu'étouffant. On découvre quelques témoignages de stars qui sont allées à leurs concerts à l'époque, la naissance du groupe et les premières années avec une relation médiatique pas toujours appréciée. Une bonne occasion de découvrir ou redécouvrir les nombreux titres qu'ils nous ont laissé.
    Yetcha
    Yetcha

    739 abonnés 4 268 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 décembre 2016
    J'aime les Beatles, beaucoup même. Je les ai découvert pendant mon adolescence dans les années 80 et j'ai encore régulièrement leur chansons chez moi et dans me tête. Un groupe mythique qui me fascine par cette carrière incroyable et ce passage transgénérationnel. Le film documentaire nous apprend plein de choses, nous fait partager des moments rares et nous permet de mieux connaître les 4 garçons dans le vent. On voudrait que cela ne s'arrête pas, mais malheureusement le film se termine. Allez, je saute sur mes CD une fois de plus pour prolonger le plaisir.
    Acidus
    Acidus

    611 abonnés 3 644 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2018
    Ron Howard, auteur entre autres de "Willow" et de "Da Vinci Code", réalise pour la seconde fois un documentaire toujours sur l'univers de la musique. Après "Made in America" sur le festival organisé par Jay-Z, Howard s'intéresse cette fois aux Beatles. Tout a déjà était dit et montré sur ce groupe de pop anglaise et "Eight Days a Week" n'apporte pas plus de choses que d'autres documentaires sur ce même sujet d'autant plus qu'il est toujours malaisé de réduire une décennie de carrière en 1h40. Du coup, le traitement se fait inévitablement en surface et retrace s'attarde uniquement sur les faits marquants que tout un chacun connait sûrement. Cependant, c'est toujours avec plaisir que l'on se plonge dans les sixties à travers des vidéos d'archives et la musique du groupe. Ron Howard assure en plus son travail de réalisateur/monteur et le résultat est de qualité. Un bon documentaire mais qui n'apporte rien de véritablement neuf.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    228 abonnés 881 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2016
    Eight Days A Week : The Touring Years est un documentaire que tous les fans des Beatles se doit de découvrir. Pour les plus anciens qui ont vécus cette période, il rappellera bien des souvenirs et pour toutes les générations qui ont découvert plus tard le groupe, c’est une occasion unique de les voir évoluer ensemble. Très émouvant mais aussi souvent très drôle, le film de Ron Howard est une mine de petites anecdotes qui ne font qu’aimer encore plus le plus grand groupe du monde. Vivement la suite ! [lire la critique complète sur le site]
    zhurricane
    zhurricane

    69 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Un documentaire de Ron Howard sur la beatlemania vu au travers des concerts des britanniques. Il faut dire que le côté artistique n'est ici pas au centre du documentaire. Ici ce qui intéresse c'est pourquoi les Beatles sont devenus un objet de culte à travers les foules. Même si on a bien du mal à le comprendre en regardant ce film il faut dire qu'on a l'impression d'assister à la naissance d'un mythe. Oui ici les meilleurs chansons des Beatles ne sont pas présentes (les albums à partir de "Ruber Soul", car ils ne les joueront jamais en concert, ceux sont tout leurs tubes pop qui même si ils feront mieux, sont vraiment enthousiasmant et rafraichissant. A côté de cela les interviews sont super marrants et jamais lassants. Un bon documentaire, même si ça reste trop grand public à mon gout.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 163 abonnés 3 967 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2017
    Paul McCartney, John Lennon, George Harrisson et Ringo Star vous les connaissez tous car ils ont formés l’un des plus grands groupes de toute l’histoire de la musique. Projeté en séance unique dans environ 150 cinémas en France le 15 septembre, The Beatles : Eight days a week est un documentaire qui leur rend hommage au travers d’images d’archives mais également d’interviews d’eux aujourd’hui. S’ajouterons à leurs paroles, celles de Whoopi Goldberg ou encore Sigourney Weaver qui témoignent de leur engouement pour le groupe. Ainsi à travers ce documentaire réalisé par Ron Howard, vous redécouvrirez leur impertinence, l’hystérie des fans, leurs accros avec la religion, leur investissement dans la lutte contre la ségrégation, leurs premiers concerts dans les caves de Liverpool, les tournages de Quatre Garçons dans le vent de 1964 et d’Help en 1965, leurs mésaventures avec la marijuana mais surtout pourquoi l’émergence de la culture internationale chez les adolescents leur est dû. The Beatles : Eight days a week qui vous donnera envie de ressortir vos albums que de toute façon, vous n’aviez pas rangés.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    Audrey L
    Audrey L

    545 abonnés 2 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2017
    Un documentaire fascinant sur la vie d'abord idyllique du mythique groupe des Beatles, puis sur le déclin cauchemardesque auxquels ces jeunes dans le vent ont dû faire face. Les plus grands tubes sont bien là, au travers d'images d'archives rares et impressionnantes, on a presque la sensation d'en avoir l'exclusivité tellement les concerts nous sont inconnus par moments. Les commentaires des concernés sont les bienvenus pour mettre en lumière certaines anecdotes, certaines versions des faits que nous ignorions. Le film n'est pas lassant et sait se renouveler grâce justement à ces interventions et ces vidéos rares, la pédagogie divertissante est ici assurée. Les scandales auxquels les Beatles n'ont pas échappés, les ratés de parcours et les accidents malheureux jusqu'à leur dissolution commune, rien n'est caché au spectateur, et cette volonté de franchise et de transparence touche beaucoup quand l'on imagine que cela pourrait ternir la réputation du groupe devenu avec le temps mythique. Mais jamais on a l'impression que le documentaire accuse, au contraire, le spectateur se sent d'autant plus proche de ces artistes de talent qu'il s'aperçoit de leurs ratés, très humains après tout.
    Max Rss
    Max Rss

    168 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2019
    Ah, voici un petit documentaire sympathique sur un jeune groupe prometteur et qui risque de faire parler de lui dans les années à venir... Hein ? On me dit d'arrêter de déconner un peu. Alors ? Est-il encore possible de dire quoi que ce soit sur les Beatles ? Si ce n'est qu'il s'agit d'un des plus grands groupes de musique, si ce n'est le plus grand qu'on ait un jour connu. Jamais on ne mettra suffisamment l'accent sur l'impact que ce groupe a pu avoir sur la musique. « The Beatles : Eight days a week » traite donc de la période 1962-1966, appelée couramment « Beatlemania » durant laquelle les 4 musiciens n'avaient pas une minute de répit. Enchaînant albums sur albums, singles sur singles et tournées sur tournées dans des conditions parfois dantesques, parfois dangereuses. Le problème avec ce documentaire de Ron Howard, c'est qu'il divisera franchement l'auditoire. Quelqu'un qui ne connait pas bien l'histoire et l'oeuvre du groupe britannique trouvera sans doute sans compte. A contrario, quelqu'un qui est averti en la matière (ce qui est mon cas), le trouvera bien trop gentillet. Ron Howard semble occulter volontairement les côtés sombres du groupe. Quid de la consommation abusive d'herbe à partir de la rencontre avec Bob Dylan ? Quid du snobisme du duo Lennon/McCartney envers les compositions de George Harrisson ? Quid des très faibles royalties perçus par ce même Harrisson alors que Lennon et Macca en touchaient dix fois plus ? Clairement, Howard ne va pas au fond des choses. Il en va de même pour l'aspect musical. 1962-1966, implique donc l'année 1965, année où les Beatles (toujours sous l'emprise de dope) ont commencé à évoluer en s'éloignant des codes de la chanson pop traditionnelle de l'époque. En incluant de nouveaux instruments (comme le sitar ou l'harmonium). En expérimentant de nouvelles méthodes d'enregistrement (instruments passés à travers différents équipements, ralentissement ou accélération des bandes produisant des effets jamais entendus à l'époque). Tout cela pour le compte de l'album « Rubber Soul » . Il en sera de même l'année suivante pour les sessions de l'album « Revolver » où la folie créatrice des Beatles va franchir un nouveau cap avec encore plus d'instruments, avec encore plus d'expérimentations. Tout cela Howard le survole. Pourquoi trois étoiles alors ? Parce que même si le documentaire est très consensuel, il se suit avec plaisir et donc sans ennui, puis c'est toujours un plaisir que d'entendre encore les chansons des Beatles, même si eux aussi ont pondu quelques bouses irrécupérables comme tous les grands autres groupes.
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